GROUPE UN ► intrigue, acte I.

INTRIGUE , ACTE I (G1)

C'est le jour J, nous y sommes. Pendant que les habitants de la Nouvelle Orléans sortent du travail, se préparent à faire la fête ou cherchent de quoi occuper leur soirée, un petit groupe s regroupe peu à peu près des quais. Valises en main, chacun arrive au lieu de rendez-vous sans vraiment savoir ce qui l'attend. Tout ce que Klaus leur a dit, c'est qu'il fallait prévoir des bagages, sans pour autant s'encombrer de choses inutiles. L'essentiel, rien que l'essentiel leur a-t-il dit...

Une multitude de bateaux sont amarrés, allant du petit bateau de pêcheur au grand bateau à voile. Près de l'un de ces derniers, l'Hybride attend, les bras croisés et le regard lointain.

infos à prendre en compte

Pour vous donner une idée géographique de là où vous vous trouvez, voici une carte indiquant le point de départ des deux groupes.

Afin de ne pas bloquer l'avancement de l'intrigue, il n'y aura aucun ordre de passage. Chacun peut poster autant qu'il veut, quand il veut. Si un autre membre poste pendant que vous écrivez votre propre réponse, pas de panique ! Il vous suffira d'adapter la fin de votre post suivant la réponse du joueur précédent.

=> Ciara et Katherine sont libres de choisir leurs groupes. Néanmoins ! Une fois que vous aurez posté dans l'un d'entre eux, vous devrez vous y tenir. N'oubliez pas que vous allez devoir voyager avec le reste de l'équipe.

Personnes concernées

- Niklaus T. Mikaelson
- Wayne C. Blackwood
- Ethan M. Stevens
- Szayel S. Evenssonn
- Hayley Marshall
- Camille O'Connell
- Amber S. Hope
- Marie J. Laveau
- Mary S. Warren

? Ciara F. Keegan
? Katherine Pierce

Pour finir...

Si jamais vous avez des questions concernant l'intrigue, veuillez vous adressez par Mp au MAIRE ou à Niklaus directement.

HAVE FUN

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... ... ...

The Cure

∞ It's time to change the world

Je tournais mon volant en direction du port laissant tomber mes lunettes de soleil bon marché sur mon nez pour empêcher le soleil de m'éblouir. C'est très nettement que j'ai repéré une personne, droite et les mains jointes près d'un bateau comme nous les voyons dans les films. J'avais l'impression de m'embarquer dans le tournage d'un film et que j'allais terminer sur la plage d'une île brumeuse à pourrir comme une anguille avant qu'un singe géant nous écrase. Foutue écologistes.
Ouvrant la portière de ma caravane branlante, je demande à un homme de couleur noir de sortir mes quelques bagages de l'arrière. Le strict minimum : quelques vêtements de rechange, des gourdes, des lampes torche et deux trois conneries en plus... Sans oublier des talismans, des philtres et des poupées accompagnés de quelques ingrédients. C'est un peut la trousse de secours édition vaudoo.
Rejetant au dessus de mon épaule plusieurs tresses, je m'avance vers l'hybride, une main sur la hanche tandis que l'autre se balançait au gré du vent. Un sourire légèrement en coin j'ouvre enfin les lèvres pour saluer mon dernier partenaire de crime.
-Quelle ravissante journée vous nous apportez là mon, cher !
Arrivant devant lui, à quelques mètres, j'ajuste mon collier de breloques oranges et rouges, à sortis avec mon ensemble léopard sous une veste en cuir rouge. Ravissante pour de nombreuses raisons : j'adorais voyager, et même si je savais que je n'allais pas à l'île Maurice, je pouvais un peut respirer l'air frais en changeant d'horizons. Ensuite Canard Toilette était bloquée à Mystic Falls, au moins elle ne nous fera pas chier pour un moment. Je gardais précieusement la clé de sa guérison sur moi.

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Klaus avait donc décidé de lancer une expédition et c’était parce que j’avais passé un marché que je me retrouvais dans cette merde. Je dois dire que je me serais bien passé de cela, cependant j’y voyais mon intérêt. Il voulait détruire la cure et j’étais de son avis. Bien entendu par pour les mêmes raisons. Si moi, j’avais la noble quête de m’assurer qu’il reste des ennemis aux vampires sur cette terre, lui avait le désir vile d’agrandir sa famille de saleté d’hybride. Et rien que l’idée de me retrouver avec toute cette bonne me donnait envie de vomir. Mais avais-je le choix ? Malheureusement non. Bien que je pensais avoir trouvé un moyen certain me permettant de retrouver mes pouvoirs, je n’étais pour autant pas sur à cent pour cent de la réussite. Je préférais donc garder l’hybride dans mes faveurs afin qu’il tienne sa parole. Arrivant sur le port, je vie un énorme bateau à voile qui me faisait penser à mon époque. C’était particulièrement désagréable. Sortant de ma voiture, je claquais la portière un sac de sport à la main. Klaus était déjà là en compagnie d’une femme que je ne connaissais pas et dont je n’en avais rien à faire pour être honnête. M’approchant de ces deux là, je m’arrêtais à leur hauteur tout en soupirant. « Il y a un dicton qui dit qu’un homme a besoin de montrer ses possessions et sa richesse pour compenser un manque. » Posant mon regard sur Klaus, je descendais lentement mon regard jusqu’à son entre-jambe avant de remonter rapidement pour lancer un regard froid. Claquant de la langue, je continuais mon chemin pour grimper sur le bateau. Pour ce voyage, j’avais décidé de dire au revoir au glamour, préférant un bon jean, des vêtements de convenance et des bonnes paires de basket.

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The Werewolve's Cure
my hybrids and cie...

Les bras croisés, le long des quais, je trépigne d'impatience. J'ai déjà fait vérifier le bateau trois fois, ainsi que tout le matériel nécessaire et les membres de l'équipage - manque donc plus que mes "invités". Je leur ai donné une heure bien précise, non loin du crépuscule. Pourquoi ? Parce que je compte bien profiter de la tranquillité de la nuit -et de leur sommeil- pour surveiller et m'assurer que tout se passe bien durant ce début de voyage. Le bateau n'est pas tout neuf. Il a beau avoir subit des modifications pour s'adapter à l'ère nouvelle, il n'a pas autant navigué depuis des années - pour ne pas dire des siècles... et je ne veux pas qu'un abruti le bousille bêtement. Je prendrait les commandes moi-même s'il le faut mais, je refuse de laisser mon bateau entre les mains du type que j'ai contraint sans m'assurer d'abord qu'il est digne de le diriger.

Si je m'écouterais, je virerai le capitaine avant même de prendre la mer mais, malheureusement, je ne peux pas me le permettre. J'ai des indications à donner à mes hommes, aux sorcières qui m'accompagnent... sans parler des deux femmes que j'ai tenu à garder près de moi. C'est idiot -et je le sais- d'avoir tenu à emmener Hayley et Camille mais, il était hors de question que la première reste sans surveillance à la NO. Quant à Camille, elle ne pourra que s'en plaindre à elle même si jamais je viens à agir d'une façon qui ne lui plait pas. Je l'ai invitée justement pour ça, pour qu'elle se rende compte que je ne suis pas digne de la confiance qu'elle tient tant à instaurer entre nous...

" Quelle ravissante journée vous nous apportez là mon, cher ! " Je tourne ma tête, pour découvrir la première arrivée. " Tiens donc ! Pourquoi ne suis-je pas surpris de te voir arriver la première ? " Mon regard se pose sur l'homme portant les bagages au loin. " J'avais dit l'essentiel il me semble, non ? " Mais avant qu'elle ne puisse répondre à ma question, une deuxième "invitée" montre le bout de son nez. " Il y a un dicton qui dit qu’un homme a besoin de montrer ses possessions et sa richesse pour compenser un manque. " Les mains jointes, je baisse la tête pour masquer un sourire amusé. Elle semble oublier mais, tant que notre marché n'est pas conclu, elle fait partie -elle aussi- de mes possessions. " Je te présente notre guide... " lance-je à Marie lorsque l'autre Mary s'éloigne vers le bateau. " ...mais vous aurez tout le temps de faire connaissance. " Mon regard se repose sur le parking, espérant voir arriver les autres au plus vite.

Codes par Wild Hunger.

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L'heure du départ

Don't believe the things you tell yourself so late night and
You are your own worst enemy

Camille & Cie

En fermant ma valise, un doute m'envahissait. Cela faisait huit mois que je n'avais pas bougé de la Nouvelle Orléans. Ma maison me semblait vide, désespérément triste. Elle ne faisait que miroiter l'ambiance dans laquelle j'avançais depuis la mort de Sean. D'un soupir décidé, je relevais ma valise, la posait à la porte et allait chercher ma veste. Mes gestes étaient mécaniques, tel un automate, je ne faisais que répéter des gestes qui n'étaient plus les miens : les gestes d'un proche départ. Néanmoins, mon regard fut arrêté par un objet qui brillait sous les derniers rayons du soleil qui traversaient ma fenêtre. Le cadeau ! J'avais failli l'oublier. Il était tout emballé et je ne faisais que le retourner entre mes fins doigts. C'était particulier de lui offrir son cadeau de noël dans ces circonstances, mais qu'importe. Il y aurait peut-être quelques secondes où je pourrais le lui glisser entre les mains sans que personne d'autre ne me voit. Discrétion serait donc de mise. Il faut dire que je n'avais pas non plus dans l'intention de danser au milieu de tous les autres participants. Je craignais d'être mal vu, quel intérêt avais-je pour eux après tout ?

