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 Cassis - C'est souvent la personne dont on attends rien qui fait quelque chose que personne n'aurait cru possible

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sorciers
Catherine L. Kelly
Catherine L. Kelly

morsures : 536
inscrit(e) le : 18/01/2014
célébrité : Lily Collins
crédits : Schizophrenic

Cassis - C'est souvent la personne dont on attends rien qui fait quelque chose que personne n'aurait cru possible Empty
MessageSujet: Cassis - C'est souvent la personne dont on attends rien qui fait quelque chose que personne n'aurait cru possible   Cassis - C'est souvent la personne dont on attends rien qui fait quelque chose que personne n'aurait cru possible EmptyLun 16 Fév - 20:58


Cassandra Faith Belnades  





Identity


Mon nom est Cassandra Faith Belnades et, je vis à Mystic Falls depuis plus d'un an maintenant. J'ai 23 ans ainsi que toutes mes dents et, jusqu'à nouvel ordre, je suis coiffeuse. Je suis une sorcière accomplie et, tolère la présence des vampires parmi les humains.

C'est l'histoire d'une vie


Toute histoire commence par ces quelques mots : il était une fois... Mais je n'ai rien d'aussi poétique à vous offrir. Pourtant je sais apprécier la poésie, le romantisme et toutes ces choses qui rendent la vie magique, même au sens des humains. Seulement, je ne suis comme ça qu'avec une seule personne. Au lieu de chercher à vous faire rêver, j'ai décidé de dépoussiérer quelques vieux livres. Pour être plus exact, il s'agit de mes journaux intimes.

Pour la plupart des enfants, une famille est composée de lui-même et de ses deux parents. C'est ainsi que l'on voit la plupart des dessins d'enfants. Pour ma part, je me suis toujours dessinée seule. Seule mais toujours entourée d'arbres, de nuages, d'oiseaux et parfois même d'un chat imaginaire. J'aime bien les chats, histoire de bien faire clicher au niveau sorcellerie.
Il faut dire qu'enfant, je ressemblais vraiment à la petite fille parfaite. Celle que l'on a envie de changer toutes les cinq minutes pour lui faire essayer toutes les robes de princesses possibles. J'imagine que c'est ce qui m'a aidé à être adoptée par mes parents. Alors que mes amis croyaient en l'histoire de la cigogne, je croyais en ma propre histoire, celle du super marché. Pour moi les bébés, c'étaient comme les animaux de compagnie. Il y avait une sorte d'animalerie pour les humains, mais il fallait être adulte pour pouvoir s'y rendre. C'était aux parents de choisir, pas à un oiseau blanc, c'était pas le volatile qui élevait l'enfant après tout.

J'avais cinq ans quand finalement, ce fut à mon tour d'être adoptée par des parents. J'ai toujours été plus proche de ma mère, c'est elle qui me racontait des histoires de contes de fées. J'étais la seule à connaître l'histoire de la jeune princesse Faith. Pour tout vous dire, je suis presque certaine que ce prénom n'a pas été choisi au hasard. Ma mère tentait seulement d'enjoliver l'histoire de sa petite fille qui n'avait aucun lien de sang avec elle. Le royaume de la petite Faith était prit par les flammes, ses parents n'ont pas eu d'autres choix que de la faire partir au loin. C'est une reine et un roi qui ne pouvait pas avoir d'enfant qui ont décidés de l'élever comme leur fille, promettant de toujours veiller sur elle. Ais-je été abandonnée à la naissance ? Mes vrais parents sont-ils mort ? Pour être franche, à chaque fois que ces questions me venaient à l'esprit, je les chassais aussitôt. C'était se faire du mal pour rien. J'étais trop jeune, je ne pouvais pas chercher les réponses pour le moment.

