RAPHAEL ✦ Full moon my worst nighmare... after you

La pleine lune. A nouveau elle était là la garce, décidément quatre semaines passent tellement vite. J'ai à peine le temps de em remettre de mon état de bête sauvage que cela recommence. Je hais cette vie je me déteste. La douleur de la mutation est insoutenable. Il n'y a pas un jour ou je ne regrette pas d'avoir agresser ce pauvre campeur. Mais j'avais tellement la haine après ma rupture avec Raphaël... Dejà qu'avant j'étais agressif à cause de mon gène de loup mais là ça c'est décuplé et le type était juste là au mauvais endroit au mauvais moment ... Mais que sa famille se rassure je purge un peine bien plus dure que la prison. Mon corps est ma prison je vis dans le dénis et le mensonge depuis cette journée et à cause de qui ? De lui ! Il m'a rejeté ce soir là ne voulant pas qu'on aille campé toute les deux sous la lune préférant "travailler" mon cul il détestait les cours ! J'ai même pensé qu'il avait quelqu'un d'autre. Mais j'ai eus la confirmation qu'il c'était lassé de ma compagnie lorsque le lendemain alors que je venait le chercher pour les cours je vis que sa maison était en vente... Parfois je me dit que c'est lui le responsable s'il n'était pas parti je en serais pas allé en forêt je n'aurais pas tué ce campeur et je serais toujours moi !

Au couché du soleil, je prends mon audi A3 et roule rapidement jusqu'à la forêt vers l'église abandonnée ou j'avais pris l'habitude de muter. Pourquoi ? Je l'ignore mais je trouve cet endroit beau et c'est là que j'avais rencontré Alex.. Enfin bref. Je gare ma voiture à l'abri des regard et laisse mes fringue sur la banquette arrière et là, j'attends que la nuit tombe (il fait froid dehors) C'était assez horrible que j'étais en train d'attendre de souffrir. Je sentais déjà les brulures habituelles prévenant de ma mutation prochaine. Ma mâchoire se serre et lorsque l'obscurité envahit les bois je sors de mon véhicule. Lorsque les rayons d'argent de l'astre de la nuit m'effleurent je tombe a genoux serrant les feuilles mortes autours de moi. gémissant de douleur sentant très lentement mon sang me bruler et mes os se briser lentement un à un. Cependant, j'avoue que je dois m'estimer chanceux car lors de mes premières mutation celles-ci étaient très longues et insoutenables, maintenant elle sont plus rapides, toujours aussi douloureuse mais disons qu'après un quart d'heure c'est bon avant j'en avais pour quatre heure de mutation.

Ma transformation achevée j'étais un grand loup assez fin avec un poil noir profond avec des reflet bleues et mes yeux gardaient leur couleurs, verts. Je me mets alors à courir à travers la forêt tel un fou furieux pour me défouler je grogne je creuse j'arrache des branches j'en brise. Je suis plus moi mais putain ça fait du bien ma douleur s'évacue petit à petit au fur et à mesure que je cours. Me faisant petit à petit à mes articulation lupines. Pourtant je suis obligé de me stopper lorsque je sens une odeur étrangère non loin de moi. Je me tapis alors dans l'ombre d'un bosquet grognant sauvagement grattant la terre humide prêt à bondir sur la première proie que je trouve...
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Je n'ai jamais été de nature réellement violente. Mais je n'étais pas un pacifiste non plus. Disons simplement que si des personnes avaient tendance à me chercher, elles finissaient par me trouver, et je n'étais pas des plus tendres avec ces gens là, loin de là. Je ne me laisse pas marcher sur les pieds, et je le faisais bien comprendre à ceux qui s'y risquaient. Seulement, depuis quelques temps, je ne me sens plus moi même, en partie. C'est encore faible comme sensation, mais je sens que chaque jour elle prend de l'ampleur. Enfin, jusqu'à ce matin je pensais qu'elle était faible. Mais ce matin en me levant, j'ai été pris d'une fureur terrible envers mon voisin qui tondait sa pelouse. D'habitude cela ne me gêne pas. Mais cette fois, j'ai pété les plombs, et je n'ai même pas compris pourquoi. Je n'étais plus moi même. J'ai à peine réussi à me maîtriser. Mes murs ont pris quelques coups c'est sûr. Mais mon voisin est toujours en vie, c'est le principal.

Ce n'est que quelques heures plus tard, dans l'après midi, que j'ai compris ce qui m'arrivait. Je rentrais de mon jogging et dans ma salle de bain, alors que j'étais sous la douche, j'ai été pris d'une violente quinte de toux. Si violente qu'elle m'a vraiment fait mal à la gorge, comme brûlée. Tout ce que j'ai trouvé à faire était de prendre des comprimés pour le mal de gorge, des anti-inflammatoires. Cela a apaisé légèrement la douleur, mais elle est encore là je le sens. Et j'ai su ce qui était en train de m'arriver. J'étais juste sur le point de mourir, comme tous les autres. Depuis quelques temps, des gens meurent sans que les médecins comprennent pourquoi. Ils deviennent agressifs, ont de la fièvre, des quinte de toux fortes, parfois elle leur fait cracher du sang. Pour le moment, il n'y a que des vampires qui ont été touché, enfin je crois. C'est ce qu'il se dit dans la communauté des suceurs de sang. Et je suis à moitié vampire, depuis que mes parents ont décidé de me faire renaître. Alors ouais, normal que je sois touché. Il se dit aussi que les sorcières sont derrière ça. Mais je ne veux pas me mêler au combat, du moment qu'il ne me touche pas personnellement ou une personne à qui je tiens, je ne veux pas m'en mêler.

Si je vais mourir ? Peut-être bien. Mais je ne veux pas. Je suis déjà mort une fois, je ne veux pas retenter l'expérience qui est juste horriblement douloureuse et effrayante, froide et noire. Je veux vivre. Alors je ne sais plus trop quoi faire. A qui m'en prendre ? Aucune idée. Je vais donc devoir subir, sans rien pouvoir faire d'autre. Si je m'en prends aux sorcières, je risque certainement de me prendre un vilain sort dans la figure. Si je laisse les autres s'en occuper, 'jai peut-être de meilleures chances. Lâche ? Moi ? Non juste prudent.

Ce soir, pleine lune, je décide de sortir de chez moi. Il fait froid certes, mais j'ai le sang chaud, alors cela ne me fait rien de sortir simplement en tee shirt et jean. Je me rends près de l'église abandonnée, il n'y a personne généralement. Mais ce soir, une voiture est garée. Bah, certainement un couple de jeunes amoureux venus faire quelques folies dans cet endroit si paisible. Mais alors que je marchais bien tranquillement, j'ai sentit une odeur. Elle était loin de m'être inconnue. Le coeur battant, je l'ai suivie. Dans la forêt avoisinante. Mais cela ne m'a mené nulle part. Alors que je faisais demi tour, j'ai entendu un grognement sourd derrière moi. Souriant, je me suis tourné, et dans le bosquet j'ai vu la silhouette d'un loup. Un loup garou certainement. Cela tombe bien, j'aime bien me défouler en me bagarrant contre eux. Caa fait du bien. Je lui souris de façon presque diabolique avant de lui faire face et de lentement défaire les boutons de ma chemise pour la retirer.

« Hey toi... qu'est ce que tu fais là ? Ca tombe bien, j'avais justement envie de te défouler. Un petit combat comme ça au corps à corps, ça te tente ? Allez viens, ça va être marrant. »

Je me mords la lèvre d'envie, déjà hâte de laisser l'adrénaline courir dans mes veines. Je retire aussi mon jean, restant en short, parce que oui j'ai un short sous mes jeans, pour ne pas me retrouver tout nu devant mon adversaire avant de muter au moment où il bondira sur moi et pour ne pas déchirer mon jean. Je tends les bras et lui fait signe de venir, avec un regard des plus provocateurs. Seulement, je ne pensais pas que j'avais devant moi quelqu'un pour qui je n'aurais pas peur d'affronter ma plus grande frayeur, la mort.