J'ouvris ma porte d'entrée d'un geste incertain. Jusqu'au dernier moment, j'hésitais. Je finis par pester contre moi, ne pas l'abandonner : règle n°1. Oui, ce serait un abandon de rester à la maison et de ne pas faire l'effort de m'affronter à la réalité, plutôt qu'à l'encre qui s'inscrivait sur le papier lors de nos séances d'écriture. J'avais laissé toute forme de talons à la maison, curieux, n'es-ce pas ? Mes deux objets les plus importants étaient bien sur le bracelet qu'il m'avait offert, et cet objet emballé que je gardais secret aux yeux de tous, planqué dans ma valise. D'une pensée, je balayais tous mes doutes, m'avançant de façon assurée vers les quais. J'étais habillée d'une veste et d'un pantalon, bien que je préférais les robes. Ce n'était même pas pour le côté pratique, mais pour masquer le bracelet à la cheville. Le vent fouettait mes joues alors que mes bottes furent éclaboussées quand je marchais dans des petites flaques d'eau disséminées au point de rendez-vous.

C'est lui que j’aperçus le premier. Je le regardais de loin, il semblait être déjà bien entouré : Deux femmes. L'une d'elle me disait vaguement quelque chose, elle était peut-être au quartier des sorcières. Le regard condescendant de l'autre me fit dire qu'elle serait la première que je prendrais soin d'éviter. Cette dernière monta dans le bateau aussitôt, le message était plus que claire de toute évidence. Elle était ravie de ce voyage. Autant dire que je croisais les doigts pour que les autres ne fassent pas cette tête. Le bateau allait exploser ou, plutôt coulé, face à tous ces caractères forts qui allaient s'affronter. Bien, il était peut-être temps que j'arrête de jouer le rôle de la souris de l'équipage, celle qui se cache en attendant que le bateau commence à se dégager du quai.

Mon pas était toujours confiant, ma démarche habituelle en somme. Dans un premier temps, je souriais à la femme dont j'ignorais le nom. Puis mes pupilles se posèrent sur l'originel, feignant une fausse distance. J'imaginais qu'il n'avait pas le moins du monde envie que l'on puisse croire, une seconde, qu'il pouvait être un ami plus que mon patron.

« Il y a t'il des informations complémentaires ou tout le monde monte sur le bateau, les yeux fermés, sans poser de questions ? » Je lui lançais un léger sourire en coin, avant de me tourner vers les deux protagonistes, la troisième ayant disparu de mon champ de vision en montant sur le bateau.

« Bonsoir à tous les deux. » Je souriais, feignant de n'avoir jamais douté du moment où je devais quitter cette ville, cet endroit où mon frère reposait. J'avais prévenu mon oncle au préalable, il fut troublé mais ravie d'une telle décision ; il ne se doutait pas des personnes avec lesquels je partais.

« Je m'appelle Cami'. » Disais-je à l'intention de la sorcière, ne laissant pas le choix quand au fait de m’appeler Camille. Je n'avais pas vraiment envie d'entendre mon prénom complet trop souvent. Mon regard se faisait amical, bien que je ne savais vraiment pas à quel genre de personne j'avais à faire.

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... ... ...

The Cure, part 1

∞ It's time to change the world

Quelle ravissante vision. Le groupe d'amis qui part en expédition sous un coucher de soleil crépusculaire au teintes orangées et rougeâtres, rythmés par les hurlements des mouettes. Je n'avais qu'une envie : sortir mon fusil et faire tomber ces sales bêtes. Mais je me retiens, ne soulevant nullement la remarque de l'hybride. Et oui, la ponctualité fait partie de mes rares quelités.
Une mallette contenant mon attirail de sorcière et sac de voyage, ce n'était pas non plus la garde robe de Canard Laqué.
J'observe au passage l'adolescente qui se joins à nous et qui critique ouvertement Niklaus sur un sujet qui -comme nous le savons toutes- est le point faible pour briser l'ego d'un homme. En principe. Même si je doute que ce dernier ne soit pas blessé d'une miette par la remarque de la jeune fille. En tous cas je l'aime bien. Je l'épie monté sur le rivage sans m'accorder une seule salutation, ce que les pourries de famille blanche pouvaient être mal élevée de nos jours, sa répartie sarcastique doit à tous les coups être la seule chose qui me plaît chez elle. Quand l'Hybride Originel présente cette dernière comme notre guide j'écarquille les yeux (cf gif). Une gamine d'à peine quoi, 18 ans comme guide pour trouver THE phénomène du moment... Mmh... J'attendais de voir jusqu'où pouvait aller les connaissances de cette petite tête brune. Mais en attendant je guette la nouvelle arrivée, mains sur les hanches qui débarque en me saluant d'un hochement de la tête et d'un léger sourire. Il semblerait que vus le choix des participants actuels de l'expédition, cette dénommée Cami soit bel et bien ma nouvelle meilleure amie pour le temps d'une expédition surnaturelle. Je lui serre la main, dans un premier temps pour me présenter comme Marie, puis je tourne le dos tandis qu'elle reste avec Klaus pour dire je ne sais trop quoi. J'en profite pour hurler à l’abruti de domestique de chargé mes deux malles dans les cabines du navire, en cajun histoire de rester polis aux oreilles des potentiels écouteurs. Après ça je fais les premiers pas sur le pont, jugeant le bateau. On se prive pas niveau dépense chez les Mikaleson on dirait.

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The Werewolve's Cure
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Je n'ai pas à attendre longtemps pour voir arriver celle pour qui je me préoccuperai certainement le plus durant tout le voyage - en dehors de Hayley, évidement. En voyant ses bagages, je hoche légèrement la tête pour valider leur nombre. " Il y a t'il des informations complémentaires ou tout le monde monte sur le bateau, les yeux fermés, sans poser de questions ? " " Cela dépend de la compagnie que tu préfères supporter en attendant les autres. " lui répondis-je au tac au tac, sachant pertinemment quelle serait sa préférence.

Après que l'ange soit passé, les présentations sont de mise. " Bonsoir à tous les deux. Je m'appelle Cami'. " Mon regard passe de Cam' à Marie mais, je n'oublie pas la sorcière morte pour autant. Le fait qu'elle soit seule sur le bateau m'inquiète et, je ne peux m'empêcher de regarder en direction du pont malgré moi. Notre deal ne veut pas dire que j'ai entièrement confiance en elle et, le fait qu'elle n'ai plus sa magie ne veut pas dire non plus qu'elle ne peut rien tenter contre moi, contre mes ambitions. Je me demande encore quelle folie m'a pris d'accepter son aide en ce qui concerne cette Cure et ce voyage mais... tant que le deal est en cours, je me dois de la croire - ou d'essayer de le faire du moins. Camille, qui tient tant à ce que j'apprenne à faire confiance aux autres, elle va être ravie. Je me tourne vers elle et passe une main derrière le dos pour lui prendre son sac. " Tu es sure de vouloir faire ça ? Une fois que tu seras montée sur ce bateau, je t'interdirais de faire machine arrière donc, profite tant que je te laisse le choix. "

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Spoiler:

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Intrigue, acte I

La cure, c’est la raison pour laquelle je me dirige vers le port de la Nouvelle Orléans. Nous allions partir pour trouver ce remède pour les loups garous. J’aurais été encore loup garou, j’aurais voulu la retrouver pour la prendre, mais là je suis conscient que Klaus la veut pour empêcher les loups de l’avoir, pour pouvoir continuer de faire des hybrides. Etant moi-même hybride maintenant, je ne vois pas l’intérêt de prendre la cure, mais si ça tenait qu’à moi j’aurais voulu la récupérer pour pouvoir la donner à Hayley. Certes, elle ne se transforme plus grâce à sa grossesse, mais une fois l’enfant né, elle se transformera toutes les nuits de pleine lune à nouveau. J’avais mis au courant Hayley, bien qu’elle devait déjà le savoir via Klaus et elle venait aussi. J’aurais aimé la voir une dernière fois avant ce voyage, pour pouvoir profiter des derniers instants avec elle, mais je ne pouvais pas, pas devant Klaus du moins. J’arrive finalement au lieu de rendez vous, et j’aperçois rapidement Klaus en compagnie de deux femmes. Je le regarde, alors que je porte mon sac à dos sur l’épaule. J’hésite à le rejoindre, mais bon ne voyant personne d’autre, du moins je suis le premier hybride arrivé et Hayley n’est pas là. J’aurais préféré qu’elle reste à la Nouvelle Orléans, elle est enceinte, je n’ai pas envie qu’il lui arrive quelque chose, et qu’elle perde l’enfant. Je viens donc à m’approche de l’hybride pour pouvoir au moins le saluer, c’est la moindre des choses, et saluer aussi les personnes présentes à ses côtés.

« Bonjour à tous. »

Je fais un signe de tête vers Klaus avec un léger sourire aux lèvres. Heureusement qu’il ne sait rien sur moi et Hayley, sinon j’aurais déjà sa main plongé dans ma poitrine pour m’arracher le cœur, et je ne veux pas qu’il découvre quoi que se soit à mon propos de ma relation avec la louve, avec qui il a eu une aventure.

[color=#3333cc] « Prêt pour ce long voyage ? »/color]

Demandais-je finalement, alors que je me tourne vers la femme blonde à ses côtés, ignorant qui il s’agissait. J’ignorais que Klaus avait une fréquentation de ce genre, enfin bon il a de bons goûts malgré tout. Mais bon, ce n’est pas la question.

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Klaus s’était bien entendu gardé de m’expliquer quelle était sa petite affaire. Cependant, il avait du oublier une chose, j’étais libre. Je n’avais plus d’attache et en l’absence de Stefan, je pouvais faire tout ce que je voulais et je me démontrais particulièrement curieuse. Je l’avais finalement suivi jusqu’au quai. J’avais bien entendu pris soin de me cacher. Je voulais avant tout savoir ce qu’il mijotait. Cachée derrière un énorme tas de filet, je regardais le bateau. Il partait en voyage ? Pas bien étonnant. Rapidement des personnes finirent par arriver dont cette saleté de sorcière fantôme. Mais bon sang, il faut quoi avec elle ? C’est une malade mentale. Je fronçais les sourcils en secouant négativement la tête. Parfois, je ne le comprendrais vraiment pas. Je ne connaissais pas les autres personnes. Ce qui suivi fut fort intéressant et eu tout pour me déplaire. Enfin, en théorie, je ne devais rien avoir à faire, mais on va dire que ma jalousie légendaire me faisait monter sur mes grands chevaux.

Lorsque je vis le regard de Klaus quand il vit cette blonde, de toute évidence sans saveur, mon sang ne fit qu’un tour. Je grinçais les dents à l’idée qu’il se foutait finalement de moi et que seule ma blondeur l’intéressait. Je reconnaissais que cela avait un petit quelque chose de blessant. Mais ma conscience me disait de ne pas aller trop vite en conclusion. Après tout, il pouvait se montrer très charmant quand il le voulait. Cependant, ma jalousie elle me criait qu’il n’était pas du genre à être prévenant avec n’importe qui et le fait qu’il venait de lui prendre délicatement le sac ne me plu pas du tout. Mais bon sang, pourquoi je suis comme cela. Je m’en fiche de lui, je ne veux pas sortir avec lui, il ne m’intéresse pas ! Me relevant, je m’apprêtais à partir lorsque mes pas dévièrent pour aller droit sur l’hybride. Mon pas était rapide mais pas pour autant brutal. De façon assez étonnant, je n’allais pas ~~encore~~ exploser. « Tu pars en croisière sans m’inviter ? » Dis-je avec un sourire angélique ignorant toute les personnes autour de moi. Ce que je voulais avant tout connaître c'était sa réaction. Après tout, on en apprenait beaucoup sur les intentions d'un homme avec une réaction. J'eu même une envie de l'embrasser là devant tout le monde pour l'embarrasser, mais j'avais jugé que cela serait de trop.

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The Werewolve's Cure

♦ Cela faisait plusieurs jours que j'étais partit de la Nouvelle-Orléans pour des raisons qui m'était propre, car d'ailleurs de toute façon je n'avais clairement pas trop le choix avec des affaires importantes à s'occuper à New-York le développement d'un futur jeux vidéo qui nécessitait quelques signatures de ma part... Cependant, j'avais fait le voyage en coup de vent simplement pour signer les documents en question pour le lancement du projet. Une fois fait je m'arrêta donc dans un hôtel de New-York et je reprendrais la route demain.

La nuit passa bien vite et il était grand temps de prendre la route pour la Nouvelle-Orléans rejoindre Klaus pour l'expédition qu'il avait prévue. Après, je sais qu'il me faut vingt-heures pour arriver à la Nouvelle-Orléans alors je partirais en milieux d'après-midi pour arriver dans la matinée pour le départ qui serait prévu demain en début de soirée. Le temps était long sur la route, mais avec de la musique et une bonne voiture tout va bien. Mes vingt-heures de routes passèrent plutôt vite au final et la Nouvelle-Orléans fût vite devant moi, je rejoignis directement les abords du quai sur un parking et je me fit un petit somme dans la voiture en attendant le moment venu en question.

Les heures passèrent et mon portable sonna l'heure du départ... Je sortis de ma voiture avec mon sac et je ferma la porte à clés de mon bébé comme je l'appelle avant de descendre sur les quais et en regardant il y avait déjà du monde dans le coin et il y avait surtout Klaus que je n'avais pas vu depuis quelques temps. Je me mis à reluquer les femmes qu'il y avait dans le coin... Et oui déformation professionnelle... Ah non c'est plutôt personnel là... Enfin je repris la parole au final

- Bonjour à tous et à toutes.

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L'heure du départ

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Camille & Cie

Le ciel devenait de plus en plus sombre, m'avertissant que je n'étais plus dans le même monde. Une teinte orange annonçait le temps du basculement vers un voyage rempli de mystères. Quand Klaus répondis à ma première question, un sourire franc se dessinais sur mes lèvres. Mon regard ne trompais pas, mais il savait bien avant que mon choix se porterait sur lui. J'étais agréablement surprise qu'il ne semblais pas plus masquer que cela le fait que nous étions proches, au final. Bien qu'il gardait une certaine subtilité.

« Bien, alors une facile dans ce cas : On attend encore beaucoup de monde ? » Ma voix était apaisée. Près de lui, je me sentais rassurée. Ce que j'avais crains un moment ne me faisait plus peur.

Je faisais alors la connaissance de Marie, lui serrant la main avec beaucoup d'amabilité. Les choses n'avaient pas l'air de trop mal se passer. Alors que je suivais du regard la seconde sorcière monter à bord, Klaus prenait mon sac. Pour la première fois, je manquais presque de rougir à ce geste. Je lui glissais un merci alors que ce qu'il allait dire n'était pas très encourageant.

« J'aime ton encouragement. » disais-je avec beaucoup d'ironie. Je riais discrètement en me mordant la lèvre. « Oui, je monte, j'ai pris ma décision... Promis, je ne tenterais pas de revenir à la nage. »

Un nouvel étranger arrivais, j'en déduisis rapidement qu'il s'agissait d'un hybride vu ce que Klaus m'avait dit. Je souriais à ce nouvel inconnu. Il semblait aussi sympa que Marie, c'était vraiment cool, une seule personne semblait difficile. Je hochais la tête pour le saluer.

« Bien sur, pas vous ? » lui rétorquais-je d'un air presque amusé pour la question du voyage.

Toute trace de sourire s'évanouit très vite, quand je vis une autre blonde s'avancer d'un pas assez rapide vers l'originel. Tout son comportement indiquait qu'elle cherchait à marquer son territoire, de façon assez puérile et gamin d'ailleurs. Malgré tout, le message était passé ; elle avait l'air d'être une garce. Mais rien de plus normal que j'ai cette idée vu qu'elle éclipsait tout le monde pour jeter son dévolu sur Klaus. « Bonsoir » glissais-je de façon polie, comme pour marquer un contraste avec elle. Sans même attendre de voir la réaction de celui qui m'importait le plus, parce qu'elle me faisait peur. Je le regardais droit dans les yeux, un sourire presque forcé mais déterminé sur le visage.

« Oui, maintenant je suis convaincue, je viens. » Je lui glissais un clin d’œil au passage, simplement pour bien lui montrer que je ne faisais pas de cinéma. J'étais toujours relativement calme face à ce genre de comportement.

Un nouveau voyageur fit son arrivé, je me repris donc en main et le salua amicalement.

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Avec mon naturel du contrôle absolu, j'avais absolument tout prévu, dans les moindres détails. La durée moyenne du voyage, le nombre de personnes à bord, la nourriture à fournir pour chacun... Mes hybrides ont tous un rôle à tenir mais, je préfère attendre que tout le monde soit là pour les mettre au courant. Autant que je ne me répète pas pour rien... puis avec toutes ces sorcières à bord, je tiens également à rester discret sur mes plans. J'ai beau avoir un marché avec chacune d'entre elles, même si Amber tient plus du personnel que du professionnel, je n'ai pas envie qu'elles viennent marcher sur mes platebandes sans arrêt non plus. Machiste ? Peut-être mais, avouons le, les femmes ont une tendance inée pour foutre le bordel par là où elles passent. Sorcières ou non, d'ailleurs... Bref, une fois que nous serons tous montés à bord du navire -appelons le par ce qu'il est- je prendrais donc mes hommes à part pour leur faire part du programme. Cela aussi, je l'avais prévu.

" Promis, je ne tenterais pas de revenir à la nage. " Un léger rire m'échappe, pendant que je fais passer son sac par dessus mon épaule. " Heureusement ! Je ne suis pas sur que tu survives aux requins. " Mon sourire est discret mais, je sais qu'elle le saura taquin. Je vais pour la rassurer sur la question lorsque mon premier hybride arrive sur place. " Ethan ! " lançais-je en l'air, plus pour le représenter à l'assemblée que pour lui rappeler son propre prénom. " Prêts pour ce long voyage ? " " Bien sur, pas vous ? " Le vouvoiement de Camille m'incite à la regarder d'un air ahuri. Si elle tient à s'intégrer parmi une bande d'êtres surnaturels, va falloir commencer par tutoyer les personnes à qui elle aura à faire durant les jours à venir. Peu importe ! Les choses commencent à prendre forme et, je ne peux que m'en réjouir. Les protagonistes de ce voyage sont quasiment tous là -bon d'accord, juste la moitié- donc, il ne me reste plus grand chose pour pouvoir attendre mon objectif du bout des doigts... En parlant de doigts, je me tourne vers Marie. Elle s'est éloigné du groupe volontairement, ce qui ne me plait pas. Je vais pour lui demander d'approcher lorsque j'entends des pas -que je reconnais aussitôt- approcher du petit groupe, ce qui me pousse à me retourner. Ça, je ne l'avais pas prévu - du tout...

