La jeune louve est
prête à tout pour retrouver ses parents, quitte a trahir ses amis. Elle est de nature
autoritaire et ne supportes pas que quelqu’un modifie ses plans. C’est une
meneuse, on lui accorde très vite sa confiance. Cette femme de caractère sait ce qu’elle veut, et peu devenir tres blessante si on se met en travers de son chemin surtout les jours de pleine lune où la louve est tendue du matin au soir. Hayley ne montre jamais ce qu’elle ressent et se cache sous une carapace, une manière comme une autre de se protéger. La louve peut être
sensible a beaucoup de sujet, le plus douloureux d'entre eux serait ses parents biologiques. La jeune femme est plutôt
solitaire et
volatile, néanmoins, elle sait vivre en meute comme en société. Elle fonce souvent la tête baissée dans des situations complexes et s'en mord souvent les doigts. La jeune femme est
égoïste quand il est question de son bien être ou ses géniteurs. La louve ne donne pas sa confiance a tout le monde, elle choisie attentivement son entourage. Hayley n'aide pas les autres gratuitement, son intérêt passe avant. Elle s'est adoucie avec le temps. Hayley est
prete a tout pour garder son bébé en vie, elle en devient
attachanteChapitre 1
Born to die
Je m’appelle Hayley Marshall, du moins, c’est le nom que mes parents adoptifs ont voulu que je porte. Le 6 juin 1991, jour de ma naissance, je fus retrouvée seule dans les bois. Enrobée dans mon petit drap rose, je n’avais pas de quoi être fière. En y repensant, j’ai eu de la chance que mes parents adoptifs soit passés par la. Ils m’ont accueillis chez eux et élevés comme il se doit. J’aimais cette stabilité, j’avais l’impression d’appartenir à une famille ou plutôt à une meute. Mon enfance fut royale, je n’ai jamais manqué de rien. J’avais tendance à faire des caprices, pour vous dire à quel point j’étais gâté. A l’école, on m’appelait l’intello. J’étais assez rusée pour apprendre mes leçons et faire peur au plus petit pour qu’il me donne leur goûté mais cela reste entre nous. Sinon, je n’avais qu’une amie qui me suffisait amplement. La sociabilité et moi, çà fait deux. Enfin bon. Mon rêve était de devenir astronaute et de manger une crème glacée sur la lune. Oui, j’avais de l’ambition comparé aux autres enfants qui voulaient être princesse, professeur ou encore footballer professionnel.
Chapitre 2
Ties of blood
Je pense que cela restera le passage le plus marquant de ma vie. Mon quotidien était bien rodé. J’allais au collège tous les jours de la semaine et je faisais du sport le weekend. Mon amie d’enfance était toujours à mes cotés et j’avais connu quelques garçons. J’étais une très bonne élève, toujours à l’écoute des attentes de mes enseignants et très investit dans mon travail personnel. Autant vous dire que je pouvais assurer mon avenir sans m’angoisser. Enfin, c’est ce que je croyais jusqu'à mes 17 ans. Quelques jours après mon anniversaire, mes parents adoptifs me donnèrent une lettre qu’ils avaient écrite il y a quelques années. Mère avait les yeux humides et me demanda si je voulais être seule pour la lire. J’étais avachie sur le canapé quand je lisais que toute ma vie n’était qu’un tissu de mensonge, une comédie dont j’étais la reine de bal. Beaucoup de pensées ont traversé mon esprit ainsi que des émotions plutôt volatile. Je me contentai de faire un bref sourire avant de poser la lettre sur la table. Et voila que je devais rassurer mes parents adoptifs alors que j’étais la victime de cette histoire. « Vous restez mes parents, liens du sang ou non. » Autant vous dire que j’en avais gros sur le cœur. Qui étais-je ? Pourquoi mes géniteurs avaient refusé de m’aimer. Allez savoir pourquoi, je n’ai pas versé une larme. J’avais une famille. Celle qui m’avait abandonnée ne valait pas la peine.
