Sujet: « Live fast, have fun, die young. Cursed artists » Lun 25 Fév - 12:37
Live fast, have fun, die young. Cursed artists feat Daeron
Il fallait bien s'amuser de temps en temps non ? C'est ce que j'avais décidé de faire ce soir, j'avais déjà croisés mes élèves alors que je faisais les boutique, que je m'amusais au Mystic Grill, et sa avait dut le faire drôle. Le lendemain j'avais droit à certaines remarques, et je me chargeais bien de les remettre à leur place, j'étais pas leurs copine, j'étais leur professeur d'Art. Il y avait certaines exceptions, et quand je dis exceptions c'est pas des simples être humains, ou alors ils n'ont pas une vie des plus banales.
Ce soir, fallait que je bouge, avant que je devienne professeur d'Art ici, j'avais une vie débridée basée sur les fêtes, l'alcool, la drogue et le sexe. Maintenant je m'étais assagie mais j'en restais pas moins une joueuse et ce soir j'avais une irrésistible envie d'aller danser en boîte ! C'était décidé, j'avais jeté sur mon lit ma tenue de professeur, j'avais relâché mon chignon pour boucler les cheveux roux, sans oublier mon rouge à lèvre favoris : rouge sang. Niveau vestimentaire j'ai pas rigoler, une paire d'escarpins noirs avec une mini jupe courte très décolletée. Si je me fais virer, je saurais pourquoi au moins. En arrivant, je me suis faufiler dans la boîte où la musique résonnait partout et bourdonnait comme des ondes. J'avais oublier cette sensation d’oppression, de monde à part, sa faisait du bien. Je me suis automatiquement dirigé vers le bar pour commander un verre et j'ai commencer à danser, en passant par les hommes comme avec les femmes, l'ancienne Elizabeth était toujours présente. Quand je sentais des mains trop baladeuse je me gênais pas à me reculer avant de disparaître complètement. Mais, j'ai vu quelqu'un, un homme qui me fixait un peut au loin, assis sur un fauteuil. Rien d'important je me suis dit. Puis il s'est lever et on a commencer à danser avec moi, on était plus ou moins coller serrer, vous allez pas me croire si je dis qu'il n'y avait pas de vulgarité, mais j'ai trouvé que c'était plus... Sensuelle. On a but quelques verres ensembles, j'avais mal entendu son nom, Damien, Ramon je sais plus un truc dans le genre. Après l'alcool a eu raison, on rigolais pour un rien et on est repartit, ensemble, chez lui.
J'avais mal à la tête, sa m'a fait un choc j'avais oublié à quel point c'était affreux d'avoir la gueule de bois. Pourtant dans mes souvenirs je m'y étais habitué. J'ai ajusté l'oreiller puis je me suis retourné, les yeux toujours fermé et je me suis rendu compte que ma main était posé sur un torse. J'ai de suite ouvert les yeux, sans faire attention à mon mal au crâne et je me suis retrouvé face à un homme, j'ai pas fais attention si il était habillé ou non j'ai surtout fait attention que moi j'étais à moitié nu. Je me suis soudainement levé en jurant et j'ai attrapé une chemise d'homme pour me cacher la poitrine. En voyant l'activité autour de lui il s'est réveillé, les cheveux en pagaille et... A moitié surpris ! Il s'est levé et j'ai de suite détourné les yeux en voyant le spectacle certes alléchant mais très gênant qui se déroulait devant moi. Toujours en essayant d'éviter de regarder plus bas j'ai regarder son visage, il avait une expression amusé sur le visage, moi je savais bien que je restais incrédule. « Tu peux te rhabiller s'il te plaît ? » lui ai je lancer. Il a alors enfiler un simple jean, rien d'autre. « Pitié dîtes moi qu'il s'est rien passer... » Pour une connerie, j'en avais fait une belle...
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Sujet: Re: « Live fast, have fun, die young. Cursed artists » Mar 26 Fév - 12:08
Cursed artists
(verlaine) ▽ Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville, Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ?
