rox elle est comme un meuble ikéa : elle porte un prénom étrange, elle est difficile a assemblé et il vous restes toujours des pièces à la fin

Rox(anne)-Zhora WellsFeat. Jennifer Lawrence

âge ; dix-huit toutes ses dents et une vision de la vie bien trop pessimite (selon elle réaliste) ✘ date de naissance ; un jour dans le mois de juillet, née en été elle n'aime pas la chaleur pour autant.✘ origine nationalité ; américaine avec des soupçons scandinaves ✘ statut matrimonial ; célibataire ou selon elle célibatante ! ✘ groupe ; elle a encore son sang qui voyage, n'a pas encore perdu un bras de fer avec la mort et n'a pas peur de la pleine lune. Bref, c'est une humaine.

❝CARACTERE❞

souriante ; loufoque ; torturée ; intéligente ; destructrice ; observatrice ; pessimiste ; timide ; amusante ; amicale ; battante ; malchanceuse ; fore ; discrète ; secrète ; mystérieuse ; sarcastique ; mûre ....
Des adjectifs, quelques uns, il en manque sans doute. Ces adjectifs la décrivent, mais ils ne sont pas aussi brutes. Ils s’imbriquent, se superposent, se confrontent au quotidien. Parfois, ils créent même des paradoxes. L'exemple le plus fort est le fait qu'elle clame ne pas croire en l'amour, pourtant au fond d'elle, elle aimerait avoir quelqu'un contre qui se blottir la nuit quand les cauchemars sévices, avoir quelqu'un à embrasser et à faire tout un tas d'autres choses. Elle aimerait ne plus se sentir aussi seule. La solitude est une compagne de longue date, même peut-être de toujours. Dès sa prime jeunesse elle ressentait un vide, elle se sentait seule. Dans la cours, avec les autres enfants, elle avait du mal à entrer dans leur monde. Elle était discrète, sage comme une image, attentive. Elle aurait voulu aller vers les autres, elle aurait aimé pouvoir dire qu'elle avait des amis (le pluriel est important). Mais elle avait trop peur, trop peur de la moquerie à la quelle elle s'était heurtée à plusieurs reprises, trop peur du rejet, trop peur de déranger. Des peurs qui sévices encore parfois, malgré que les années soient passées, malgré qu'elle est grandie, qu'elle soit devenue une belle jeune femme. Pourtant une fois qu'elle a réussi à entrer en contact avec quelqu'un elle parait apaisé, on découvre alors une jeune femme loufoque avec un raisonnement original. Elle a un regard très critique sur la vie, un sens du sarcasme bien trop marqué pour une personne de son âge. Elle a toujours été comme ça : très observatrice, critique vis-à-vis de ce qu'elle voit, de ce qu'elle vit. Ce fait montre une part de son intelligence. Une intelligence qu'elle nourrit au quotidien. Elle ne lit pas trois livres par semaines, oohh elle aimerait ça, elle aimerait avoir un mur avec juste des livres, mais elle a dû mal à lire (elle ne sait pas pourquoi). Elle se passionne pour les nouvelles technologie ou plutôt tout ce qui se passe sur internet, elle s’intéresse aux travaux faits autour de la société (la sociologie en somme, l'étude de la société, la politique). Ce qui explique une partie de sa culture, une culture qu'elle n'étale pas mais qu'on ressent dans sa manière de parler, dans sa manière de défendre des choses (opinions, manière d'expliquer des faits etc.) bref, sa manière de s'exprimer. L'autre partie de sa culture (elle a dû mal à croire que cela puisse en être) se base sur des petites choses en tout genre (tout et n'importe quoi comme elle dit). C'est ce qui la rend spéciale et loufoque. C'est sûr vous ne vous ennuyez pas avec elle si vous avez envie de discuter, elle pourrait passer des heures à entretenir une conversation si elle pouvait (faut "juste" trouver l'autre personne).

Si on devait passé une annonce à son propos (et que c'était quelqu'un qui l'écrivait et non la concernée, parce qu'elle souffre d'un trèèès grand manque d'estime à son égard) ça donnerait ça :
Jeune femme pétillante, battante et loufoque, recherche compagnie. Amusante, décalée vous découvrirez une vision de la vie peu commune. Mais si vous allez assez loin et que vous grattez, pendant longtemps, vous finirez par trouver une jeune femme torturée, blessée au plus profond d'elle-même avec un sens autodestructeur. Cette jeune femme qui travail dans une pâtisserie n'attend que vous.

❝HISTOIRE❞

Dans les ténèbres qui m’enserrent, Noires comme un puits où l’on se noie, Je rends grâce aux dieux quels qu’ils soient, Pour mon âme invincible et fière, Dans de cruelles circonstances, Je n’ai ni gémi ni pleuré, Meurtri par cette existence, Je suis debout bien que blessé, En ce lieu de colère et de pleurs, Se profile l’ombre de la mort, Et je ne sais ce que me réserve le sort, Mais je suis et je resterai sans peur, Aussi étroit soit le chemin,Nombreux les châtiments infâmes, Je suis le maître de mon destin, Je suis le capitaine de mon âme.

