GROUPE UN ► COLOMBIE

INTRIGUE , ACTE II

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Après avoir passé quatre jours confinés dans leurs bateaux respectifs, les deux groupes arrivent enfin à retrouver la terre ferme. Pendant que Klaus et toute sa troupe débarquent au nord de la Colombie, les Carters arrivent tout juste dans l'un des ports du Brésil.

Comment vous dire... ? L'ambiance est loin d'être détendue et, cela, pour quel que soit le groupe en question. Les enfants Carters n'arrivent pas à comprendre la réaction de leur doyen face au double qui s'est introduit clandestinement dans leur bateau et, de l'autre côté, Mary Warren s'attire les foudres de tout le monde et ne peut compter que sur Klaus pour ne pas voir sa tête arraché par l'énième hybride qu'elle provoque.

Affairés de leurs sacs et cie, ils reprennent tous la route doucement après avoir passé la nuit dans l'un des hôtels miteux des lieux correspondants aux points d'arrivée. Les lits d'étaient pas franchement mieux que ceux des cabines des bateaux mais, c'est déjà ça de pris, non ? Chaque "leader" a préféré choisir "rapidité et efficacité" plutôt que "confort et cie". Bref ! La prochaine étape ? La foret amazonienne.

infos à prendre en compte

Pour vous donner une idée géographique de là où vous vous trouvez, voici une carte indiquant représentative des deux trajets pour les deux groupes. Le groupe de Klaus étant celui de gauche, les Carters sont celui de droite.

Afin de ne pas bloquer l'avancement de l'intrigue, il n'y aura aucun ordre de passage. Chacun peut poster autant qu'il veut, quand il veut. Si un autre membre poste pendant que vous écrivez votre propre réponse, pas de panique ! Il vous suffira d'adapter la fin de votre post suivant la réponse du joueur précédent.

Pour finir...

Si jamais vous avez des questions concernant l'intrigue, veuillez vous adressez par Mp au MAIRE ou à Niklaus directement.

HAVE FUN

Invité

Some saw the sun, some saw the smoke, some heard the guns, some bent the bow. Sometimes the wire must tense for the note. Caught in the fire, say oh, we’re about to explode. Carry your world, I’ll carry your world. Some far away, some search for gold, some dragon to slay. Heaven we hope is just up the road. Show me the way, Lord because I'm about to explode. Carry your world and all your hurt.

The Cure, part 2

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Électrisant un moustique qui me volait autour, puis un autre et enfin un autre, je poussais cette branche afin de passer et la relâchait aussitôt franchit, sans faire attention à la personne qui venait de se la prendre dans la figure à l'instant même. Je soupirais et mes vêtements me collaient à cause de la lourdeur et l'humidité de la forêt amazonienne. Et ces fichus moustiques ! Je savais que je ne m’embarquais pas dans une croisière, mais bon, dans les films ils ne montrent pas ça. Je portais en ce moment une tenue achetée exprès pour les expéditions, vous voyez le genre hein ? Chemise, pantalon ample et grosses chaussures de marches. C'était horrible. J'avais ramené mes tresses en chignon, soutenu dans un turban rouge. Par moment je sortais de ma poche un mouchoir pour m'éponger le cou en jurant. J'espérais que cette foutue cure montre vite le bout de son nez !
Je ne faisais pas attention où je marchais, j'avais laissé Klaus et ses plus proches hybrides marcher devant, avec la gamine qui nous avait tous saoulés durant le trajet. J'avais par moment jetés des regards à Wayne quand elle se faisait trop remarquer, et je pense que nous avions pensés la même chose : au retour du voyage, on la jette à la mer.
Faisant écraser au sol un autre moustique, mon regard se pose vite sur une herbe, poussant aux racines d'un arbre. Jetant un regard à droite, puis à gauche, je fais mine d'être essoufflée et pose mes mains sur mes genoux en soupirant, quand je vois que personne ne me regarde, je m'empresse d'attraper la plante et de tirer de toute mes forces dessus. En vain. Attrapant mon poignard, je soulève la terre avec la lame pour ne pas détruire la racine. Une fois déracinée, je fais glisser mon sac à dos pour glisser la plante dedans. Les drogués des quartiers mal fréquentés de Mystic Falls paieront cher pour cette petite merveille.

