Un Week End en Amoureux ♥ June [page 3 : HOT]

Un week end en amoureux  

Plus rapide, plus rapide, il était marrant lui, je cherchais quelque chose pour ne pas trop l'embêter, si j'avais su, l'option de l'eau aurait été une bonne chose. Il m'embrasse rapidement avant de m’attirer contre lui. Alors que j'enfouis ma tête dans son coup, max en profite pour complimenter mon nouveau pyjama. Ça changeait ; c'est vrai, mais le changement n'était peut-être pas quelque chose de mauvais, même si après avoir acheté cette tenue, j'avais mis un moment avant de m'y habituer et que je n'arrivais pas encore à me promener comme ça chez moi, je crois bien que si ça avait été le cas, mon père m'aurait dit de mettre autre chose... Je le sens gesticuler, et très vite il se plaint qu'il n'y a pas de petit déjeuné. Je soupire avant de me redresser « En même temps, je n'ai pas envie de t'empoisonner ! » Le dernière fois que je m'étais occupée de faire à manger ce fut une véritable catastrophe, je crois bien que même presser un jus d'orange était chose difficile pour moi. Il faut aussi avouer que mon père est plutôt bon cuisiner, alors je me laissais aller, puis je trouvais ça plus évident de composer le numéro pour commander des pizzas que de faire cuire des pâtes. Honte à moi ! Max enchaîne sur le fait qu'il ne savait pas encore comment j'allais me faire pardonner pour hier. À califourchon sur lui, je ne réponds tout de suite, je viens l'embrasser, puis contre ses lèvres. « Monsieur était trop fatigué hier pour faire quoi que ce soit... » Et toc, amuser, par ma propre remarque je me redresse et je m'installe assise à côté de lui. Je rabats mes jambes contre ma poitrine que j'entoure de mes mains avant de poser mon menton sur mes genoux. « Beh oui, je t'ai laissé dormir, je suis une âme charitable ! » Je pivote un peu mon visage et lui tend un large sourire avant de reprendre.  « Ah lala je ne sais pas qui de nous deux doit se faire pardonner au finale ! »

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Un week end en amoureux  

Ainsi j'étais la seule fautive à ses yeux pour la veille, c'est pourtant lui qui s'était coupé la main en premier pour les attirer et pas moi ! Bon certes il avait cette capacité de récupération que j'enviais mais quand bien même ! Il vient à se placer au dessus de moi, m'embrasse avec tendresse et j'en oublie mon sale caractère. Il s'éloigne un peu, mais je reste allongée, je l'écoute attentivement... Pas de surnaturel, ça allait être dure, à mes yeux j'étais poursuivie pas ça. D'un autre côté je ne pouvais que le comprendre, ça ne devait pas être évident tous les jours de me supporter moi et mes folies meurtrière, parfois l'instinct reprenait le dessus, un peu comme hier... Je soupire, mais une fois de plus je me laisse aller quand il vient m'embrasser, il était le seul à avoir trouvé un moyen de me faire taire. Toutefois il fallait qu'on se lève, qu'on se prépare et qu'on profite, je n'avais vraiment pas envie de bouger, j'étais bien trop bien pour me décider à me lever. « Si tu continues de m'embrasser je vais pas réussir à sortir du lit ! » Je lui sourie doucement, dépose un rapide baiser  contre sa joue, et je me défais de son emprise, je m’éclipse du lit, j'allais de me diriger vers la partie cuisine avant de faire volte de face. Les mains sur les hanches, je soupire une nouvelle fois avant de sauter dans le lit. « On doit vraiment sortir tout de suite maintenant ? J'ai pas envie... » Je prends cette moue d'enfant capricieuse tout en faisant glisser mes mains contre le torse de Max. J'avais envie de passer du temps avec lui, rien qu'avec lui, je ne voulais pas être entourée de monde, répondre à des questions, commander à manger, marcher, ignorer tout ce qui peut être surnaturel. J'embrasse le haut de son torse avant de me blottir contre lui. Je me sens ridiculement petite et ce n'est pas pour me déplaire. Pour une fois, je n'étais pas celle qui devait protéger mais celle qui était protégé. À ce niveau là, ma famille ne compte pas...  « J'ai pas envie de bouger tout de suite... Pour une fois qu'on peut être tous les deux sans avoir les yeux rivés sur l'heure, j'ai juste envie de rester avec toi, rien que toi...! » On avait qu'à sortir l'après-midi, ou même le soir, ou même pas du tout, à vrai dire je m'en foutais un peu, le plus important est qu'il était là, c'était suffisant à mes yeux

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Un week end en amoureux

Blottie contre son corps, je profitais de la chaleur que son corps émané. J'écoutais d'une oreille passive ce que Max pouvait me dire, bien trop occupé à profiter de lui et du moment présent. Un frisson m'échappe alors qu'il vient à m'entourer de ses bras, un sourire aux lèvres alors qu'il appuie ma décision. Je ferme les yeux, cale ma respiration sur la sienne, décidément j'étais vraiment bien dans ses bras. Je n'avais jusqu'à ma rencontre avec Max jamais était très tactile, plutôt maladroite dans tout ce qui s'apparentait à de l'affection, en compagnie de mon petit copain de loup, j'avais appris toute ses choses que j'avais longtemps jugé superflue, c'était devenue naturelle, une mécanique bien huilé, et j'avais fini par prendre goût à ce réconfort, c'est geste tendre, un simple sourire qui permettait de chasser toutes les ondes négatives. De ma main droite, je viens caresser du bout des doigts ses côtes, toujours silencieuse, je l'écoutais parler. Et chaque phrase, chaque affirmations me faisaient sourire d'avantage. Rester autant de temps avec lui que je le voulais quand il vivrait seul, un rêve qu'on allait toucher des doigts, plus besoin d'avoir d'heure, ni même de fixer le réveil, et d'être attentif au moindre crissement de pneus sur les graviers devant la maison. Je relève doucement la tête pour pouvoir l’embrasser tendrement. Je me détache à contre cœur de ses bras et de ses lèvres, je passe une jambe de part et d'autre de corps m'installant sur le bas de son ventre, mes mains se posant sur le haut de torse. « Et dit moi, c'est quand que tu auras ton propre chez toi ? » Le fait même qu'il puisse vivre seul était intéressant, je me souviens de la fois où il m'avait dit vouloir prendre son indépendance. Je l'avais trouvé courageux, d'oser partir ainsi de chez lui, moi je ne me voyais pas encore capable de partir, j'étais sans doute trop attacher à ma famille, mais j'en restais pas moins ravie que Max trouve à Mystic Falls et que je puisse m'y rendre quand bon me semblait, avoir un peu plus d'intimité que la porte de nos chambres respectifs. C'était bête à dire, mais j'avais envie de parler de ce que je voulais, sans avoir à peser mes mots car il y avait untel ou untel capable de rentrer à tout moment, j'avais envie de marcher pieds sur le carrelage sans risquer de laisser une trace de pied, je ne voulais plus avoir à faire attention. L'indépendance c'est vraiment quelque chose d'attrayant. Ce week end était un avant goût de tout ce qu'on allait connaître dans les mois à venir. Mon sourire s'élargit un peu plus en pensant à cette issue. Je me penche un peu vers le visage de celui que j'aime pour pouvoir l'embrasse une nouvelle fois faisant remonter mes mains jusqu'à ses cheveux. Lors de ce baiser je repense au fait que je devais me faire pardonner, en sachant pertinemment que Max n'aurait pas oublié une telle proposition, puis un Carter tient toujours ses promesses ! Je viens à quitter ses lèvres pour venir déposer plusieurs bisous au creux de son cou, puis doucement je me redresse, encrant alors mon regard dans le sien avant de dire d'une voix calme. « J'avais pensé à plusieurs choses pour me faire pardonner... Mais finalement, je me suis dit que ça serait mieux de savoir ce que toi tu veux... »

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Un week end en amoureux  

Il ne lui manquait plus que les clefs et le tour était joué, l'indépendance, il allait y goûter, à entendre Lukas en parler ça avait l'air juste génial de vivre seul, enfin plus avec ses parents, encore fallait-il sauter le pas. Je repense au fait de me faire pardonner, et c'est là que ma proposition de faire ce qu'il voulait pour l'occasion sortit de ma bouche. Sa réaction ne se fait pas attendre, il m'annonce alors que je n'avais qu'à faire ce à quoi j'avais pensé un peu plus tôt. Surprise, j'arque un sourcil, avant de protester.  « Hey, mais tu retournes la proposition contre moi. » Max était alors passif, les mains toujours sur mes hanches, je passe en revue bon nombre d'idées allant de la chose la plus simple logique à une autre plus incongrue. Deux mots me ramène à la réalité, le tous accompagné d'un baiser... Le surprendre... Quelle drôle d'idée. Voilà qui allait un peu plus compliquer les choses. Honnêtement, je ne trouvais rien d'assez surprenant à mon goût. Je réfléchie tout en prolongeant le baiser. Les idées venaient, mais rien ne semblait me convaincre. Ses mots résonnaient encore dans ma tête, surprend-moi avait-il dit... N'était-ce donc pas le rôle de la femme d'être surprise ? J'avais pourtant réussi à jouer ce rôle à deux reprises, la fois où nous nous étions mis ensemble et à mon retour de la Nouvelle Orléans. Je viens subitement à regretter le fait qu'il soit déjà torse nu et au passage presque nu. Je joue un peu avec mon poids pour le faire s'allonger, je plonge les baiser alors que mes mains viennent à jouer avec l’élastique de son boxer, décidément il ne me facilitait pas la tâche ! Je feins de vouloir lui retirer mais au dernier moment je fais remonter mes mains sur son torse le chatouillant involontairement par endroit. Pour une fois je semblait douter de touts gestes, sans parce qu'il m'avait pris par surprise à me demandant de la surprendre. Finalement, je me demande bien qui de nous deux aller être le plus surpris par la situation. Je viens à mordiller doucement sa lèvres inférieur avant d'aller embrasser chaque passerelles de son cou, de clavicule jusqu'à la naissance de sa mâchoire j'omets aucun centimètre de peau. Puis toujours à califourchon sur Max, je me redresse vivement, me mordant la lèvre un inférieur je viens à admettre. « Tu me rends pas la chose facile. » Je ris d'un rire claire avant de retourner contre ses lèvres, puis doucement je me laisse glisser, jusqu'à son torse le dévorant de mille bisous, jusqu'au base de son ventre et je remonte jusqu'à ses lèvres, puis sans les quitter je viens à poser mes jambes par terre. Je commence à avoir mal au dos à force de m'agiter pour l'embrasser partout. Je l'oblige à sortir du lit, enfin quand nous sommes tout deux debout, je le regarde malicieusement. « un... deux... trois... » Je saute je prends garde de ne pas le cogner et j'enroule mes jambes autour de son bassin, ainsi que mes bras autour de son cou. Maintenant c'était à lui de jouer !

