Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Sam 7 Juin - 17:38
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La puberté avait vraiment fait des miracles à mon sujet, j'ai la même bouille sauf que je fais moins victime rachitique, puis je ne porte plus des lunettes rondes d'intello et j'ai eu la chance de ne jamais avoir d'appareil dentaire. Elle proteste le temps d'arriver sur mon épaule, comme si cela allait changer quelque chose. Je n'ai pas parlé de moi pour qu'elle me parle d'elle, je ne pense pas que la vie c'est donnant donnant, on donne pour donner, parce qu'on a envie, parce qu'on en a besoin. Mais Hope, donne a son tour, j'aime savoir des choses sur elle, mais je ne veux pas la forcer à parler, parce que c'est sa vie et c'est son droit de ne pas tout dire. Les sens ont ainsi un rôle très important pour elle. Je peux bien le concevoir, quand un sens nous manque on doit se reposer sur les autres, un peu comme quand on se casse quelque chose, on compense avec l'autre côté. Le toucher est super important et je sens au même moment ses doigts glisser dans mon cou, procurant des frissons sur leur passage. Puis le goût, c'est pour ça qu'elle a besoin de bisous. « En faite, tu ne m'embrasses pas mais me mange. Ça explique la chantilly. » La première fois que Hope avait touché mon corps de façon tendancieuse c'était après un pari-stupide mais génial- lécher de la chantilly sur le corps de l'autre. Elle a perdu, j'ai gagné.
Elle mentionne le première robe qu'elle a vraiment mise : celle du dîner de famille. « Elle t'allait très bien cette robe ! » Hope n'était pas le fille la plus girly du monde, mais ça me dérangeait pas, j'étais pas non plus le gars le plus masculins du monde, j'ai des tee shirt imprimés à effigie de mes jeux et films préférés, des phrases à la con et je hais les costume et les chemises : ça me gratte. Mais, quand je l'ai vu en robe pour la première fois, ça m'avait marqué, elle était magnifique comme à son habitude mais c'était différent. Je m'approche du canapé pour la laisser tomber dessus -pas super délicatement.- « T'as jamais pris ta revanche à notre premier défi chantilly. » Je ne fais aucune allusion, c'est une simple affirmation, elle m'avait fait danser, je la vois bien débarque avec la chantilly. Quoi que la dernière fois elle avait fini dans la baignoire, encore une de mes idées de génie. Je laisse sur le canapé alors que je me dirige dans la cuisine : j'ai faim. Je fouille dans un placard, brioche, nutella. Je mets le tout sur un plateau. Je retire mon tee shirt car je me tâche toujours quand je mange du nutella et je le jette sur Hope. « Tiens je mets en pratique ta nouvelle loi ! » Je crois que je commence à développer un penchant naturiste quand je suis en contact avec Hope.
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Sam 7 Juin - 18:27
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Hold on,What’s the rush, What’s the rush We’re, not done away Cause I don’t need to change this, Atmosphere we’ve made if you can stay one more hour, Can you stay one more hour ? You know I’m gonna find a way to let you have your way with me You know I’m gonna find a time to catch your hand and make you stay Hold on, I’ll be here when it’s All done you know Cause what’s the point in chasing If I cant enjoy your face and We cant be wrong tonight, Can we be wrong tonight ?
Outrée, enfin j'étais surprise de sa remarque que je trouvais totalement fausse. Je ne mangeais pas Andy, non je n'étais pas accro à ce point. Il ne voyait pas mon visage, ouvrant grand la bouche pour finalement la refermer aussitôt. Il avait raison en fait, je préférais donc me taire. Il avait raison, avant même de sortir avec lui j'avais fini à califourchon sur lui en lui léchant le torse. Vraiment, hors contexte c'était bizarre. Même en le replaçant dans son contexte c'était étrange, je crois que tout le monde me prenait pour allumeuse, je devais réellement passer pour une nana complètement tarée. Tout le monde pensait que j'allais finir asexuée lorsque j'étais jeune, finalement j'avais plutôt bien réussie à ce niveau là. C'était vraiment suspect comme début de relation, je crois que si je racontais ça, tout le monde dirait qu'il foulait me baiser et que je voulais le baiser aussi. C'était triste, mais pour moi c'était pas méchant, c'était simplement un pari que je pensais sincèrement gagner. Je croyais en la chance du débat, en tout cas c'était plutôt foireux de croire que je pouvais gagner face à un geek. Mon talent caché n'était certainement pas d'être miss jeux vidéos, c'était dommage, j'étais certaine que je serais sexy en t-shirt et en jogging devant un mario kart, pas grave, je jouerais les surpporters pour Andy. Sérieusement, jouer les pompom girl, ça n'arrivera jamais. Je préférais me prendre une branler plutôt que de regarder bêtement sans rien dire ou en hurlant des phrases connes. « Exactement, j'aime rajouter de la chantilly pour le côté dessert et sucré. » J'adorais la chantilly en plus, c'était un truc de gosse, pourtant je m'en lassais pas, je serais capable de me battre avec Nillem simplement pour finir le tube, c'était bête dit comme ça.
La remarque sur le robe me fit rougir – heureusement il le voyait pas – tout simplement parce que je n'avais pas l'habitude de bien m'habiller. Je préférais les vêtements confortables, les chaussures agréables et j'adorais me promener juste avec un t-shirt pour éviter de devoir supporter un jeans collé à ma peau comme un collant. Je préférais rien dire cette fois, car lui aussi était très beau, j'avais pas l'habitude de le voir aussi bien habillé, je le préférais sans son t-shirt, forever. C'était bête dit comme ça, mais moi je pouvais me trimbaler comme ça dans ma baraque autant que je voulais. Franchement si j'avais un soutient gorge c'était uniquement pour la forme, sinon je serais en t-shirt avec un short. Le fait que je sorte d'un rhume à la con était aussi un facteur majeur, mais ça je m'en remettais. Il me déposa alors sans la moindre délicatesse en me balançant en plus que je n'avais pas eu l'occasion de prendre ma revanche. Il se foutait de moi ? Il m'invitait clairement à l'attaquer à coup de chantilly. « Il s'agit d'une proposition camou- » Avant que je puisse terminer ma phrase, son t-shirt arriva en plein sur ma face. «-flée... » Je sentais l'odeur d'Andrew sur le t-shirt, rapprochant mes jambes de mon corps et posant ma tête sur le canapé toujours avec cette dernière sous son haut. Je n'allais pas craquer, je n'allais pas le regarder torse-nu sur mon canapé, nan j'allais devoir m'enivrer de son odeur en ayant la frustration qu'il était presque nu à côté de moi. Toujours en ayant la tête sous son t-shirt j'ai décidée de prendre la parole en entendant ses pas se rapprocher. « Toi, presque-nu dans mon salon c'est la chose la plus dangereuse au monde. » M'enfermant encore plus dans son t-shirt, dans l'espoir de pas lui sauter dessus. L'envie de lui balancer mon soutient-gorge était tellement tentante. Je savais qu'à l'instant même ou il poserait son cul sur mon canapé, j'allais craquer et lui sauter dessus. Il le faisait volontairement, j'en étais sûre, c'était comme un test, au pire j'allais faire la même chose, on verrait qui craquerait le premier.
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Sam 7 Juin - 19:51
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Je la provoque pas, quoi que un peu quand même, en même temps elle avait décrété qu'il fallait que je me promène torse nu, voilà je l'écoutais. Elle n'allais pas se plaindre si ? Mon tee shirt sur son visage, je la vois s'enfoncer un peu plus dans le canapé, le visage toujours bien couvert. Je pousse à sa remarque. Dangereux ? Je ne vois pas où est le danger. « Quoi, tu oserais m'attaquer alors qu'il y a un enfant chez toi ? Tu me surprendras toujours ! » Le ton est faussement outré, j'attends rien de spéciale, je veux l'embêter parce que ça me change les idées parce que penser à la mort c'est déprimant alors que c'est une chose tout à fait naturel. Bref ! Je me laisse tomber dans le canapé, je m'installe en tailleur, le plateau posé entre mes genoux. Je prends une première tranche de brioche, la tartine de chocolat et commence à la manger. La bouche pleine, je tourne visage vers Hope, toujours camouflée dans mon tee shirt. « Si ça te gêne autant je peux toujours le remettre tu sais. » Quelle classe absolue de parler la bouche pleine ! Je finis ma tartine avant de reprendre. « En plus tu ne peux même pas profiter de ta superbe brioche et du nutella ! » Je suis mesquin, ouais je sais, on a un côté un peu démoniaque dans la famille, je crois que ça vient de mon père, quoi que ma mère a toujours su se montrer très... persuasive. J'avale une seconde tranche et dépose le plateau au sol sur ma droite histoire que je ne le piétine pas quand je vais me relever si jamais je me relève.
Je penche sur Hope, toujours installé dans le canapé pour récupérer mon tee shirt. Je pense pas qu'elle le cède si facilement, tant pis, au pire je force un peu pour le reprendre. Puis je l'enfile, j'ai subitement chaud, car il fait toujours super chaud chez elle. C'est vrai j'arrive à me promener constamment en caleçon sans avoir froid. Du coup de passer de torse nu à re en tee shirt ça fait bizarre. « C'était pourtant ton idée que je sois torse nu pas la mienne ! » Je vais pas dire que ça me dérange non plus, mais chez un mec c'est plus naturel je trouve, on est tout le temps torse nu, quand on dort, quand on a chaud, à la plage, à la piscine alors que dès qu'il y a une fille topless tout le monde bave devant, je trouve ça ridicule mais bon... À croire que certaines personnes ne peuvent pas réprimer leurs instincts primaires. Bon finalement, je décide de retirer encore mon haut mais à défaut de le lancer sur Hope, il valse à l'autre bout du salon. Il n'y pas de raison pour qu'elle se cache sous mon haut pour le restant de la soirée. Je lui adresse un sourire triomphant avant d'embrasse très rapidement ses lèvres pour revenir à ma position initiale, soit en tailleur et le plateau sur les genoux. « T'as faim ? »
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Sam 7 Juin - 20:18
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Hold on,What’s the rush, What’s the rush We’re, not done away Cause I don’t need to change this, Atmosphere we’ve made if you can stay one more hour, Can you stay one more hour ? You know I’m gonna find a way to let you have your way with me You know I’m gonna find a time to catch your hand and make you stay Hold on, I’ll be here when it’s All done you know Cause what’s the point in chasing If I cant enjoy your face and We cant be wrong tonight, Can we be wrong tonight ?
J'adorais le voir se trimbaler en torse-nu dans mon appartement, puis bientôt j'allais quitter cette appartement pour vivre avec lui et Nillem... C'était peut-être l'une des dernières fois qu'il pouvait faire ça librement... Bordel j'étais une vulgaire perverse qui voulait trouver une raison logique pour sauter sur son copain, mais je n'avais pas besoin d'une raison logique. C'était mon copain, je voulais lui sauter dessus autant que je voulais et sans avoir besoin d'une seule raison, si je voulais le violer dans un ascenseur, j'en avais le droit autant que dans la réserve d'une librairie. Je voulais pas lui sauter dessus, je voulais résister et si la solution était de me cacher sous son t-shirt et de me retrouver frustrée comme une gamine, j'allais faire avec et oublier qu'il était nu, et que moi j'avais envie de lui sauter dessus. Facile, non ? Absolument pas. La remarque sur la brioche me fit doucement rire. « J'aimerais profiter d'une tablette de chocolat, moi... » Ces mots étaient pour moi et personne d'autre. Je pensais bien évidemment pas du chocolat à l'état pur, je pensais plutôt au torse d'Andy que j'arrivais à visualiser sans difficulté, étrange encore une fois. Je crois que je commençais à connaître son corps parfait.
NANNN ! Il commença à vouloir récupérer son t-shirt, je suis parfaitement incapable d'accepter qu'il m'enlève la seule chose qui me séparait de son corps, c'était ça ma protection anti-jevaistesauterdessus. Je me voyais mal résister longtemps. Finalement une fois qu'il attrapa son t-shirt, j'affichais un sourire innocent, puis finalement il renfila ce dernier. J'étais contente : je n'avais pas été la plus faible ce soir, pour une fois j'avais été suffisamment forte pour ne pas lui céder, enfin non, céder à mes pulsions, en soit il n'avait rien fait de mal. « Certes, mais cette idée entraînait des risques pour laisser échapper mes pulsions. » J'étais franche, malheureusement au même moment il retira son t-shirt de nouveau, le balançant loin, loin, loin comme s'il volait. Je suivis le t-shirt du regard, c'était comme une scène au ralentit. J'ai alors observée le -shirt s'échouer sur le sol. Je détournais finalement mon regard vers Andy, il en avait fait exprès, c'était évident ! Je voyais lui, avec sa brioche – la bouffe pas son ventre – et son nutella. J'affichais un sourire radieux lorsqu'il me proposa de manger, il jouait avec mes nerfs. Soit, il voulait jouer. Haussant les épaules et commençant à retirer mon haut à mon tour. Prenant alors la parole lorsque je retirais ce dernier. « Je crois que je vais m'en passer, je vais te laisser profiter de ta brioche. » Prenant le temps de la réflexion, enfin mimant une réflexion. « Je suis pour l'égalité homme-femme, donc j'en profite. » Pour un mec, se promener torse nu c'était normal, pour une fille se promener avec rien sur les jambes pouvait aussi paraître normal, j'avais décidée de changer ça ce soir. J'avais envie de craquer, terriblement.