" Tu pars en croisière sans m’inviter ? " Un sourire béat me trahit, comme chaque fois que j'aperçois Caroline mais, la réalité me frappe en plein visage lorsque j'entends le " Bonsoir. " de Camille. Mon visage se referme hermétiquement, et je fais instinctivement quelques pas pour me placer entre la jeune humaine et la vampire. Il est clair que je m'inquiète pour Camille, plus que pour Caroline. Cette dernière ne ferait qu'une bouchée de la première. " Caroline... " Je refais un -ou deux- pas vers elle, un ton de reproche dans la voix. " Tu m'as suivi. " Ce n'est pas une question, juste un constat. D'ailleurs, une autre chose me frappe aux yeux : sa jalousie. Mon égo applaudi de bonheur mais, je suis conscient que c'est très mal venu. Je me tourne vers Camille -un sourire sincère mais crispé- lorsqu'elle confirme son choix de vouloir m’accompagner. Je hoche la tête pour lui dire que je suis d'accord avec elle mais, les choses se compliquent à vue d'oeil - si bien que lorsque Szayel arrive derrière Caroline, je soupire de soulagement. Je le salue et en profite pour inviter tout le monde à monter à bord... sauf Caroline. " Non, pas toi. Il me semble qu'on doit avoir une petite discussion, toi et moi. "

J'attends que tout le monde soit hors de notre champ de vision pour me retourner vers la vampirette. " Je peux savoir à quoi tu joues ?! Je n'ai pas de comptes à rendre, à personne ! " Sans m'en rendre compte, je me suis rapproché d'elle d'un air menaçant mais, elle ne bouge pas d'un poil. Je serais incapable de lever la main sur elle -sauf si elle m'y obligeait- et elle le sait parfaitement. " Ce n'est pas le moment Caroline... je ne pars en vacances au cas où tu ne l'aurai pas remarqué. " Je regarde derrière elle et salue de la tête deux autres hybrides (pnj) qui passent à côté de nous sans s'arrêter. Lorsqu'on mon regard se repose sur blondie, il s'est radoucie. " Sois raisonnable, Care. Tu n'as même pas de bagages avec toi... et la vie en bateau est loin d'être aussi confortable que celle dont tu as l'habitude. " dis-je pour essayer de la dissuader de venir. Au fond, je meurs d'envie qu'elle ne monte sur ce fichu bateau mais, d'un autre côté... je préfère même pas imaginer ce que cela va donner. Hayley... Camille... Amber... Mary ! Elles vont finir par s’entre-tuer - et je me surprends moi-même à sourire à cette idée. Une promesse me revient alors à l'esprit ; je lui avait promis de l'emmener voir le monde, de lui montrer monts et merveilles... Dans un soupire, je finis par céder. " Sauras-tu te montrer sage et discrète ? " Aussitôt posée, je trouve ma question ridicule - surtout connaissant le tempérament de la jeune femme. " Interdiction de toucher à mes invités. " lui ordonne-je dans un froncement de sourcils. Elle sait parfaitement de qui je veux parler puisque j'ai de suite constaté vers qui allait sa jalousie. " J'y tiens. " finis-je par avouer, montrant par là -et malgré moi- que je tiens suffisamment à Camille pour me mettre entre elles si besoin. Et encore ! Caroline n'a pas encore vu Hayley... à cette idée, je me masse les tempes doucement, regrettant déjà de lui avoir accordé le droit de monter à bord du bateau.

Codes par Wild Hunger.

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Je jetais un rapide coup d’œil quand la jeune femme me répondit bonsoir sans pour autant lui répondre. Reposant mon regard sur Klaus, je le vis se décomposer. C’était flagrant voir très déstabilisant. Lui qui était si joyeux venait de se refermer. Je sentis mon coeur de serrer. Ma jalousie avait sans doute raison. Ce que je ressentais était ridicule, car je n’envisageais rien avec Klaus. Je ne pouvais rien envisager avec lui, cependant c’était plus fort que moi. Je n’appréciais pas non plus de le voir s’interposer entre cette fille et moi. Il croyait quoi ? Que j’allais sauter à la gorge de cette fille ? Ce fut à mon tour de refermer mon visage. « Caroline... Tu m'as suivi. » Je me reculais lorsqu’il s’approchait de moi. J’avais eu la réponse que je voulais et cela ne faisait que se confirmer par le comporte de cette pimbèche annonçant qu’elle partirait. Le silence de Klaus voulait tout dire. Malgré moi, je commençais à le connaître. Il invita par la suite tout le monde à monter à l’exception de moi. De toute évidence, il voulait me parler en priver comme si j’étais une gamine de douze ans qui allait se faire disputer par son père ce qui avait le dont de me mettre en colère.

« Ce n'est pas le moment Caroline... je ne pars en vacances au cas où tu ne l'aurai pas remarqué. » « Je suis peut-être blonde mais pas idiote Klaus. » Je croisais les bras tout en portant mon poid sur l’une de mes hanches. « Sois raisonnable, Care. Tu n'as même pas de bagages avec toi... et la vie en bateau est loin d'être aussi confortable que celle dont tu as l'habitude. » Je levais un sourcil cherchant où il voulait en venir. Le silence se fit quelques instants pendant qu’il semblait se faire un nœud au cerveau pour ne je savais pas vraiment quoi. Je laissais échapper un soupire en baissant le regard. Si la conversation était terminée là, autant qu’il me le dise. « Sauras-tu te montrer sage et discrète ? Interdiction de toucher à mes invités. J'y tiens. » J’eu un rire jaune. « Mais attend, tu crois que je vais venir après ce qu’il vient de se passer ? Je me suis approchée juste pour avoir la confirmation de quelque chose, cette confirmation, je l’ai obtenu, je n’ai absolument pas envie de me retrouver à tenir des chandelles. De plus, je n'ai pas besoin de la charité. » Je baissais le regard en secouant la tête. « Tu n’as que de belles paroles, que de belles promesses mais elles sont vide de sens. Je préfère te laisser avec cette femme avec qui tu acceptes de toute évidence de partager plus de chose qu’avec moi. » Je lui lançais un simple regard déçu avant de pivoter sur mes talons et m’éloigner du navire. C’était la simple vérité, j’étais simplement déçue de constater qu’il était capable de s’ouvrir à une autre femme que moi. C’était une évidence, elle semblait connaître la raison de ce voyage, elle était même de la partie ce qui signifiait qu’elle savait ce qu’il était et ce qu’il faisait. Comme toute femme seine d’esprit, elle avait du voir quelque chose lui permettant de voir qu’il était bien plus qu’un simple monstre, chose qu’il m’avait toujours refusé de me montrer. Pour moi, le message était claire.

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Une fois sur le bateau, je fus pendant plusieurs minutes seules et j’avais entrepris de découvrir le navire, trouvant une chambre, je posais mon sac sur ce que je considérais à présent comme mon lit, puis continuais mon exploration. Je me demandais combien nous serions. De manière imprévue, je me retrouvais dans un bureau/chambre. Sans doute celle de Klaus, le connaissant, prendre les appartements du capitaine était une évidence. Je n’avais pas de certitude qu’il s’agissait de sa chambre ou non, mais dans tous les cas, je trouvais fort intéressant de faire des recherches dans cet endroit. Refermant la porte quand j’entendis des personnes monter, je commençais à regarder autour de moi. Le bureau était parfaitement rangé. Evidement, Klaus n’était pas assez idiot pour laisser des documents trainés. Fouillant un peu partout, je n’avais aucune idée de ce que je cherchais. Fallait pas se mentir, j’étais entrain de chercher pour le plaisir de chercher. Il était toujours agréable de tomber sur des choses qui pourraient être utile par la suite. Regardant la bibliothèque présente, je retirais certains livres sans aucun indice. Me tournant vers le lit, je décidais de m’y allonger. Il semblait confortable. Je pouvais donc rester ici, j’étais bien mieux qu’avec toute cette bande de vendu.

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The Werewolve's Cure
my hybrids and cie...

Caroline ne cessera jamais de m'étonner et, sa présence ici en est la preuve flagrante. J'ai déjà eu du mal à croire qu'elle soit partie de Mystic Falls pour venir à la Nouvelle Orléans mais, là... me suivre, me prouver ouvertement que ma relation avec une autre femme puisse la rendre jalouse... j'avoue que j'en suis ravi mais, je n'arrive pas vraiment à la suivre. Que veut-elle au fond ? que je lui voue un culte tel que je m'interdise toute acte de chair avec une quelconque autre personne ? Nom de dieu, j'ai plus de mille ans ! Si j'aurai du me priver pour une fille -aussi fascinante et magnifique soit-elle- je ne serai pas sur le point de devenir père - pour ne citer que cet exemple. Je n'ai pas le tête ni le temps pour m'occuper d'enfantillages de ce genre. Camille fera partie du voyage, c'est un fait ; je ne vais pas lui dire de rentrer chez elle maintenant. Non seulement je lui ai promis de faire de efforts mais, j'ai besoin d'elle, de son sain(t) esprit à mes côtés. Sain ? Oui, on peut appeler ça comme ça. Sans compter que, elle, elle m'a permis de lui montrer que je ne suis pas qu'un monstre et, cela, malgré tout ce qu'elle sait de moi. Caroline n'a jamais cessé de me juger, moi et mes actes. Etre apprécié par quelqu'un qui me connait et m'aime (?) quand même, cela a quelque chose d'apaisant, et j'ai besoin de ce semblant de bien-être en ce moment - même si c'est une torture de me l'avouer à moi-même...

Je me résous néanmoins à laisser le choix à Caroline. Il est clair que je n'ai jamais pu lui refuser un caprice et, malgré tout ce qui peut se passer en ce moment dans ma vie, je reste fidèle à mon admiration obsessionnelle pour la jeune femme. " Mais attend, tu crois que je vais venir après ce qu’il vient de se passer ? " Je lève un sourcil, surpris par sa réponse. " Je me suis approchée juste pour avoir la confirmation de quelque chose, cette confirmation, je l’ai obtenu, je n’ai absolument pas envie de me retrouver à tenir des chandelles. -un sourire satisfait me trahit ; elle est jalouse et j'aime ça- De plus, je n'ai pas besoin de ta charité. " Je préfère passer outre et ignore complètement l'histoire des chandelles - ne niant guère au passage une quelconque attirance pour Camille. " Tu est aussi magnifique qu'intelligente, love. Tu sais parfaitement que je ne te le proposerai pas deux fois. " Je la regarde droit dans les yeux. Si elle refuse ma proposition impulsive, tant pis pour elle mais... " Rome, Paris... je t'ai promis monts et merveilles et... " ...elle ne me laisse pas finir. " Tu n’as que de belles paroles, que de belles promesses mais elles sont vide de sens. " Je lâche un soupire désespéré ; son entêtement à me faire face me fatigue parfois. " Je préfère te laisser avec cette femme avec qui tu acceptes de toute évidence de partager plus de chose qu’avec moi. " La voilà qui me tourne le dos ! Nan mais, je rêve !

