May.. is just a girl.

Invité

May Stylinson

❝ I'm just a girl trying to find her place in this world.. ❞

NOM ; Stylinson PRÉNOM(S) ; May ORIGINES ; Philadelphia, Mississippi, AmériqueÂGE ; 18 ans STATUT SOCIAL ; Célibataire PROFESSION ; Lycéenne AVATAR ; Emilia Clarke CRÉDITS ; éBazzart &Tumblr	GROUPE ; Loup-garou PLUS GRAND RÊVE ; Trouver la paixPLUS GRANDE PEUR ; Perdre le contrôleRAPPORT AUX AUTRES GROUPES ;Naturellement méfiante envers les vampires, je ne nourris toutefois aucune animosité particulière envers qui que ce soit, pour l'instant.

C'EST TOUT MOI ÇA

Qui suis-je.. ? Comment pourrais-je jamais vous répondre quand je ne connais pas moi-même la réponse ? Je suis à sa recherche depuis maintenant 18 ans, plus particulièrement 4, et le serai encore probablement durant les nombreuses années qui m'attendent.
Je suis.. une louve, voilà qui est certain. Depuis ma naissance, mais ça c'est une autre histoire. Je suis louve. Quelques uns s'aventureront à me qualifier de belle ou de gracieuse, mais depuis quand l'apparence physique définit-elle une personne ? Quoi qu'il en soit, je ne me base jamais sur l'apparence des gens pour les juger. Dans mon cas vous y trouverez néanmoins quelques indices : ma chevelure quasiment blanche, illuminée par le reflet de la lune, se retrouve dans mon apparence lupine. Certes ce n'est pas très discret mais ce n'est pas comme si je sortais chasser le rat-taupe chaque pleine lune. On m'a également souvent dit que mes grands yeux verts trahissaient mes pensées, mes sentiments. Ils reflètent donc ma tristesse, ma joie, ma colère.. tous ces sentiments qui m'envahissent et me harcèlent.. ma fatigue. Cela peut se révéler néfaste pour moi étant donné que je suis du genre à cacher mes sentiments pour ne pas blesser mon entourage. Mais puisqu'il n'y a que nous, sachez-le : je suis lasse, lasse de sans cesse devoir me contrôler pour ne pas répéter les mêmes erreurs, lasse de me souvenir de mon passé, lasse de penser au futur.. lasse du temps. Je chéris l'amitié et l'amour, ce sont les plus belles choses qui existent ici-bas et jamais je ne me permettrai de les briser. Capable de rire et de pleurer l'instant d'après, je suis presqu' incompréhensible pour le commun des vivants. Je ne suis pas rancunière, je ne laisse jamais tomber ce qui me tient à cœur, je n'abandonne pas, je suis louve. Fatiguée mais déterminée. Il ne me semble pas qu'un jour je puisse à nouveau être aimée. Comment aimer quelqu'un qui ne s'aime pas soi-même ? Toute ma vie on m'a dit que ce que je suis est mal. Depuis, personne n'a essayé de me montrer l'inverse, alors j'ai fini par les croire. Car je suis louve.

RACONTE-NOUS TOUT

C'était un vendredi. Le vendredi 30 Juin 1995 à 5h02 du matin, très précisément. L'heure exacte à laquelle je suis enfin venue au monde. 7h, c'est l'heure à laquelle ma mère l'a quitté. Le même jour. A peine arrivée j'avais déjà causé la perte de quelqu'un, et pas des moindres : ma propre mère. Elle s'appelait Marie Stylinson, mariée à Théophile Stylinson depuis sa majorité, l'âge où son père l'a confiée à un autre homme. Tous deux issus de familles très pieuses, j'ai été élevée dans cette optique que nous, pauvres âmes terrestres, devions consacrer notre vie à louer le Dieu Unique. Les prières, j'en faisais plus que quoi que ce fut d'autre. A peine un morceau de pain et une soupe chaque jour, j'étais déjà de nature assez fine mais le régime que m'imposait la religion chrétienne de mon géniteur laissait voir chaque jour un peu plus mes os. Je suis née dans un petit village près de Philadelphie. Comme vous le savez sûrement, le XXème siècle marqua l'apogée des Church Belt, ces villes incroyablement pieuses situées sur ce que l'on appelait la « ceinture de la Bible » d'Amérique du Nord. A l'époque la Bible était un véritable best-seller, on retrouvait des centaines de sites consacrés au christianisme sur Internet... Cela s'est certes calmé depuis mais ma famille, de génération en génération, a gardé ce mode de vie. J'ai toujours naturellement manifesté peu d'intérêt pour la religion, pourtant je me forçais pour faire plaisir à mon père, mais malgré cela, il rejetait mon affection. J'avais tué sa femme, et il ne s'occupait de moi que parce que « telle était la mission que Le Seigneur lui avait confiée ». J'ai été un fardeau toute mon enfance. Je subissais en outre régulièrement d'étranges crises, de colère le plus souvent, ce qui n'arrangeait pas nos relations, et j'avais une faculté de guérison plus rapide que la moyenne. Mon père me disait que c'était l'amour de Dieu qui intervenait. Je l'ai cru. Jusqu'à cette nuit-là.

Fatiguée comme toujours, je me forçais à débarrasser mon bol de soupe avec mon père pour pouvoir aller me coucher. J'avais quatorze ans depuis quelques mois, alors mon père me donnait un peu plus d'autonomie, j'avais le droit de faire mes prières toute seule.. donc de ne pas les faire, ce qui était un véritable soulagement. Au lieu de me coucher à minuit, je pouvais m'endormir dès 21h. C'est encore ce que j'avais l'intention de faire ce soir-là. Peut-être était-ce illusoire mais j'avais l'impression que la soupe était de plus en plus claire. Je n'en pouvais plus. Et mon père qui ne cessait de me reprendre sur le moindre de mes faits et gestes... Il me haïssait, j'en étais sûre, il gémissait tout le temps : « Si seulement ta sainte mère était demeurée, à ta place... ». Il se fichait cordialement de me faire du mal.

J'étais scolarisée à l'école privée la plus religieuse de Philadelphie. Les gens là-bas étaient tous aussi bizarres que lui, et moi je n'avais pas beaucoup d'amis. Juste ces deux-là.. Un garçon et une fille. Je m'entendais bien avec eux, mais on ne se voyait jamais en-dehors de l'école parce que je n'avais pas le droit de sortir et que je savais que mon père briserait notre amitié s'il savait. C'était dur de vivre comme ça. J'avais quatorze ans et n'en pouvais déjà plus de la vie. Alors ce soir-là, je voulais me coucher tôt pour moins penser. Je savais que mon père sortirait quasiment toute la nuit pour se recueillir sur la tombe de ma mère. Je m'étais donc endormie tranquillement. Mais pas pour longtemps.

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Lorsque je rouvris les yeux, le réveil indiquait à peine 22 heures. Je tremblais sous ma couette, des spasmes secouaient mon corps tout entier. Croyant à une violente grippe, je me levai et titubai vers l'armoire à pharmacie où je trouvai un doliprane. Je le gobai et l'avalai tout rond avant de repartir vers ma chambre. Je me laissai tomber sur mon lit, priant pour que les médicaments fassent effet et que je n'ai rien de grave. Mais mon état ne s'améliorait pas. De minute en minute, il empirait. Les spasmes devenaient de plus en plus violents. Mon corps maigre semblait vouloir se déchirer de l'intérieur. A 23h j'étais sur le plancher, à me tortiller, secouée par des douleurs croissantes. Je priais comme je n'avais jamais prié, je priais pour que ça s'arrête, j'aurais voulu mourir tellement j'avais mal. Mes yeux me sortaient des orbites, mes ongles s'enfonçaient dans ma peau, y laissant des marques sanglantes, mes pieds venaient se fracasser contre le bois de mon lit, mais étrangement ce n'était pas moi qui en souffrait le plus. A minuit je ne pouvais plus retenir mes hurlements. Le moindre geste incontrôlé me retournait un os, me déchirait un muscle, m'arrachait un tendon. Me corps se décomposait, comme un puzzle, mes membres semblaient vouloir se séparer. La douleur était tellement aiguë que je n'aurais pas senti la lame d'un couteau s'enfoncer dans ma chair. Mais le pire de tout, c'était que je ne comprenais rien. Je ne comprenais absolument pas ce qui m'arrivait. J'étais seule et je ne comprenais pas. Les larmes qui m'échappaient coulaient maintenant sans discontinuer. J'avais frappé, brisé et balancé tout ce qui me passait sous la main. Des chaises, mon bureau, le bois de mon lit. Les tissus étaient en miettes. Les rideaux en lambeaux. Moi en morceaux. A 2h j'ai tenté d'aller jusqu'à la cuisine pour me poignarder mais je ne contrôlais plus mon corps. Mes bras venaient se retourner et se mettre dans le mauvais sens tous seuls, m'arrachant des cris et des larmes de détresse. Deux autres heures sont passées, aussi lentes que les quatre premières, toujours plus douloureuses. Il n'existait plus de mots assez forts pour décrire ma souffrance. Finalement mon corps s'est disloqué pour de bon, et je crus être enfin morte. Puis plus rien.