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Sam 7 Juin - 21:01
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Émotionnellement instable. Ça décrit parfaitement la situation quand on sait qu'il y a quelques minutes j'avais encore les yeux rougis par les larmes versées précédemment. Oui, je change vite d'avis, oui je gère mal mes sentiments trop intense, oui mon frère est mort, oui je suis torse nu chez ma copine en train de la taquiner. Mais tout ça ne me gêne pas car j'ai toujours vécu de cette façon, je sais que je surmonte le deuil bizarrement, je sais aussi que mon frère me manquera, que je ne serais jamais habitué à son absence, que j'aurais préféré que ma vie reste comme elle était avant, mais je dois vivre avec ça. Je veux pas changer Hope ni notre relation je les aime comme elles sont. Puis sans vraiment que je m'en rende compte c'est le haut de Hope qui vire, affirmant au passage qu'elle me laisse la brioche pour moi. Je la regarde, faussement choqué. « Tu n'as pas honte ? Et si Nillem descend, ce petit a déjà vu des hommes torse nu alors que des femmes... » Oui c'est petit, mais pour l'instant je n'ai rien d'autre sous la main alors Nillem reste mon argument principal puis il est plutôt légitime non ? Je suis horrible terriblement horrible, un trop plein de testostérone dans le corps. Son argument à elle c'est légalité homme/femme, je hoche doucement et positivement la tête. Elle me testait, elle est horrible. Je dois tenir bon car je vais pas craquer aussi facilement devant elle en soutif non ? Si ? Bon ok peut-être. J'inspire profondément, j’expire, je dépose le plateau à mes pieds une seconde fois « Tu n'oserais quand même pas avec Nillem ? » Je suis mi inquiet mi je sais pas quoi, c'est parce qu'on a Nillem qu'on va devoir se restreindre si ? Après tout mes parents ont bien fait trois enfants et... penser à la vie sexuelle de mes parents est vraiment la pire chose que je puisse faire.
« C'est pas que ça me dérange mais il y a le petit dans ta chambre, je pense que ça serait assez traumatisant pour lui. » C'est pas comme s'il avait déjà assez vécu de choses traumatisantes dans sa vie hein. Je suis quand même assez pudique malgré tout. Puis pauvre gosse, dans quelle famille bizarre il venait encore de tomber. Je m'approche un peu plus du visage du visage de Hope mon poignet droit en appuie contre les coussins afin de ne pas littéralement lui tomber dessus. « Alors, une solution ? »
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Sam 7 Juin - 21:31
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Je n'avais pas honte, j'avais honte de rien et certainement pas honte de me promener sans haut dans mon propre appartement. C'était un argument en carton, trouvé en vitesse, c'était tout aussi ridicule que moi en train de me cacher sous son t-shirt pour éviter de baver devant son torse. Je n'étais pas pudique, Andy le savait et malheureusement j'allais devoir changer ça lorsqu'on allait vivre tous les deux. De toute manière, sauf si Nillem choisissait de devenir gay, il allait forcément voir le corps d'une femme tôt ou tard, alors j'étais comme un début, je pouvais l'aider à se préparer à ce qu'il allait découvrir plus tard. Pour ma part, j'avais jamais croisée un torse masculin à cause de mon handicape, je n'en n'étais pas morte, je supposais que dans le sens inverse cela marchait aussi. Il ne serait pas en retard, mais il serait prématuré. Moi j'étais plutôt fière de moi, il voyait à quel point cela pouvait être perturbant de voir son partenaire à moitié nu sans pour autant avoir le possibilité de lui sauter dessus. « Tu sais tôt ou tard il découvrira le corps féminin... » C'était mon deuxième argument merdique du soir, mais je n'avais pas mieux pour le moment et ma réflexion était perturbée par la vision d'un torse qui ne demandait que moi. C'était comme s'il m'attirait, c'était un aimant ! Voilà j'avais mon excuse parfaite pour justifier mon comportement, même si j'allais éviter de le gueuler, cela pouvait que faire du bien à ma conscience qui devait sérieusement me détester à cet instant. Il déposa le plateau à terre, il craquait, j'étais contente et j'avais un peu sourire en coin, finalement il me demanda si j'oserais. Il savait très bien que j'étais capable de tout et n'importe quo... Mais cela me posait néanmoins un problème, le pauvre gamin, il allait vraiment pas m'aimer...
Andy avait raison, le pauvre serait traumatisé et il ne supporterait pas de me voir. Je voulais pas me faire détester par ce gamin alors que je ne connaissais même pas le son de sa petite voix... Andy m'énervait à avoir raison. Se rapprocher de moi, c'était pas le bon plan non plus, vraiment c'était me pousser à la tentation. « Plus tu te rapproches, plus je veux te sauter dessus. » Je regardais son visage, puis instinctivement mon regard se détourna vers sa position, son torse et ma propre position. Ce n'était clairement pas une position normale, même pour lui et moi. C'était chercher une excuse pour ne pas se sauter dessus, mais je voulais dormir – enfin pas dormir pour le coup – la conscience tranquille et il fallait trouver une solution...« En effet, ça serait très traumatisant et faut penser à lui, avant tout. » Définitivement, je n'étais pas faite pour les choses rationnelles, je cherchais une solution, une véritable solution... « Nous pourrions renfiler nos vêtements mutuels et faire comme si je ne voulais pas embrasser ton corps. » Marquant une pause en hochant la tête négativement, comme pour lui dire que non, ce n'était pas du tout mon attention. « Sinon, je connais un sort semblable à de l'hypnose, que je peux légèrement modifier pour le transformer en sortilège de sommeil. C'est de la magie personnelle, ça n’affectera en aucun cas Nillem, ce n'est pas dangereux... Mais on peut aussi se rhabiller. » Je disais ça en passant mon doigts sur le torse d'Andy, je voulais pas qu'il se rhabille moi. Le sort n'était sincèrement pas dangereux, au pire ça serait pour moi, car c'était de la magie personnelle et ça ne me ferait rien puisque j'étais une sorcière bénéfique qui utilisait rarement de la puissante magie.
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Sam 7 Juin - 22:07
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M'approcher d'elle, comme ça, n'était pas la meilleure chose à faire là tout de suite maintenant. Parce que si je venais à occulter Nillem à quart de seconde je crois que je serais déjà sur Hope. Dois-je mentionner encore une fois que je suis bizarre. Ce qui est rassurant c'est qu'elle trouve aussi que se rapprocher n'est pas une bonne idée et que oui il fallait penser à Nillem. Pauvre gamin, dans quoi il était tombé. Le première solution que Hope trouve à dire c'est qu'on puisse se rhabiller. Sincèrement. Je suis pas sûr que c'est une bonne idée. Non pas qu'on puisse pas se retenir, mais pour ma défense la journée avait été dur, c'était un réconfort comme un autre. Se coucher frustrer la pire chose. Mais, il fallait penser à Nil, même un peu, même si on a pas l'habitude, même si on est irresponsable. Elle émet l'hypothèse d'un sort proche de l'hypnose qui permettrait d'endormir Nillem que ce n'était pas dangereux pour lui. Je sais pas c'est bizarre quand quand même je suis pas chaud pour utiliser la magie mais à défaut d'avoir une autre chambre, je vois pas d'autre solution, et puis elle est maligne, elle fait glisser ses doigts le long de mon torse, ça aussi ce n'est pas une bonne idée, parce que ça peut vite me faire perdre la raison. « Se rhabiller ne me semble pas vraiment envisageable, si tu es sûr qu'il n'y pas de risques pour lui et qu'on le traumatise pas plus fait. » Je serais un terrible père ! J'embrasse ses lèvres puis je me redresse pour lui laisser faire le sort, j'attends sur le canapé. Je l'entends vaguement baragouiner des choses et je tente de me donner bonne conscience en me disant que ça évitera aussi à Nillem d'avoir un sommeille trop agiter par les images de la journée, trop de sang, trop de cadavre, trop de cris.
Hope revient dans le salon, je peux m'empêcher de lui demander « C'est bon ? » C'est con comme question si ça n'était pas bon, elle ne serait pas redescendue. Je m'approche d'elle pour l'embrasser, le peu de culpabilité que j'avais amassé le temps du sort s'évaporer au même moment. Je viens à la coller contre le premier mur que je trouve. « T'es sûre qu'il entendra rien ? » Arrêter de penser, arrêter de s'inquiéter aussi ça serait une bonne chose. Mes lèvres glissent contre sa mâchoire, sa nuque. « On est pas sortable, vraiment pas sortable. » En même temps qui ça dérange ?
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Sam 7 Juin - 22:47
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J'étais envieuse de son corps, mais pas une folle dangereuse. Je ne mettrais jamais la vie d'un enfant en danger et jamais je ne prendrais le prendre risque de jouer avec sa santé physique ou mentale, ce n'était pas dans ma nature de mettre les autres en danger. J'étais d'une nature bienfaitrice et cela ne changerait pas, je n'avais pas envie de changer à ce niveau là. Je savais qu'il avait confiance en moi et j'avais confiance en cette magie, je savais que la magie personnelle n'était pas forcément bonne ou mauvaise, elle se définissait comme puisant sa force dans la sorcière et dans aucune magie en particulier, je n'allais pas jouer avec de la magie noire ou blanche, simplement avec des émotions, cela se résumait plus ou moins à ça. En tout cas Andrew trouvait que se rhabiller n'était pas une bonne idée, j'approuvais d'un léger mouvement de tête. J'étais sûre de moi, je n'allais pas lui faire de mal et je n'allais pas le transformer en belle au bois dormant, c'était un sortilège innocent qui n'avait jamais foiré et qui qui me semblait enfantin. Le baiser me suffisait pour me faire comprendre que c'était bon, il avait confiance et dans le fond il n'avait pas tellement le choix, c'était ça ou l'abstinence. « Promis, zéro risque. » Je ne mentais pas, ce n'était pas un sort approximatif, j'étais sûre et certaine que mes actes n'allaient pas lui faire du mal. M'éloignant alors du canapé pour me diriger vers l'étage, c'était bizarre, j'avais l'impression de m'enfuir à moitié nue à l'étage, mais au contraire, je voulais y rester en bas !
Montant les marches le plus délicatement possible, passant rapidement dans le bureau, ouvrant le coffre avec mes affaires de sorcière, je n'allais certainement pas utiliser un nombre important de bougie et pas jusqu'au bout, une simple mèche me suffirait. Il fallait bien que je puise mon énergie dans un élément, le feu était le plus discret et le plus simple à obtenir. Je franchis alors la porte de ma propre chambre, c'était la première fois que je faisais ça, d'habitude je ne faisais pas attention à mes pas pour rejoindre mon propre lit. Me glissant délicatement à l'intérieur, il semblait dormir paisiblement. Comme un enfant en fait, ce qu'il était. Ma curiosité était trop forte, m'approchant légèrement pour voir son visage, il était tellement mignon. Préférant reculer de quelques pas, je n'avais pas besoin d'une concentration extrême. La bougie s'alluma et une simple flamme vivotait. « Sub Jove Cubare » Cette phrase fut répétée trois fois, la flamme s'éteignit alors. Il se réveillerait au lever du jour, au lever du soleil cela en serait finit de son paisible sommeil. Pour le moment il allait simplement dormir, comme un enfant et non pas comme un orphelin. Finalement souriante, j'avais quittée la chambre en refermant délicatement la porte, toujours sans mon haut je fis un rapide détour par la salle de bain, au moins cette fois je pouvais jouer les filles prévoyantes, faut pas croire, depuis que je fréquentais Andy, il était pas le seul à avoir de quoi le couvrir, j'avais vite réussie à prendre cette habitude, puis j'étais certaine que ça serait toujours utilisée. Fouillant dans un tiroir de la salle de bain, la recherche ne fut pas longue, serrant le poing, pour repartir en direction du salon.