" Je n'ai pas fini ! " lui crie-je à quelques millimètres de son visage, après l'avoir rattrapé à vitesse vampire. Peu importe si quelqu'un m'a vu ; la discrétion n'a jamais été mon second prénom après tout. Inspirant un grand coup, je recule doucement, louchant sur ses lèvres au passage. " J'avoue que ta réaction me surprends... mais même si ta jalousie flagrante m'est plaisante, tu n'as pas le droit de me faire ça, Caroline. " Le ton de ma voix est descendu de quelques étages. La menace qui y régnait laisse place à une sorte de supplice. " Toutes ces choses que je t'ai promis, je ne les ai jamais oubliées. " Je perce son regard, lui faisant comprendre à quel point je suis sincère. " Mais tu ne m'as jamais laissé une chance, pas une seule ! Pourquoi t'aurai-je demandé de m'accompagner ? Pour t'entendre râler jour et nuit, juger ce que je fais, ce que je dis ? Je ne pars pas pour prendre des photos du Pérou, love... " Je la regarde d'un air faussement désolé. Cela fait trop longtemps que j'attends de trouver cette cure donc, maintenant que j'ai le pouvoir de la détruire, je le ferais. Point. Je secoue la tête et ouvre les bras, paumes vers le ciel. " Je suis comme je suis, Caroline. Je suis une horrible personne qui fais d'horribles choses, c'est comme ça. " Je penche ma tête, avant de faire quelques pas vers elle. " Si tu es prête à l'accepter... nous partons dans une heure. " Après quoi, c'est à moi de tourner les talons pour rejoindre les autres.

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« Je n'ai pas fini ! » « Au contraire je crois que si. » lui rétorquais-je sans mouvement. Je le laissais parler, l’ignorant du regard volontairement. Je n’osais pas croire ce qu’il était entrain de me dire. Il se foutait vraiment de ma gueule dans cette histoire. Alors qu’il repartait, je me retournais pour le regarder. « C’est faux. Je t’ai laissé des chances. De nombreuses chances de me montrer que tu étais plus que ce simple monstre qui te sers de visage devant la face du monde. Si je reconnais que j’ai été sans doute dure, tu n’as pas été très combatif pour me prouver que tu étais plus que cette horrible personne. » Je fis une pause mais avant qu’il ne puisse me répondre j’ajoutais. « Tu dis m’apprécier… » pour ne pas dire autre chose. « … mais tu n’as jamais rien fait pour me montrer quel homme tu pouvais être. Je suis venue ici avec l’espoir que tu me montres cette facette de ta personnalité, mais non. Tu m’as encore une menti, ou plutôt fait des omissions. La seule facette de ta personnalité que tu as jamais accepté de me montrer c’est celle d’un séducteur. Vois-tu Klaus, j’ai bien compris que de toute évidence tu n’arrives pas à t’ouvrir à moi alors que tu y arrives avec cette femme. Tu sais, je ne suis pas stupide, j’ai vu ton regard, j’ai vu le sien et quelle humaine serait assez folle pour te suivre sauf si elle est déterminée qu’un homme bien mais blessé se cache derrière cette facette de monstre. Tu lui as permis de voir cela alors que tu me l’as toujours refusé. Je pense que c'est clair. » Je fis quelques pas. « Voilà donc ma conclusion, je ne suis qu’une femme que tu as envie de te taper sans lendemain. Je suis un challenge à avoir pour passer à autre chose, avant de m'oublier. J’ai l’habitude de ne pas être choisi, ne t’inquiète pas, je m’en remettrais. Mais soit honnête avec toi même à ce niveau là et arrête de te moquer de moi. » Je lui lançais un regard noir avant de partir à vitesse vampirique cette fois-ci. Je n’avais pas envie qu’il me rattrape une nouvelle fois.

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The Werewolve's Cure
my hybrids and cie...

" C’est faux. " Je refais demi-tour pour la regarder. " Je t’ai laissé des chances. De nombreuses chances de me montrer que tu étais plus que ce simple monstre qui te sers de visage devant la face du monde. Si je reconnais que j’ai été sans doute dure, tu n’as pas été très combatif pour me prouver que tu étais plus que cette horrible personne. " Pas assez combatif ? De qui se moque-t-elle ?! Elle ne m'a laissé aucune chance, pas la moindre petite chance. Pour me cracher mes vérités au visage, elle est là mais, a-t-elle essayé de creuser plus loin que ce qu'elle voyait ? Non - pourtant, ce n'est pas faute ce lui avoir tendu la pelle. Plusieurs fois, j'ai baissé ma garde devant elle ; plusieurs fois, je lui ai montré une facette de moi que personne d'autre n'avait eu l'honneur de connaitre jusque là... et qu'est-ce qu'elle en a fait ? Rien. Elle a joué de ses charmes pour me manipuler lorsque ses amis en avaient besoin mais, lorsque je joue le rôle du méchant, cela la répugne ? Il faut arrêter de se mentir deux minutes. Elle ne vaut pas mieux que moi lorsqu'elle y met du sien.

" Tu dis m’apprécier mais tu n’as jamais rien fait pour me montrer quel homme tu pouvais être. Je suis venue ici avec l’espoir que [...] de toute évidence tu n’arrives pas à t’ouvrir à moi alors que tu y arrives avec cette femme. Tu sais, je ne suis pas stupide, j’ai vu ton regard, j’ai vu le sien et quelle humaine serait assez folle pour te suivre sauf si elle est déterminée qu’un homme bien mais blessé se cache derrière cette facette de monstre. Tu lui as permis de voir cela alors que tu me l’as toujours refusé. Je pense que c'est clair. " Je fronce les sourcils avant de détourner le regard. Elle ne sait rien ! rien de ce qui se passe entre Cami et moi, rien de ce que je ressens, rien de ce que je lui ai laissé voir ou non ! Camille n'a pas eu besoin de je lui montre quoi que ce soit. Elle s'est entêté dés le départ à établir un lien fort entre nous, peu importe les horreurs que j'ai fait. Certes, je l'ai contraint à oublier la plupart de ses souvenirs mais, chaque fois qu'elle me voyait, ces derniers lui revenaient - et pas une seule fois, elle m'a repoussé pour cela... Suis-je en train de m'avouer à moi-même qu'elle est celle qu'il me faut ? Je secoue la tête, trop fier et borné pour m'avouer une chose de ce genre à moi-même. " Voilà donc ma conclusion, je ne suis qu’une femme que tu as envie de te taper sans lendemain. Je suis un challenge à avoir pour passer à autre chose, avant de m'oublier. J’ai l’habitude de ne pas être choisi, ne t’inquiète pas, je m’en remettrais. Mais soit honnête avec toi même à ce niveau là et arrête de te moquer de moi. " J'ouvre la bouche pour répliquer mais la colère prends le dessus. Essaye-t-elle de m'avouer quelque chose ? de me dire qu'elle tient à moi ? Un rire nerveux m'échappe. POURQUOI MAINTENANT ? parce qu'une autre lui vole -peut-être- la vedette ? Cette idée me rappelle qu'elle n'est encore qu'une enfant, une starlette qui n'aime pas qu'une autre brille plus fort qu'elle. " J'en conclu que tu ne... " Elle disparait, me laissant seul comme un con. " ...viendras pas. " Cela a le don de me mettre en rage mais, je prends sur moi. Revenant sur mes pas, je rejoint les autres sur le bateau.

C'est sans un mot que je débarque à bord. Je fais un signe de tête à trois de mes hybrides pour qu'ils me suivent mais, Ethan me coupe le passage. " Qu'est-ce qui a ? " Le ton est plus sec que je ne l'aurai voulu mais, faut croire que je serai de mauvaise humeur pendant quelques temps... Il n'a qu'un mot à me dire pour que je comprenne que j'avais raison de m'inquiéter pour Mary. Je n'aurai jamais du la laisser seule dans ce fichu bateau... " Cette chambre est déjà prise. -je tiens fermement sa gorge, après l'avoir clouée au mur en un éclair de temps- Mais je suppose que tu le savais déjà. " Ma main desserre son étreinte à contre coeur mais, je reste devant elle pour l'obliger à me faire face. " Je vais tâcher d'être clair avec toi... ton statut de fantôme m'empêche de te tuer mais, si tu reviens à fouiner dans mes affaires sans mon accord, je promets de me faire un plaisir de te torturer. " Je lui adresse un sourire des plus hypocrites. " Je me suis toujours demandé quel gout avait le sang d'un fantôme... je pourrai t'offrir à mes hybrides, ils feraient de toi ce qu'ils veulent avant que ton corps ne se régénère, et qu'ils recommencent encore et encore. " Je lui tiens le bras fermement. " Je pourrais aussi t'enfermer de suite dans la soute, m'occuper personnellement de ton cas mais... j'ai besoin de toi pour arriver à mes fins et, pour ce faire, je sais qu'il ne faut pas trop te titiller. " Je la lâche enfin, pour la regarder de la tête aux pieds. Si je n'avais pas tant besoin des informations qu'elle détient entre ses mains, cela ferait cinq minutes que je lui aurai coupé la tête avec l'ouvre-enveloppes posé sur le bureau. " Tu es là pour m'aider, pas pour m'espionner. " Je lui tourne le dos et remets en place les bouquins qu'elle a dérangé plus tôt. " Donc, si tu tiens à ce que je t'aide à mon tour... sois gentille, veut-tu ? ne me fais pas regretter de t'avoir amené à bord. "

Codes par Wild Hunger.

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Tout ce passa vie et lorsque Klaus m’attrape la gorge, je posais instinctivement mes mains sur ses poignets même si cela était dépourvu d’efficacité. Il était de toute évidence assez colère mais j’en avais rien à faire et je n’aimais pas devoir supporter ses humeurs. Lorsqu’il retira enfin sa main, je me massais le cou. « On est bien d’accord, il ne faut pas trop me titiller si tu veux avoir les informations que tu désires c’est pourquoi tu ne me mettra ni dans l’entrepont ni à becter à tes saletés d’hybride. De plus, je ne suis pas sûre que je sois vraiment seine à nourrir, après tout, on ne sait pas quel effet peu avoir le sang de fantôme et je doute que cela soit bénéfique. » J’eu un sourie mauvais et me dirigeais vers l’extérieur de la chambre de Klaus. Juste avant de sortir, je me retournais. « Il va de soit que si tu veux avoir tes informations, tu dois trouvé une solution à mon problème. Donc je te conseille de te dépêcher car il se trouve que je suis très résistante à la torture. » Après être morte brulé vive, il était clair que je me savais capable de supporter toutes les douleurs car il n’y avait pas pire de sentir ses cellules cuire. Sans plus mot dire, je quittais la pièce pour remonter sur le pont. Toutes les personnes se trouvaient sur le bateau et je me demandais bien ce que nous attendions encore pour partir. Dévisageant rapidement les personnes présentes, je me dirigeais vers l’avant du bateau pour regarder l’horizon. Bon sang pourquoi on ne prend pas l’avion ?

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The Cure

Hayley Marshall

Mon petit sac en cuir noir était tout ce dont j'avais besoin. Si quelqu'un m'avait arrêté dans la rue pour fouiller à l'intérieur, il aurait vite compris que j'étais enceinte ou boulimique. Chips, conserves et sucrerie, c'était la seule chose qui m'intéressait pour le moment. Je déambulais dans les rues, seule pour changer. Niklaus n'avait pas pris la peine de protéger sa progéniture aujourd'hui. Profitant de cette balade solitaire, mon corps me rappelait à quel point j'étais faible avec cet enfant. Un grain de sable pouvait peser une tonne si vous étiez mère. Je maudissais Klaus par la pensée et ne manquerais pas de lui sortir une de mes répliques sarcastiques pour m'avoir fait subir ce petit bout de chemin sans aide.

Je m'approchais du lieu de rendez-vous. J'étais bien évidemment en retard. Peut-être qu'il s'inquiétait ? Surement pas, il devait faire le grand méchant pour calmer les esprits. Je le connaissais depuis le temps. Si j'étais honnête, je pourrais avouer que je partais en voyage pour passer un peu de temps avec lui. Je ne le haïssais pas, loin de là. Il était le père de mon enfant mais aussi une personne cultivée et appréciable quand il y met du sien. Je souhaitais aussi voir Ethan mais m'approcher de lui sans coller mes lèvres aux siennes était une torture. Le fait qu'il soit avec moi pendant le voyage me rendait nerveuse et heureuse à la fois. Mon but était qu'on rentre tous en un seul morceau.

Je m'approchais du bateau, j'étais épuisée et mon souffle devenait de plus en plus court. Montant pour rejoindre le pont, je marquais un court arrêt en voyant les passagers. Mon coeur s'emballait déjà à la vue d'Ethan, mon regard se porta sur lui quelques secondes tandis que je lui adressais un sourire complice avant de reporter mon attention sur Camille. J'étais heureuse qu'elle soit là, j'aimais passer du temps avec elle. Je lui fis un bref signe de tête tandis que je passais au milieu du groupe en grommelant. J'avais autre chose en tête.

« Bonjour, la couveuse est arrivée. Hayley Marshall qui va égorger un hybride. Au revoir. »

Je passais rapidement avec mon sac à la main. Mon bras me faisait un mal de chien tandis que je cherchais Klaus. Me dirigeant vers les cabines machinalement, je tournais ma tête quand je vis une porte ouverte. J'en connais un qui allait passer un sale moment. Mes hormones étaient imprévisibles et ma colère n'en était que renforcé. Je regardais l'homme avant de me poser sur le cadran de la porte. Le fusillant du regard, je pris une grande inspiration avant de sourire faussement.

« Hey Nik', tu cherches ma mort ? Je transporte ton enfant, tu aurais pu trouver quelqu'un pour porter mon sac. Je sais que je ne suis pas blonde mais j'ai le droit à mon petit confort dans la mesure où mini Hulk grandit dans mon ventre. Il sera peut-être blond lui. »

Mon sac atterrissait sur le sol tandis que je commençais à me calmer. Je ne voulais pas attirer la colère de Klaus et avait mâché mes mots. J'avais hâte de rejoindre Camille et Ethan, le reste m'était assez égale.

FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.

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Intrigue, acte I

J’avais fini par rejoindre Klaus sur le port, et j’étais assez surpris de ne pas voir Hayley pour le coup, j’aurais pensé qu’il l’aurait emmené avec lui. Du coup je me dis que peut être elle a changé d’avis, qu’elle préfère ne pas venir, ou bien qu’elle va arriver avec quelqu’un d’autre. Bref, j’en ai aucune idée, mais bon je préfère saluer Klaus, avant que nous soyons interrompu par une jolie blonde. Et bien faut croire que le grand hybride originel aime les blondes. Il s’est éloigné avec elle, du coup j’ai repris mon sac sur l’épaule pour pouvoir monter à bord du bateau. Une fois dessus, je me retourne pour regarder un peu autour de moi, et c’est en faisant cela, me concentrant sur mon ouie, que j’entends du bruit venant de la cabine de Klaus. Je m’y approche doucement et je peux remarquer discrètement quelqu’un fouiller dans les affaires de l’hybride. Je fais demi tour dans le but de trouver Klaus et c’est à ce moment là qu’il décide de monter sur le bateau. Je m’approche alors de lui et je lui fais part que quelqu’un était dans sa cabine en train de fouiller je ne sais quoi. Je le laisse y aller, alors que mon regard se pose instinctivement sur Hayley qui venait d’arriver. Je la regarde discrètement, lui adressant un léger sourire. Mon dieu que ça allait être dur de vivre avec elle sur ce bateau, sans pouvoir coller mon corps contre le sien et pouvoir l’embrasser. Je la suivais discrètement du regard lorsqu’elle monta à bord du bateau pour se diriger vers la cabine de Klaus et lui faire une leçon sur le fait qu’il n’ai demandé à personne de venir la chercher pour au moins porter son sac. Je m’approche de la cabine de Klaus, regardant Hayley et l’hybride.

« Excusez moi de vous déranger, mais j’étais à côté, si tu veux Klaus je peux m’occuper de l’emmener dans sa cabine, le temps que vous regler vos soucis ? »

Dis-je en regardant la sorcière morte dans la pièce, après tout Hayley était venu interrompre la discussion entre Klaus et la sorcière morte. Enfin je disais ça, mais j’ignorais où aller loger Hayley, évidemment si sa cabine pouvait se trouver à côté de la mienne, ça serait parfait, mais il ne faut pas trop rêver non plus. Je sais que je prends des risques en intervenant, mais bon c’est plus fort que moi. Je ne peux tout simplement pas resté éloigné de la jeune femme. Je tiens à elle, plus que je ne le devrais. Je me baisse histoire d’attraper le sac d’Hayley pour ensuite m’éloigner de la cabine de Klaus.

made by ℬlue ℐⅴy

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The Werewolve's Cure
my hybrids and cie...