Princesse de la presque-île de Cap Code, Faith n'est que mon second prénom, je m'appelle Cassandra. J'étais prisonnière d'un donjon. Mes parents sont vraiment formidables, je tiens à eux mais un profond vide s'était emparé de moi. Quelque chose me manquais et je ne mettais pas le doigt dessus. Il m'arrivais de rêver qu'un pégase vienne me chercher à la fenêtre de ma chambre et m'emmène au loin. Je n'ai jamais vu l'ombre de Peter Pan venir me sauver non plus. Quoi que je ne suis pas sûre que le monde imaginaire me plaise... Je suis pourtant la fille adoptive du maire, mais ce dernier est bien trop amoureux de son royaume pour aller vaguer ailleurs. Je ne savais pas à quoi ressemblais le monde du dehors. Histoire de combler encore plus à l'image de la vie parfaite, je suis une étudiante brillante. Il faut dire que je suis assez studieuse et je n'aime pas être à la seconde place. J'étais bien entourée, j'étais même devenue la reine du lycée. Je n'ai jamais vraiment su dans quelle case stéréotyper me ranger, celle de la peste ou au contraire, la personne aidant toujours son prochain. Je faisais parti du groupe des teignes, celles qui jugent pour un rien. Pourtant je n'hésitais pas à donner un coup de main à ceux qui étaient parfois à l'écart des autres.

En grandissant, j'ai dévorés les livres d'Harry Potter. Ne faites pas semblant, on l'a tous fait. J'aimais toujours ma vie, mais ce profond manque me rongeait de l'intérieur. Tous les jours je me demandais où était passée ma chouette de Poudlard ou qui avait bien pu voler ma lettre. Je rêverais de voir Londres ! Big Ben doit être magnifique à voir de près. La grosse pomme aussi, ça doit être sympa. Paris, la tour Eiffel. Pourquoi pas le Japon aussi ? Je n'étais pas faite pour être un oiseau en cage. Bouger, j'avais cruellement besoin de bouger.

Influencée par les filles du groupe, je finis par me mettre en couple. Une princesse à besoin d'avoir un prince, n'est-ce pas ? Peut-être était-ce cela qui me manquait. Très rapidement, je découvris un trou encore plus béant dans ma poitrine. Je n'étais pas heureuse. Il n'était pas méchant, mais il ne sortait avec moi que par une sorte d'impulsion. Un peu comme moi qui avait fini par écouter ce que l'on me disait, bêtement. On mettra sur le compte de l'adolescence, n'est-ce pas ? Lui, il était fier, pas amoureux, fier. Il sortait avec l'une des filles les plus populaires du lycée, c'était le rêve. Je n'étais donc qu'un trophée sur une étagère. Pitié petite chouette, retrouve ton chemin...
Prenant sur moi-même, j'ai tout fait pour tomber amoureuse de mon petit ami. J'ai cru que je l'étais, en réalité, je n'avais aucune idée de ce que c'était d'aimer vraiment à cette époque. J'ai appris à découvrir ses centres d’intérêts. J'ai appris à connaître son petit frère et à devenir amie avec lui. Encore une fois, j'avais le sentiment de seulement essayer de coller à l'image de la princesse parfaite que l'on voit dans les Contes.

J'avais quinze ans à cette époque, cela devait faire trois mois que j'étais en couple avec lui. Je n'ai pas tout de suite compris ce qui était en train de ce passer cette nuit-là. Alors que l'on était dans sa chambre, il finit par me dire que jamais il ne voudrait quitter Cap Code. J'ai eu ce sentiment étrange que l'on attachait encore plus de cadenas à ma porte. Les ampoules de sa chambre ont alors explosées, me faisant sursauter. Nous étions plongés dans le noir, sans que je comprenne un seul instant que cela venait de moi. Quelques jours plus tard, je découvris que ma plante grasse dans ma chambre était sur le point de mourir. Alors que je pensais que c'était la fin pour elle, dès le lendemain matin, elle rayonnait de vie. Septique sur le moment, je le fus de moins en moins. L'épisode du vase a fini par me faire entendre raison : ça venait de moi. Je me disputais rarement avec mes parents, et encore moins avec ma mère. Alors que nous étions dans le salon à hurler, son vase préféré se brisa sans que personne ne l'ait même frôlé.

Cette fois, j'en étais convaincue, cette idiote de chouette avait vraiment dû se perdre ! Peut-être était-ce moi qui ne faisait que voir ce que j'avais envie de voir, mais si j'avais raison, alors ma vie ne serait pas ordinaire comme je le craignais. J'avais un nouveau souffle de vie et d'espoir qui naissait en moi.