La question d'Andrew semblait évidente, j'étais certaine de faire ce qu'il fallait, enfin c'était profondément égoïste de ma part dans le fond, mais je ne me fourvoyais pas. J'arrivais avec un grand sourire, il n'avait pas changé d'avis, en tout cas son t-shirt était toujours absent de son corps. Il m'embrassa, ça me laissait difficilement le temps de répondre à sa question d'ailleurs, je n'allais pas lui confier la réponse par télépathie. « Oui c'est bon et oui je suis sûre, il se réveillera avec le soleil. » C'était une explication rapide et simpliste, je n'allais pas rentrer dans les détails, surtout que je sentie mon dos se retrouver dos au mur, ça devenait vraiment une habitude de finir nos soirées à nous embrasser et plus encore, ça ne me déplaisait pas. Ses lèvres trouvèrent rapidement refuge au creux de ma nuque, ce qui avait pour effet de me donner des frisons d’accélérer ma respiration. Balançant alors la protection sur la table de chevet près du canapé sans réellement prendre réellement garde à si elle atterrissait au bon endroit, je pouvais alors promener mes mains partout sur son corps, sans état d'âme ou remords. Sa remarque sur le fait que ni lui ni moi n'étions sortable était plutôt intelligente, mais je m'en fichais de sortir. Je sortais d'une maladie – petite maladie – et lui il fallait pas le laisser déprimer, au final c'était comme la solution parfaite. « Je sais pas toi, mais je suis bien iciiii. » Mon dernier mot fut malgré-moi prolonger suite à un baiser d'Andy et le contact de ses mains sur mon corps. Je n'avais pas envie de parler, absolument pas. Les miennes trouvaient asiles sur sa nuque, pour finalement descendre directement vers son pantalon et commencer à retirer sa ceinture, je commençais à prendre l'habitude, je connaissais le chemin par cœur et mes yeux pouvaient continuer de se perdre ailleurs. « La prochaine fois, on résistera. » Ahah, non.
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Dim 8 Juin - 13:49
He's gone
Sommes-nous dictés par nos instincts, même nous, humains ? Je ne sais pas, je pense que oui et je me trouve un peu obsédé quand j'accepte qu'elle lance le sort. Je déculpabilise en me disant que ça permettrait à Nillem de dormir pour de vrai, sans cauchemar, sans images terrifiante en tête. Ça vaut ce que ça vaut. Finalement les questions qui traversent ma tête ne sont plus trop d'actualité quand je viens à plaquer Hope contre le mur, elle lance le préservatif, je ne sais trop où mais ça me fait sourire qu'elle y ait pensé. Habituellement c'est plus moi qui m'occupe de ça. Mon visage dans son cou, ses mains dans mon dos, je l'entends vaguement dire que la prochaine fois on résistera. Je sens mon pantalon se desserrer, un bruit métallique contre le sol. Ma ceinture venait de partir au même moment où elle dit ça. Je m'écarte le stricte nécessaire pour pouvoir la regarder. « Je suis pas sûr que ce soit très crédible. » Non ça ne l'ai pas du tout, on a beau avoir vingt deux ans, presque vingt trois, je nous considère encore comme des ados avec un trop plein d'hormones impossible de se retenir plus de dix minutes. Non pas que cela me dérange, bien au contraire. Je retourne contre ses lèvres, mes mains se glissent entre son corps et le miens pour pouvoir toucher son ventre, passer autour de sa taille, remontrer dans son dos, s'arrêter à hauteur de l’agrafe de son soutif, défaire l'agrafe et d'un vêtement en plus au sol.
J'approche ma bouche de son oreille, mordille légèrement son lobe gauche avant de lui susurrer. « Accroche toi. » Je la soulève plutôt facilement, mes mains passent sous ses fesses au même moment pour l'empêcher de tomber, puis je me dirige vers le canapé où je laisse tomber beaucoup plus délicatement que la fois précédente. Je continue de l'embrasser partout, je descends sur sa clavicule, sa poitrine, son ventre, je m'arrête à la barrière de son bas et retourne contre ses lèvres. J'ai chaud, beaucoup plus chaud que quelques minutes auparavant. J'entends sa respiration s’accélérer, ça me fait sourire malgré moi. Je joue avec ses lèvres puis je prends appuie sur l'une de mes mains pour pouvoir me surélever un peu, je la contemple un instant. « Je suis certain qu'on puisse résister un jour, enfin je pense pas savoir résister un jour. » Quoi ? Je suis un mec, j'ai au moins cette excuse non ? Un regard équivoque et je retourne contre son corps, toucher et embrasser chaque centimètre carrés de son corps, chaque passerelles.
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Dim 8 Juin - 14:45
« He's gone »
Hold on,What’s the rush, What’s the rush We’re, not done away Cause I don’t need to change this, Atmosphere we’ve made if you can stay one more hour, Can you stay one more hour ? You know I’m gonna find a way to let you have your way with me You know I’m gonna find a time to catch your hand and make you stay Hold on, I’ll be here when it’s All done you know Cause what’s the point in chasing If I cant enjoy your face and We cant be wrong tonight, Can we be wrong tonight ?
Depuis la librairie, j'avais décidée d'investir dans le marché du préservatif. Cette après-midi m'avait fait réaliser à quel point c'était vital, pour lui principalement. C'était aussi utile pour moi d'une manière indirecte, cela m'évitait de tomber en cloque et étant donné la situation actuelle, ce n'était vraiment pas le moment pour moi d'attendre un gamin. Pour une fois j'avais décidée de prendre les devants, je savais aussi qu'une fois en bas, devoir chercher son porte-monnaie signifiait qu'il allait se détacher de moi et que j'aimais pas ça. La voix d'Andy ne semblait être un souffle, je n'y prêtais plus attention, c'était comme un fond sonore qui viendrait ponctuer nos respirations, c'était des mots sans réels sens, il n'étaient là que pour se rassurer et se persuader d'une chose qui était impossible. Je tirais donc une conclusion de cette journée : notre taux d'hormones était probablement supérieur à la moyenne et que même un drame pouvait nous rapprocher. Je devais bien avouer que cela me rassurait, rien ne pouvait briser notre lien – physique pour le coup – et cela même un drame. C'était égoïste, mais comme toujours, j'assumais mon égoïsme et ma jalousie lorsqu'il était question de lui. Alors une fois de plus, ce soir, je serais égoïste et fière de l'être. Mes mains commencèrent rapidement à vouloir lui dérober ses tissus qui recouvraient le reste de son corps, je ne voulais plus de barrière, plus de voile, plus d'intimité. Le voile de la pudeur qui recouvrait ma poitrine se retrouva à terre, sentant les mains d'Andy se promener sans égard sur mon corps. Encore une fois il fut le premier à retirer son vêtement, mais c'était les miens qui semblaient s'envoler les premiers. Je sentais mon corps vibrer et suivre les mouvements de ses mains.
Moi, je pianotais délicatement partout sur son corps, profitant de chaque muscles et de chaque sensation que m'offrait la possibilité de profiter de son corps tout entier, sans pudeur. Ses mots virent comme un souffle de vent à mon oreille, sauf qu'il était sérieux. Je sentis ses mains se glisser délicatement sous moi, me sentant alors une fois de plus transportée comme une enfant. Mes mains en profitèrent pour s'accrocher, je malaxais presque chaque centimètre de son torse, couvrant son cou de baiser, me rapprochant toujours de ses lèvres sans jamais pour autant me laisser guider jusqu'à elle. J'adorais lorsqu'il me portait, je pouvais absolument balader mes mains où je voulais en sachant pertinemment qu'il ne pourrait pas – et voudrait pas – m'en empêcher de peur de me lâcher. L'excitation montait, ma respiration et mon souffle s’accélérait. Il faisait toujours dans cet appartement, je crois que Andy était mon chauffage humain, constamment en train de me réchauffer mon cœur de jeune fille tout sauf prude. Il me déposa alors délicatement sur le canapé – ah bah enfin un peu de délicatesse avec ce pauvre canapé – s'en pour autant s'éloigner de moi. Je le sentis lentement longer mon corps nu. Il descendit sans dérive, passant sur ma poitrine et mon torse. Au moment même ou je sentis ses lèvres frôler mes seins, une main s'accroche irrémédiablement au canapé alors que je commenças déjà à frissonner à sentir mon propre souffle devenir plus imposant.
Ses lèvres revinrent caresser les miennes, la pression de ma main sur le canapé se faisait moins pressante, je pouvais faire pression sur lui, mais le canapé semblait plus près à ce moment là. Je le revoyais au dessus de moi, je dévisageais un bref instant son jeans pour profiter de l'objet de mes désirs à cet instant. Il ouvrit la bouche en s'éloignant légèrement – c'était déjà trop – de moi. Il avait raison, je n'étais pas une grande résistante et mes pulsions étaient toujours plus forte que moi, tout le monde disait que seuls les mecs étaient incapables de contrôler des pulsions. Je désapprouvais fortement cette idée reçut. Je ne contrôlais pas les miennes et je ne voulais pas qu'elles soient contrôlés. Sourire en coin presque gêné, j'avais envie de lui dire de se taire et de revenir coller son corps au mien, mais parler était encore possible, pour lui et pour moi.« Tu sais quoi ? » Soulevant rapidement ma carcasse pour commencer à retirer de moi-même à débouter mon jeans sans pour autant l’enlever – cette position n'était pas particulièrement adéquate – pour finalement déposer ma main – sans la moindre délicatesse – sur l'entre-jambes d'Andy, pour finalement délicatement se faufiler à l'intérieur, il allait virer ce jeans. « Résiste pas, jamais. J'en suis tout aussi incapable » Je disais la simple vérité, détachant finalement ma main du canapé pour rapidement se déposer sur sa nuque et l'attirer vers moi. « Toujours aussi impatiente, je sais. » ça serait la seule chose que je trouvais à dire dans un souffle brusque.
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Dim 8 Juin - 15:18
He's gone
Parler, c'est rassurant, ça prouve que je contrôle encore un peu cette situation et je sais aussi que sous peu je ne contrôlerais plus grand chose. Alors j'articule ces quelques mots, je suis presque fier de moi de réussir à sortir une phrase intelligible de ma bouche à cet instant T. Hope se redresse déboutonne son jean mais ne le retire pas en même temps, même si elle avait voulu dans la position actuelle ça n'aurait pas été très évident pour elle. Je l'entends parler, mais ne l'écoute pas car je suis trop occupé à sentir sa main sur mon entrejambe, j'ai rien dit, pas encore, je me suis contenté de prendre une profonde, mais elle vient à passer sa main dans mon jean « Fais pas çaaaa ! » Trop tard, le son « a » sort plus longuement que prévu de ma bouche quand sa main se retrouve en contact direct avec mon intimité. Par la même occasion j'ai tous les muscles de mon corps qui se sont contracté en même temps, je suis sûr qu'elle est fière d'elle pour m'avoir fait perdre le peu de contrôle que j'avais à cet instant. Sa main libre passe dans ma nuque pour finalement m'attirer de nouveaux contre elle, ça ne me déplaît pas et quand elle mentionne son impatience, je souris, dommage, j'aurais bien aimé lui redire encore une fois, parce que j'aime bien la taquiner là-dessus parce que c'est drôle, parce que c'est vrai.
Je retourne donc contre ses lèvres, dérive encore et toujours dans son cou, m'attarde sur sa poitrine, embrasse son nombril et cette fois je vire son jean une bonne fois pour toute. Je le lance derrière le canapé, j'entends le bouton tintait contre le parquet. Je sens la peau de Hope plus chaude, alors que ses vêtements sont de moins en moins à recouvrir sa peau, tant mieux. J'embrasse son aine, revient inéluctablement contre ses lèvres, sans pour autant l'embrasser. Je glisse une main sous le dernier bout de tissue. Si elle se permet, je me permets aussi, je souris contre ses lèvres avant de mordiller celle inférieure. J'ai chaud, trop chaud et je comprends pas pourquoi se putain de pantalon est encore sur moi, je comprends pas pourquoi elle ne l'a pas viré en même temps que la ceinture, pourquoi elle s'est contentée de la ceinture et pas du reste ? Elle est pas patiente, moi non plus, on est fait pour s’entendre.
Au fil des bisous, des caresses, de ses mains contre ma peau, j'ai le rythme cardiaque qui s'accélère, ma respiration qui se fait difficilement gérable. Et j'ai chaud, encore et toujours et pourquoi elle ne le retire pas ? Moi j'ai retiré le sien ! « Si tu le vires pas tout de suite, je vais le faire tout seul ! » J'avais parlé vite, peut-être trop vite. J'en profite pour inverser nos positions, je sens le canapé chanceler doucement avant de se stabiliser. Je suis pas délicat, j'ai pas envie de l'être. « Sans commentaire. » J'ai pas vraiment de gêne, je me moque de son manque de patience, alors qu'à cet instant, je dois être encore moins patient qu'elle, parce que je suis égoïste, que j'ai trop de sensation en même temps, mais à la fois pas assez.
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Dim 8 Juin - 16:05
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Hold on,What’s the rush, What’s the rush We’re, not done away Cause I don’t need to change this, Atmosphere we’ve made if you can stay one more hour, Can you stay one more hour ? You know I’m gonna find a way to let you have your way with me You know I’m gonna find a time to catch your hand and make you stay Hold on, I’ll be here when it’s All done you know Cause what’s the point in chasing If I cant enjoy your face and We cant be wrong tonight, Can we be wrong tonight ?
Il suffisait de peu pour froisser la virilité d'un homme, moi j'allais droit au but et je ne froissais pas... Je me contentais de profiter de ce qui me revenait de droit. Je n'allais pas me gêner, ce n'était pas la première fois que je faisais cela et certainement pas la dernière, j'avais l'astuce pour le faire chavirer, c'était plaisant et je n'allais pas perdre cette carte. Le son aigu qui sortit de sa voix sonnait comme pour une victoire, peut-être que j'avais cherchée à ce que ce moment arrive, mais il était tout aussi coupable que moi de ce qui allait se passer d'ici peu. La patience n'était pas mon fort et je le savais, je ne m'en cachais pas. J'étais néanmoins capable d'une patience extrême, quand il n'était pas question de son corps effleurant le mien. Je savais que ce n'était pas uniquement pour lui et que cette technique était là uniquement pour m'amuser en promenant mes doigts sur ses attributs virils comme si de rien n'était. J'avais envie de dégager son pantalon, mais la situation du moment m'amusait ou m'excitait, va savoir pourquoi, je trouvais la situation différente et le lui laisser me plaisait, pour le moment. Depuis tout à l'heure nous avions lancés le jeu de savoir qui serait le premier à craquer, d'une certaine manière c'était moi, j'étais dans l'obligation de le reconnaître. Ses baisers se firent plus ardent, encore plus il sembla s'attarder avec ma poitrine et cette fois-ci c'était moi que ça perturbait de manière irrévocable. Je ne comprenais pas pourquoi une femme était nécessaire sensible à cet endroit là, en tout cas chaque souffle, baiser ou caresse venait me faire réagir dans un frisson bref. Ma main quitta contre mon gré l'antre du pantalon de mon amant, à mesure qu'il descendait pour embrasser le reste de mon corps. C'était une manière – intelligente et très énervante – de reprendre le dessus sur moi. Petit chieur de surdoué.
Mon jean vola à son tour dans la pièce, voilà, encore une fois j'étais celle qui se retrouvait presque sans rien. Cela prouvait qu'Andy était terriblement moins patient que moi. Il commença alors à se rapprocher de mon intimé, okay il voulait me frustrer. Il embrassa – presque – ce qui lui revenait de droit, seul un voile délicat semblait s'interposer. Il fit pire, il remonta alors en direction de mes lèvres, alors que sentais ma culotte bouger, je pensais que c'était pour la retirer, non. C'était simplement la monnaie de ma pièce, c'était de bonne guerre. Mais pour être franche, ça je m'y attendais pas et je l'avais pas vue venir, mais vraiment pas.« Putainnn. »Ce fut à mon tour d'accentuer une lettre. Franchement, j'en revenais même pas d'avoir réussie à sortir un simple mot, aussi vulgaire était-il. Je sentis ma respiration haletante qui s’accélérait à mesure que je sentais ses doigts se promener sur mon intimité. Il avait un sourire fier, il avait reprit le dessus, je m'étais faite prendre à mon propre jeu, je devais bien le reconnaître.
Mes mains continuèrent leur chemin, évitant soigneusement de descendre trop bas, son jeans était toujours là, il fallait dire que ce n'était pas très agréable pour lui comme pour moi, mais je voulais reprendre le dessus, une nouvelle fois. Il fut clair sur le sujet, alors que mes mains commencèrent à trouver refuge le long de ses bras. Il voulait voir ce jeans voler, j'étais tellement fière de moi, mais vraiment, j'allais dégager ce jean. J'en avais marre de profiter de la moitié de son corps, j'aimais jouer avec le haut et le bas. Il inversa sans crier garde les positions, le canapé chancela, ça faisait souvent ça, fallait vraiment envisager de faire ça dans un lit, comme tout le monde... Non. « Pas de commentaire, tu es sûr ? » Levant alors les sourcils, il savait que si commentaire j'avais à faire, il y aurait des sous-entendus... Je n'était pas mécontente d'être sur lui, je ne cachais pas ma fierté, je redressais mon dos, mes cheveux étant presque assez long pour cacher ma poitrine. Mon regard se détourna alors vers le pantalon qui semblait attendre qu'une chose : libérer ce qu'il contenait. Je lui retirais alors son pantalon en tentant de garder mon sang froid face aux caresses de Andy, une fois cela fait, je me suis alors laissé glisser jusqu'au cou de Andy, délicatement je longeais son corps, mes mains suivant le rythme en se laissant glisser en s’infiltrant sous le dos de Andy. Je descendais toujours plus bas pour arriver jusqu'à la dernière barrière qui me séparait de lui. Relevant alors les yeux en direction d'Andy. L'avantage d'être une fille, c'est que rien de physique ne se voyait réellement, c'était toujours discret en tout cas.
J'allais continuer mon petit jeu, c'était tellement agréable de sentir qu'il me désirait, bon cela était valable pour moi Sourire purement pervers sur les lèvres, je commençais alors à embrasser langoureusement son dernier bout de tissu, oui, je m'en doutais, ça devait être frustrant. Je déplaçais ma langue tout autours de ce que n'importe quel homme serait fier. Mes mains continuaient de se faufiler dans son dos alors que je continuais à embrasser le tissu, évidemment, je voulais me débarrasser de ça, mais voir la réaction d'Andy était trop tentante. Finalement mes mains arrivèrent jusqu'à son caleçon que je commençais déjà à abaisser, mais à mesure que ce dernier baissais, l'éloignais mes lèvres de l'endroit tant désiré pour violemment retirer son dernier bout de tissu à mesure que moi, je me rapprochais de ses oreilles. « Un commentaire ? » Un léger rire s'échappa alors dans un souffle d'entre mes lèvres alors que je commençais à mordiller son oreille droite.
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Dernière édition par Hope A. Liddell le Jeu 3 Juil - 23:35, édité 4 fois
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Dim 8 Juin - 16:55
He's gone
Elle jure, je suis content, c'est agréable à entendre, être désiré c'est l'une des meilleures sensations au monde. Mais voilà, moi j'ai toujours mon jean, j'ai chaud, je veux qu'il parle, je lui en fait part avant d'inverser nos positions. Canapé bancal, elle ouvre la bouche, mais moi, je suis incapable de dire quoi que ce soit. Nos corps s'entremêlent, et ses mains glissent jusqu'au jean, je l'aide à le retirer, elle est toujours à califourchon sur moi, elle regarde mon caleçon, je peux pas m'empêcher de rougir, parce que chez nous, les mecs, quand on a envie ça se voit tout de suite, on ne peut même pas tenter de se justifier. Alors que chez les filles... presque tout est interne, et je trouve ça frustrant, ça prône l'égalité mais à ce sujet il n'y a rien d'égale encore homme et femmes. Puis elle se penche, embrassant l'unique bout de tissue restant, un souffle roque et sonore m'échappe au même moment. J'ai tellement peu de contrôle. Puis ses mains son à la fois partout et nulle part, j'ai la respiration saccadé. C'est à la fois plaisant et une véritable torture. Je sens mon boxer devenir trop petit au fur et à mesure de ce que Hope faisait pour me rendre dingue. Je la connais, je suis certain qu'elle est fière d'elle, je la connais que trop bien. Je la sens éloigner ses lèvres pour pouvoir commencer à retire ce putain de bout de tissue. D'abord doucement, c'est qu'elle me fait encore plus languir ! Puis Subitement, je suis nu, j'ai plus rien sur le corps -amen-, c'est comme une délivrance mais c'est pas encore fini. Son visage est à hauteur de mon oreille elle me demande si j'ai un commentaire à faire puis je sens ses dents contre mon lobe. Je déglutis difficilement, je fais doucement signe de la tête que non. Elle apprend vite, terriblement vite. Elle maîtrise un jeu que je suis pas sûr de maîtriser complètement. Mais je vais pas me laisser battre aussi facilement. Mes doigts passent dans son dos, rencontre son dernier sous vêtement, je joue avec l’élastique alors que mes lèvres se réfugient contre les siennes. J'aurais voulu l'embrasser plus softement, du moins ne pas lui montrer encore plus explicitement que ça ne l'ai déjà que j'ai envie d'elle. Je me redresse, je me retrouve plus ou moins assis, Hope toujours sur moi. Mes mains remontent le long de ses cuisses, elle a joué avec mes zones hétérogènes, maintenant c'était à mon tour ! Je chatouille donc l'intérieur de ses cuisses, mon visage de niche dans son cou, que je mordille par instant. Puis j'use de mon poids pour la faire s'allonger. J'ai la peau qui me brûle, les sensations multiplier par je ne sais pas combien, mais j'aime ça. Je veux qu'elle brûle aussi, qu'elle craque comme j'ai craqué. Je suis pourtant pas macho, je pense pas mais j'aime cette idée qu'elle me désire plus que tout. En descendant mon visage je m’attarde encore sur sa poitrine, puis je baisse un peu son sous vêtement pour embrasser son aine sans voile au dessus. Je passe mes mains dans son dos et l'oblige à se cambrer pour retirer plus aisément ce fichu bout de tissue qui fait qu'elle n'est pas encore nue. J'embrasse à plusieurs reprise son intimité avant de reprendre le chemin que j'avais suivi auparavant pour retourner contre ses lèvres. Le corps humain est fait d'une telle façon que même sans le vouloir mon pénis effleure son intimité. Ça m’envoie un tas de décharge électrique dans le corps, un autre souffle sonore sort de mes lèvres. C'est un bruit plutôt primitif quand on y pense. Je veux pas me décoller de son corps, je crois ça me serait impossible. Je cherche à tâtons le préservatif qu'elle avait jeté sur la table au dessus de ma tête, et comme je suis super adroit, je le fais tomber. « Merde » Je suis contraint de bouger, même s'il n'est pas tomber loin. Je penche, nos intimités sont de nouveau en contact un peu beaucoup direct. « Hurmpf » C'est le seul truc qui m'échappe, je pouvais pas me contenter de soupirer cette fois-ci. Préservatif en main, j'ouvre l'emballage pour le mettre, je retourne contre Hope, puis je n'attends pas plus longtemps avant de rentrer en elle
Un nouveau bruit super intelligible dépasse la barrière de mes lèvres.
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Dim 8 Juin - 17:59
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Avec lui j'avais tout connu, en faisant sa rencontre j'étais une fille vierge qui vivait plutôt bien son statut de gamine innocente et pure, à l'époque ça ne me complexait pas, ce n'était pas dramatique pour moi et de me dire que je suis restée vierge 23 ans me passait au dessus, purement et simplement... Mais, ma rencontre avec Andy avait changée ma relation avec la sexualité en générale : avant un câlin ne voulait rien dire ou même la position des mains... Tout cela était sans ambiguïté et je pouvais prendre n'importe qui dans mes bras, que l'effet serait toujours le même. Depuis le début de notre relation, ma vision des choses avaient évoluées. Pour moi, un rien venant de lui pouvait me faire réagir, un rien pouvait envie m'attirer vers lui et un rien me donnait envie de lui. Voilà, ma conception de la sexualité avait évoluée sans que je m'en rende compte, c'était devenu plus fort que moi. Ses mains poser sur mes hanches suffisaient à me faire dériver, un simplement contact trop prolongé pouvait me pousser au vice. Je sais, c'était probablement un taux d’hormones trop important. Moi je voyais cela comme de l'amour, car personne ne me regardait, touchait ou m’enivrait comme il le faisait si bien. Andrew Pritchard avait rendu le sexe plus qu'important, il en avait fait une drogue que je pouvais consommer sans modération, et cette histoire ne faisait pourtant que de commencer... La routine ne s'installerait pas, j'en étais certaine, aujourd'hui en était la preuve.
Mon petit jeu était injustifié et il était là uniquement pour pousser le vice un peu plus loin entre nous deux, ce n'était pas nécessaire, cela ne faisait que que ralentir l'inévitable et d'augmenter la pression entre lui et moi, c'était un véritable plaisir, je m'en délectais sans relâche. Son corps ne mentait pas, je savais qu'il voulait qu'on continue, il ne pouvait pas cacher son excitation, lui. Enfin, je n'étais peut-être pas un exemple, je n'étais très douée pour cacher mes désirs et mon corps parlait aussi, c'était simplement différent et moi je pouvais toucher son excitation du bout des doigts, lui il devait la chercher, la provoquer et cela à mon plus grand plaisir. Je me sentais belle, tout me semblait si calme et pourtant tout s'accélérait, ma respiration et la sienne formaient un chœur, nos corps ne formeraient bientôt plus qu'un et le désir serait assouvi. Cette soirée était comme un échappatoire, mais il était extrêmement agréable comme manière de s'échapper. Et enfin il était nu, c'était lui le premier dénudé, dans le fond j'avais craquée la première, mais c'était à sa demande... Et à la mienne, même si elle n'avait pas été dite oralement. Il ne risquait que mon de tissu, vulgaire séparation qui allait fondre comme un glaçon fondrait sous le soleil. Andy était peut-être un soleil, mais là c'était surtout sa chaleur corporelle que je ressentais et les mouvements de son corps, il me suffit de légèrement le regard pour le voir entièrement nu, en effet, c'était plaisant de voir que je lui faisais de l'effet, j'étais conquise.
Alors que je continuais à caresser son torse avec mes mains et à le dévorer la partie supérieur à son épaule, je sentis ses mains se glisser dans mon dos. Je savais où il allait, je me doutais qu'il n'allait pas se priver, c'était tant mieux, je demandais le même traitement que le sien. Finalement nos lèvres se retrouvèrent alors que je sentais la main d'Andy se glisser non loin de mon intimité. C'était vif, presque sauvage ses baiser, j'avais réellement réussie à le faire languir, je commençais à prendre goût à ce jeu. Il se redressa légèrement, suivant le mouvement plus par nécessité que par réelle conviction. Ses baisers avaient le goût d'un avertissement, je sentais mon cou se faire dévorer, sa chaleur se mêlant à la mienne, ses mains toujours perdues plus bas. Il ré-inversa alors les positions, enfin pas totalement, mais je dois dire que j'avais un peu l'esprit ailleurs, j'avais du mal à réellement réaliser ce qui était en haut et en bas. Mon voile abandonnait lentement ma peau, néanmoins Andy prenait le même plaisir que moi à jouer avec mes nerfs en me faisait patienter. C'est fou comme un geek pouvait se montrer persuasif lorsqu'il voulait quelques choses, mon corps se cambra avec une facilité qui me déconcertait presque. Le vêtement ne couvrait plus rien, je pensais qu'il allait s'arrêter là, mais bien évidemment que non, j'avais poussée le vice plus loin, je me doutais au fond qu'il ferait de même. Il déposa ses lèvres à plusieurs reprises sur mon intimité, je crois que c'était la pire torture, sentir ses lèvres sur ma peau pour ensuite les sentir abandonner cette partie de mon corps. Il retrouva alors mes lèvres, mais je sentais ses attributs masculins frôler mon intimité. Je crois que la frustration avait atteint son comble, pour moi en tout cas. Cela ne dura qu'un instant, j'avais presque envie de lui dire d'oublier la protection, dans le feu de l'action je parvenais parfaitement à l'oublier. Ma respiration s'accélérait alors que la pression se faisait plus forte, j'avais envie de prendre son corps et de le plaquer au mien sans état d'âme, simplement son corps et le mien. Je voulais que mon sang chauffe, que mes mains tremblent comme des feuilles et que les lèvres d'Andy soit comme une décharge électrique sur mon corps.
Mes mains l'attiraient de plus en plus vers moi, je me foutais du préservatif, mais Andy semblait s'acharner à le chercher, moi je continuais de l'embrasser, de le toucher et de l'attirer vers moi sans me soucier du reste. Chaque baiser poser sur le moindre centimètre de son corps était comme un cri de détresse le suppliant de venir en moi, protégé ou pas. La sensation fut pire quand son attribut entra presque en contact avec mon vagin. « Andre... » Quoi ? Il y a peu j'étais incapable de terminer un mot sans l'allonger, bah là j'étais simplement dans l'incapacité de penser à autre chose que Andrew, frôlant mon corps et que quelques malheureux millimètres séparaient notre union. Donc oui, si ce n'est son prénom je ne savais pas quoi dire. Mon regard se dirigea instinctivement vers sa main quand il trouva finalement le préservatif. « Mon dieu enfin ». C'était aussi simple que ça. L'union allait se faire, avec protection. Regardant avec attention la scène avant de finalement m'unir avec lui. Ma carcasse se cambra, mon dos sembla se soulever comme si je venais de subir un exorcisme – bizarre comme image – ma tête se pencha en arrière et ma bouche ne s'entrouvrit pas, cette fois-ci elle était grande ouverte. « Hummm. » Le bruit faisait écho dans ma tête, ça ne voulait rien dire si ce n'est le plaisir que j'avais de sentir mon petit-ami se glisser dans mon corps. Je mordis alors mes lèvres sans état d'âme, je ne cachais pas mon plaisir, ma poitrine suivant le rythme de ma respiration qui ralentissait depuis le début de l'acte.
Finalement mon corps semblait alors redescendre lentement sur le canapé, ma tête retrouva sa place et je pouvais voir le regard d'Andy. Souriant en coin et glissant mes mains dans le bas de son dos pour laisser glisser mes mains jusqu'à ses épaules, pour finalement le saisir et l'attirer vers moi en abaissant ma tête pour embrasser chacun de ses tétons alors qu'il continuait à ne faire qu'un avec moi. Je pouvais sentir son corps suivre les mouvements des miens, décollant légèrement mes lèvres alors j'étais clairement en train de lui sucer les tétons à tour de rôle. « Bordel que j'aime ça, bordel que je t'aime. » C'était pas classe, en plus avec mes soufflements et mes respirations, cette phrase n'avait rien de logique. Je tentais alors délicatement de le retourner, ce canapé était vraiment pas pratique, la table était probablement plus large, voir même le bar. Le bar ça serait sympa, mais bref.
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Dim 8 Juin - 18:45
He's gone
Je finis par trouver ce putain de préservatif, je préfère y penser, parce que je veux pas me retrouver papa pour une connerie de ce genre, on était trop jeune pour ça. Pour Nillem, j'ai pas eu le choix. Alors voilà, à peine la protection enfiler que mon corps se colle à celui de Hope, et en quelques secondes j'étais entré en elle. Je commence cette dense de va et vient avec que sa bouche et ses mains sont partout. Les gémissements qu'elle ne répriment pas m'invitent à continuer, mais le canapé n'est pas pratique, j'ai pas le temps de trop penser que ses lèvres s'emparent de mon torse, de mes tétons, j'ai le corps en feu. Mes mains ne savent plus quoi toucher pour innover. Je parviens à remonter ses cuisses contre ma taille, ça me permet d'aller plus loin. Elle le dit, qu'elle aime ça et qu'elle m'aime aussi. Je sais pas comment elle fait pour parvenir à articuler alors que je suis en mode râle d'homme préhistorique. Il faut qu'on bouge car on va finir par se casser la gueule de son canapé.
Un coup d’œil rapide autour de moi, mais j'arrive pas à noter les meubles qui puissent nous soutenir, je sens Hope bouger, onduler, ça me rend complètement fou et mon cerveau prend congés. Je sais même pas comment je peux l'inviter de façon un peu classe à aller sur un autre meuble. Je veux plus de sensations, je veux changer de position. Je pourrais facilement renverser le canapé si jamais je l'attirai vers moi, mais je suis pas sûr de pouvoir de faire sans inquiéter les gens autour. Finalement son sort était un bonne idée. Je passe mes bras sous son dos. « Ne … crie... pas... » Parler devient vraiment compliqué, je la sers contre moi avant de jouer de mon poids contre le dossier pour le faire basculer. La chute est un peu plus violente pour mon dos que je ne l'aurais imaginé mais pas douloureuse. Je rigole nerveusement alors que Hope se retrouve au dessus de moi. Il faut sincèrement que j'arrête d'avoir des idées comme ça. « On peut rajouter un canapé plus grand sur la liste de meubles à acheter. » Ou songer de faire ça dans un lit, comme la plupart des couples. Elle avait elle même dit qu'il fallait que j'innove sexuellement, voilà, je l'ai fait dans une réserve, j'ai tué des cartons, un canapé. Oui... investir dans les meubles solides est une bonne idée. Mes mains glissent dans son dos, atterrissent au niveau de ses fesses et je l'invite à reprendre le jeu de va et vient car elle est plus libre que moi dans ses mouvements. Un frisson me parcourt tout le corps, ce genre de frissons avec une vague de chaleur qui suit. Un gémissement rauque sort de ma bouche, je viens à me mordre l'intérieur de la joue histoire de réprimer un peu le second qui m'échappe. Mon cœur s'emballe au rythme de cette danse diabolique, la respiration se saccade une seconde fois, j'aurais voulu parler mais dès que j'ouvre la bouche c'est un bruit informe qui part. 0 contrôle.
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Dim 8 Juin - 19:23
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Hold on,What’s the rush, What’s the rush We’re, not done away Cause I don’t need to change this, Atmosphere we’ve made if you can stay one more hour, Can you stay one more hour ? You know I’m gonna find a way to let you have your way with me You know I’m gonna find a time to catch your hand and make you stay Hold on, I’ll be here when it’s All done you know Cause what’s the point in chasing If I cant enjoy your face and We cant be wrong tonight, Can we be wrong tonight ?
Il était en moi, il s'y ancrait de plus en plus, mon corps tremblaient alors qu'il s'enfonçait en moi comme si de rien n'était, ce n'était qu'un corps après tout. Je sentais mes mains s'accrocher encore plus au canapé, j'allais sérieusement finir par l’abîmer ce truc et tôt ou tard mes micro-ongles allaient laisser des traces. Ça me plaisait, c'était jouissif et je ne pouvais pas présenter les choses d'une autre manière, c'était jouissif et je voulais que ça continue... Néanmoins, le canapé était beaucoup plus inconfortable qu'il ne me semblait l'être d'habitude... Peut-être parce que généralement je révisais sur ce canapé, toute seule, sans mon copain et sa virilité en moi.
Je sentis ses mains se glisser sous mon dos, ce n'était pas des caresses, c'était bizarrement. Je pouvais percevoir ses doigts se déplacer sur ma peau. Mes os semblaient tous se briser, mon addiction se faisait plus grande, mais là je ne comprenais pas réellement ce qu'il voulait faire, et lorsqu'il me demanda de ne pas crier, j'ai mis un instant à comprendre, l'instant de trop. Alors que je profitais de son corps en fermant les yeux puisque connaissant ce dernier presque par cœur, mais j'arrivais encore à faire des découvertes. Ses mots semblaient si faibles, comme s'il avait dû se battre pour se faire entendre, comme un enfant. Ouvrant les yeux, sentant ma poitrine toute entière fracasser son torse. Pour ne pas hurler, j'adopte cette technique tellement ridicule de coller mes lèvres à ses muscles. Bah quoi ? Il voulait pas que je cris, c'était pas comme si j'allais le mordre. Je pouvais alors sentir nos corps basculer dans le vide de l'immensité... Ouai nan en fait il était clairement en train de retourner le canapé... Je supposais que comme moi, il trouvait ça peut, voir pas pratique du tout. Pour ma part, rien de cassé, pour lui, j'imaginais que c'était autre chose, au pire ma poitrine avait simplement jouée les aimants avec son torse, mais ça c'était supportable. J'entendis son rire nerveux, alors que je décollais mon visage de son torse, il me dit qu'il faudrait probablement investir dans un canapé plus grand. Il avait raison et cela me fit délicatement rire à mon tour, hochant bêtement la tête pour approuver ses dires, le canapé était peut-être foutu, mais je m'en foutais éperdument comme de l'an 1000. « Hein hein. » Je n'avais même pas la force de dire oui, ouai ou même mouais. Un simple hein hein suffirait pour lui faire comprendre ce que je voulais dire alors que je sentais ses mains se déplacer jusqu'à mon bassin et mon fessier. La danse reprenait là ou elle en était, constamment à me retenir de hurler, plongeant mes lèvres partout pour m'empêcher de laisser exprimer ma joie. Andy avait peut-être mal au dos, ou froid ou je sais trop quoi, pourtant moi j'avais une autre idée en tête.
Finalement me voilà avec avec les deux mains encerclant le visage d'Andy, la tête au dessus de la sienne, mes cheveux et mes seins tombants. J'avais un sourire complice, mais finalement une main vint à se lever, ouvrant le creux de ma main et la dirigeant vers la cuisine, j'avais une idée et cela était la faute d'Andy, il m'en avait parlée un peu avant le sort sur Nillem, il m'avait cherchée... Fermant un instant les yeux pour trouver le peu de concentration nécessaire à ce que j'allais faire alors que je gémissais à chaque mouvement du bassin d'Andy contre le mien. Le frigo s'ouvrit, s'en évadant alors la bombe de chantilly que je gardais précieusement avec moi. La télékinésie était vraiment un truc que j'adorais faire. La bouteille arriva finalement entre ma main, retirant le capuchon de cette dernière. A mesure que je rapprochais mon visage d'Andy, je rapprochais la bombe de son visage. « Revanche » La dernière syllabe s'envola dans un souffle alors que j'appuyais sur le bouton pour laisser échapper une pincette du contenu de la bouteille juste au coin de sa lèvre. Pour finalement laisser tomber la bouteille à terre et délicatement promener mon doigts sur cette même crème que je venais de déposer, et y déposer finalement mes lèvres.
