MILENA › aujourd'hui j'ai tapé dans mes mains et le mec parfait est tombé du ciel.

milena-dafne castellifeat. Kaya Scodelario

âge ; 187 ans. ✘ date de naissance ; 17 août. ✘ origine nationalité ; italienne et française. ✘ statut matrimonial ; en couple avec Ezekyel Northedge. ✘ groupe ; vampires.

❝CARACTERE❞

Je forme les cœurs pour les détruire. Je sociabilise pour jeter. Je souris pour mieux me moquer. Je suis une garce. Mais une garce d’une classe rare. Je suis une solitaire. Mais une solitaire qui attire les autres vers elle ; parce que je le vaux bien. Je suis la pub iPod. Produit de surconsommation que tout le monde s’arrache. Et que personne n’a jamais dans le même coloris. Persuasive, troublante, mystérieuse, impatiente, possessive, jalouse, cynique, déconcertante, menteuse. Je suis comme ça, je m’adapte gars. Ce qui est plutôt pas mal. L’adaptation, c’est la source de la survie. La théorie de l’évolution, Darwin, le truc qui dit que les meufs comme moi finiront par bouffer les types comme toi.

La classe.

Je suis pas si imbuvable en vrai, mais là, c’est la partie où on cause de moi alors je me sens bien un élan narcissique. Parce que bon Dieu, ça fait du bien à l’égo parfois. Non pas que mon égo en ai besoin. J’ai par nature une assez haute estime de moi, assez pour ne pas me laisser atteindre par des piques aussi banales que le « t’es moche » mais pas suffisamment pour paraître comme la plus grande narcissique que la terre ait porté – je laisse volontiers ce rôle à d’autre.

Surtout que, manque de bol pour toi, j’ai aussi pas mal de répartie – et le sourire de salope qui va avec, parce que sinon c’est vraiment pas drôle. Je pense, je nique dans tous les sens du terme et récolte les avantages de mes petites arnaques.

Je suis le genre de fille un peu bizarre, le genre dont tout le monde connait le nom mais dont personne ne sait rien.

❝HISTOIRE❞

« Petite maman m’a racontée que longtemps avant elle a tenté d’avoir un enfant en vain, et que quand je suis arrivée, elle m’a vue comme un cadeau du ciel. Maman elle me répétait toujours que j’étais la petite fille la plus belle et la plus merveilleuse du monde, que j’étais son trésor. J'aimais l'attention qu'elle et ses amies me portait, les compliments qui fusaient à ma vue, et qui faisaient ma fierté. J'étais le centre de l'attention, tous n'étaient tournés que vers moi, près à me donner amour et cajoleries, succombant à mes airs d'adorable petite fille. Et peu à peu j’ai compris. Le centre du monde, c’était moi. »

« Quelle belle petite ! Regardez comme elle est adorable !
-Et qu’elle est douée! A peine cinq ans, et si sage, si appliquée ! Un vrai petit ange ! »

Assise face au piano, la petite s’appliquait à massacrer la partition avec méthode, sous les exclamations réjouies de sa mère et des invitées. Fière, elle trônait là, dans sa petite robe à volants, consciente d’être le centre de l’attention, et la source de tous les compliments. Avec orgueil, elle se disait que sa simple vue suffisait à rendre ces grandes dames si heureuses. Ces belles dames, qui venaient souvent dans le salon de maman, s’asseoir sur les fauteuils de velours pour jacasser et boire du thé dans des tasses de porcelaine, toutes ses personnes qui lui caressaient les cheveux, lui faisaient des compliments sur son habillage et lui bourraient les mains de gâteau, devant les sourires indulgents de maman. Ces apparitions quotidiennes à travers les réunions mondaines avaient finit par devenir sa grande tâche, après tout ces gens seraient si malheureux, si elle ne leur offrait par le privilège de profiter de sa vue, petite fille orgueilleuse, se pavanant dans ses robes de poupées, et qui ne vivait qu’à travers ces regards. Et en contrepartie du bonheur dut à sa présence qu’elle leur offrait, tout ces gens n’étaient là pour la satisfaire, en plus de l’admirer, après tout, elle était le centre du monde. Maman et son attention, papa qui la faisait sauter sur ses genoux, les bonnes qui se chargeaient de l’habiller, de la coiffer, de la baigner, tous ne tournaient qu’autour d’elle. Enfant resplendissante au milieu de sa cage dorée, la petite était persuadée de vivre dans un monde parfait, entièrement ajusté au bonheur de sa petite personne.


« Alors c’est le moment de nous quitter… je déteste les adieux… je parle pour ne rien dire, je dis des choses inutiles dont on se fiche royalement et j’en oublier l’essentiel. Je… j’ai besoin de toi… Tu es la seule famille qu’il me reste, je suis toute seule maintenant, seule, terriblement seule… Mais au fond… je sais que c’est le bon choix, je sais que c’est ce qu’il y a à faire… C’est sans doute ce qu’il y a de meilleur pour moi… Et si ce n’était pas le cas, je pense que tu m’aurais retenu… Je t’aime Anastasia, je t’aime tellement. »

Des embrassades, des mots d’adieux, des démonstrations d’affections interminables et là voilà qui s’en va. Là voilà qui quitte son Europe natal, là voilà qui quitte à nouveau sa famille, là voilà qui quitte une créatrice, un mentor, une mère. Là voilà qui part sans se retourner et qui semble accepter cette rupture. Et à l’abri des regards, dans la pénombre là voilà qui craque. Là voilà qui hurle, là voilà qui laisse ses émotions la submerger, là voilà qui pleure toutes les larmes de son corps d’adolescente, là voilà qui se mens à elle-même encore une fois, là voilà qui se veut forte, là voilà sans son masque de pragmatisme, là voilà comme elle est : faible, fragile, frêle, incertaine, instable. Là voilà vulnérable.


Anastasia,
Je suis faible Anastasia, tu aurais certaine sans aucun doute voulu m’élever différemment si j’aurais été ta fille biologique et non ta progéniture. J’aurais sans aucun doute été l’une de ses filles fortes qui ne renonce jamais, l’une de ses femmes qui se bat pour ses convictions envers et contre tous, si dès ma naissance tu m’aurais élevée. Mais ce n’est pas le cas. […] Je t’écris car je ne peux imaginer de te quitter à nouveau comme il y a de cela plusieurs années. […] Je reviendrais très bientôt sois en certaine. Durant mon absence je te serais éternellement reconnaissante de veiller sur Ezekyel. […] Je l’aime. Je l’aime d’un amour innombrable et incommensurable. Mettre des mots sur ce que je ressens pour lui m’est difficile tu sais. […] Prends soin de lui, je t’en supplie…

Avec tout mon amour, Milena.

Coucou vous tous. Je m'appelle Dieu, mais on me connait sur la toile sous le nom de stupid.girl. J'ai 16 ans et je vis dans la pire région de France sans aucun doute. On dis de moi que je suis sociable, franche, chiante, narcissique, drôle, très très lunatique et sinon viens en mp pour en savoir davantage . J'ai découvert le forum grâce à PRD et je me suis inscrite parce que j'ai craqué pour un scénario et que j'aivais envie de tester un forum TVD (j'ai beau détester cette série, j'avais envie de tester un rpg TVD, pas logique du tout, je sais.). Je viens tous les jours ou presque. :villagep: