Our reunion before your big start ► Klaus

Pourquoi ne suis je pas venu beaucoup plus tôt à la Nouvelle-Orléans, je me sens revivre ici. Je me souviens que Klaus m'avais proposé de le rejoindre une fois et j'avais décliner sa proposition. A ce moment-là, j'étais en couple avec Tyler et ma vie était trop compliquée pour que je remette tout en question comme ca. Maintenant, il y avait plus ce triangle amoureux. Tyler avait préféré de continuer à mettre sont en plan action pour se venger de Klaus, notre vie de couple avais disparu à cause de sa haine envers l'originel. Alors voilà nous avons décidé dis mettre un terme a contre coeur, il restera mon plus grand amour. Je lui en veux tellement d'avoir choisi l'option de facilité et d'un autre je ne voulais plus nier cette alchimie que je ressens pour Klaus, malgré toutes les cruautés passées , moi aussi j'ai fait des erreurs, nous en avons toutes faites. Moi, en tuent un pauvre jeune homme, une bande de sorcière, Stefan quand il était un boucher a eu une période sombre, Damon, Elena ... Pourquoi le blâmer lui ? J'entrais dans un magasin, puis dans un autre et encore un autre. Je ne trouvais rien qui me plaisais, jusqu'au cinquième magasin. Je trouvais un anorak assez joli, mais c'était le dernier, alors que j'allais le prendre, un homme, un humain mettait passé devant. Pour rigoler je lui demandais si il contait le mettre avec un tailleur ou une jupe, il me répondit que c'était pour sa femme et que la vieille il avait demandé qu'on lui garde de côté, mais apparemment ça n'avait pas été le cas, que c'était le dernier dans cette taille là, mais que de toute façon ça ne m'irait pas. Pour qui se prenait-il? Cet anorak m'irait surement mieux à moi qu'à sa femme si on le regardait bien deux secondes, sa femme ne faisait pas du 38, ou alors elle n'avait vraiment pas de goût pour choisir ses hommes, si vous voyez se que je veux dire! Je lui expliquais que c'était le seul que je voyais depuis que le début de l'après-midi et que je n'avais rien d'autre à me mettre vu les températures, telle une véritable humaine, mais il ne voulait rien entendre; je pouvais entendre son cœur battre de plus en plus fort au fil de la discussion. Bref, je laisse tomber et choisi une veste plus chaude. En sortant de la boutique avec mon sac en main, les nuages s'éclipsèrent pour laisser place enfin au beau temps. Alors que je marche dans les rues de la Nouvelle-Orléans je tombe sur Klaus. Oh tiens qui voilà, tu sors faire les boutiques. Je le regarde avec mon petit air amusé.