A peine des bribes de souvenirs, des flashs, des sons, des odeurs. J'avais couru, j'avais détruit, j'avais tué. Ça, en revanche, je le savais. Je m'étais réveillée dans une maison que je ne connaissais pas. Nue, pleine de sang, entourée de cadavres. Quatre corps. Deux adultes, deux enfants. Deux jeunes enfants. Tous éventrés, démembrés, écartelés. Et sur mes mains, sur ma bouche, leur sang. Ma respiration s'accéléra. Mes mains vinrent agripper mes cheveux blancs, y laissant des traces rougeâtres, tandis que mes yeux s'écarquillaient d'horreur. Qu'avais-je fait ? Qu'est-ce qui m'avait pris ? Il y avait eu cette nuit, si longue, si douloureuse... Et maintenant ça.. Je ne comprenais pas. Le moindre mouvement m’arrachait une grimace. Les perles salées glissaient le long de mes joues, se mélangeant au sang qui maculait mon visage et venaient tomber, noires, sur le sol.
J'avais tué cette famille, et peut-être d'autres. J'avais besoin d'aide. La sensation de détresse que j'éprouvais alors dépassait même la douleur de la veille. Je me suis naïvement tournée vers l'homme qui était supposé m'aimer le plus au monde. Je lui ai tout raconté. Deux heures plus tard, ils m'emmenaient.

Ils étaient trois. Mais c'était toujours le même qui m'attachait. Un chauve cadavérique, avec une longue robe, tout droit sorti du Moyen-Âge. « Ne t'inquiètes pas », m'avait dit mon père, « mes amis vont t'aider. Eux seuls peuvent te purifier de ce démon alors fais ce qu'ils te disent. ». J'étais là depuis déjà trois mois et cela faisait trois fois que le démon s'emparait de moi. Ces nuits-là, car cela se passait toujours la nuit, le moine m'attachait au milieu d'une pièce sans fenêtres, juste de solides murs en pierre.