Chapitre 3
Welcome to the hell
Ah l’alcool, mon sauveur. La révélation de mes parents adoptifs eut des répercutions sur mon comportement malgré moi. Je n’avais plus envie d’aller manger une crème glacé sur la lune ni d’avoir les meilleures notes de la classe. J’avais perdu le goût de la réussite. Peut être parce que je ne savais pas d’où je venais. Dans mes rêves, j’imaginais mes parents biologiques me rendre visite pour noël. Ca devait être la seule fois que j’avais un large sourire et personne ne pouvait le voir, j’étais dans l’obscurité de ma chambre. Et je découvris que l’alcool pouvait réparer toutes nos blessures les plus profondes pendant quelques heures. Les garçons aussi. Alors je m’abandonna à ces deux délices de la vie pour soigner mes angoisses. Tous les jeudi soir, je me rendais dans un karaoké de ma ville pour déguster des shooter de téquila et un homme différent par semaine grâce a une fausse carte d’identité. Une semaine avant mon anniversaire, j’avais décidé d’y aller avec un ami à moi pour changer. Après quelques verres et la musique du Titanic où je ne pourrais pas vous dire si j’ai chanté ou hurlé devant les personnes qui me faisaient des gros yeux. Je saturais. Pourquoi ma vie devenait elle un vrai foutoir. Je décidai d’emmener mon ami faire une balade en bateau. Il ne me fallu qu’une minute pour voler les clefs de celui de mon père dans ses poches. Je grimpai sur le navire (oui, j’étais ivre et pour moi, il ressemblait à un bateau de pirate) et j’aidai mon ami à en faire de même. Bouteille de bourbon dans la main droite et barre de direction dans l’autre, j’accélérai sans vraiment voir ou j’allais. La musique du Titanic résonnait dans ma tête au point de voir un iceberg devant moi. Mon ami et moi rions aux éclats quand je m’aperçus que ce n’était pas une illusion, le bloc de glace imaginaire était en fait un autre bateau qui essayait de nous éviter. Malheureusement, il était trop tard. Le choc fut terrible. Mon ami se craqua la nuque contre une paroie du bateau pendant que je m’agrippais à la barre de direction. Je fus assommée par un projectile. Réveil à l’hôpital, j’appris que mon acolyte n’avait pas survécu. L’autre conducteur était indemne. Personne ne porta plainte et je pu rentrer chez moi après 3 jours d’hospitalisations où je n’avais pas dit un mot. J’étais responsable de la mort de mon ami même si tout le monde me disait le contraire.
Chapitre 4
Little wolf
A peine rentrée de l’hôpital, je m’enfermai dans la salle d’eau afin de prendre une bonne dizaine de douche. Une façon comme une autre de se débarrasser du sang qu’on a sur les mains, psychologiquement parlant. Les deux jours suivants furent difficiles. Je me refusais à l’alcool. Mon morale remontait à chaque jour qui passait mais les cauchemars me rappelaient l’événement. Le soir de mon anniversaire, je ne savais pas que la nuit allait basculer encore une fois. Je n’étais définitivement pas compatible avec la stabilité. Je m’étais fait belle, première fois depuis l’accident. Vêtue d’une petite robe rouge et des talons noirs, maquillée divinement bien. Je descendis les escaliers avec assurance pour sortir quelques instants. Assise sur la balançoire de mon enfance, j’adorais contempler la lune. Ce soir là, elle était pleine. J’étais anxieuse sans vraiment savoir pourquoi. J’appréciais l’air frais qui me caressait les joues, il était temps de rentrer pour dîner avec mes parents adoptifs. Le repas fut délicieux, les macaronis aux fromages restent ma drogue de prédilection. J’en bave rien qu’à l’idée d’en manger. Ma mère amena un petit gâteau aux chocolats avec dix huit bougies allumés. J’avais le sourire jusqu’aux oreilles. Soufflez mes bougies étaient un moment que je ne manquais jamais. Le biscuit posé devant moi, je senti un frisson me traverser toute la colonne vertébrale. J’avais chaud et froid à la fois. Puis mes os commencèrent à se craquer un a un pendant que mes parents adoptifs étaient horrifiés et démunis. Vingt minutes de souffrance et personne n’appela les urgences, drôle de situation. Mais le pire était à venir. Pendant un hurlement sanglant, des griffes remplacèrent mes ongles pendant que des poils canins recouvraient tout mon corps. Que se passait-il ? Je n’eus pas le temps de réfléchir que mes parents biologiques me mirent à la porte. Je n’avais même pas eu le temps de souffler mes bougies. Je ne peux pas vous dire ce que j’ai fait en suite, je n’ai plus aucun souvenir. Tout ce que je peux conclure c’est que mon instinct de loup m’avait conduit aux Appalaches et que je voulais connaître mes vrais parents pour répondre à mes interrogations. C’était mon but principale à partir de maintenant.