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Dim 8 Juin - 20:32
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J'allais probablement avoir mal au dos demain, tant pis j'aurais une bonne excuse pour implorer un massage. Mêlons l'utile à l'agréable. Son visage se plaque contre mon torse, on bouge rythme et puis elle s'arrête, tend une main dans le vide. Je t'entends un bruit lointain dans la cuisine, comme une porte qui s'ouvre et se referme. Télékinésie ? J'en doute pas une seconde, je sais que pour ça elle doit se concentrer et j'ai envie de l'embêter parce que je sais pas vraiment ce qu'elle mijote mais je doute que cela soit en ma faveur, quoi que... Alors je bouge mon bassin et finalement, je vois une bombe de chantilly débarquer, tremblotante pour arriver dans sa main. Je me stoppe, lance un regard inquisiteur à Hope. Ça ne me dit rien qui vaille, et je me vois déjà contraint à prendre une douche sous peine de devenir méga collant. Je me retrouve alors avec de la chantilly au coin de la lèvre, elle parle de revanche mais ça sonne comme un air de déjà vu. Elle étale la crème puis la retire. Elle veut vraiment jouer à ça ? Une de mes mains lâche sa taille pour s'emparer de la bonbonne que j'agite un court instant. « C'est donc à mon tour hein ? » C'est rhétorique, je fais en sorte qu'elle s'allonge sur ce qui reste du canapé. Je me retire pour plus d'aisance dans mes mouvements. Si je dois m retrouver à lécher de la chantilly sur elle, sur un canapé que j'ai du explosé en le retournant, autant me mettre un minimum dans une position confortable. Je trace la première ligne de chantilly au niveau de son nombril. « Tu sais, ça sera plus terrible pour toi que pour moi. » La fois où elle l'avait fait on était pas ensemble, la sensation avait était... bizarre, mouillée et un brin bruyante. Le fait est que maintenant tout est différent, leur relation avait évolué et manger de la chantilly sur le corps de l'autre n'est plus vraiment un simple pari, mais soi, si elle y tient.Je me pencher pour lécher la première ligne tracé, de son nombre à la limite que doit avoir un sous vêtement. Je descends lentement, volontairement, je fais durer le plaisir. Puis je me redresse, retire rapidement le peu de chantilly qui restait sur le coin de mes lèvres.
Je suis encore armée de la chantilly et trace de deux de tailles égales à gauche et à droite de son bassin. En faite, je dessine l'aine. Je sais cette zone hypersensible, très sensoriel, rien qu'au touché on peut réussir à la faire se contracter. Une des nombreuses zones hérogênes du corps humain. « Level 2 ! » je lui laisse pas plus de temps pour réfléchir que je m'attaque à la bande du côté droit, puis du gauche, toujours doucement, lentement, j'efface le tracé chantilly. « On continue ou bien ? »
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Dim 8 Juin - 21:11
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Le jeu continuait, je rajoutais juste un ingrédient à l'équation pour obtenir le résultat final. J'avais une totale confiance en Andy et j'aimais l'improvisation, j'aimais changer constamment, mais les invariants sont toujours là et la chantilly fait partie de ces invariants que j'adorais utiliser. Au départ, ce n'était qu'un pari qui était – pour l'époque – totalement innocent et qui ne représentait rien pour moi. A cette même époque, Andy n'était qu'un ami, son torse était juste une partie annexe de son anatomie semblable à n'importe quel autre muscle, os ou organe. Aujourd'hui ça prenait une tout autre tournure. Je me contentais d'un regard approbateur, en effet c'était à son tour, sauf que cette fois la limite n'existait pas, l'interdit était factice et le romantisme était clairement bon pour le placard. C'était son tour, j'étais certaine que son imagination allait le pousser à la créativité. Trouver une position réellement confortable était vouée à l'échec, mon lit était occupé et mon canapé était à terre, cela signifiait qu'il faudrait se contenter des restes du canapé, le pauvre, il allait rentrer dans la catégorie des meubles bon pour la déchetterie... Le contact froid de la chantilly se fit sentir sur une partie de mon ventre, c'était proche de mon nombril et je ressentais déjà des frissons. Il me balança alors que cela serait plus terrible pour moi que pour lui, au contraire je trouvais cette sensation plutôt agréable, enfin si j'oubliais le côté collant et bave, mais je pensais à autre chose qu'à mon état après l'acte. Lentement je sentais sa langue et ses lèvres me caresser la peau. Je n'avais même pas le courage de répondre à sa remarque, tentant tant bien que mal de ne pas contracter et cambrer mon corps, car plus je résisterais, plus ça serait long et plus je sentirais Andrew se balader sur mon corps. C'était une sensation extrêmement plaisante, mais là ce n'était pas un pari, il n'était pas question de s'arrêter à la barrière du vêtement, qui était inexistante. Finalement je retenais mes supplications avec en mordant mon poing délicatement, je crois que le toucher était sincèrement mon sens fétiche. Mon plaisir semblait fini, partagée entre l'envie qu'il continue et le désir de dire stop... Il n'attendit pas mon avis pour s’exécuter. La fraîcheur traversa mon corps bouillonnant, deux traces de plus sur mes jambes, sauf que je tremblais comme une feuille, alors qu'il venait simplement de déposer la chantilly. Soudain, la voix d'Andy se fit attendre, retirant alors la main de ma bouche dans l'espoir de pouvoir lui adresser un mot, dressant ma tête dans sa direction – de ma position c'était très bizarre – le voyant déjà plonger sa langue sur mon bassin. Mon corps sembla se craquer une fois de plus, sentant Andrew prendre plaisir à ce qu'il faisait, j'étais sûre qu'il était heureux. « Oh la vache, bordel bordel bordel... » Je tentais de ne pas me montrer résistante, mais c'était difficilement faisable. Andy avait probablement fait son choix pour plusieurs raisons. Moi je tentais de calmer ma respiration qui s'accélérait à mesure qu'il avançait et lorsque je pensais la séance dégustation, il s'attaqua à l'autre côté. J'avais moins de force qu'Andy, donc même si je résistais de toute mes forces, il aurait le dessus. Il m'avait fait craquer, j'étais clairement en train de m'exalter, de jouir, d'en redemander simplement parce qu'il avait réussi à viser le point visible.
Finalement sa voix se fit entendre, il me proposait sérieusement si je voulais continuer. Oui, je voulais continuer, sans la moindre hésitation je voulais qu'on continue ce petit moment d'intimité si particulier. Affichant un sourire en coin. « Next. » Arquant alors un sourcil de manière vive, j'allais tester moi aussi, ses limites. Resserrant mes jambes sur lui pour l'attraper et inverser les positions, cela n'avait rien de glamour, mais au moins j'avais le dessus. Rattrapant alors la chantilly au passage. Sourire triomphant sur mon visage, il avait de la chance d'être sur le sol, s'il avait été debout, j'aurais été beaucoup plus loin que ce que j'allais faire. Plaçant alors seulement un doigt sur son torse, je ne déversais rien, j'allais aller là où moi aussi, je pouvais le pousser au plus loin. Me laissant finalement glisser jusqu'à ses attributs virils. Regardant alors Andy dans les yeux, j'osais, oui j'allais le faire. Passant alors une main délicate sur son anatomie... Je commençais alors – sans honte – à faire le tour de son attribut viril majeur, délicatement je faisais danser la bombe de chantilly autours, j'en fis trois fois le tour, pour finalement, à mon tour commencer à passer ma langue sur le corps de mon copain, sensuellement je caressais son pénis couvert de chantilly avec ma langue et j'en ferais trois fois le tour.
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Dim 8 Juin - 22:29
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Je la sens gesticuler et oui, je le reconnais c'est plaisant, parce qu'elle craque, parce que je suis plus fort qu'elle à cet instant précis. Je finis les deux traits blanc de chantilly avant de lui demander si elle veut continuer. La réponse ne se fait pas attendre, je sais pas trop comment elle s'y prend mais elle inverse position, bombe de chantilly en main, je suis sûr que je peux résister enfin tout dépend de quelle partie du corps elle s'attaque. Par réflexe, je place mes deux mains derrière ma tête en guise de coussin. Un doigt glisse le long de mon corps, je pensais qu'il allait être suivit par un trait non négligeable de chantilly mais non c'est plus bas qu'elle s'attaque. Mon aine ? Non encore plus vicieux. La chantilly recouvre une mon sexe, c'est froid ça colle, ça me fait frissonner alors qu'elle n'a même pas encore commencer. « Nan ! Tu ne vas pas.. oooh ! » Je suis surpris, elle commence à peine que mon corps réagi au quart de tour. C'est puissant, je suis submergé par une vague de chaleur qui part du bas de mon ventre et remonte dans mon corps entier. Je ne sais pas pourquoi on réagit à ce point quand notre attribut et directement en contact avec la bouche, je sais juste que c'est super agréable mais ça tue aussi parce qu'on en veut toujours plus. Je suis trop réceptif à ces conneries. J'ai les muscles qui se contractent encore et toujours, râle rauque qui m'échappe. Je ne sais pas si ce fut long ou rapide, du moins c'est trop court à mon goût. Je sais pas si je dois la laisser recommencer ou pas. Je pense que la capote est bonne à virer et j'ai pas envie de me déplacer jusqu'à mon portefeuille ou monter à l'étage, je pense pas non plus que Hope ait envie de ça. Je me redresse pour le retrouver en tailleur face à elle, j'embrasse ses lèvres alors qu'une de mes mains caresse son bras pour récupérer la bombe.
Son canapé est vraiment mort, je pensais pas le casser en inversant nos positions ni même le tacher avec de la chantilly, tant pis, un meuble de plus ou de moins à acheter ça ne va pas me tuer. J'appuie mon corps contre le sien pour la faire s'allonger. J'agite machinalement la bombe avant de recouvrir certaines parties de son corps, je fait incliner sa tête su côté gauche pour en mettre derrière son oreille droite, puis un peu au niveau de sa poitrine, je repasse un trait sur son nombril mais je descend jusqu'à son intimité et pour finir un peu à l'intérieur d'un de ses cuisses. Je passe mes bras sous ses cuisses histoire d'éviter qu'elle les referme subitement sous l'effet produit. Je commence par la trace intérieur de sa cuisse, je m'attarde même s'il y a plus de chantilly, puis je trace une chemin de bisous jusqu'à son intimité où encore une fois je m'attarde volontairement. Je remonter à son nombril, lâche ses cuisses pour plus de mouvements, j'arrive à sa poitrine et fini par l'oreille. J'avais tout fait très lentement et plus longtemps que prévu, mon corps entier et nu est collé au sien, je reste contre son oreille. « Je suis pas sûr que notre patience tienne longtemps dans une telle situation. » C'est un murmure suave, une souffle contre sa peau. Je ne me mets pas gagnant dans ce jeu si jamais un gagnant il y a.
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Dim 8 Juin - 23:19
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Je pourrais toucher, frôler, effleurer ou lécher n'importe qu'elle zone du corps d'Andy, mais la seule zone dont je pouvais être certaine d'obtenir une réaction, c'était son attribut masculin. Je pouvais admirer sa réaction en direct, je n'avais pas besoin de mots pour comprendre si ça marchait ou si c'était un foirage complet. C'était drôle de voir la réaction que cela provoquait chez un homme, je dois dire que j'en avais presque oubliée la protection alors que ma langue passait délicatement et lentement sur sa virilité en réaction à mon contact. Il ne pouvait même pas le cacher, mais ça me faisait un effet, probablement moins qu'à lui, j'aimais bien me laisser croire que j'étais la première à lui faire un truc du style. Comme je le prévoyais, il me fallut trois tours pour le débarrasser entière de sa chantilly, ma langue repassa néanmoins rapidement, mais ça c'était juste pour continuer mon petit jeu, ce n'était pas du tout pour retirer la chantilly. Je pouvais sentir ses mouvements, ses respirations, d'ici j'avais l'impression d'être au centre de toutes les sensations. Je me sentais franchement puissante pour le coup. Finalement, c'était fini pour mon petit tour de manège avec ma langue, l'expérience serait à retentée, et je ne doutais pas qu'Andy ne serait pas contre. Finalement le voilà de nouveau contre moi, embrassant de nouveau mes lèvres et glissant ses mains sur mon bras, pour attraper la bombe. Je savais bien que cela ne s'arrêterait pas là. Il me fit glisser à mon tour, je crois que lui et moi avons un sérieux problème, voir des sérieux problèmes. Je savais qu'au moment ou Andy jouerait avec mon corps, ça allait me faire réagir et qu'ensuite les rôles s'inverseraient, c'était sans fin, c'était jusqu'à ce que la fatigue l'emporte, cela ne serait pas mon cas, je suivais bien le rythme, il lui suivait remarquablement bien à mon plus grand bonheur.
