Je viens aux nouvelles ♣ June [HOT]

Je viens aux nouvelles

Max avouait, il n'était pas très concentré en cours, en même temps, je pouvais le comprendre, certains cours étaient tellement ennuyant et inutiles... Il disait s'estimer heureux de réussir à contrôler tout ce qu'il ressentait, puis je me mis à sourire quand il affirma que j'illuminais sa journée, il m'embrassa et changea de sujet, revenant à mon plâtre. Je regarde ma jambe blessée et je soupire. « 6 semaines d'après ma mère... On ne sait pas trop, on ne va jamais à l'hôpital... » On avait perdu cette habitude puisque ma mère était médecin, alors elle sait ce qu'elle fait. « On irait trop souvent avec mes frères et ça poserait des problèmes, quand c'est vraiment grave et que ma mère ne peut pas gérer on y va et une de ses amies s'occupe de faire disparaître nos noms des dossiers... On sait pas non plus l'ampleur des dégâts une fois le plâtre retirer, si je vais récupérer la mobilité entière de ma jambe ou si je boiterais toujours un peu... Mais ma mère est confiante... » On s'était habitué à savoir combien de temps ça mettrait, je faisais confiance à ma mère là-dessus, si elle disait que je remarcherai normalement, alors je la crois. Je passe ma main dans ses cheveux tout en esquissant un rapide sourire. « Mais je vais bien ! J'ai appris à maîtriser les béquilles, et j'ai plus vraiment besoin d'aide... » Les premiers jours avaient été affreux, je n'arrivais pas à bouger de ma chambre sans que la douleur me lance à nouveau. Même la nuit n'était pas de tous repos. « Ce qui m'énerve, c'est que je perds du temps, et que je ne pourrais pas reprendre tous de suite les entraînements et la chasse. Je serais de nouveau passive et ça m'énerve ! » J'avais l'impression d'avoir huit ans à nouveau, tout le monde s'inquiète alors que j'allais bien. « Ils sont là à me demander toutes les cinq minutes si j'ai besoin de quelque chose ! T'as bien vu je suis capable d'aller ouvrir la porte toute seule ! Sinon, tes parents ils ont dit quoi ? »

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Je comprenais ses parents, après tous ils n'étaient pas si différents des miens, ils voulaient simplement protéger leur enfant. Max s'explique, se confie, parle du fait que s'il tuait une personne jamais il ne pourrait s'en remettre et il conclue sur le fait qu'il préférait ne pas repenser à cette nuit. J'hoche la tête alors qu'il vient déposer un rapide baiser. Il reprend en disant qu'il allait être lui aussi sur mon dos, je ris alors qu'il repose ses lèvres contre les miennes, je réponds à son baiser, et j'enroule mes mains autour de son cou. Qui l'aurait cru qu'un jour je puisse accepter sortir avec Max tout en sachant qu'il est lycanthrope mais maintenant je m'en moque, je me fou de tous, je veux juste être avec lui. Je romps le baiser mais je ne m'éloigne pas trop de ses lèvres juste un peu pour pouvoir dire. « Ouais, mais toi ça me dérange vachement moins que ma famille ! » Je saisis le col de son tee shirt pour l'attirer tout contre moi, mes mains glissent le long de ses bras, passent par son dos, remontent jusqu'à ses cheveux. Je lève ma jambe gauche et je l'enroule au dessus de la taille Max, je mordille un peu sa lèvre avant de reprendre la parole « Tu es mon prisonnier ah ah ah ! » Je ris, je retourner l'embrasser, j'oublie tous. Je veux simplement profiter un maximum de cette après-midi, de Max. Je ne veux pas que la journée s'achève, alors oui on pourrait se revoir, profiter l'un de l'autre, mais tant que j'aurais la jambe immobile ça me semble un peu difficile, puis on ne peut pas dire que le lycée soit l'endroit le plus intime au monde. J'approfondis le baiser, je glisse une fois encore mes mains sous son tee shirt et la chaleur de son corps ne cessera de m'étonner, ça devait être vachement pratiquer en hiver, je finis par repenser à la journée que j'avais passé chez lui, au lac. « Avoue, t'avais préparé ton coup en me jetant dans le lac la dernière fois !  »

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Il pouvait dire ce qu'il voulait ! Je ne le croyais pas, c'était bien son genre de me jeter dans le lac que pour profiter de mon impuissance, ce petit sourire qu'il avait fait ne faisait que me conforter dans cette idée, tant pis, finalement ça me dérangeait pas non plus... Je sens ses mains glisser sous mon tee shirt se promenant sur mon ventre, remontant, mais sans jamais aller trop haut. Je frissonne au contact et je finis par me dire que moi je peux toucher partout si je veux. Il avoue que voir mes vêtements mouillés s'étaient plutôt agréable à voir, j'ouvre la bouche feint l'étonnement. Bon j'étais loin d'être crédible, on va pas dire que le voir torse nu, et même en caleçon quand il s'est changé m'avait déplu... Un point chacun. Il revient sur le fait que je m'étais changée dans la salle de bain. Entre temps il embrasse mon cou de part et d'autre. Je me mords la lèvre inférieur et tente de calmer mon pouls sinon j'étais grillée. « Hum.. Oui ! Mais... vaut mieux voir ou toucher ? » Les deux s'étaient bien aussi, d'ailleurs, je repense à cet avantage, le fait que je sois une fille. Je souris malicieusement, claque un rapide bisou contre ses lèvres et j'attrape le bas de son tee shirt, et je lui enlève. Après tous, je l'avais déjà vu torse nu s'était pas non plus la première fois, puis comme on dit, la chance sourit aux audacieux ! « Voir et toucher en même temps c'est bien aussi... » Je prends un air triomphant, maintenant s'était à moi de jouer ! Parce que s'il pensait que j'allais le laisser me faire perdre mon contrôle sans réagir s'était peine perdu. J'embrasse ses lèvres, le bas de sa mâchoire, sou cou, le haut de son torse, je reviens sur ses lèvres. Fichue jambe, sans elle ça aurait été beaucoup plus facile mais j'allais faire avec. e « Ça a certains avantages d'être un loup, niveau muscle et tout, il faut le reconnaître. » Depuis toute petite, je voyais mes frères s'entraînaient, prendre du muscle, mais là s'était définitivement totalement différent. Et même si je râlais après toutes ses filles totalement obnubilées par le physique, il fallait que je le reconnaisse, jamais je n'aurais pu sortir avec un petit gros tout moche. Max était plus grand, musclé, beau et ne plus de ça il avait toutes qualités mentale que j'attendais, j'avais tiré le gros lot.

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Qui n'aimait pas les muscles, sincèrement ? Je préférais ne rien répondre à cela. Il s'amusait et à son tour retira le tee-shirt que je portais. À moitié gêné, je n'avais pas vraiment l'habitude de ce genre de chose, c'est vrai voir une fille sans haut n'avait pas le même effet que de voir un mec torse nu, on ne peut pas dire que ça me gênait après tous c'est moi qui avait commencé en retirant le sien. Je le regarde scruter mon corps et je sens mes joues me brûler. Je n'étais pas le genre de fille à être complexée, mais quand même. « Bah, vas-y te gêne pas ! Mâte-moi. » J'avais dis ça tout en m'amusant de la situation et Max vint coller son corps contre le mien, on frissonne ensemble à cause de la différence de température. Il s'amuse de sa situation de loup en disant que l'hiver il pourra me réchauffer. C'était quand même un peu ambigu comme propos mais ça me fit rire. « À ce qu'il parait, il n'y a rien de mieux que la chaleur corporel ! » Puis sa tête vient prendre place dans mon cou, ses lèvres déposant pleins de petit bisous partout, il descend jusqu'au haut de mon buste mais ne va pas plus loin. Je ferme les yeux me concentrant sur la sensation que ça me procure. Son visage remontre et je m'empare encore une fois de ses lèvres. Mon pouls s'accélère encore une fois, tant pis, il devait déjà l'avoir remarqué. Mes mains glissent jusqu'en bas de son dos puis remontent. J'arrête le baiser, un peu à bout de souffle, je pensais pas que ça demandait aussi de l’entraînement ! Puis repense à notre légère discussion de bio sur les hormone et ça me fait sourire. « On disait qu'on savait se contrôler, étrangement, j'en suis plus si sûre maintenant ! » Comme si ça nous dérangeait, je finis par froncer les sourcils et prendre un air faussement abusé. « Mais c'est de ta faute, moi je suis innocente. Tu profites du fait que je ne peux pas bouger ! » Je lui fais un clin d’œil malicieux avant de retourner l'embrasser, ce qui était terriblement plus amusant que de parler. Enfin j'avais beau être chasseuse, être entraînée à garder mon calme et lui un loup, seuls dans une chambre on était intenable !

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J'étais peut-être aussi un peu fautive, trois fois rien, bon peut-être un peu plus que je n'osais l'admettre, mais Max repris sa place initiale, la mine boudeuse ce qui me fit esclaffer de rire. Pour lui tout est de ma faute, le vilain fruit de la tentation. Me tournant sur ma gauche, je viens avec ma main droite dessiner tout un tas de choses sans sens sur son torse. Puis la triste fatalité sort de sa bouche, des moments comme cela on était pas prêt d'en avoir de nouveaux. Fichue jambe, j'avais raison en disant que sans elle tout serait plus simple. Je fais claquer un bisou contre son torse et avec précaution je viens m'installer sur lui, je fais en sorte que mon plâtre se balance dans le vie, au moins comme ça je n'aurais pas mal, et je laissais mon dos respirer. « On... On a tous notre temps, puis quand j'aurais plus de béquille, j'aurais plus besoin d'une escorte à chaque fois que je me déplace. Il y aura forcément des moments où on pourra être rien que toi et moi sans prof, sans élèves sans rien. » J'esquisse un rapide sourire avant de blottir mon corps contre le sien. Après tous on trouverait une solution un jour ou l'autre. « Puis nos parents finiront bien par accepter qu'on soit ensemble non ? » Après tous, on ne pourrait pas éternellement se cacher et je me vois pas retourner dans cette idée de dire oui à tout ce que ma famille peut dire au sujet de Max. Face à ça je me sentais un peu désemparer, j'étais une très mauvaise menteuse et je n'avais pas non plus envie de mentir à ma famille, je ne voulais pas non plus faire une croix sur Max juste parce qu'ils pensent que ce n'est pas bon pour moi... Pour une nuit dans le mois je pouvais bien faire une exception ! Je lui fais plein de petits bisous sur le torse avant de redresser. « C'est toi qui disait de profiter, alors arrête de bouder et profitons ! » Je lui tire la langue, et je viens nicher ma tête dans son cou y déposant des baisers, je descends au niveau de son torse tout en semant des baiser. « Hihi, maintenant c’est moi qui suis dessus, je vais pouvoir te faire plein de bisous tout partout partout ! »

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Loup ou pas, il restait un homme et soumis à une forte tension... Bon il disait qu'il était pas sûr de se contenir si je continuais à l'embrasser comme ça. J'étais joueuse alors, on allait jouer. Je sens ses mains dans mon dos, jouer avec la bretelle du soutient-gorge. Il se relève un peu happant mes lèvres, passe ma mon cou, puis il se rallonge et je me laisse attirer sur lui. Il parle de mes frères, espérant qu'aucun ne débarque, je jette un rapide coup d’œil à mon réveil. « On a le temps ! » Ses mains descendent pour venir jouer avec mon short, me demandant si j'avais pas mal à la jambe. « Ça va. Et puis là, c'est le cadet de mes soucis ! » Je souris avant de plaquer tout mon corps contre le sien, je l'embrasse à nouveau. S'il pensait que c'était le seul à devoir plus ou moins se contrôler il se trompait ! Mais en tant que loup, la tension devait être juste horrible, mais ça m'amusait. Je voulais savoir jusqu'où ça nous mènerait, et puis comme il disait que tout était de ma faute, j'allais lui donner une raison valable ! Je descend encore dans son cou puis sur son torse, puis je remonte dévorant tout son cou, et je finis par m'attarder sur ses lèvres, mon pied gauche vient glisser contre sa jambe droite. Puis rompant le baiser je viens dire contre ses lèvres « Et si tu arrêtes d'avoir le contrôle, il se passe quoi ? » J'étais vraiment curieuse de savoir dans quel état je pouvais bien mettre Max, il fallait le reconnaître que s'était toujours plaisant de savoir qu'on fait de l'effet à un garçon... Je n'étais pas du genre à vouloir faire tomber tous les garçons de mon entourage, savoir que je faisais craquer Max s'était suffisant à mes yeux. « Crois pas que t'es le seul à prendre sur toi... » Beh oui, pas besoin d'être lycan pour devoir contrôler ses pulsions dans ce genre de situation, après tous l'homme étai un animal lui aussi...

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Il baisse l'une bretelle de mon soutif, avouant que s'il se laisser aller, il voudrait simplement dévorer mon corps tout entier de baisers. Je me mords la lèvres inférieur, au moins s'était dit, mais tellement joliment dit ! Il fait glisser la seconde bretelle, avant de me retourner la question. J'avais pas pensé à ça, je sens ses mains une nouvelle fois glisser dans mon dos pour jouer avec l’élastique du short, et je prends quand même le temps de réfléchir avant de donner une réponse. « Je sais pas trop... Mais je crois pas qu'on serait en train de parler actuellement. » Je sens mon corps bouillonnait, je n'étais pas du genre à avoir beaucoup de petits copains, d'ailleurs Max était mon premier vrai petit copain. Je savais pas vraiment dans quoi je m'engageais mais ça ne me faisait pas peur. On peut penser que c'était bête qu'on gâchait tout mais quand on a confiance. Petite j'avais rêvé de ces histoires platoniques ou le garçon prend le temps de séduire la fille en tout bien tout honneur, où il se contentait de l'embrasser sur le pas de sa porte, où les parents s'extasient de voir un jeune homme si polie. C'était tellement loin de la réalité ! Maintenant je n'avais plus envie de ça, je voulais connaître l'amour le vrai, pas celui qu'on nous vend dans tous ces films. Alors, je retourne l'embrasser, jouant avec ses lèvres, les quittant parfois pour embrasser son cou. Je laisse glisser mes doigts le long de torse, du bout des doigts je viens caresser ses côtes. Puis finalement je décide d'inverser les positions, je fais attention à ma jambe invalide, j'attire Max encore moi, mes mains se perdent dans ses cheveux et entre deux baisers j'arrive à dire péniblement. « Et... et si on se laisse aller tous... tous les deux... » À peine je termine ma phrase que mon intention se reporte sur ses lèvres. Je sens mon cœur qui s'emballe et je crois bien que je dois avoir la chaleur corporel de Max en état normal...

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Je sais pas trop quoi penser, quoi dire, quoi faire. Devais-je seulement agir ? Peut-être que ça va trop vite, je n'en sais trop rien à vrai dire... Je sens tout un tas de bisous qui descendent le long de mon corps, je ne peux m’empêcher de frissonner. Max finit par retirer mon short, il fait même attention au plâtre, c'est fou comme il peut rester attentionnée même dans cette situation. Je me mords la lèvre inférieur et je viens à me demander quel est le dernier homme à m'avoir aussi peu habillé, mes frères ? Mon père ? Puis je repense à quand j'avais retirer son tee shirt, il s'était empressé de retirer le mien, expliquant que je ne devais pas être la seule à profiter. Alors je sourie, et je rapproche mes lèvres des siennes sans pour autant l'embrasser, je fais glisser mes mains contre son torse jusqu'à arriver qu'au bouton de son jean que défait, en même temps je viens dire doucement. « Je vois pas pourquoi je serais la seule à être en sous vêtement... » J'embrasse son cou, son torse, m'attardant au niveau de ses abdos, je l'aide à retirer son pantalon, et je reviens contre ses lèvres, l'attirant sur moi. « Égalité... » On avait beau dire ce qu'on voulait, comme quoi on savait se contrôler, au bout d'un moment, on laisse son corps aller. Alors oui, c'était peut-être rapide, précipité, mais quand on sait ce qui nous entoure, on n'a pas vraiment envie de perdre du temps. Je fais glisser mes mains dans son dos, et je repense à sa question. « Et toi... T'es sûr ? » Après tous lui aussi pouvait douter, il n'avait peut-être pas envie de ça, pas maintenant. Ce n'était pas parce qu'il s'agit d'un garçon, qui plus est, est un lycan qu'il voulait sauter sur la première venue, enfin je ne l'espérais vraiment pas...

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Je sentais mon corps brûler sous tous les baisers que Max me faisait, finissant par dégrafer mon soutien gorge, il vient à dire qu'on était maintenant à égalité. Certes, mais s'était injuste, nous les filles on choisissait pas d'avoir ce genre de truc en plus, mais sa réflexion me fait rire, je souris contre ses lèvres et je retourne l'embrasser. Puis, je sens son corps tout entier se plaquer contre moi, mais presque immédiatement il se relève commençant une phrase qui finit par un murmure. Il n'avait pas de préservatif... Mes yeux s'arrondissent, je me sens devenir écarlate. J'avais pas prévu ça, ni lui. Je fronce les sourcils, c'est vrai il était simplement venu en tant qu'ami rien de plus et de file en aiguille on s'était retrouvé dans cette situation. Je croise les bras sur ma poitrine avant de répondre « Je... euh... moi non plus... » Il n'était pas l'unique responsable, mais en y repensant, je crois que si un jour un de mes frères tombent sur un préservatif dans ma chambre, je suis bonne à passer un interrogatoire, encore plus dans mon état actuel. Mes frères, mes frères mes frères... eux ils en ont. Mais je pouvais pas me résoudre à leur en prendre un, c'était juste... « C'est peut-être pas plus mal. Je veux dire, on vient seulement de se mettre ensemble, on aura tout le temps pour... » Je préférais pas finir ma phrase, c'est vrai nous étions jeune, et on s'était peut-être, même sans aucun doute, laisser influencer par nos envies, la situation... Je récupère mon tee shirt, je l'enfile le temps de voir ce qu'on fait, si on fait quelque chose...

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