Les lumières des stroboscopes lui donnaient le tournis, comme à son habitude, comme chaque soir il était complètement défoncé et ne savait pas vraiment où se trouvait sa gauche et sa droite. Marcher droit dans son état s'avérait être un véritable miracle, alors valait-il mieux qu'il reste là, assis dans ce fauteuil merdique dans cette salle bien trop éclairée à son goût. De toute façon mis à part se foutre plus minable qu'il ne l'était déjà, il ne pouvait franchement pas faire grand-chose. Ah si ! Fixer les gens, chose qu'il ne faisait pas d'ordinaire, fuyant à tout pris le regard méprisant de ces drôles de personnages. Il s'arrêta malgré lui, sur une jolie rouquine, habillée... sacrément court. « Ça c'est de la salope, regarde moi ce petit cul Daeron !» Il essaya de détourner le regard, mais le mal était fait, la jeune femme l'avait remarqué et le voilà maintenant debout à marcher vers elle, ou plutôt à tituber vers elle.
Comment arrivait-il à danser de cette manière alors que faire le moindre petit pas lui semblait une véritable agonie ? Aucune idée, mais il y arrivait, et plutôt bien en plus. « Véritable ballerine la minette, continue comme ça et tu finiras danseuse étoile mon poulet ! » lança son père sur le même ton agressif et nonchalant que quelques minutes auparavant. Il avait beau mugir de toute sa voix, ce soir c'était à peine si Daeron l'entendait. Les lumières, la musique, les tintements de verres, l'alcool, les rires, les pleurs, la drogue et cette fille étrange devant lui, putain mais quel bordel dans sa tête, un vrai foutoir ! Tout était confus, les sons, les gestes, les voix et puis les verres qui s'enchaînaient l'un après l'autre et encore et toujours cette femme, cette rousse avec laquelle il se dandinait au milieu de la piste de danse...
C'est le craquement du planché qui le réveilla et quelle surprise eut-il lorsqu'il ouvrit les yeux, la rousse de l'autre soir, enfin plutôt de la veille, se tenait là, devant son armoire. Daeron passa ses mains sur ses yeux encore à moitié ouverts, réfléchissant tant bien que mal à la situation. Critique fut le premier mot qui lui vint à l'esprit, et sans plus réfléchir il se leva attrapa un jean et l'enfila par-dessus son calbut'. « Pourquoi tu souris bougre de crétin ? » ce n'était pas la voix de son père cette fois, mais bien une voix féminine, celle que l'on pourrait appeler "voix de la raison", celle qui n'a jamais tort. C'est vrai pourquoi souriait-il ? La situation était assez délicate et la seule chose qu'il arrivait à faire était un sourire pitoyable ? A croire qu'il n'aurai jamais les réactions d'une personne dites normale. Il se laissa retomber sur le lit en position assise, attrapa un t-shirt posé sur le sol et se laissa tomber sur le lit, les yeux rivés sur le plafond. La question de la demoiselle, bien sûr qu'il l'avait entendu, mais malheureusement il n'avait aucune réponse à y apporter... Il préféra donc laisser le silence parler de lui-même.
Sujet: Re: « Live fast, have fun, die young. Cursed artists » Mar 26 Fév - 13:04
Live fast, have fun, die young. Cursed artists feat Daeron
Dérangé. C'est le premier mot qui m'est venue à l'esprit alors que je le regardais, ayant touché plusieurs fois aux produits illicites, il m'a pas fallut longtemps pour combattre qu'il planait. J'ai regardé autour de moi, une chambre chaotique avec des habits qui traînaient partout. Je me suis mis à nous imaginer, rentrant de la boîte... Et j'ai tout de suite chasser cette idée de ma tête. La veille, l'ancienne Elizabeth avait beau avoir refait surface, j'avais changeai, j'étais quelqu'un de nouveau maintenant... C'est ce que je me dis.