Il commença par m'en déposer sous mon oreille droite, pour le moment c'était plutôt sobre. Ensuite il descendit plus bas au niveau de ma poitrine, cela restait encore anodin pour lui et pour moi, même si lorsqu'il passerait sa langue sur mes seins, ça serait une toute autre histoire. Il continua sa traversée jusqu'à mon nombril, mais cette fois-ci il s'arrêta plus loin que la fois précédente, il allait jusqu'au bout. Cela descendait jusqu'à mes cuisses, c'était le niveau au dessus, il avait réussi à dépasser son ancienne tentative, bravo à lui. Je le sens se saisir de mes cuisses, c'était froid, mais pas au point de me faire faire un blocus total. Je sentis alors sa langue se déposer sur ma peau, oaky là je sentis mon corps brusquement réagir. Un mélange d'adrénaline et de désir.« ah nan, nan... » Finalement ça ne servait à rien et ce n'était pas un véritable non, c'était simplement plus fort que moi et à l'instant même ou il séjourna non loin de mon intimité, je sentis mes mains faire pression, mais je n'avais rien à quoi raccrocher, je n'avais rien pour évacuer la chaleur qui montait en moi depuis déjà trop longtemps. « Ah bah sii...» J'avais l'impression de me faire dévorer, c'était terriblement excitant de le sentir entre mes jambes, là où personne ne pouvait aller, sauf lui. Chaque seconde me semblait trop courte, je le sentais remonter vers mon nombril, cela me sembla bref, trop bref. Je sentais la chaleur d'Andy remonter avec lui, je voulais qu'il continue me toucher, mais je voulais aussi sentir ses lèvres sur les miennes, bref j'étais jamais contente dans le fond. Enfin si j'étais toujours contente, mais je pouvais pas avoir les deux, mais me faire embrasser de partout était très agréable. Il était de nouveau collé à moi, ses lèvres collées à mon oreille. Je pouvais ressentir son souffle rauque et entendre les vibrations que faisaient sa voix. La capote était foutue, j'avais foutue la capote en l'air en fait, je ne regrettais pas. « Notre patience ne va pas tarder à se laisser dévorer. » J'étais sérieuse, je n'allais pas attendre qu'une autre capote tombe du ciel, je n'allais pas me rhabiller. La seule solution c'était de trouver son porte-monnaie, ou alors de monter dans la salle de bain, non franchement je serais incapable de redescendre s'il montait avec moi à l'étage.
Même si la sensation de Andy sur moi était plus qu'agréable, sentir son pénis frôler mon intimité n'était clairement le bon plan lorsque j'avais qu'une envie c'était de cambrer mon corps pour forcer l'union. Attrapant alors la nuque de Andy, retournant – encore – les positions pour me retrouver au dessus de lui en prenant garde à ne surtout pas lui briser son attribut. Mes lèvres virent dévorées sa nuque, mais cela ne dura qu'un instant. « Où es-ton porte monnaie ? » S'il fallait que je me lève pour trouver cette saloperie, je le ferais. En tout cas ma main attrapa sa verge et en retirant la capote et la balançant avec le reste du bordel. « Elle, elle est foutue, et je refuse d'abandonner ton corps qui est à moi jusqu'au levé du soleil. » J'avoue, là je voulais vraiment trouver son porte-monnaie.
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Lun 9 Juin - 13:21
He's gone
La capote est fichue, même si sur le moment ça ne m'avait pas vraiment dérangé, j'avais l'esprit ailleurs. Je sais qu'à ce rythme on ne va pas tenir très très longtemps. Elle demande où est mon porte feuille, et je dois alors réfléchir, j'ai pas envie de réfléchir. Je finis par me retrouver sur le dos, et j'ai pas envie qu'elle se lève parce que je suis bien. Je veux pas qu'elle s'écarte de moi, elle a beau dire que mon corps lui appartient jusqu'au levé du soleil -et c'est d'ailleurs réciproque- je ne veux pas qu'elle bouge. « Dans mon jean. » La réponse la plus rapide jamais prononcé jusque là, en même temps au même moment, Hope se débarrassait du préservatif naze. Un courant électrique traverse une fois encore mon corps. Non je ne veux vraiment pas qu'elle se lève ? Mes bras passent dans son dos et j'exerce une légère pression pour qu'elle se retrouve allongée sur moi. Mon visage passe dans son cou. « Je ne... veux pas... que tu... te lèves... » Chaque interruption de ma phrase se solvait d'un bisou dans sa nuque. Je sais ce n'est pas raisonnable, il faut sortir couvert, les MST, les bébés, je sais c'est mal. Je suis le premier à prôner le préservatif pour toutes ses raisons mais là, la situation est différente.
Mais bon, je suis assez raisonnable pour finalement la laisser se relever après quelques secondes de supplication. Ceci dit, il est hors de question que je la laisse chercher seule, enfin si, mais que je ne lui rende pas la tâche plus compliquée. Je n'ai pas vu où elle a jeté mon jean, parce que je m'en foutais quand elle l'a fait. On se retrouve debout, moi derrière elle, je colle mon corps au sien, vu la vague de chaleur qui suit ce n'était peut-être pas une si bonne idée que ça. Je déplace ses cheveux d'un seul et même côté pour pouvoir embrasser l'arrière de sa nuque, mordiller la peau peau de son épaule. « Alors, tu trouves ? » Moi, je ne cherche pas, j'ai pas envie de chercher, j'ai envie de son corps contre le mien. Je peux me la jouer super collant quand j'ai envie. Je sais que je ferais rien sans préservatif mais j'ai pas envie de le chercher, je veux la taquiner, l'embêter, qu'elle me supplie d'arrêter... ou pas... Mes mains passent devant son corps, je glisse mes doigts le long des côtes, chatouille le haut de ses cuisses. J'ai la sensation qu'on avance au ralentit, en même temps j'espérais pas qu'elle court un trois cent mètres. Je finis par approcher ma bouche de son oreille pour lui souffler. « J'espère pour toi que tu vas vite trouver. » Moi ? Diabolique ? Non du tout !
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Lun 9 Juin - 14:24
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Hold on,What’s the rush, What’s the rush We’re, not done away Cause I don’t need to change this, Atmosphere we’ve made if you can stay one more hour, Can you stay one more hour ? You know I’m gonna find a way to let you have your way with me You know I’m gonna find a time to catch your hand and make you stay Hold on, I’ll be here when it’s All done you know Cause what’s the point in chasing If I cant enjoy your face and We cant be wrong tonight, Can we be wrong tonight ?
Il se foutait de ma gueule ? Dans son jean ? Ce même jean que j'avais gracieusement virée pour le voir s'envoler dans la pièce ? Il était sérieux, il me faisait chier là tout de suite, mais j'avais pas la foi d'aller chercher une protection à l'étage et étant donné ma position actuelle, je serais incapable de gravir les marches correctement, puis la séparation avec Andy serait insupportable. Il me rapprocha de nouveau de lui, j'étais pas prête de trouver son jeans si j'étais collée à son corps. Il me poussait à bout, il jouait avec moi, c'était vraiment pas gentil, surtout que c'était lui qui tenait énormément à cette protection, même si l'idée de tomber enceinte ne m’enchantait pas je faisais l'impasse de cette idée à cet instant précis. Son visage semblait s'ancrer dans mon cou. « Respire, ne gémit pas, respire ». C'était la seule manière que j'avais pour tenter de canaliser mes gémissements et mes respirations, c'était la seule solution pour contrôler pour corps qui se foutait royalement de la protection. Malheureusement, mon cerveau était toujours actif et il semblait bien décidée à me faire chier. Finalement, ma technique de respiration fut vouée à l'échec lorsque je sentis des murmures et ses baiser sur ma peau je laissais s'exprimer une respiration perdue parmi toutes celles que j'avais refoulées quelques instants plus tôt. J'avais l'impression que ce petit moment dura une éternité, moi qui trouvait ça trop court d'habitude, là j'avais la sensation que plus il m'attirait vers lui, plus je cédais sans remords. Je ne devais pas poser mes mains sur son corps, je ne devais pas non plus couvrir son corps de baiser et je devais encore moins chercher à le provoquer, pourtant je le voulais, désespérément. Je ne voulais pas me lever, le vicieux, il savait que me lever était justifiée.
Finalement, il me libéra, enfin libérer est une question de point de vue, j'étais bien moi. Contre toute attente il se leva avec moi, au départ je pensais que c'était pour accélérer les recherches et retrouver cette merde au plus... Je me trompais, lourdement, mais vraiment je pensais pas que j'étais capable de me tromper à ce point. Il colla son corps au mien – premier gémissement – et passa mes cheveux d'un seul et même côté pour ensuite déposer ses lèvres sur ma peau – deuxième gémissement, - c'était insupportable et pourtant tellement plaisant. Je sentais mes jambes vaciller, comme si ces dernières refusaient – elles aussi – de chercher. J'avais l'impression de tourner de l'oeil, mes yeux se perdant d'abord sur ce qu'était en train de me faire subir Andy. Posant alors une main sur mon ventre dans l'espoir – stupide – de sentir ma respiration se calmer. Je tentais tant bien que mal d'avancer, c'était pas top comme marche. Mon corps brûlant semblait fondre au moment même ou il me posa la question. Bordel de dieu que même sa voix me donnait envie de me retourner et de l'embrasser, depuis qu'on était débout, je ne cherchais pas, mon regard se perdait un peu partout. Le comble de mon désir fut atteint lorsque ses mains commencèrent à se promener partout sur mon corps. Un rire nerveux échappa de mes lèvres, vraiment il était dangereusement sensuel. « Tu en fais exprès... » Comment ? Comment pouvait-il espérer, comment un être humain normalement constitué pouvait-il croire que j'allais chercher ? Andy était collé à moi – pas que son torse, tout son être – et ses lèvres frôlaient mon corps tandis que ses mains semblaient se promener comme s'il tentait de vérifier que mon corps n'avait pas changé en deux putains de minutes.
Trouvant finalement la force de balayer la pièce du regard, il fallait que je trouve ce jean et son contenu. Je plaquais une main sur la nuque d'Andy et l'autre dans son dos. J'étais conne, je voulais qu'il continue, alors que je devais chercher. Mon regard cherchait alors qu'il se glissa à mon oreille, il voulait m'achever. Pour moi ? Il pouvait parler, il serait tout aussi frustré que moi si je ne trouvais pas ce putain de jean. « Continue ce que tu as commencé... Je m'occupe du restetuhhh. » Sentir son corps tout entier me perturbait sincèrement, si au moins il avait de la retenu, mais un mec ne pouvait pas en avoir ! Je voulais qu'il continue, je voulais aussi trouver le préservatif. Je voulais tout à la fois, mais j'avais l'impression qu'à chaque fraction de seconde qu'il me touchait j'allais m'écrouler, m’effondrer et m'abandonner à lui entièrement. Mon regard tomba enfin sur le jeans qui était au coin du bar. Il fallait seulement faire quelques pas, des minuscules pas qui pourtant me semblait une éternité. Je n'avais pas envie de me décoller de lui, je voulais continuer à sentir sa chaleur et son odeur m'envahir. J'allais encore user de la magie, okay je commençais à m'en servir très souvent avec lui. Concentrant mon regard uniquement sur ce que je voulais à l'intérieur du jean, le reste je m'en fichais. L'objet tant désiré lévitait, mais un gémissement me fit perdre le peu de contrôle que j'avais sur moi et laissant tomber la protection sur le bar. C'était mon karma, bordel.
Je n'avais pas le choix, il fallait changer les rôles et je n'allais plus profiter de ses caresses ni de son corps. Me retournant alors pour lui faire face. « Pour moi, hein ? » Affichais un rictus au coin des lèvres et l’entraînant alors avec moi jusqu'à sentir mon dos se fracasser contre le bar, la délicatesse ne serait pas mon atout de ce soir. Il me suffisait de tendre la main pour attraper la protection, mais j'ai préféré jouer les troubles faites. J'allais lui faire subir ce qu'il m'avait endurer, on verrait bien s'il était plus résistant que moi. Lui, au moins, il pourrait se raccrocher au bar. Commençant alors à dévorer son cou de baiser langoureux pour glisser sa main jusqu'à son sexe. « Pour moi. » Abandonnant son cou pour délicatement me glisser plus bas, j'étais prévoyante, je n'allais pas bousiller une deuxième capote, donc je jouais maintenant. Après il serait trop tard pour s'amuser avec sa virilité.