La pleine lune la pire de toutes les malédictions chaque moi je devenais un monstre sanguinaire de la pire espèce, violent cruel, agressif. Putain si seulement je savais ma gérer, si seulement je n'étais plus obligé de muter systématiquement De plus cet tellement douloureux. En fait c'est cette douleur qui me rends si agressif et violant car durant des heures je suis à la mercie de cette putain de mutation qui me faisait hurler de douleur après naissait en moi un instinct de vengeance contre cette douleur et de ce fait je devenait totalement indomptable, d'une violence inouïe contre toute choses. Je ne saurais dénombré toutes les personnes que j'ai tué et tout les animaux que j'ai éventré lorsque je tue je suis tel un boucher, j'attaque et j'arrache comme un vrai sauvage, je n'ai aucune retenue. Je ne me rappelle pas forcément j'ai juste, parfois des flash. Celui qui pèse le plus sur ma conscience et qui m'a persuadé que j'étais le pire des salaud c'est que j'ai tué une petite fille d'environs onze ans qui, avais été au toilettes alors qu'elle faisait su camping avec ses parents. Je me suis jeter sur elle et l'ai mordu à la gorge pour ne pas qu'elle crie et lui ai arraché les corde vocales avant de griffer son ventre jusqu'à lui sortir les intestins et je l'ai laisser dans cet état sans le moindre état d'âme sur le moment, mais maintenant il ne se passe pas une nuit sans que je ne la revois cette petite au cheveux blond et au yeux verts qui me regarde la gorge arrachée et le ventre sanguinolent. Jamais je me pardonnerais cet acte au point que j'avais envie de mourir, vraiment mais j'ai l'impression d'être juste increvable c'est affreux... Cela ne cesse de me torturer... cette malédiction à détruit ma vie j'ai perdu Raphael et ensuite Alex et Alex c'est uniquement à cause de ça qu'il ne veux plus m'approcher. Il voulais m'aider... je... j'ai failli le tuer...

Là encore, ce soir, je suis invivable totalement hors de contrôle je suis terrorisé à l'idée de faire une autre victime et pourtant c'est plus fort que moi. Je me mets à grogner en entendant des pas et une odeur de buveur de sang dans les parages. Je vais me le faire ce petit con une morsure, une simple morsure et c'est un homme mort... Je suis vulnérable tout le mois mais ce soir... je suis le prédateur... I je peu me faire un vampire, un de moi dans cette ville ne sera pas un mal après tout ils me terrorisent bien assez le reste du temps. Cependant... J'ai un choc en reconnaissance Raphaël... Oh non pas lui pas un vampire... ça veux dire qu'il... est mort... Je recule un peu dans les fourrés la queue entre les pattes. Que m'arrive-t-il pourquoi je réagis comme cela. Un combat intérieur fait rage en moi l'envie de l'étriper pour la souffrance qu'il l'a fait subir, et lé j'en avais amplement les moyens mais aussi j'avais envie de me terrer dans une tanière et attendre le matin pour rentrer à la maison... Comme je voudrais en cet instant être à la maison au chaud sous ma couette... Je voudrais être partout sauf ici...

« Hey toi... qu'est ce que tu fais là ? Ca tombe bien, j'avais justement envie de te défouler. Un petit combat comme ça au corps à corps, ça te tente ? Allez viens, ça va être marrant. » Je recommence a grogner quand il me cherche, le petit con. Instinct bestiale prends le dessus tant pis pour lui il l'a chercher, je vais le démolir. Par contre, pourquoi il se déshabille a oins que... Oh non pas... Pas un hybride ! Je grogne encore plus je suis totalement incontrôlable. Lorsqu'il mute je sors du fourré. Il est plus grand que moi c'est évident, cependant, nous commencions à tourné en rond qui sera le premier à attaquer, celui qui craquera sous la colère et la violence . Je le détail... je la hais, je vais le brisé comme il m'a brisé ce soir il aura aussi mal que moi. Il doit avoir mal aussi !

Je finis par lui sauté dessus comme une furie y allant à coups de griffe et de mâchoire. Il n'y va pas de main morte non plus je l'avoue il me met parterre et me mords l'épaule. Cela ne m'empêche pas de me relever pour le mettre à terre aussi et de m'acharner comme un diable, un véritable enragé.