Il s'est étendu sur son lit en regardant le plafond, j'ai haussé un sourcil avant de jeter la chemise qui me cachait, pour m'afficher en cherchant mon haut partout. « Et puis merde tu sera pas le premier mec qui me voit nue... » Je grognai à mesure que je cherchai mon chemisier. J'étais aussi quelqu'un de très désordonner, mais je n'aimais que mon désordre ! En poussant un short, j'ai enfin trouver ma chemise blanche que j'ai rapidement enfilé, j'ai attraper mes escarpins dont un talons était cassé et j'ai ramasser mon sac et je me suis diriger vers la sortie. Le reste de l'appartement était ordonné et assez moderne, avec d'immense photos sur toiles et des couleurs vives et jeunes. J'ai pas pris trop de temps, j'ai foncé vers la porte d'entrée et j'ai tourné la poignet. Fermer. J'ai soupiré un bon coup avant de tourner les talons (le talon est plus approprié) et me diriger vers la chambre. Je l'ai observé quelque secondes avant d'avoir un, choc disons. Alexandre, c'était le sosie d'Alexandre, des cheveux en bataille, une barbe mal rasé, un torse musclé... J'ai de suite relevé les yeux.
Alexandre était le premier (et dernier) homme que j'ai aimé, à San Francisco il y a des années de cela, mais notre édile n'a pas durer longtemps, il c'est fait tuer par les vampires.
Je le regardais, en remuant la bouche mais aucun mots ne sortaient. Je sentais que ma gorge était serrer et qu'il en aurait fallut peu pour que des flots de larmes coulent sur mes joues, les premiers flots de larmes depuis maintenant au moins 78 années. 78 années à me construire une carapace qui s’effrite finalement face à un homme. Il m'a fallut quelque secondes avant de me rendre compte qu'il me regardais aussi. « Tu, peux ouvrir la porte... » On continuais à se regarder fixement, sa tournais au ridicule maintenant. « Oh et puis merde, le lycée est fermé de toute façon. T'a pas quelque chose à boire ? »
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Sujet: Re: « Live fast, have fun, die young. Cursed artists » Mar 26 Fév - 23:02
Cursed artists
(paramore) ▽ We faded faster than the speed of light
Les yeux toujours rivés sur le plafond il ne détourna même pas le regard lorsque la jeune femme se trimbala à moitié nue dans la pièce, alors qu'avouons le, n'importe quel mec normalement constitué ne se serait pas gêné pour jeter un petit coup d’œil. Mais Daeron n'était pas de ce genre, il était plutôt du genre à respecter les femmes, chose qui d'ailleurs mettait en rogne son père au plus haut point.
Une fois la jeune fille habillée et sortie de la chambre, le jeune loup se redressa doucement, enfila le t-shirt encore posé sur son torse et commença à ramasser quelques affaires traînant, ici, et là. Alors qu'il s'apprêtait à attraper la chemise portée par la jolie rousse quelques minutes auparavant, il se retrouva face à elle, dans une position, qui pour lui était vraisemblablement ridicule. Mais ce moment se transforma rapidement en quelque chose de réellement déstabilisant, la jeune femme semblait... ailleurs et terriblement triste. Daeron s'approcha délicatement d'elle et la regarda plus intensément encore, essayant de lire en elle, comprendre le pourquoi de ce soudain changement. « Hey ça va ? » lui demanda-t-il à la limite du chuchotement.
« Oh et puis merde, le lycée est fermé de toute façon. T'as pas quelque chose à boire ? » Décidément cette fille était sacrément louche, enfin bon, elle n'avait sans doute pas envie d'en parler, et surtout avec un mec encore à moitié dans les vapes. « Ouais bien sûr » dit-il en s'avançant vers la cuisine. « Ah et euh, je sais que c'est ça fait mauvais genre mais, c'est quoi v... vot... ton nom ? » Oh, non, mais non, pourquoi avait-il dit ça ? Elle allait à tous les coups se foutre en rogne et le prendre pour le mec qui se tape tout ce qui bouge, et c'est une des choses qu'il ne voulait absolument pas. Bon... rester calme, il fallait rester calme, ne pas montrer ses faiblesses, attraper naturellement le whisk... non, non, le jus d'orange, le lait, le café, tout mais surtout pas le whisky... « Tu n'as plus qu'à te servir ! » dit-il en tentant de cacher son malaise derrière un petit sourire digne d'un gamin de cinq ans.