Même à Cap Code, parfois, des étrangers viennent. Je me demande toujours pourquoi, mais c'est sans doute parce que j'y ai vécu que je ne vois pas d’intérêt de m'y rendre. Un été j'avais fait connaissance avec une jeune fille australienne n'ayant que deux ans de plus que moi. Depuis, nous nous échangions régulièrement des lettres. Je me souviens encore de la tête de mes parents, de la douleur masquée de mon père quand à l'âge de seize ans, je leur demandais d'accepter que je parte en Australie rejoindre mon amie. C'est avec difficulté qu'ils acceptèrent la chose.

Une fois installée, je les appelais une fois par semaine et puis de moins en moins. Je réalisais soudain que si je les avais quittés, c'était aussi pour qu'ils ne voient pas le monstre que je devenais. J'aimais l'idée d'être spéciale, mais je n'aimais pas l'idée d'être seule. Au bout de deux mois, je craignais même devoir prendre la fuite de chez mon amie, craignant de la blesser. J'étais un danger pour moi-même. D'un mouvement de main, j'avais failli me planter un couteau dans le ventre. Je ne faisais que la cuisine et le couteau n'était pas dans ma main. Le geste que j'avais fait en l'air l'avait fait bouger tout seul.

J'atteignais mes 19 ans alors que j'étais de plus en plus recluse. Je me réfugiais souvent sur les plages, j'avais l'impression d'être moins dangereuse sur ces dernières. La solitude me tiraillait et je ne me plaignais même pas. J'avais rêvé toutes les nuits d'être spécial. C'était de ma faute. Il faut toujours se méfier de ce que l'on souhaite. On ne peut pas dire que j'étais heureuse dans cette période de ma vie. C'est à ce moment précis que ma chouette arriva finalement à bon port, bien qu'elle ne ressemblait pas du tout à ce que j'imaginais et elle n'avait pas de lettre à me donner non plus.

Marie me rencontra sur la plage ce jour-là. J'avoue que je lui parlais normalement sans comprendre ce sourire qu'elle avait aux bords des lèvres. C'est quand elle commença à me parler de magie que je l'a regardais de travers. Malgré tout, je suivais son regard qui fixait le sable. Depuis combien de temps je le faisais léviter dans les airs autour de moi ? J'en eus un sursaut et tous les grains regagnèrent le sol. J'avais envie de m'arracher les cheveux de désespoir. Vous avez déjà ressentit ça ? Ce sentiment au plus profond de vous qui vous fait regretter ce que vous avez toujours voulu. J'étais magique, mais cette magie me nuisait, c'était une véritable angoisse.
Je ne comprenais pas, pourquoi cette femme me tendait la main ? Pourquoi était-t-elle si prévenante envers moi ? D'une certaine façon, Marie devient ma troisième mère. Elle me tuerait sans doute à cause du rapport à l'âge que cela implique. Rapidement, je me pris pour un poussin qui collait sa mère, j'imagine même pas quelle horreur ça a du être d'avoir une élève qui en demandait toujours plus. J'étais avide de savoir, avide de connaissance, avide de pouvoir. Contrairement aux crétins qui en veulent pour eux-même, ma façon de voir les choses étaient moins égoïste. Je voulais aider les gens, mais pas n'importe comment, avec la science et le pouvoir du vaudou. Je couperais la langue à la première personne qui ose me dire que ce type de magie est maléfique. Elle peut être bénéfique, elle l'est entre mes mains.

Marie me laissa le choix, je pouvais rester en Australie ou, au contraire, venir avec elle à Mystic Falls. Je m'excusais auprès de mon amie, prenant la poudre d'escampette. J'étais plus qu'enthousiaste à l'idée, une femme extraordinaire m'ouvrait les portes d'un royaume fantastique. J'appris tout ce qu'il y avait à savoir sur les autres races. Plus j'en savais, plus j'en voulais. Il en est venu un rêve, une volonté personnelle : Sortir de l'ombre pour rejoindre la lumière.