" Out of the night that covers me, Black as the pit from pole to pole, I thank whatever gods may be For my unconquerable soul. In the fell clutch of circumstance I have not winced nor cried aloud. Under the bludgeonings of chance My head is bloody, but unbowed. Beyond this place of wrath and tears Looms but the Horror of the shade, And yet the menace of the years Finds and shall find me unafraid. It matters not how strait the gate, How charged with punishments the scroll, I am the master of my fate: I am the captain of my soul." Un murmure, des bouts de phrases, des silences, un poème haché, murmuré comme une prière, comme quelque chose dont on veut se convaincre. Elle fait face à son reflet. Les yeux gonflés, l'un a pris une teinte violette, il lui est quasiment impossible de l'ouvrir, l'autre s'en est tiré avec "juste" une entaille légère. Son visage est tuméfié. Des goûtes de sang dévalent ses joues.

ça arrive aux autres, ça arrives qu’aux autres. C’est ce qu’on se dit ? Ce qu’on se dit pour le loto, pour les catastrophes…. Je viens de me faire agresser. Tout ça pour quelques billets. Je viens de me faire agresser. Elle continuait d’affronter son reflet, son reflet amoché, bousillé par un inconnu qui désormais hantera ses nuits, ses journées. Elle aurait voulu appeler quelqu’un, elle aurait voulu avoir la force d’appeler Ezekyel, ses doigts avaient effleurés son téléphone, il ne restait plus qu’à appuyer sur le petit téléphone vert. Mais rien. Pas assez de courage pour appeler. Pour appeler celui qui avait compté le plus dans sa vie, pourtant ils n’étaient plus aussi proches. Cependant c’était bien à lui qu’elle voulait parler, lui demander de venir la réconforter.

Mais Zhora ne demande pas d’aide, Zhora prend sur elle, Zhora ne se plaint pas. C’est comme ça depuis toujours. Enfant elle était déjà responsable, autonome. Elle avait un regard sur la vie déjà rationnel, formel. Solitaire, elle passait des heures sur un bancs à balancer ses jambes dans le vide, regardant les autres jouer, regardant les autres s épanouir. Elle n’arrivait pas à s’intégrer. Une seule personne a réussi à l’approcher. Un petit garçon avec qui elle grandira. La seule personne qui comptait réellement dans sa vie. Une vie une situation caricaturale, mais ce fut ma situation.

Son reflet dans le miroir la renvoi à toutes les douleurs qu'elle a ressenti dans sa vie, sa courte vie. Une petite tête blonde raillé par d'autres enfants, une petite fille regardant le ciel imaginant que sa grand-mère ira mieux, une petite fille qui observe les autres et qui s'ennuie, une petite fille qui regarde le derrière d'un corps-billard transportant un être cher, une petite tête blonde qui mange en secret, une petite fille qui voit des choses, qui regarde le monde avec des années d'avances. Une petite fille malheureuse qui sourit, qui fait semblant, semblant d'aller bien. Et quand elle ne joue pas la comédie, personne n'est là pour se rendre compte de sa tristesse. Une tristesse profonde dont le sens lui est encore inconnu. Mais cette tristesse s'est calmée, il y a à peine quelques mois. Une fois ses études finies (= lycée), elle a trouvé une petite pâtisserie qui recrutait et formait : un rêve se réalisait. Une bonne équipe sympas, un métier stable. Alors désormais elle est une grande fille, une femme, qui fait des gâteaux et vie dans un appartement minuscule mais à son image.

Elle allait mieux, la douleur était moins forte, cette putain de douleur.... un cri de rage lui échappe, la douleur se fait plus pesante. Elle allait mieux et la vie lui donnait un coup. je n'ai pas le droit d'être heureuse et pas le droit de me plaindre. Le même refrain pendant des années. Pour accompagner cette scène : de la musique déprimante, lente qui se diffuse dans ses oreilles.

C'était il y a 20 jours, elle s'est cachée pendant cinq, quand elle sortait des lunettes de soleil l'accompagnaient, quand elle a repris le boulot elle mettait une dose non négligeable de maquillage (chose qu'elle ne supporte pas). Et chaque matin et soir elle se retrouve confronter aux images de son visage bouffi, défoncé. Des images harcèlent son esprit, l'agresseur, la violence qui lui a infligé. Tout ça pour quelques billets. Ce mec a braqué une pâtisserie. Une pâtisserie !! Elle était la dernière car elle fessait des essais de glaçage. Quelques billets, pas grand chose.

Alors, comment ça va finir tout ça ? hein, tu vas me sortir autre chose ? Affaire à suivre .....

Coucou vous tous. Je m'appelle Elle, mais on me connait sur la toile sous le nom de becks. J'ai 18 printemps et je vis à île-de-france. On dis de moi que je suis un luttin en tutu, mais c'est pas ça que vous voulez savoir, je pense que je suis trop sérieuse par moment, accro aux séries, passe trop de temps sur internet, . J'ai découvert le forum grâce à jenesaisplus et je me suis inscrit(e) parce le forum me plaisais et qu'un super scénario était libre :youpi: . Je viens tous les jours.