Sujet: Re: « Live fast, have fun, die young. Cursed artists » Mar 26 Fév - 23:50
Live fast, have fun, die young. Cursed artists feat Daeron
J'avais aussi oublier que j'avais le chic de me retrouver dans des situations toujours embarrassante, comme maintenant. Je me retrouve dans l'appartement d'un parfait inconnus qui est encore dans les vapeurs. Il me quitte ensuite pour chercher quelques bouteilles dans un placard et je le suis en regardant ses photographies, il avait du talent et ses œuvres exprimaient sa personne : sombre et torturé mais avec un charme et une délicatesse inouïe. Je sais, je sais c'est louche que je dise sa mais c'est la vérité. « Ah et euh, je sais que c'est ça fait mauvais genre mais, c'est quoi v... vot... ton nom ? » il avait finit sa phrase avec une expression gênée que j'avais pas manqué de voir, ce qui m'a même fait extirper un sourire amuser. « Tu n'as plus qu'à te servir ! » Je me suis avancer vers le bar pour attraper un verre et me servir un jus d'orange. Je suis ensuite lécher les lèvres pour plonger mes yeux dans les siens. Bleu. Un bleu intensément et fabuleusement profond et fatigué. « Je m’appelle Elizabeth, Elizabeth Lafay. » j'ai passer une mèche de mes cheveux roux en détournant le regard et en tentant de me souvenir de la soirée d'hier soir. Je me souviens qu'on a bien but et après c'est vraiment le trou noir... « Hum... Qu'est ce qui c'est passer hier soir ? » C'était une manière diplomate de dire « est ce qu'on a coucher ensemble ? » mais à voir son expression amuser, soit il ne c'était rien passer, soit il ne s'en souvenait plus non plus. Il faut avouer que la situation était très... Gênante. Il y avait un calme de mort, aucun de nous deux n'osait parler en premier, c'est finalement moi qui a entamer un nouveau sujet de discussion. « Tu es photographe ? » lui ai je demander en m'avançant vers une table où était éparpiller plusieurs photos. « Tu a du talent, j'ai fais des photos aussi, il y a quelques années... » Il y a quelques années en effet... C'était en 1929 si mes souvenirs sont bon, je m'amusais à prendre des scènes de la vie quotidienne en photos, les grandes rues de San Francisco, les buildings depuis d'autres fenêtre où depuis le bat. J'avais ensuite fait certaines pages d'un journal par rapport à mes prestations de chants au Vintage, le bar où je me produisais chaque samedis soirs. Je regardais un peut plus autour de moi, et mon regard c'est stoppé sur une photo en particulier. Ma gorge était serrer, j'ai tendu le bras et a regarder le cliché d'un regard sombre : c'était une photo de la maison des sorcières mortes.
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Sujet: Re: « Live fast, have fun, die young. Cursed artists » Mer 27 Fév - 13:05
Cursed artists
Elizabeth, Elizabeth Lafay... ça ne lui disait absolument rien, mais bon ce n'était pas étonnant, il ne connaissait pas grand monde ici, ou du moins ne se rappelait pas de chacun de leurs noms. Cette ville n'était pourtant pas très grande, cependant le nombre de personnes qui y vivaient lui semblait étonnamment grand. Mais on le sait, Daeron et les proportions... ça fait bien deux, ou même bien quatre ou cinq. Enfin qu'importe le nombre, cela n'arrangerai en aucun cas son cas ici. Il avait beau essayer de soutenir le regard de la jeune femme, il n'y parvint pas. Il n'y avait rien à faire, cette position le foutait incroyablement mal à l'aise, alors appelez ça de la faiblesse si vous le voulez, mais il détourna le regard, préférant regarder les trois bouteilles alignées sur le bar. « Hum... Qu'est ce qui c'est passer hier soir ? » Très bonne question, il n'en avait pas la moindre idée et bizarrement ça ne l'inquiétait pas plus que ça, limite il n'en avait rien à battre, malgré qu'il en restait tout de même gêné. Ouais c'est assez contradictoire, mais Daeron est une contradiction à lui tout seul, alors bon, rien d'étonnant. Il sourit malgré lui, tout en continuant d'écouter la jeune femme qui semblait vouloir combler les silences, sans lever les yeux des trois bouteilles encore posées devant lui.