Invité

Intrigue, acte II - COLOMBIE

Comment pouvait-on résumer les choses ? Quinn était psychologiquement à bout. Ce n’était pas tant le fait que crapaüter dans la jungle par une chaleur humide et moite insupportable en compagnie d'horribles moustiques, non son vrai problème ça avait plutôt été le bateau –bien que la jungle n’aidait pas-. Elle avait beau avoir les pieds sur terre, le fait de continuer à voir miss fantomette l’énervait au plus haut point, elle avait été tellement insupportable durant ces quatre jours que si Klaus ne l’avait pas interdit, elle serait morte au moins quinze milliard de fois. Elle s’était donc mise volontairement un peu plus à la traine derrière Klaus, pour éviter de péter un câble –définitivement-. Il fallait qu’elle tienne jusqu’au retour, puisqu’après cela, Mary Warren ne serait plus d’aucune utilité, non ? Et dire que Klaus avait eu la vague espoir que le courant passerait mieux avec elle parce que c'était une fille.

Continuant de marcher –et de ressasser intérieurement sa colère-, elle posa son regard sur Hayley. Elle ne pouvait s’empêcher de penser que c’était vraiment une très mauvaise idée qu’elle soit là. Quinn n’avait rien contre elle mais, elle était enceinte, si elle perdait les eaux au milieu de la jungle, qu’est-ce qui se passait ? Certes c’était un mini Klaus qu’elle avait dans le bide, un warrior par définition mais, pas sûr qu’il soit utile pour la cure quand même. Enfin, elle avait l’air d’aller, un peu mieux que Marie Laveau qui n’avait pas l’air d’apprécier la chaleur tropicale. Elle paraissait essoufflée mais Quinn ne s’attarda pas plus longtemps, une sorcière avait toujours un remède, elle en était persuadée.

Enfin, elle se reconcentra sur ce qui se passait devant elle, soit approximativement rien de bien extraordinaire, le but était juste d’éviter de se prendre une branche en pleine figure ou autre.

Invité

L'heure du départ

Don't believe the things you tell yourself so late night and
You are your own worst enemy

Camille & Cie

Le voyage avait été long et éprouvant. Cami avait voulu plus d'une fois se retrouver seule avec Klaus : sans succès. Elle tenait dans son dos un sac avec un objet précieux. Pour n'importe quelle personne de l'expédition, ça n'avait aucune importance. Mais alors que la chaleur l'épuisait, elle s'accrochait encore à ce cadeau de noël qu'elle voulait remettre dans les mains de l'originel. On s'accroche tous à des petites choses pour arriver au bout de cette expédition. La tête lui tournait et des gouttes de sueur venaient à se glisser le long de son cou, de sa nuque et s'écrasait sur le sol tout comme son espoir de voir enfin la fin de leur marche. L'humaine était légèrement en retrait par rapport aux autres. Ce n'est pas qu'elle manquait de réparties par rapport aux autres ou qu'elle ne voulait pas s'intégrer. Elle était seulement lasse.

Une petite voix lui intimait de ne pas sa plaindre, que c'était une bonne chose. Elle ne savait pas ce qui les attendait au tournant. Ce n'était pas son béguin pour l'un des plus vieux vampires qui lui sauverait la vie en cas de besoin. Mais une O'Connell était destiné à devoir affronter ce genre de choses. Sa curiosité était piquée au vif. Plus encore, elle voulait comprendre ce monde qui s'ouvrait devant elle. La jeune blonde se demandait jusqu'aux propriétés de cette plante qui était contenu dans le bracelet délivrés par Klaus. Un hybride ou un vampire autre que l'homme au billet de cent dollars l'avait-il déjà hypnotisé ? Des questions se bataillaient dans sa tête. Elle se foula un peu la cheville, posant mal son pied contre une pierre. Elle eu un son étouffé et repartit de plus belle. Il était hors de question de montrer un signe de faiblesse. Elle ne comptait pas faire regretter à une certaine personne sa présence. Son regard se porta sur le dos de Wayne, comme si elle cherchait un point de repère auquel s'accrocher, combattant la chaleur et se moquant de la présence des moustiques. Elle n'était pas femme à se plaindre.

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