" On est bien d’accord, il ne faut pas trop me titiller [...] après tout, on ne sait pas quel effet peu avoir le sang de fantôme et je doute que cela soit bénéfique. " Je grince des dents et retourne la tête vers mes bouquins. Elle n'a pas tord. Personne ne sait ce que le sang de fantôme peut engendrer mais, si je dois faire passer l'un de mes hommes par cette étape expérimentale pour prouver à cette peste que je ne plaisante pas, je le ferais. Après tout, peut-être qu'il est bénéfique, justement... " Il va de soit que si tu veux avoir tes informations, tu dois trouvé une solution à mon problème. Donc je te conseille de te dépêcher car il se trouve que je suis très résistante à la torture. " " C'est ce que nous verrons, love. Ne t'en fais pas... " dis-je avant qu'elle ne quitte la pièce, laissant place à un silence quasi religieux. Enfin ! Mes yeux se ferment doucement, pendant que je profite de cet instant de solitude, dont j'avais justement besoin. Je sens -non, je le sais parfaitement- que cette cabine sera sans doute mon cocon durant ce voyage, l'endroit où je m'y refugerai pour trouver la paix. Avec le nombre impressionnant (et inconscient) de femmes que j'ai permis de monter à bord, je sens que les migraines ne manqueront pas. Je me masse d'ailleurs les tempes, toujours les yeux fermés, lorsque j'entends la voix de Hayley au loin. " Bonjour, la couveuse est arrivée. Hayley Marshall qui va égorger un hybride. Au revoir. " Un sourire transperce mes lèvres malgré moi... Anticipant l'arrivée de la jeune femme, je me tourne vers la porte et m'appuie sur le bureau. " Hey Nik', tu cherches ma mort ? " " Bonsoir Hayley, ravi de te voir aussi. " " Je transporte ton enfant, tu aurais pu trouver quelqu'un pour porter mon sac. Je sais que je ne suis pas blonde mais j'ai le droit à mon petit confort dans la mesure où mini Hulk grandit dans mon ventre. -un autre sourire m'échappe- Il sera peut-être blond lui. " J'aurai aimé lui répondre mais, Ethan nous coupe la parole. Je le juge du regard, estimant son arrivée trop rapide pour être innocente. " Excusez moi de vous déranger, mais j’étais à côté, si tu veux Klaus je peux m’occuper de l’emmener dans sa cabine, le temps que vous regler vos soucis ? " Je fronce les sourcils, regardant Hayley et Ethan tour à tour. La rythme cardiaque de la louve s'est accéléré de façon impressionnante au moment même où l'hybride a dépassé cette porte, ce qui confirme les doutes de j'avais déjà depuis quelques jours. Les gens ont parfois tendance à oublier que mon odorat est aussi bien développé que celui d'un loup-garou - l'odeur de mes hybrides est une donc chose que je n'oublie pas... et que je peux détecter n'importe où, n'importe quand. Ne laissant pourtant rien paraître, je continue de les fixer un instant, jusqu'à ce que Ethan prenne le sac de Hayley et ne commence à partir. " ETHAN... ? " Crie-je alors qu'il est déjà à quelques mètres de là. Lorsqu'il revient sur ses pas, je lui désigne le lit d'une main. " Pose-moi ce sac sur ce lit. Hayley restera ici. Avec moi. " Loin de moi l'idée de profiter de la situation. Hayley est insupportable, ses hormones lui faisant défaut mais, je me suis promis de garder un oeil sur elle personnellement durant le voyage. C'est mon enfant, c'est à moi de m'en charger. " Ne fais pas cette là, little wolf. Tu es déjà enceinte, je ne vois pas ce que tu risques de plus avec moi. " dis-je de manière provocatrice, guettant la réaction de Ethan du coin de l'oeil. " Rassemble les hybrides à l'arrière du bateau dans cinq minutes, j'ai deux mots à vous dire. " Une manière comme une autre d'éloigner l'hybride, le temps de dire deux mots à la mère de mon enfant. Me rapprochant du sac qu'elle a apporté et que Ethan a déposé sur le lit, je l'ouvre sans aucune gène avant de fouiller à l'intérieur. " C'est donc ça que tu appelles l'essentiel ? " Je sors un paquet de chips de son sac et le lui montre. " J'espère que tu as prévu des affaires de rechange, au moins. Aux dernières nouvelles, tu es la seule couveuse à bord. " lui dis-je avec un sourire en coin, avant de lui mettre le paquet de chips entre les mains. Au fond, je ne fais que me moquer d'elle puisque -une fois encore- j'avais tout prévu. " Tu trouveras quelques affaires dans ces tiroirs. -je les lui désigne du doigt- J'ai pris soin de les faire amener, histoire que tu ne manques de rien. " Malgré ma bienveillance à son égard, ma voix reste distante. Je n'ai pas oublié son regard pour Ethan, le son des palpitations de son coeur. J'ai beau ne rien ressentir pour cette femme, j'estime qu'elle est intouchable tant qu'elle portera mon enfant.

Codes par Wild Hunger.

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The Cure

Hayley Marshall

" Bonsoir Hayley, ravi de te voir aussi. " Cet homme avait le don de m'irriter dès les premiers mots mais je finis par reprendre mes paroles assassines pour calmer cette colère. Je regardais la cabine de Niklaus du coin de l'oeil tandis qu'Ethan vint interrompre ses charmantes retrouvailles. Je pouvais sentir son parfum titiller mes narines, mon coeur s'était complètement emballé tandis que mon visage tentait tant bien que mal de rester neutre. " Excusez moi de vous déranger, mais j'étais à côté, si tu veux Klaus je peux m'occuper de l'emmener dans sa cabine, le temps que vous regler vos soucis ? " Je restais religieusement silencieuse, le malaise qui régnait dans ma tête. Le père de mon enfant ainsi que l'homme que j'aimais se trouvaient a quelques centimètres de moi. Je ne pouvais pas m'empêcher de sourire en coin pendant que Klaus nous observait avec un visage neutre comme à son habitude. Ethan prit mon sac avant de se diriger vers les autres cabines tandis que je me décontractais à nouveau. L'oppression que ces deux hommes provoquaient lorsqu'il était dans la même pièce ne faisait qu'accentuer ma nervosité. "ETHAN... ? " Mon visage se décomposa tandis que j'avalais ma salive en restant le plus naturel possible. " Pose-moi ce sac sur ce lit. Hayley restera ici. Avec moi. " Mes yeux s'écarquillèrent tandis que je sentais la colère m'envahir à nouveau. Niklaus s'amusait de cette situation, j'en était certaine.

Je rangea une mèche de mes cheveux derrière mon oreille tandis qu'Ethan posait le sac sur le lit pour obéir à l'hybride. Je me mordais la lèvre, le voyage allait être très long. Observant mon précieux bagage, j'écoutais Niklaus faire une seconde provocation et décidais d'entrer dans son jeu. Après tout, il n'était pas le seul à pouvoir faire l'idiot. Il le savait, je ne me laissais jamais faire par qui que ce soit. J'espérais qu'Ethan comprendrait. " Ne fais pas cette là, little wolf. Tu es déjà enceinte, je ne vois pas ce que tu risques de plus avec moi. " Mes yeux roulèrent légèrement tandis que je fis un sourire furtif à Ethan. C'était bien la seule chose qu'on pouvait s'échanger sur ce maudit bateau.

« Que Camille ne soit pas à la hauteur de notre seule nuit et que tu décides de passer du temps avec une louve. J'en garde un agréable souvenir mais les bonnes choses doivent se préserver. »

Mon gloussement se mélangeait à mon ton ironique tandis que je jouais avec une mèche de cheveux. Je n'étais pas une femme niaise, attendant l'amour et l'affection de Niklaus. Je profitais de ses bons moments comme des mauvais mais j'étais la seule qui pouvait supporter son caractère avec Rebekah. J'avais couché avec lui en connaissance de cause. "Rassemble les hybrides à l'arrière du bateau dans cinq minutes, j'ai deux mots à vous dire. " Je fis un léger soupire sans vraiment prêter attention à Ethan. J'étais amoureuse et mes battements de coeur étaient incontrôlables. Son regard dans le mien me faisait perdre tous mes moyens, surtout en présence de Klaus. C'était comme un jeu interdit au quel je prenais un malin plaisir.

Niklaus s'approcha de mon sac avant de fouiller l'intérieur. Cela avait le don de m'agacer. Je m'attendais déjà à des reproches et une petite remise en place. Il était le père de mon enfant, pas le mien. L'hybride sortit un paquet de chips tandis que je soupirais. " C'est donc ça que tu appelles l'essentiel ? " Je me mordis la lèvre, ce paquet sous les yeux. Si nous avions avancé de deux heures, mon coeur s'emballerait autant pour ses chips que pour Ethan.

« C'est même vital. C'est comme si tu avais un invité et que tu oubliais de prendre une belle blonde pour le diner. J'en ai besoin. Je préfère me promener nue plutôt que de mourir de faim, je suis enceinte. »

Un sourire se dessina sur mon visage tandis que je fixais ce foutu paquet. " J'espère que tu as prévu des affaires de rechange, au moins. Aux dernières nouvelles, tu es la seule couveuse à bord. " Mon gloussement trahissait l'air sérieux que je voulais afficher. Je fis un pas pour rejoindre Niklaus sans vraiment répondre à son petit monologue. Il déposa le paquet dans mes mains tandis que je m'empressais de l'ouvrir pour sentir ce petit goût salé sur mes lèvres. " Tu trouveras quelques affaires dans ces tiroirs. J'ai pris soin de les faire amener, histoire que tu ne manques de rien. " Je m'approchais un peu plus de lui en baissant la tête. Il marquait un point. Sans mon sac de nourriture, je n'avais pas de bagage donc je n'avais besoin de personne pour m'accompagner jusqu'au bateau. J'avais donc râlé pour rien. Je relevais la tête avant de lui adresser un sourire gêné.

« Merci de cette délicate attention, je n'en attendais pas tant. Tu es mon sauveur. »

Je posais ma main sur son épaule tandis que je passais par sa droite pour évoluer un peu dans la cabine. J'aurais préféré être avec Ethan mais visiblement, nous étions déjà repérés. J'attrapais une chips pour la manger aussitôt tandis que je passais mon index sur le bord d'un meuble. J'étais à nouveau emprisonné sans vraiment l'être mais pourquoi se plaindre ? J'étais sûre que mon enfant était entre de bonnes mains avec Niklaus. Il en prenait soin malgré qu'il ne soit pas né. Je me tournais pour poser mes chips.

« J'ai vu que Camille était là, j'adore l'idée. Tu sais, c'est une femme bien. Prends en soin, j'ai pas beaucoup d'amie ici et je sais qu'elle nous apprécie. »

Oui, ça pouvait être bizarre de formuler tout cela comme ceci mais Nik et moi n'avions pas tant d'amis.

FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.

Invité

Intrigue, acte I

Bon ok, je pense que j’ai fais une connerie. Je sais que je n’aurais pas du venir les rejoindre dans la cabine de Klaus, mais je voulais juste me rendre utile. J’avais entendu le cœur d’Hayley s’emballer et ça me faisait grimacer légèrement. Klaus est loin d’être dupe, il va certainement s’en rendre compte et je confirme mes doutes, lorsqu’il nous regarde à tour de rôle, mais je ne laisse rien paraître, je pense que c’est la seule chose que je peux faire. J’avais ensuite pris le sac de la louve pour l’emmener dans une cabine, mais Klaus vient à crier mon prénom. Je me tends d’un seul coup, faisant demi tour. Ok j’ai encore foiré, c’est ça ? Il me dit de poser le sac d’Hayley sur le lit, parce qu’il compte partager sa cabine avec la jeune femme. Ne laisse rien paraître Ethan.