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Un week end en amoureux

Je n'avais pas hésité un seul instant à lui sauter dessus au sens stricte du terme, sa rapidité, ses réflexes mais aussi ses muscles faisaient que Max ne pouvait pas flancher ni me faire tomber. Mes jambes autour de sa taille, je sens ses mains glissaient le long de mon dos. Max avance de quelques pas et je me pose sur l'un des meubles de la cuisine, le contact du meuble contre mes cuisse me fait frissonner, puis d'une main habile il vient à me retirer ma nuisette. Sa phrase me fait sourire, voir même rire. Alors qu'il vient jouer avec mes lèvres les mordillant un son tour, un soupire m'échappe en sentant son corps brûlant contre le miens. La différence de température entre nos deux enveloppes charnelles, mais aussi le désir me fait frissonner d'avantage. Je ne détache ni mes lèvres, ni mes jambes de son corps, passant mes mains dans ses cheveux avant de glisser dans sa nuque. C'est alors que sans réellement me rendre contre Max me soulève du meuble, avant de m'allonger sur le lit, il me laisse alors seul un instant. Je viens à me redresser, prenant appuie sur mes coudes et avant bras quand il finit par revenir. « Alors surpris ou pas ? » Ni une ni deux, il me rejoint, s'allongeant sur moi, couvrant mon corps de baiser. Je sens mes sens s'émoustiller, mon cœur s’accélérer et avoir de plus en plus chaud. Il revient contre mes lèvres, je me rends seulement compte que je suis entièrement nue quand je vois mon dernier sous-vêtement volé à travers la pièce. «  hmpf  » s'avoisinant plus à une sorte de grognement qu'autre chose. Mes mains étaient passés dans son dos le griffant légèrement jusqu'à rencontrer son dernier sous-vêtement, je joue un instant avec l'élastique, je vais pour le lui retirer, mais une fois de plus je me ravise, c'était lui qui voulait être surpris, alors si je pouvais me faire désirer un peu plus l'acte final n'en serait que meilleur. D'un coup de bassin bien placé, je profite de l'effet de surprise pour inverser nos positions, pour retrouver celle que j'avais initialement, à un détail près, je suis nue comme un vers. Je colle un peu plus mon bassin au sien, cambrant légèrement le tôt, puis doucement je viens à m'approcher de son visage, de ses lèvres sans l'embrasser pour autant. « Tu voulais être surpris...» j'avais dit ces quelques mots doucement dans un murmure, je fais mine de l'embrasser, mais au dernier moment, je fais volte face pour venir embrasser son cou, mes mains glissant une nouvelle jusqu'à son boxer jouant avec l'élastique. Je tiens bon, même si c'est dur, je sais pas dans quel jeu je me suis lancée mais ça à le don de m'amuser, j'avais envie qu'il me désire encore plus, j'avais envie qu'il craque totalement. Je l'attire de nouveau sur moi, sans délier nos bassins, m'extirpant un nouveau soupire, trahissant alors toute l'envie que je pouvais éprouver à cet instant même.