« Tu es photographe ? » Elizabeth, se trouvait devant les nombreuses photos fraîchement développées et éparpillaient sur la table basse. « Il paraît oui » répondit-il en lançant un bref regard à la demoiselle. « Tu as du talent, j'ai fait des photos aussi, il y a quelques années... » Cette jeune femme était de plus en plus surprenante, il aurait voulu lui poser un tas de questions, mais il se retint,, préférant s'approcher doucement, lui aussi de la table basse, observant ses moindres faits et gestes. Elle leva les yeux, tombant nez à nez, avec cette photographie, celle de cet étrange endroit, où Daeron s'était retrouvé totalement par hasard. Lieu à la fois effrayant et passionnant par sa simplicité et son cadre extrêmement lugubre. « Tu connais cet endroit ? » demanda-t-il intéressé.
Sujet: Re: « Live fast, have fun, die young. Cursed artists » Mer 27 Fév - 23:56
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Si je connaissais ce lieu... Bien sûre que je le connaissais. Certains trouvent une seconde maison dans un restaurent quand ils se donnent rendez vous entre amis, parfois dans un lycée ou un collège pour cause les souvenirs, d'autres sur un forum où ils partagent des craintes, des secrets, des joies... Moi j'avais trouvé comme seconde maison une demeure victorienne qui avait était incendier aux alentours de 1864-1865. Une maison qui regroupait les âmes de plusieurs sorcières qui étaient de retour dans le but d'exterminer les vampires. Des sorcières dont j'avais rejoins les rangs. Et des sorcières dont l'identité se faisait de moins en moins secrète et voilà qu'un photographe prenait des clichés de cet endroit. J'avais le chic pour tirer le jackpot décidément. « C'est une vieille baraque qui appartient au patrimoine historique je crois. » j'avais reposé le cliché pour me retourner vers lui « Le truc super inutile que la commune souhaite protéger en pensant que les touristes iront visiter une vieille baraque qui tombe en ruine. Crois moi tu manque rien. » Il fallait absolument que l'identité des sorcières restent la plus discrète au maximum. Comme me l'avait avertit Ruth, on ne devait pas faire comme les Originaux, impliqué des innocents dans ce conflit. Maintenant j’espérais qu'il ne serai plus tenter de remettre les pieds là bas. Les autres sorcières ne serait pas stupides pour se montrer facilement, mais moins les humains étaient exposés au surnaturelle, mieux sa l'était. En plus, la ville regorgeait de créatures, mis à part eux qu'est ce qui a de plus surnaturelle qu'une maison qui sert de connexion entre le monde des humains et celui des esprits ? Là où s'est accumulés la rage et les pouvoirs d’innombrables sorcières ? « Et toi ? Je me souviens pas de ton nom. » Ce type était étrange, fallait l'avouer, il savait pas vraiment comment réagir face à moi, il avait pas l'air douer avec les femmes. A première vu rien ne pouvait le déranger : mignon, bel appartement, bon job. Et quand une personne est réglo au premier coup d’œil, c'est ce que l'on ne voit pas qui le gêne : le passé surtout. C'est ce qui me vient en premier. C'est fou comme les évènements passés ont tant d'importance sur notre présent et notre manière de voir l'avenir. On rabâche sans cesse le passé en se demandant si on ne commettra pas les mêmes erreurs, si on fait quelque chose de travers comme avant, qu'elle serait la suite des choses... C'est comme ça que j'avais marcher (le terme rouler est plus approprier) pendant des années. Maintenant sa commençait à changer. Son prénom était original, mais pas comme les prénoms originaux qui vous foutent la honte, il avait un côté... Charismatique je trouve. Je m'en souviendrai sa c'est sûre. « Bon, est bien je vais pas te déranger plus longtemps alors, Daeron. » je lui avait dit sa en lui adressant un petit sourire et en haussant les épaules. Restait plus qu'à ce qu'il comprenne qu'il devait m'ouvrir la porte.