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En partant de chez moi, je n'avais pas dans l'idée de vraiment chercher un loup à défier histoire de passer mes nerfs. J'avais juste envie de sortir. Cette odeur que j'ai sentit près de la voiture garée à l'église abandonnée, je pensais ne jamais la sentir de nouveau. Ce parfum si fin... Je n'arrivais pas à croire que je le sentais là, cette nuit, dans cet endroit si reculé du monde, n'ayons pas peur des mots. Et surtout, je trouvais la vie tellement injuste de me laisser ressentir ce parfum si doux pour moi, si envoûtant, si apaisant... Car, n'ayons pas peur des mots, j'allais mourir dans peu de temps, et personne ne pourrait rien y faire, pas même lui. Pas même ce garçon qui m'avait fait connaître les jours les plus heureux de ma vie. Mon autre moi. Mon Gabriel...

La vie était vraiment mal foutue décidément. J'aurais aimé le revoir dans d'autres circonstances... Le revoir alors que je n'étais pas malade, le revoir avec du temps devant moi pour pouvoir m'excuser, lui expliquer ce qui s'était passé, du temps pour pouvoir avoir son pardon, pour pouvoir le voir rire de nouveau, du temps pour peut-être obtenir une seconde chance. Une nouvelle chance d'être près de lui, de le rendre heureux, le faire sourire, être proche de lui. Peut-être pas pour l'aimer, je comprendrais qu'il soit passer à autre chose et cela serait même normal qu'il m'ait oublié avec un autre, mais juste pouvoir être avec lui de nouveau. Je ferais n'importe quoi pour ravoir cette chance.

Mais étrangement, son parfum s'est évaporé dans l'air, comme si il avait disparu à cet endroit même. Ou alors n'était-ce qu'une simple illusion ? Un vieux souvenir que j'aurais pensé réel... Certainement. Mon imagination me joue bien des tours. Entre les rêves que je fais parfois la nuit où je vois Gabriel s'éloigner de moi alors que je crie son nom, sans même me prêter attention, et maintenant son parfum qui flotte dans l'air, je crois que la maladie empiète sur ma santé mentale. Je suis sûrement plus malade que ce que je pensais. Ce que je sais, c'est que j'ai tout oublié en une simple seconde quand j'ai entendu ce loup grogner derrière moi. L'adrénaline s'est mise à couler dans mes veines sans même que je m'y attende et mon agressivité est montée en flèche. Je me suis déshabillé, et je me suis bien amusé à le provoquer. Le loup noir est sortit de derrière le buisson. Je l'ai littéralement admiré. Sa fourrure était d'un noir sombre aux reflets bleus, quelque chose de réellement envoûtant, elle paraissait douce comme pas possible. Ses yeux étaient d'un vert flamboyant, mais j'arrivais à lire une tristesse et une colère immense. Ce soir, j'allais avoir droit à un adversaire de taille, car quand ces deux sentiments se mélangent chez un loup, la violence n'en est que décuplée. J'ai muté, sans hésiter une seconde, reprenant mon apparence de loup. J'avais une fourrure blanche aux reflets argentés. J'étais plus grand que le noir, plus imposant, mais ça n'avait pas l'air de l'impressionner pour qu'il renonce au combat. Tant mieux, j'aime les audacieux.

Après nous être tournés l'un autour de l'autre pendant de longues secondes, nous feintant pour pousser l'autre à attaquer en premier, grognant le plus méchamment possible en dévoilant nos crocs, griffant la terre jusqu'à presque creuser des tranchées dans le seul, c'est lui qui a attaqué en premier, me sautant dessus, la gueule grande ouverte, les crocs dehors. Je l'ai esquivé sur ce coup mais à peine est-il retombé sur ses pattes qu'il a de nouveau bondit sur moi, me projetant sur le sol. Je ne m'attendais pas à ce qu'il soit aussi rapide, erreur de jugement qui me coûta une belle morsure sur l'épaule. J'ai grogné de plus belle avant de faire claquer ma mâchoire a à peine quelques millimètres de ses yeux. Il a reculé en un bond, m'arrachant tout de même un morceau de fourrure. Le con... Je lui ai sauté dessus, il se débattait comme un véritable fauve, faisant preuve d'une violence extrême.