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Un week end en amoureux  

Un vrai supplice, c'est que je m'en sortais bien dans le rôle de tentatrice. J'étais presque triomphante, enfin avant de rendre compte dans quel jeu je mettais lancer. Je continue mon manège jusqu'à un coup de bassin inopportun m'arrachant un léger cri, m'apportant par la même occasion une vague de chaleur. Ainsi Max avait compris à quoi je jouais et finalement faisait de même, je me laisse faire fondant à chaque baisers qu'il procurait à mon corps. Je frissonne par moment rapidement suivit par cette même vague de chaleur. Il voulait que je craque, ses mots, ses actes, dure trop dure de résister. Je sens ses dents attraper ma lèvre. Je veux inverser nos places prendre le dessus, mais incapable d'inverser nos positions. Il affirmer que je le rendais dingue, et c'était réciproque, je veux répondre quelque chose, mais un nouveau coup de bassin vient jouer en en ma défaveur apportant son habituelle vague de chaleur. « J'mne.. hmpf !  » Encore une fois je sortais une phrase très inéligible trahissant tout désir. Je sens sa main se faufiler entre notre corps, contre mon corps provocant sur son passage son lot de frissons et de petites décharges. Je me laisse aller, peut-être trop, mon pouls s'accélère mais je ne veux plus être la seule à devoir me retenir. Fébrile, je réussis enfin à changer de position, prenant le dessus pour une durée indéterminée, mon bassin toujours collé au sien, c'est à moi de faire en sorte qu'il craque, je tente, j'essaye. À mon tour de lui infliger ses vagues de chaleurs en bougeant. Je viens nicher ma tête au creux de son cou sentant sa peau brûlante, je remonte doucement jusqu'à son oreille, mordillant son lobe. À mon tour de faire glisser agilement mes mains le long de son corps, éveillant chacun de ses sens. Alors que main droite vient chatouiller le bas de son ventre, que je viens à donner un coup de rein. Triomphante du peu de contrôle qu'il me reste je remonte mes mains jusqu'à son visage, se perdant par la suite dans ses cheveux. Puis je vient dire contre ses lèvres. « Aller, craque.... » j'avais accompagné cette supplication de léger mouvement de bassin. Finalement, je me rends compte que cette position ne voulait pas spécialement dire avoir le dessus, je prends alors cette décision, faire revenir Max contre moi, en roulant mes jambes autour de sa taille, et mes bras autour de cou, m'accrochant à lui comme un Koala à sa branche. Je me laisse aller à un baiser langoureux mon corps obligeant ma raison à prendre congés, je me sens fondre sous les caresses, les bisous et toute cette tension sexuelle qui avait envahit la pièce. Je finissais moi même par me perdre dans ce jeu que j'avais lancé estimant avoir un meilleur contrôle de moi.

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Il en pouvait plus, et moi don, tenir ou craquer, ses deux verbes se confrontaient sans cesse dans ma boîte crânienne, revenant toujours à l'assaut, je laissais mon corps prendre le dessus, puis Max abandonne, retire son boxer comme un grand. Et cette fois c'est le mit enfin qui s'inscrit dans ma tête. Plus besoin de résister je pouvais enfin m'offrir à Max. Après plusieurs minutes, on se retrouve là allongé sur ce lit qui fut quelques instant auparavant le champ de bataille d'une véritable lutte pour maintenir le contrôle... ou pas. Je remets en place une mèche de cheveux qui était tombée de façon disgracieuse sur mon visage. Ainsi j'étais totalement pardonnée, ah ce qu'il ne fallait pat faire pour faire plaisir à celui qu'on aime, néanmoins, il n'oublia de pointer du doigt la vilaine tentation que j'avais mis au point. Je pouffe de rire avant de tourner la tête vers lui. « Tu disais vouloir être surpris, j'ai rien trouvé de mieux que de faire durer le plaisir... » Pas peu fière de moi sur ce coup, il fallait le reconnaître, même si de toute évidence je n'allais pas faire ça tous les jours, ça demandait bien trop de force mentale, de volonté pour tenir bon. Finalement, je me dis que j'aurais toujours l'avantage dans ce domaine, la condition de loup et donc pas conséquent ses pulsions animales faisaient qu'avec un peu d'effort de ma part... Je viens à me redresser un peu sans pour autant m'asseoir totalement, je viens à caler mon dos contre un coussin avant d'ajouter... « Non, mais t'as vu aussi ce que tu m'as fait subir ? Tu n'es pas non plus innocent monsieur Walker !  » Je ris une fois de plus à me remarque, après tout il ne fallait pas croire, résister à ses coups de bassin, ses mains glissant agilement sur mon corps, sa bouche qui semble vouloir prendre possession de chaque passerelle de ma peau. . « Vilain tentateur !» Oui tentateur car il avait réussit à me faire perdre toute contenance rien qu'en retirant la fameuse nuisette sur le meuble de la cuisine, ah le meuble de la cuisine, si j'y attendais... Je repense au fait qu'on devait sortir et je me réjouis d'avoir insisté pour ne pas bouger du lit, c'est que je pouvais avoir de bonnes idées. Puis une sorte de choc électrique me frappa le bas du dos, troquant alors mon sourire pour une vilaine grimace de douleur. Je n'étais pas du genre chochotte, et ce n'était pas le fait de cambrer le dos plusieurs fois qui pouvait me provoquer un douleur, c'est là que je repense à la veille aux vampires, j'avais chuté à un moment entraînant l'un deux dans ma chute, mais mon dos avait tout amortie, sur le coup je n'avais pas eu mal et j'avais préféré ne pas inquiéter Max plus qu'il ne l'était avec ma main entaillée. Trop tard il avait du remarquer la grimace qui avait crispé un instant mon visage.