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Sujet: Re: « Live fast, have fun, die young. Cursed artists » Ven 1 Mar - 23:29
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Une vieille battisse qui tombe en ruine et qui plus est protégée par la ville... Il n'en fallait pas plus pour piquer au vif la curiosité du jeune homme. Malgré le peu d'intérêt que semblait porté la jeune femme à cette vielle baraque, Daeron lui au contraire y voyait une véritable source d'inspiration. Quoi de mieux qu'une vieille maison, dont certaines personnes alimentaient la réputation par de soi-disant histoire de fantômes ? Une chose était certaine il y retournerait et avec la ferme intention cette fois-ci de pénétrer à l'intérieur et d'y photographier tout ce qui pourrait s'y trouver.
« Et toi ? Je me souviens pas de ton nom. » Daeron soupira intérieurement et fut soulagé, il n'était finalement pas le seul à avoir la mémoire qui flanche. « Elw.. Daeron ! » Cela ne servait à rien de partir sur ce chemin, son prénom était Daeron qu'il le veuille ou non, alors à quoi bon vouloir le changer ? Certes c'était son père qui le lui avait donné, mais cela ne restait qu'un prénom et un prénom ce n'est rien. Le regard de la jeune femme commençait sérieusement à le foutre mal à l'aise, elle le regardait d'une telle façon que cela en devenait carrément perturbant. Il n'osait même plus bouger se sentant constamment observer. « Bon, est bien je vais pas te déranger plus longtemps alors, Daeron. » Il resta quelques secondes face à elle avant de comprendre qu'il fallait qu'il bouge. Il attrapa les clefs posées sur le meuble à côté de l'entrée et ouvrit la porte. « Saches que tu ne me déranges pas... Et puis appelle moi Elwë ! » En fait malgré les apparences, il aurait aimé que la jeune rousse reste plus longtemps, elle n'était pas désagréable et même plutôt sympathique.
Sujet: Re: « Live fast, have fun, die young. Cursed artists » Sam 2 Mar - 0:58
Live fast, have fun, die young. Cursed artists feat Daeron
J'étais prés de la porte et je m'apprêtais à tourner la poignet. « Saches que tu ne me déranges pas... Et puis appelle moi Elwë ! » Elwë, drôle de nom. Le nom qui colle aux gamers adeptes du seigneurs des anneaux qui cherchent à cheater leurs jeux sur des forums. Mais pourquoi pas. Je me suis un peut plus avancé dans le couloirs et j'ai finit par me retourner vers lui. « Écoute, euh... si tu veux on peut se revoir, cet aprem' je serais peut être au Mystic Grill, si tu en a l'occasion... Oh enfin bref, désolé. Merci pour le verre, Elwë, à plus si jamais. » J'ai immédiatement marcher dans le couloirs en me mordant les lèvres, c'est moi avait eu l'air stupide cette fois ci, comme une gamine qui cherchent à avoir son premier rendez vous. J'ai entendu la porte de son appartement se refermer, pendant que je repartais chez moi.