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Lun 9 Juin - 15:06
He's gone
« Continue ce que tu as commencé. » Bon ça ne serait pas la supplication d'arrêter mais ça me va aussi, continuer ne me dérange pas le moins du monde. Je l'embrasse partout, je touche tout ce que mes mains peuvent toucher. Marcher s'avère compliquer et elle m’incite pas à arrêter quand j'entends sa respiration se saccader. Hope finit toutefois par s'arrêter, je redresse la tête pour voir pourquoi et c'est mon jean quand je trouve quelques mètre plus loin au pied du bar. Je vois ensuite mon portefeuille léviter et un préservatif en sortir, il tombe sur le bar -amen.- Hope se retourne m'attire vers elle jusqu'à ce que son dos percute le bas, disons que je l'ai un peu aidé. « Ça va ? » Elle répond pas, c'est que ça dois aller. « Pour moi, hein ? » J'aime pas ce sourire sur ces lèvres, enfin si mais comment dire, je sais qu'elle va se venger, elle n'est pas du genre à passer l'éponge comme ça. Ses lèvres s'attaquent à mon cou, pour le moment ça je peux encore plus ou moins gérer, enfin c'est ce que je pense jusqu'à ce qu'une de ses mains se glisse entre nous, effleurant volontairement mon pénis. C'est mal, c'est mesquin ça. Je mords l'intérieur de ma joue pour réprimer un souffle qui aurait été plus bruyant que je ne l'aurais voulu. Je suis pas au bout de mes « peines », elle vient à se mettre à genoux. « Non... Non... Non... » C'est inutile, je le sais et avant de sombrer je m’accroche par réflexe au bar, mes muscles se contractent déjà, j'aurais peut-être pas du jouer à ce jeu avec elle, enfin si mais voilà... « C'est juuuuste.. ooh ! » Ou comment perdre toute virilité quand ta voix devient celle d'un gamin de 8 ans, de passant de grave à aigu. J'ai le corps qui réagi au quart de tour mais ça ne me gêne pas plus que ça, mon esprit est ailleurs, trop occupé à éviter de passer pour un homme de cromagnon mais c'est vain je peux pas réprimer tous les râles rauques qui me submergent. C'est encore pire qu'avec la chanitlly, j'ai la peau à vif, je ressens tous beaucoup plus fort. Moi j'ai été gentil, je me suis pas attaqué à des zones trop sensibles, quoi que... J'ai une main qui cherche à tâtons le préservatif, je me dis que plus vite je m'empare de ça plus vite ça cessera, même si ce n'est pas désagréable ! J'ai le saint Graal en main -je dis ça mais je suis pas croyant- coïncidence ou non, Hope relève quasi au même moment. Mes muscles se relâchent un peu. Je la fixe j'en reviens pas qu'elle ait osé faire ça. Mon corps se collent au sien, une énième vague de chaleur m'envahit. Je m'approche de ses lèvres sans pour autant l'embrasser. « J'espère que ton bar est solide. » Je crois qu'on est plus à un meuble près. J'attends pas sa réponse que j'ai déjà mes mains sur sa taille pour la faire s’asseoir dessus. Elle est plus grande que moi mais ce n'est pas énorme. J'ai ses jambes de part et d'autres de mon buste. Mes mains se glissent entre ses cuisses caressent son intimité alors que mes lèvres sont au niveau de sa poitrine. Je veux être partout.
Je fais durer le supplice, jusqu'à ce que moi même je n'en puisse vraiment plus d'attendre. Je récupère la capote défait l'emballage. Je grimpe de façon plus ou moins élégante, je m'en fou, c'est pas vraiment envie d'être délicat, ça fait trop longtemps que j'attends. Quelques minutes certes mais c'est déjà trop. J'entre une seconde fois en elle, alors que mes dents jouent avec son lobe droit avant de déclarer dans un souffle. « Tu es démoniaque. »
FICHE ET CODES PAR RIVENDELL
Jillian Hale
morsures : 7519 inscrit(e) le : 20/07/2013 célébrité : jennifer lawrence crédits : tumblr & bazzart & BLASPHEMY
Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Lun 9 Juin - 16:02
« He's gone »
Hold on,What’s the rush, What’s the rush We’re, not done away Cause I don’t need to change this, Atmosphere we’ve made if you can stay one more hour, Can you stay one more hour ? You know I’m gonna find a way to let you have your way with me You know I’m gonna find a time to catch your hand and make you stay Hold on, I’ll be here when it’s All done you know Cause what’s the point in chasing If I cant enjoy your face and We cant be wrong tonight, Can we be wrong tonight ?
Cette soirée était délirante, elle dépassait tous mes fantasmes. Bon faut dire depuis la réserve je pensais sincèrement qu'il était difficile de pousser le vice encore plus loin que ce ne fut durant cette fameuse après-midi. Je savais qu'Andy pouvait encore me surprendre, me ramener un gosse chez moi était le parfait exemple d'une surprise, mais sinon je m'attendais plutôt à des trucs que faisaient les couples normaux, je sais pas moi, des cadeaux, des restaurants en amoureux ou même des mcdo ! Non, rien de tout cela. C'était tellement mieux les surprises que j'avais avec lui, ça valait toutes les boites de chocolats et toutes les fleurs au monde. C'était exaltant, c'était puissant et le mieux dans tout ça, c'était à moi. Je n'avais même pas envie de lui répondre, j'allais bien, il le savait pertinemment et si je n'allais pas bien il l'aurait découvert, soit par des mots ou bien des geste, étant donné l'état actuel des choses, j'étais plutôt pour des gestes. Les mots avaient peu de valeurs, si ce n'est pour se chercher mutuellement je n'en voyais pas réellement l’intérêt. C'était simplement pour accentuer le moment, et voir lequel serait incapable de répondre en premier, pour le moment cela marchait à tour de rôle. Je lui réservais le même sort qu'il m'avait imposé durant notre longue – et très lente – marche jusqu'au jean. C'était drôle, je me glissais pour finalement me retrouver à genoux. Je me demandais pour qui la sensation serait la plus agréable. Pour moi, qui reprenait le dessus et le voyait subir sans résister ? Ou lui tout simplement par le plaisir que cela devait procurer ? Je préférais ne pas trop me poser la question et me dire que de toute façon, c'était bon pour lui comme pour moi.
L'entendre quémander que j'abandonne mon projet était excitant et m’incitait à clairement poursuivre dans ma lancée. Je n'allais pas faire marche arrière, je préférais me dire qu'il disait ça en l'air, au fond il en avait autant envie que moi. J'étais face à sa virilité, levant rapidement les yeux pour voir sa réaction, je donnerais beaucoup pour voir avec quelle force il allait résister et surtout avec quelle force il allait comprimer le premier objet qu'il trouvait. C'était tellement agréable de posséder ne serait-ce qu'un instant, l'objet des désirs de n'importe qui - qui aimerait les hommes évidemment. Cette fois, avait rien, il y avait son sexe sans protection contre mes lèvres et ma langue. J'adorais ça, rien que de l'entendre, cela me donnait des frissons. Il espérait quoi ? Il trouvait cela injuste et vicieux ? Probablement, j'assumais totalement que mon seul objectif était d'être plus vicieuse que lui. Ma langue passait tendrement autours de de sa virilité alors que mes mains malaxaient ses cuisses ainsi que le bas de son dos. Ma respiration retrouvait enfin un rythme normal, alors que j'imaginais celle d'Andy devenir plus forte encore, j'imaginais ses mains s'enfoncer dans le bar. Il ne me supplierait pas d'arrêter, je ne l'avais pas fait, cela serait trop facile s'il en était ainsi. Je n'avais pas de retenue, je me fichais de passer pour la demoiselle avec la plus petite vertu qu'il connaissait, ça m'excitait et je sentais son excitation en mouvement contre ma langue. Je ne voulais pas réfléchir si c'était bien ou mal, le résultat était là. Finalement, j'embrassais une dernière fois son attribut masculin avec passion pour finalement me redresser et me retrouver face à lui.
Il ne semblait pas en colère – ça voulait rien dire, il allait se venger, - il reprenait son souffle alors que le mien descendait, je voulais pas que mon souffle redevienne normal. Au moment même ou il colla son corps ou mien la sensation d'électrisation et de chaleur revint en moi. Il rapprocha son visage de moi, je sentais son odeur m'enivrer, il rapprocha ses lèvres. Il ne m'embrassa pas, il se contenta de faire une remarque sur le bar. Cette remarque était vicieuse d'ailleurs, il faisait très certainement référence aux cartons et au canapé. Ce n'était pas MA faute ! J'étais simplement en partie la raison du retournement de canapé. « On verra bi... » Pas le temps de finir mon mot « bien ». Il me coupa et me souleva, ça devenait une habitude, même plus besoin de faire de pratiquer une activité sportive, je me dévouais corps et âme pour lui faire pratiquer une activité physique... Symbole de ma générosité grandissante, évidemment.
Ses mains, ses lèvres et son corps tout entier me paraissait me caresser. La première sensation fut quand ses lèvres vinrent se plaquer contre ma poitrine, c'était comme des baisers embrassés. Chaque contact me dévorait et mon corps semblait s'embrasser. La question était, où se trouvaient ses mains... Je m'en doutais, j'étais assise sur le bar, comme si ses mains allaient se contenter de jouer avec mes cheveux et mon dos... Je le savais plus intelligent que ça. Ses mains se promenait entre mes cuisses et mon intimité qu'il avait déjà visité il y a quelques temps. « Pritchard ar-rê-tte... ça... » C'était énorme pour moi, il était partout, à la fois en train de caresser ma poitrine et de jouer avec ma féminité. Je ne voulais pas qu'il arrête, pas plus que j'avais l'habitude de le dénommer par son nom de famille...
Le voilà alors en train de me rejoindre sur le bar, il avait fini son petit manège... Le jeu était donc terminé et il avait gagné, même si je ne repartais pas les mains vides. Je pensais qu'il allait attendre encore un instant, qu'il allait profiter pour me pousser à bout, finalement il pénétra en moi. « hummmm. » Un cri perçant retentit, je n'avais absolument pas contrôlée mes gémissements. J'avais pas l'habitude de jouer, de baiser, de jouer et de baiser à nouveau. Je rattrapais plutôt bien mes années sans sexe, franchement j'avais de la chance d'être tombée sur quelqu'un comme Andy d'aussi... Patient et créatif ? Il enfonça le clou - en même temps que je gémissais - en me décrivant comme démoniaque, c'était plutôt ironique. « Ironique de votre part Andrew Samuel Pritchard. » Oui, maintenant que je connaissais son nom complet, j'allais le lui ressortir. Mon corps une fois de plus était uni à lui. Le bar était pas spécialement agréable, mais c'était toujours mieux que le sol et puis mon lit étant pris, il faudrait bien s'occuper cette nuit... Plaquant mes deux mains sur son torse pour se glisser dans son dos et cette fois c'est moi qui le rapprochait encore plus mois, c'était toujours plus plaisant. Me rapprochant alors de son oreille alors que j'embrassais finalement sa joue par des baisirs vifs et discrets. « Tu auras ma mort.»
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Sujet: Re: MF - march 2016- He's gone - HOPY [hot p4] Lun 9 Juin - 17:46
He's gone
Je peux me montrer classe, distingué, délicat, mais au point où on en est faire des manières n'a pas d'intérêt. Je veux plus attendre, je veux plus jouer, je la veux elle et seulement elle. J'ai pas envie de faire plus d'artifices, plus de fioriture . Je veux son corps contre le mien, je veux de l'amour crus dans blabla inutile. Je l'aime.
Je me qualifie pas comme un accro au sexe -ou seulement avec Hope alors- ouais je connais pas grand chose à l'amour. Mais je suis bien, je veux retrouver ce plaisir viscéral, parce que j'avoue je suis un gros nounours en manque d'amour. Je suis pas spécialement fort, je suis intensément faible quand il s'agit de parler de sentiment. Je la trouve diabolique, je lui dis. Les femmes sont tentations, Hope est ma tentation. Ma kryptonite. Elle dit que c'est ironique de ma part et mon nom complet résonne dans mon oreille. Elle a retenu ça. Puis elle dit que j'aurais ça mort. Ah non, ce n'est pas le moment de parler de ça, même si je sais que ce n'est qu'une image. Je lui en tiens pas rigueur. Ma respiration s'accélère au rythme des vas et viens. Mon visage se niche encore dans son cou, j'embrasse sa peau, sent son odeur qui se mêle à la mienne. Je me doute que le bar est moins confortable qu'un lit, mais là pour le moment faut faire avec. J'inverse nos position le plus délicatement possible car le bar n'est pas non plus très large. « Inv..investir... dans... des.. gros... gros meubles... » Je sais pas pourquoi j'essaye encore de parler ça s'avère plutôt compliquer, je sais aussi qu'elle fait rien pour m'aider à articuler, je vais pas non plus dire que cela me gêne. Mes mains glissent dans son dos, descends sa chute de reins, s'arrête sur ses fesses pour finalement emprunter le chemin inverse, je tortille quelques que mèches de cheveux entre mes doigts. J'adore jouer avec ses cheveux. J'aime son corps entier.
C'est plus fort que moi, il faut que je reprenne le dessus, énième changement de position maladroit. Je la surplombe un instant, elle est magnifique. Je retourne contre ses lèvres l'embrasse avec passion. Je suis peut-être un peu pressent dans mes mouvements, maladroit, je sais pas je laisse parler mon corps à défaut de faire parler ma raison. J'ai pas besoin de réfléchir j'agis par instinct, par envie. Je veux plus lui donner que recevoir, je veux m'oublier.
J'aurais aimé ouvrir la bouche, mentionner une douche mais ma respiration s'avère déjà assez bruyante au fur et à mesure que le rythme s'accélère. Un gémissement m'échappe, je sais pas trop ce qui s'est passé ou ce qu'elle a fait, si on part du principe qu'elle a fait quelque chose de particulier.