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La grimace loin de passer de inaperçue ne fit qu'inquiéter une nouvelle fois Max, son visage se tourna vers moi et la question tant redouté sortie de sa bouche. Je préférai ne rien répondre, mais la main plaqué contre mon dos parla d'elle même. Il ne suffit que de quelques secondes de réflexion pour qu'il ne fasse le rapprochement avant l'incident de la veille. À ce moment, il débite un tas de questions, je les prenais plus comme des reproches qu'autre chose, si je m'étais tu s'était justement pour éviter ce genre de situation. Il m'aide à m'allonger, proposant alors un massage, je ne lutte pas à quoi bon ? Je savais que j'avais eu tord de ne rien dire, mais on ne me changerait pas en un coup de baguette magique ! « Mais je vais... bien... » Trop tard le voilà qu'il était déjà parti à toute vitesse dans la salle de bain. Sur le ventre, mes bras enroulés autour du coussin de Max je lâchai un profond soupire, pourquoi fallait-il qu'une vilaine douleur se réveille lors d'un week end en amoureux, pourquoi fallait-il que je veuille toujours sauver tout le monde ? Je sortis de mes pensées en entendant Max revenir. Un frisson m'échappa en sentant ses mains passer dans mon dos, sans doute dû au contraste entre la chaleur de ses paumes et le froid de la crème. Max réussit à m'extirper un sourire affirmant que pour une massage je n'avais qu'à demander. « Non, tu sais bien, je dois toujours compliqué les choses. Je me suis dit que d'avoir un dos en miette serait bien mieux ! » On ne peut pas dire que je ne l'avais pas cherché, j'aurais peut-être due rester assise hier soir au bar, ignorer les deux vampires, agir comme si tout était normal. Je grimace une seconde fois en sentant une de ses mains passer sur la zone sensible. Je grimace juste, pas un son sort de ma bouche, l'avantage à être chasseuse, c'est qu'on s'habitue à la douleur, peut-être un peu trop.« Mais hier j'allais bien, et puis je ne voulais pas t'inquiéter encore plus... Tu te fais trop de soucis pour le petit ami d'une chasseuse. Moi qui pensais que tu allais t'y faire... »