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Même changée en monstre, je ne parvenais pas à en sortir. Mais lorsque j'essayais, le lendemain les moines me punissaient. Ils me torturaient, ne me nourrissaient presque jamais, me laissaient des journées entières seule, attachée, « pour méditer ». Ils m'avaient expliqué que le diable vivait en moi, c'est pourquoi je guérissais rapidement, je grandissais lentement, j'étais forte et colérique et je me changeais en monstre. C'était la forme que prenait Satan lorsqu'il me possédait totalement. Ma vie devenait de plus en plus infernale, pourtant j'étais, d'une certaine manière, soulagée que l'on m'explique ce qui m'arrivait et que l'on s'occupe de moi, même si c'était de la pire manière possible. J'avais entendu parler de cette espèce de mini-secte auparavant : trois extrémistes qui avaient décidé de m'exorciser en combattant le mal par le mal. Cela faisait à peine trois mois que j'étais là et déjà je n'en pouvais plus. Lorsqu'ils me torturaient en promenant cette plante sur mon corps nu ou en entaillant ma peau à des endroits précis, ou encore les longues heures durant lesquelles le démon prenait peu à peu possession de moi, je les avais supplié de me tuer, mais je savais que jamais ils ne me feraient ce plaisir. Ils étaient sadiques, complètement fous, tous maigrelets et passant leur temps à invoquer je ne sais quelle divinité. Si je n'avais pas grandi dans ma famille de religieux, je n'aurais jamais pensé que de tels gens et telles attitudes existaient encore. Plus je passais de temps là-bas et plus ils m'effrayaient. Lorsque j'avais le droit de me détacher, je lisais dans leur grande bibliothèque pour me cultiver, je dormais et je passais mes nerfs en me battant contre la première poutre venue. Je ne pouvais pas m'échapper. Psychologiquement. Mon père m'avait dit de leur obéir. Dieu voudrait certainement que j'expie ce mal de mon corps. Mais il me semblait que c'était impossible. Les mois s'écoulaient. Les transformations devenaient légèrement moins douloureuses au-fur-et-à-mesure et je me souvenais de plus en plus de ce que je faisais. Mieux, je commençais à me contrôler. Mais empêcher la transformation semblait réellement impossible. Intimement, je me sentais tout de même moi, comme si ce « monstre » faisait foncièrement partie de ce que je suis. Alors peut-être étais-je le mal incarné, mais si c'était moi, alors à part en me tuant je ne me purifierai jamais. Cette réflexion m'est venue peu après mes 16 ans. J'avais passé presque deux années dans cette prison de dégénérés. J'avais souffert comme personne ne peut l'imaginer, autant physiquement que psychologiquement. Mais j'avais aussi grandi. J'étais plus forte, mon contrôle ne m'échappait plus, et je savais que je resterai ainsi toute ma vie. En revanche, rester ici indéfiniment était hors de question. Je voulais voir le monde, je voulais écouter d'autres versions que celle religieuse de ce que je suis. J'avais soif de vie, de ce que je lisais dans les livres : d'amour, d'amitié, d'espoir... Alors j'ai décidé de m'enfuir. Et finalement ce ne fut pas aussi difficile que je l'imaginais. Après deux ans de soumission totale, les moines ne se méfiaient absolument pas de moi. Il me fut facile de me glisser hors de la bâtisse une nuit, avec toutes mes affaires, et de m'éloigner sans bruit. Ils étaient trop vieux, trop lents et moi j'étais trop puissante pour qu'ils m'empêchent de faire quoi que ce soit désormais.

Mes pieds nus effleurèrent les premiers brins d'herbe, la brise d'été caressa doucement mes longs cheveux, les rayons de la lune vinrent les illuminer. Je respirai un grand coup.

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J'étais libre. Le monde s'offrait à moi. J'avais tant de choses à apprendre.

QUI SUIS-JE VRAIMENT ?
❝ ...le grand méchant loup. ❞

Eh oui parce que derrière la fiction il y a la réalité, dommage ! Donc IRL je m'appelle Maela mais vous pouvez quand même m'appelez May. J'aurais bientôt 18 ans, en Terminale L, bretonne de pure souche. Je suis un rpgiste assidue et, s'il n'y avait pas le lycée, soyez sûrs que je passerais tous les jours. Néanmoins il existe bel et bien alors je ne peux pas vous donner d'horaires exacts. Je me connecterai certains soirs, éventuellement le mercredi, certainement les week-end.

J'ai atterri ici grâce à notre chère Katherine qui a l'immense bonheur d'être ma camarade de classe et qui m'a parlé de ce forum qui, selon elle, était vraiment bien. Étant moi-même fan de TVD et du RP... ;)

Dans la vie j'aime beaucoup lire et écrire, la danse, je mange et dort tout le temps, ce sont mes activités favorites. Sinon eh bien j'aime passer du temps avec les gens que j'aime, rire, raconter ma vie sur Twitter. J'aime le vent quand je n'ai pas besoin de ressembler à quelque chose à la fin du trajet. Je ne pourrais pas vivre sans musique. Une grande romantique qui rêve qu'un jour elle vivra dans un monde où les lampadaires sont des sucres d'orge, où les gens ont des ailes et sont tous sympa, où l'argent est aussi utile qu'une photo à un aveugle et où tout le monde se fait des bisous et des cupcakes !