Au bout de très longues minutes, peut-être même d'une heure ou deux, j'ai reculé, pris d'une forte quinte de toux. Connasse de maladie.. Je me suis reculé, mais le loup noir a profité de ma faiblesse pour me sauter dessus et me mordre. J'ai réussi je ne sais pas comment à me dégager et à aller plus loin, reprenant ma forme humaine pour lui montrer que le combat était terminé et que j'abandonnais. Mais il m'a propulsé avec force en arrière, mon dos a percuté un arbre et je suis retombé derrière des fourrés.

« Hé ! Arrête ! J'abandonne t'a gagné ! »

Criais je entre deux quintes de toux assez violentes pour me faire cracher un peu de sang alors qu'un violent mal de tête me prenait. J'entends alors le loup noir grogner non loin et en relevant la tête je le vois face à moi.

« Tu pourrais au moins être sympa et me laisser m'en aller, j'ai dit que t'avais gagné. Et respecter la nudité des autres, c'est visiblement pas ce dont tu te soucis le plus. »

Dis je d'un ton réellement amer avant de tousser encore et de cracher encore un peu de sang. Décidément, cette saloperie ne me lâchera jamais.

Je le hais je le hais !!! Ma seule façon de faire sortir cette douleur intense qui me dévore est la violence et je m'acharne comme un forcené je n'hésite pas à le mordre violemment, lui arracher la peau, le griffer. Il n'imagine pas à quel point j'ai mal. Il a brisé ma vie lorsqu'il est parti ! Il aura beau me mordre me griffer me casser les membres, rien ne sera aussi douloureux que ce qu'il m'a fait subir par le passé et aucune de mes attaques je sera assez violente pour le blessé aussi profondément que je ne le suis déjà. Pourtant je rêve qu'il aie mal comme moi. Je ne demande que cela. Sous ma forme lupine j'ai un esprit de vengeance très aiguisé, œil pour œil dent pour dent voilà ma devise lorsque je suis un loup.

Nous avons combattu des heures durant la nuit était bien avancée et je me sentais faiblir j'allais perdre ce putain de combat. Ma fourrure était devenu presque brune tant le sang avait maculé mes flancs. Je commençais à me sentir essoufflé, la lune baissais je le sentais, lui est un hybride, cela ne lui importe que très peu tandis que moi... je suis son esclave lorsqu'elle disparait je redeviens moi-même et à ce moment, c'est bien la première fois que je ne veux pas qu'elle se couche, je veux continuer de me battre. Je ne me sens toujours aussi triste, frustré, blessé, humilié... Cependant, je ne comprends pas pourquoi d'un coup il recule du coup je me jette sur sa gorge que je mords sans pitié. D'un coup de patte pourtant il me fait lâche prise en me tapant sur la tempe, un endroit particulièrement sensible chez moi. Je lâche prise et secoue la tête en crachant ses poiles et son sang. Je montre le crocs, je ne supporte pas l'idée qu'il ai trouvé mon point faible. Il pourrait me reconnaitre il à toujours sur que ma temps gauche était extrêmement sensible et que une moindre touchette me donnait vraiment très mal à la tête. DU coup je le charge malgré sa mutation ce qui le fait tomber derrière les fourrés.

J'étais plutôt fier de mon coup de grâce. Pourtant j l'entends tousser et... rah je ne peux m'en empêcher, je m'inquiète. Il s’époumone ensuite pour dire que j'avais gagné, oui ça je l'avais remarqué. Puis de nouveau il tousse je passe la tête à travers les fourrés. Pourquoi crache-t-il du sang. mon cœur bat plus vite une soudaine peur s'empare de moi. Il est à moitié vampire... il est donc malade comme ma petite Bekah. Mon coeur se serre douloureusement et je cours à ma voiture chercher une bouteille d'eau que je lui amène timidement. C'est plus fort que moi je suis encore éperdument amoureux de lui et je ne veux pas qu'il meurt je n'y survivrais pas. Je couine timidement baissant les oreilles d'un air désolé et inquiet. Je pense qu'on ne comprendra pas mon comportement mais cela m'est égale.En réalité je ne lui veux pas de mal je... Merde je redeviens humain, je pense que un humain je vais pas tarder à muter. Merde, non pas ça. Je recule de plusieurs mètre me couchant sur le ventre, me concentrant pour maintenant ma mutation au maximum.


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