Chapitre 5
You are my family
Après ma première mutation, je me réveillai nue dans la grande foret des Appalaches. J’avais fait beaucoup de route dans la nuit mais aucun souvenir. J’avais envie de marcher pour me vider la tête. Pourquoi je n’avais pas emporté de vêtement ? J’avais froid et je ne comprenais toujours pas ce qu’il s’était passé. Après plusieurs heures de marche, j’arrivai dans un petit camp plutôt rustique. J’étais gênée mais la fatigue et le froid me poussèrent à demander l’hospitalité. Inconsciente du danger, je racontai mon histoire à mon partenaire de tente. Dans un fou rire général, il m’expliqua que je venais de rentrer dans une meute. Après une heure d’explication, je compris que j’avais toujours eu des gènes de loup. Imaginez la scène, quelqu’un de totalement normal devient du jour au lendemain une créature surnaturelle alors qu’elle ne connaît ca que dans les films glauques d’halloween. Il me fallu un petit temps d’adaptation. Moi qui rêvais de manger une glace sur la lune, j’en étais maintenant esclave. J’avais ma place dans la meute et j’étais enfin heureuse. A défaut de ne pas savoir d’où je venais, je savais qui était mes points de repère. Quelque temps après mon arrivée, des hybrides vinrent nous demander de l’aide. Briser le lien d’un certain Klaus Mikaelson. Cet homme était décrit comme un monstre sanguinaire qui abusait de son pouvoir mais rien ne me faisait peur. J’aidai Tyler à se transformer jusqu'à épuisement. C’était fascinant. Il devint vite un ami et un soutient. La meute me plaisait mais l’envie de retrouver mes parents devenaient une obsession. Je voulais connaître mes racines. Je décida de suivre Tyler sans qu’il le sache à Mystic Falls en promettant de donner des nouvelles à ma meute. Un au revoir qui m’a déchiré.
Chapitre 6
Mystic Falls
Mon arrivée chez les Loockwood fut un peu gênante pour Tyler. Je ne sais pas vraiment pourquoi mais il m’a menti pour que je ne le retrouve pas. J’ai vite fait la connaissance de Niklaus et d’autres hybrides. Caroline Forbes a croisé mon chemin plusieurs fois, folle de jalousie. Pourtant, je n’ai pas eu d’aventure avec Tyler mais ceci m’amusait fortement. Vous auriez du voir sa tête. J’étais prête à tout pour trouver mes parents, gardez ca en mémoire. Si c’était à refaire, je le referais. Je me servis de Tyler pour approcher les autres hybrides et je les délivrai du lien avec leur maître. Du moins, a cette époque la. Je décidai de partir de la ville pour quelque temps.
Chapitre 7
Niklaus Mikaelson
Passons à la partie ou une petite erreur prend des proportions inattendus. Klaus vint me sauver d’un messager de Katherine. Pourquoi j’ai été bête en aidant la double Petrova dans sa recherche du remède au vampirisme ? L’originel décida de m’emmener chez lui pour avoir des informations. Je dois vous avouez que j’espérais qu’il me protège des larbins de Katherine. Mais le dîner prit une tournure assez … imprévisible. Nik’ est un bel homme et son charisme m’a fait tourner la tête pendant quelques secondes. Ceci suffit pour que nous passions une nuit torride. J’aurais du m’abstenir mais la passion était tellement forte. Quoi qu’il en soit, le mal était fait. A mon réveil, je décidai de partir mais Klaus me parla de ma tache de naissance. Il l’avait déjà vu. Ceci m’intrigua, j’avais peut être une chance de retrouver ma famille biologique. Je pris le peu de vêtement que j’avais et partit sur la route.
Chapitre 8
It’s time to fight, little wolf
La Nouvelle Orléan, une très belle ville pas loin des bayous. A peine arrivé, je me fis enlever par des sorcières flippantes qui ont décidées que j’étais enceinte et que le père était Niklaus. Autant vous dire que j’ai eu un énorme fou rire. Ce n’était pas possible, il était un vampire. Sophie lia sa vie à la mienne pour faire du chantage à Klaus. Trois jours avec ses hystériques et leur herbe qui me donnait des nausées. Bon ok, j’étais enceinte. Et de Klaus vu que les prétendants ne frappent pas à ma porte tout les ans. Je ne vous raconte pas le moment où Nik’ a voulu qu’on me tue, on ne peut pas lui en vouloir. Je suis contente qu’il ait changé d’avis. Finalement, je vie une grossesse plutôt normal si vous enlevez le fait que mon bébé est l’ennemi publique numéro 1. Je dois avouer que j’ai voulu mettre fin à ce miracle pendant quelques instants mais j’ai vite renoncé. Il est ma famille. Je ferais tout pour le protéger. Ce bébé m’a apporté une maturité que je ne me connaissais pas, il m’est bénéfique. Je commençais à enfin profiter de ma grossesse comme il se doit mais on est jamais à l’abri quand on est porteuse de la progéniture de Klaus. Me voila à nouveau enfermée, prisonnière d’hystériques qui disent que cet enfant va bouleverser le monde du surnaturel.
Hey toi, derrière ton écran !
Je m'appele Helly et j'ai 20 ans. J'ai découvert Ghost World Parce que j'y etait deja et que Camille O'Connell m'a motivé a revenir pour jouer mon personnage favoris et, maintenant que je me suis inscrit, je compte venir 5/7j. J'aime ce forum qui me tient vraiment a coeur. La preuve, j'arrive pas a partir et je suis prete a RP :villagep: ...
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