:omg: Daenerys May.. is just a girl. 2328502761

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche, et t'a du avoir un bug, et aussi, Emilia Clarke est déjà prise ... May.. is just a girl. 2503145400

Quoi qu'il en soit bienvenue parmi nous et amuse toi bien ^^

Invité

Bienvenue ^^ Par contre il y a un gros soucis de codes x)

Invité

Pour le bug, elle m'a mise au courant et pour l'instant, je n'ai pas trouvé d'où ça vient. Quant à Emilia Clarke, elle vient d'être libérée justement o/

Elena S. Gilbert a écrit:: Pour le bug, elle m'a mise au courant et pour l'instant, je n'ai pas trouvé d'où ça vient. Quant à Emilia Clarke, elle vient d'être libérée justement o/

Tant mieux ! On la voyait jamais May.. is just a girl. 163333655

Hâte d'avoir des liens avec toi May ^^

Invité

Mercii tout le monde !
Oui je fais une entrée fracassante avec un gros panneau au-dessus de ma tête qui dit "JE SUIS NULLE EN INFORMATIQUE" May.. is just a girl. 3149989503

T'inquiète moi c'est pareil quand je suis arriver, j'ai déformer le forum même May.. is just a girl. 163333655

C'est bon j'arrête de flooder :honte:

Invité

XD Ok tu me fais me sentir moins mal, merci May.. is just a girl. 3149989503

(Le flood c'est prohibé ? :3)

Invité

Emiliaaaaaa :omg: May.. is just a girl. 2328502761

j'adhère au choix de vava!!

Bienvenue May.. is just a girl. 785738827

Bienvenue sur le fofo May.. is just a girl. 3149989503

Alors tu as terminé ta fiche et quelqu'un va venir te valider. En attendant, j'ai remis tout beau les codes même si j'ai eu la flemme de mettre la redimension sur les gifs, je connais une maniaque -Elena- qui ne pourra pas s'empêcher de faire autrement. En attendant, ne touche plus au code XD je voudrais pas avoir à tout recommencer.

Ton personnage semble cependant particulièrement intéressant.

Invité

bienvenue

Invité

Superbe histoire ! J'adore :)

BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE !!! May.. is just a girl. 2328502761

Et voila tu as eu Emilia May.. is just a girl. 1550764429

Invité

welcome here, Katherine's friend ! May.. is just a girl. 1709748450

Invité

Bienvenuuuuue ! May.. is just a girl. 2016122830

(Emiliaaa

)

Invité

bienvenue

Invité

Welcome

GHOST WORLD

❝ te souhaite la bienvenue parmi nous ❞

Après quelques soucis concernant ta fiche, te voilà validée et apte à jouer un personnage intéressant. J'ai hâte de voir l'évolution de May en rp o/

Maintenant, n'oublie de recenser ton avatar ; cela aidera les admins à mettre le bottin à jour pour qu'il n'y ai pas de doublons de célébrité. Après ça, t'es libre de créer ta fiche de liens ainsi que ta fiche de rp's ; cela t'aidera -entre autres- à y voir plus clair dans l'évolution de ton personne. Si tu manques d'action ou de piquant dans ta vie, n'hésite pas à créer ton scénario ; avec un peu de chance, il sera pris dans les jours qui suivent.

Il arrive que l'on soit timide mais, tu n'as rien à craindre sur GW ; nous sommes tous aussi déglingués les uns que les autres. Pour t'aider à mieux t'intégrer, il t'es possible de demander un parrain/une maraine ; ils seront là pour toi tout au long de ton aventure sur le forum. Idem, si t'as envie de rp mais, t'oses pas aller vers quelqu'un, deux solutions s'offrent à toi : la foire aux rp's & les défis. C'est aussi une manière amusante de rp autrement o/

Pour finir, il ne te restera plus qu'à t'amuser parmi nous et, pour nous aider à ramener du monde sur le fofo, n'hésite surtout pas à voter pour le fofo sur le Top-Site.

HAVE FUN :fff:

Invité

Merci tout le monde

Et merci spécialement à Elena et Elijah qui ont dû bien se casser la tête avec les codes de ma fiche >.<
Je suis contente d'être acceptée parmi vous !

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