« Très bien, désolé. »

Répondis-je pour aller ensuite poser le sac sur le lit de Klaus. Pourquoi faut-il qu’elle reste dans cette cabine avec Klaus ? Elle serait beaucoup mieux dans une autre cabine, mais bon s’il Klaus avait dit cela, c’est parce qu’il doit se douter de quelque chose. Mais bon c’est un risque que nous avons pris tous les deux avec Hayley, c’était trop tard pour faire demi tour, j’étais bien trop attaché à elle. Je sens que ces semaines vont être dur, la voir aux côtés de Klaus, sans rien pouvoir faire, sans rien pouvoir lui dire, sans pouvoir l’embrasser. Klaus me dit ensuite de rassembler les hybrides à l’arrière du bateau parce qu’il a quelques mots à nous dire.

« J’y vais. »

Répondis-je en hochant la tête. Je quitte la cabine, sans un regard vers Hayley, bien que j’aurais voulu. Je me mets à la recherche des différents hybrides, leur disant d’aller à l’arrière du bateau. En a peine quelques minutes, je les avais tous prévenu, et je me dirige moi-même jusqu’à l’arrière du bateau. Bon au moins l’avantage c’est qu’il ne me fera rien, avec les autres hybrides autour de moi, quoi que on peut s’attendre à tout avec lui.

made by ℬlue ℐⅴy

Invité

Wayne avait prévenu qu'il ne pourrait pas être présent ce soir au Bourbon Jazz Club, il était resté vague sur les raisons qu'il avait donné, mais visiblement, il avait obtenu la confiance de la dirigeante. Il avait passé la journée à se préparer, se rendant en salle de sport dans le but de dynamiser son corps et son esprit avant le voyage. Il savait déjà qu'il ne partait pas pour la soirée seulement, mais pour bien plus longtemps que cela. Après une douche qu'il avait d'abord prise bouillante pour ensuite passer à de l'eau glacée – pour les effets raffermissant et dynamisant sur le corps – il avait enchaîné par la préparation de ses affaires. Klaus avait expliqué qu'il fallait voyager léger, forcement, c'était logique mais l'hybride se doutait que l'originel avait bien fait de spécifier ce point. Il s'était habillé dans le même style que d'habitude, sauf que cette fois, il avait troqué son trench coat marron clair par une veste de cuir noir dans le but d'être pratique s'il fallait sortir des armes rapidement. Il avait évidemment prit soin de se munir de son talisman protecteur – contre les attaques directes de sorciers – ainsi que de quelques pieux de bois qu'il avait glissé dans une besace qu'il ne quitterait jamais durant ce voyage. Il gardait à l'intérieur de sa veste ses deux pistolets 9mm ainsi que l'ensemble de ses balles. Son poignard de combat quant à lui, il l'avait fixé à sa jambe, sous son pantalon, au niveau du mollet, en cas d'urgence. Il était chasseur avant d'être hybride, il avait donc une parfaite maîtrise de ces armes qu'il avait apporté. […] Il avait aussi apporté deux canettes de Sprite Light, une pour lui, et une pour Marie Laveau. Cette dernière était une sorcière vaudou qui avait quelques mois plus tôt, quémandé son aide pour tuer un chasseur de sorcières. Il avait accepté cette mission, et depuis le temps, les deux se sont liés d'amitié, ils se protègent mutuellement et il doit avouer que la compagnie de la sorcière est quelque chose de très spécial dans le sens où ils ont le même sens de l'humour. Il était monté sur le bateau, avait fait signe à Klaus pour lui signifier sa présence et s'était dirigé vers Marie, lui lançant à la volée la canette de Sprite qui lui était destinée. “ Wow check la Marie ! ” Il s'approchait d'elle et la prenait dans ses bras un instant, un sourire ravi aux lèvres. Il trinquait avec leurs canettes respectives et il prenait une gorgée de boisson. “ Ça fait du bien de te voir ! J'ai hâte de rentrer à MF pour passer à ton salon ! ” Il s'était tourné pour observer les personnes présentes, il repérait quelques hybrides, il voyait aussi Camille qui visiblement avait eu une discussion animée avec Klaus et d'autres jeunes femmes qu'il reconnaissait comme étant Hayley et Caroline Forbes. Ne voulant pas se mêler de tout ceci, il n'allait pas s'approcher du quatuor. Quelques instants plus tard, il avait vu Klaus s'éloigner avec quelques personnes vers ce qui devait probablement être la cabine du capitaine. Il se souvenait alors que l'ancienne sorcière morte, Mary Warren était aussi du voyage. Wayne n'avait aucune confiance en elle, cette personne n'était pas quelqu'un de fiable et par ailleurs, il n'avait pas caché sa désapprobation à Klaus, spécifiant qu'il ne voulait rien avoir à faire avec cette garce. Cela dit, il avait aussi précisé que la décision appartenait entièrement à l'originel et que s'il voulait qu'elle les accompagne pour leur montrer le chemin, que c'était une bonne initiative, mais qu'il garderait son opinion sur le sujet.. [...] Un peu plus tard, Ethan était venu le chercher, lui et les autres hybrides pour leur demander de venir à l'arrière du bateau, Klaus ayant des choses à leur dire. Wayne s'excusait auprès de la Reine Vaudou et se rendait à l'arrière du bateau, lui expliquant qu'il reviendrait vers elle après.

Invité

The Werewolve's Cure
my hybrids and cie...

A ce que je vois, la présence de Camille n'a échappé à personne... Je lève les yeux au ciel lorsque Hayley me provoque à ce sujet mais, au fond, cela ne m'atteint absolument pas. Je dirai même mieux, cela m'amuse - juste un peu. Elle est loin d'être aveugle donc, si Caroline peut percevoir un quelconque lien entre l'humaine et moi en quelques secondes, je n'ose même pas imaginer ce que Hayley s'imagine dans sa petite tête en ce moment. Pense-t-elle pouvoir y trouver un avantage ? une monnaie d'échange pour vivre une semblant d’idylle avec celui qui se vide de toute expression pour cacher son attirance pour la mère de mon enfant ? J'en viens à soupire d'exaspération tellement la situation me parait ridicule mais, je ne dis rien pour autant. Disons que le moment n'est pas venu... c'est beaucoup trop tôt pour une mise au point donc, à la place, je me contente d'éloigner Ethan pour pouvoir discuter avec Hayley tranquillement un instant. Faut dire -étrangement- que je n'ai réussi à me détendre que depuis qu'elle est là ; toutes les femmes semblent s'être donné le mot pour m'emmerder ce soir mais, contrairement aux autres, je peux gérer le caractère de ~~chien~~ loup de little wolf.

Après lui avoir fait part de l'emplacement de ses affaires, je referme le sac que j'ai ouvert et me tourne vers elle. Sa gêne est flagrante, ce qui m'arrache un sourire satisfait. Je suis sûr qu'elle ne s'attendait pas à tant de ma part, à croire qu'elle oublie parfois qu'elle porte mon enfant... Elle marche un peu, chips à la main, avant de se tourner à son tour vers moi. " J'ai vu que Camille était là, j'adore l'idée. " " Heureux de l'apprendre. " dis-je, comme si j'en avais quelque chose à faire. " Tu sais, c'est une femme bien. Prends en soin, j'ai pas beaucoup d'amie ici et je sais qu'elle nous apprécie. " Je fronce les sourcils avant de détourner le regard, clairement mal à l'aise. J'en profite pour faire quelques pas et m’asseoir sur la chaise près du bureau, joignant les mains devant moi. " C'est prévu... Ethan et Wayne garderont un oeil sur elle. Il parait que ce dernier la connait déjà donc, elle se sentira peut-être moins opprimée. " Je dévie du vrai sujet mais, je ne lui laisse pas le temps de me le faire remarquer. " Tu devrais la rejoindre sur le pont. J'ai du boulot avant le départ. " dis-je simplement, avant de me lever pour rejoindre mes hybrides.

Comme à son habitude, je n'ai pas à me plaindre ; Ethan a regroupé tout le monde donc, je n'ai plus qu'à ouvrir la bouche pour annoncer le plan et les règles à suivre pendant le voyage. " Bien... " commençais-je doucement, marchant le long de la poupe du bateau. " ...vous l'aurez remarqué, ce voyage ne s'annonce pas de tout repos. L'équipage a été contraint de ne parler à personne donc, ne vous entêtez pas, cela ne servira à rien de les déranger dans leur boulot. Oh et, interdit aussi d'essayer de les mordre. -dis-je en regardant Szayel- Je sais le nombre exacte de personnes à bord et, un manque serait vite remarqué dans la mesure où chacun des membres de l'équipage nous est utile si l'on veut arriver en un seul morceau à destination. " Je lance un sourire malsain à l'assemblée avant de reprendre ma marche, les mains jointes dans le dos. " Il va de soit que mes invités ne serviront pas de repas non plus. -je soutiens le regard de Szayel une fois de plus, ce dernier étant le moins gérable de ce côté là- Néanmoins, je tiens à ce que vous gardiez un oeil sur Mary Warren. Je n'ai aucune confiance en elle donc, tout ce qu'elle dit, tout ce qu'elle fait, je veut tout savoir. Absolument tout. Wayne, si jamais je ne suis pas disponible, je te laisse prendre les initiatives en ce qui la concerne. " Je m'arrête à nouveau devant eux, pour être sûr de bien m'avoir fait comprendre. " La sorcière voodo n'est pas une menace donc, laissez la tranquille et elle fera de même. Quand à l'humaine... jusqu'à ce qu'on touche terre, Ethan se chargera de garder un oeil sur elle. " Je me surprends à changer mes propres plans au dernier moment mais, peu importe. J'ai mes raisons... " Szay... ? Quant à toi... " Je m'approche de lui à vitesse vampirique et me plante devant lui, l'air sévère. " Je ne pourrais pas être partout à la fois donc, en mon absence, tu es mes yeux et mes oreilles en ce qui concerne Hayley. Je veux que tu la suives partout, même aux toilettes. -mon regard se pose sur Ethan avant de revenir vers Szayel- S'il lui arrive le moindre truc, je veux être le premier informé. Tu m'as bien compris ? "

Codes par Wild Hunger.

Spoiler:

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