Dès que je suis arrivée sous mon porche, le vieille commère qui passe ses journées à attendre le facteur pour discuter des derniers ragots n'a pas arrêter de me fixer, qu'est ce qu'elle allait dire sur moi cette vieille femme « Ce matin j'ai surpris cette jeune femme rentrer chez elle en tenue très légère, un talon en moins et une démarche tout aussi vagabonde. Si si je vous jure ! » Pendant que je me battais avec mon sac à main pour trouver mes clés, en essayant d'afficher un petit sourire, elle gardait toujours cette même expression de... de vieille commère, il y a pas d'autres mots. J'ai enfin arracher les clés de mon sac et je les ai rentrés dans ma serrure. Dernier coup d’œil à ma voisine. L'autruche guettait toujours. « Tu m'a jamais vue vieille sorcière ? » c'était très ironique, je devais être plus vieille qu'elle je pense. Je suis rentré chez moi, sous son regard choqué. Directement j'ai arracher mes escarpins qui me donnait un mal aux talons pas possible pour les jeter sur le bas de la porte, j'ai posé mon sac à main sur un petit meuble et je suis aller me prendre une bonne douche. C'est fou comme sa faisait du bien, cette eau chaude qui ruisselle sur votre peaux en provoquant des frissons. Sa m'avait aussi remit les idées en place, j'en avais bien besoin. Dès que je suis sortit, je me suis transformé en une autre femme, j'avais une image qui a casser le style que j'avais d'habitude : j'ai vulgairement attaché mes cheveux avec une barrette, je portais un t-shirt trop grand et un short gris fade, sans oublier mes chaussons en forme de tête de panda. Je me suis jeté comme pas possible sur mon lit en regardant le plafond, sans rien penser. Pas un bruit, que moi, l'horloge qui tournait et ma chatte -Jade- qui m'a rejoint sur le lit. Je me demande comment je fais pour vivre seule dans une maison pareille. J'étais sûre que j'allais finir vieille fille avec plusieurs chats, que les gens de mon quartier me croiront folles et me nommeront « la sorcière aux chats » et que je finirais comme cette vielle bique à côté de chez moi à faire la chasse aux commérages. Daeron, Elwë. Il est arrivée d'un coup dans ma tête. Ses joues mal rasé et ses cheveux en bataille. Pourquoi je pensais à lui comme ça moi maintenant ? Quoi qu'il en soit, je me retrouvais face à un dilemme : j'avais invité ce gars au Mystic Grill, et j'avais même pas la certitude qu'il vienne... Ou que j'y aille. Midi et des poussières. J'ai fait chauffer un plat de lasagne et j'ai mangé devant les Simpson. En jetant toujours des coups d’œil à l'horloge. W9 commençait à lancer le générique de Charmed, j'y vais ou j'y vais pas. Quelle idiote j'étais. Alors que je regardais Phoebe (celle qui me ressemble le plus) combattre un démon, j'ai bondit de mon canapé pour foncer dans ma chambre, j'ai enfilé des bottes en cuir noires, un jean de la même couleurs, j'ai enfilé un autre t-shirt (blanc et déchiré, trop court qui s'arrêtait au dessus de mon nombril pour renfiler par dessus une fine chemise noire transparente. J'ai laissé mes cheveux en bataille en donnant un simple coup de peigne. J'étais passé du look vintage à punk. Je suis ressortit chez moi, j'ai marché sur le trottoir et devinez qui me regardai derrière ses rideaux ? Oui, exactement.
Je suis arrivée au Mystic Grill, j'ai vu plusieurs de mes élèves me regarder avec un sourire de coins, j'ai croisé mes bras pour cacher la partie dénudée de mon corps. J'ai balayer la pièce d'un rapide coup d’œil avant d’apercevoir de dos Elwë. Je me suis approché de lui, juste derrière lui en me penchant un peut. « Je pensais pas que tu viendrai. » en se retournant, il avait tout aussi surpris que moi. J'ai pris place devant lui en lui souriant... Bêtement oui. « Bon, voilà sa fait longtemps qu'on c'est pas vu dit donc. »
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Sujet: Re: « Live fast, have fun, die young. Cursed artists »
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