Je n'étais pas seule et je ne le saurais plus jamais. Ma première famille m'avait abandonnée. La seconde m'avait choisi mais je n'étais pas heureuse. La troisième est la famille parfaite, celle dans laquelle je m’épanouis un peu plus chaque jour. J'ai enfin trouvé ma place, je n'ai plus ce vide qui emplissait mon cœur. Pourtant, il y a toujours quelque chose qui me manque, mais ainsi va la vie, non ?

Nous sommes une famille de trois femmes et comme toute famille de ce genre, les secrets sont impossibles à garder. Tara est comme ma sœur, une grande sœur peste qui peut faire un claquement de doigt un enfer. Contrairement aux apparences, je l'aimais de tout mon cœur. En arrivant à Mystic Falls, j'eus un comportement de mimétisme au niveau du comportement de celle pour qui je prenais pour un modèle d'assurance. Tara était volage, elle obtenait tout ce qu'elle voulait. Elle était magnifique, rayonnante, splendide en tout point. Elle était énervante dans son apparence de perfection. Elle m'expliqua alors que les hommes étaient facilement manipulable et qu'ils nous prenaient tous pour de simples trophées. Il n'appartenait qu'à nous d'en faire ce que l'on en voulait. On pouvait être les reines du monde si on savait seulement utilisés nos atouts féminins. C'est ce que je fis à mon tour. J'étais aussi séductrice qu'elle, si bien que parfois, ça en devenait presque un jeu entre nous.

Seulement, comme toute personne qui agit mal, on finit toujours par avoir un retour de bâton. Dès que mon regard s'était posé sur lui, je compris à quel point j'étais dans l'erreur, mais aussi que je ne l'aurais jamais. Wayne était un sorcier que Marie connaissait très bien. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il n'était pas fan de la façon dont Tara et moi on se comportait. Le pire fut quand je fis sa rencontre à elle : Alice. Cette douleur lancinante qui me bouffait de l'intérieur était juste l’œuvre du diable, il n'en était pas possible autrement. Je la haïssais, juste parce qu'elle sortait avec l'homme dont j'étais follement éprise. Je ne séduisais plus les hommes pour obtenir des informations ou des secrets, ou un faux-semblant de pouvoir. Je le faisais plus par dépit et mauvaise habitude, comme si mes sentiments finiraient par s'éteindre.

Tara me charriait à chaque fois. Bien que je n'avais parlé à personne de mes sentiments pour lui, je devais être un livre ouvert. Elle me rappelait sans cesse qu'il était en couple et heureux, qu'il n'aimait pas les filles comme nous. Je niais en bloque mes sentiments et quand elle m'énervait trop, je la chassais de ma chambre à coups d'oreiller. Je commis une erreur néanmoins. Malgré tout, Wayne et moi étions des amis proches et un soir où j'avais un petit peu trop bu, j'ai failli l'embrasser. J'imagine qu'il n'avait pas dû forcément m'en tenir rigueur vu mon état, mais j'avais vraiment honte de mon attitude.

Alors que Marie s'était alliée à un originel qui n'est autre que Klaus. Tara et moi restions à Mystic Falls. C'est à cette période que Wayne s'était séparé de Alice, d'un commun accord de ce que j'en avais pu savoir. Je n'étais pas très bonne conseillère pour lui quand il s'agissait de sa vie amoureuse. Alors que ma sœur faisait de plus en plus de magie noire qui me semblait dangereuse, je restais sur mon cap, apprenant de plus en plus à maîtriser la magie blanche du vaudou. J'arrêtais aussi mes jeux de séduction avec les hommes. Ce n'était tout simplement pas moi et je ne pouvais plus taire ce qui sommeillait en moi. Même si je n'étais pas en couple avec lui, je savais maintenant ce que aimer signifiait et il était impossible de tricher éternellement avec mes sentiments.