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Je me sentais ridicule à l'inquiéter autant, après tout... Je n'avais qu'à faire plus attention à moi, à diminuer les chasse, à... Impossible de m'y résoudre s'était comme ancré à moi, et même si je rechignais parfois à devoir être toujours sur mes garde s'était ancrée à moi, un destin que je n'avais spécialement choisit mais j'aimais accomplir. Le massage touche à sa fin, et Max vient s'allonger à mes côtés et s'excuser de s'inquiéter. Comment pouvait-il s'excuser d'une telle chose, ce n'était pas comme s'il choisissait, c'était incontrôlé. « Tu sais, tu n'as pas à t'excuser là dessus. » Il aurait très bien pu prendre ses jambes à son cou en apprenant ce que j'étais, je ne lui en aurais même pas voulu, ça me semblait presque normal en faite. Je reste sur le ventre, je tourne simplement mon visage vers lui. Il me demande si je vais mieux, en guise de réponse je hoche la tête positivement. Bien que le mal soit encore présent, il avait diminué et s'était devenu supportable à l'échelle Carter. On revient à mon sujet, celui d'être chasseuse et de même ma vie en danger, inutilement parfois... Je l’admettais volontiers. J'encourais un risque inutile, jamais nous n'arriverons à exterminer une race comme ça par notre simple bonne volonté. On devait sans doute vivre pour la reconnaissance de ceux qu'on a sauvé, ou même les vies qui avaient été épargné sans le savoir. « Je me demande toujours pourquoi tu as accepté de te lancé dans la cause perdue de June Helen Carter. » 7 milliards sur Terre, des filles il y en a plein, même à Mystic Falls on trouve des personnes normales, Chloé comme exemple, humaine en tout point, sans soucis, sauf celui d'aimer mon frère, enfin... Une toute autre histoire. J'esquisse un sourire avant de reprendre.« Tu aurais très bien pu, te sauver, m'oublier, rencontrer une autre fille, lui faire des bébés lycanthropes, qui n'activeront jamais le gêne par ta bienveillance. Non toi tu choisis la chasseuse, avec sa famille de tarée, déchirée, avec une tonne de défauts. Puis bon, autant faire les choses à fond, faire des bébés mi chasseur mi loup gêne actif, sinon c'est pas marrant ! » J'avais explosé de rire, en y pensant on était parti pour faire le pire des scénario. Faire simple avec Max on connaît pas. Finalement on doit aimer se compliquer la vie, et comme j'ai dit, sinon ce n'est pas marrant !

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Mi loup, mi chasseur ou comment ne pas attirer tout les regards sur nos hypothétiques enfants dans une ville comme Mystic Falls, mais l'image est rassurante, voir même séduisante quand on pense au fait qu'il sera complet dans presque tous les domaines. Bon il y aura juste une nuit par moi à surveiller et le tour et jouer. On pourrait presque faire notre propre meute. Cette image me fait sourire en dépit de ce que Max vient de dire, je m'étais laissée aller à la rêverie quand on avait commencé à parler d'enfant. À 19 ans, je n'en voulais pas et encore moins maintenant, laisser son corps à l'abandon pendant plusieurs mois non merci ! En réalité, je n'avais jamais aimé pouponner, les enfants, j'en étais presque allergique. Ma mère me répétait que quand c'est ton enfant c'est autre chose. Si je viens à faire un enfant ce sera une véritable arme de guerre et j'avais que peu envie de m'occuper d'une bombe à retardement. Je chasse toute ses idées de ma tête, nous étions bien trop jeunes pour penser aux joies d'avoir un bébé terminator.  Je reviens à ce que Max disait à mon propos quelques seconde auparavant, comme quoi quand il avait appris, il était bien trop attaché à moi pour fuir. Fuir... Non, Max ne s'était jamais sauvé sans aucune explication, il était resté envers et contre tout, ma famille, sa famille, son gêne, mon destin... J'avais cette drôle de sensation qu'au final rien ne pouvait vraiment se mettre entre nous. « Tu sais, t'es du gens addictif comme personne. On devient rapidement accro à toutes tes petites intentions, comment résister ? Bah moi j'ai bêtement céder ! » Il n'avait pas vraiment eu à me prier longtemps pour que je lui dévoue corps et âme, à lui sauter littéralement dessus, bien qu'ayant une jambe invalide. Vraiment en y repensant j'ai tellement honte de mon manque de self contrôle. J'étais désespérante... Amusée, et de très bonne humeur, je viens à claquer un rapide baiser contre ses lèvres avant de me redresser avec précaution avant de sortir du lit, plaçant mes mains sur les hanches, je viens à dire. « Bon, on mange un bout, on va à la douche et je te fais un peu visiter la Nouvelle Orléans ! Tu verras, c'est vachement cool comme ville ! » Pour y avoir vécu un an j'étais bien placée pour en parler. C'était un autre mode de vie que Mystic Falls, ici on passait facilement inaperçue alors que chez nous, tout le monde connaît tout le monde, peut-être même un peu trop...

FIN DU RP

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