La jalousie s'emparait de moi à chaque fois qu'il me parlait de quelqu'un avec qui il semblait un peu trop proche sur le rang affectif. Je parvenais à ne pas rouler des yeux au ciel ou à quitter la pièce en claquant la porte. Tara ne faisait que me charrier encore plus et je craignais même que Marie ait des doutes. Alors que ça faisait longtemps que je mettais faite une raison du fait d'être damnée pour avoir jouer avec les sentiments des autres, un cours de magie me donna tord. Avec ma mère adoptive, j'apprenais à exceller dans l'art du vaudou. Wayne voulait bien m'aider à me perfectionner dans la magie blanche. Finalement, le cours à dévier sur nos sentiments mutuels et on s'est embrassé.

Le bonheur emplissait ma vie alors qu'il ne me restait plus que mes rêves de grandeur à réaliser. C'était sans compter cette ville maudite de la Nouvelle-Orléans. Je n'ai jamais aimé cette ville, c'était viscéral chez moi. Je finissais par accepter les supplications de ma famille et allait avec elles voir le berceau natal de Marie. Il faut toujours écouter ses mauvais pressentiments, j'aurai pu sauver la vie de ma sœur. Une attaque eut lieu, une attaque venant de sorciers et de loups. Une attaque qui me provoque encore des terreurs nocturnes. Tara est morte ce jour-là pour me protéger. Je suis responsable de sa mort et j'en porte le fardeau jour après jour. Il m'arrive encore d'avoir des élans de colère envers elle alors que Tara n'y est pour rien. Je reste convaincue que même si elle en avait l’occasion, jamais elle ne reviendrait en tant que fantôme. J'ai le sentiment qu'elle nous abandonne, quelque part. C'est ceux qui restent qui souffrent le plus finalement. Dévorée par la tristesse, j'ai de nouveaux des ambitions trop grande pour moi, mais ça m'est bien égal. Je compte coûte que coûte ramener Kol Mikaelson à la vie. Lui aussi a été arraché à sa famille et si j'y parviens, non seulement j'aurai atteint mon objectif de me faire voir pour révéler l'image du vaudou et il pourra faire payer à tout ceux qui sont responsable de cette attaque et donc autant responsable que moi de la mort de Tara.

Cela fait maintenant plusieurs mois que je réfléchis aux possibilités de faire revenir un originel à la vie, comme les sorciers précédents ont échoués. Je sais que ce n'est pas vraiment au goût de mes proches, mais j'estime que j'ai encore le temps de leur parler de mes ambitions à tête reposée.

Hey toi derrière l'écran !  


Je m'appelle Marie/Taya et j'ai 23 ans, mon dieu.... J'ai découvert Ghost World grâce à une ancienne Hayley :fff: et, maintenant que je me suis inscrite, je compte venir 7/7j. J'aime Cassayne, les membres de GW Cassis - C'est souvent la personne dont on attends rien qui fait quelque chose que personne n'aurait cru possible 1588870598 sinon j'aime le cinéma, être apprentie monteuse et apprentie scénariste Cassis - C'est souvent la personne dont on attends rien qui fait quelque chose que personne n'aurait cru possible 2442925772

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KREUK, Kristen [b][color=#crimson]-[/color][/b] BELNADES, Cassandra


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SHERIF
SHERIF

morsures : 1870
inscrit(e) le : 23/07/2012
célébrité : Zach Roerig
crédits : TAG et Tumblrs

Cassis - C'est souvent la personne dont on attends rien qui fait quelque chose que personne n'aurait cru possible Empty
MessageSujet: Re: Cassis - C'est souvent la personne dont on attends rien qui fait quelque chose que personne n'aurait cru possible   Cassis - C'est souvent la personne dont on attends rien qui fait quelque chose que personne n'aurait cru possible EmptyJeu 19 Fév - 21:03


TE VOILA VALIDÉE !



Non, j'ai pas lus les Harry Potter moi Toujours pas déçu de ta fiche *-* j'adore, c'est tellement beau de voir comment tu interprète Cassie et son évolution :3

Il ne te reste plus qu'à créer ta fiche de liens/topics pour te faire des amis et créer un cercle de connaissances.

N'oubli pas de t'amuser parmi nous et, pour nous aider à ramener du monde sur le fofo, n'hésite surtout pas à voter pour le fofo sur le Top-Site.

HAVE FUN !


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