Walker's House, 2014, Maxou ♥ - Après tous ce temps [HOT]

Après tous ce temps

Un an que je n'avais pas revu Mystic Falls et pourtant rien n'avait changé que ce soit les rues, les arbres, et même l'intérieur de chez moi. Ma chambre était restée tel que je l'avais laissé. Je n'avais prévenu personne qu'on rentrait, d'ailleurs la plupart devait penser que jamais nous reviendrons, mais ils se trompaient. J'avais passé la veille en famille, retrouvailles plutôt tendues, en même temps je crois que rien ne s'était vraiment arrangé pour mes parents.

En début d'après midi je m'étais éclipsée de chez moi, j'avais tant de chose à rattraper et ce fut presqu'en courant que je me rendais chez Max, et même après un an je l'aimais encore autant voir même plus. Nous séparer n'avait servi à rien, ce n'était pas juste une lubie d'adolescente qui veut faire entendre sa voix en désobéissant, non Max je l'aimais. Je n'avais même pas oublié la route qui menait jusqu'à sa maison. Une fois devant la porte d'entrée je sentis mon ventre se nouer, de peur qu'il ne soit pas là, de peur de m'être trompée, mais aussi toute excité de le revoir enfin après un an d'absence. Mon poignet frappa frénétiquement contre la porte et les secondes qu'il fallut attendre pour qu'il daigne m'ouvrir sembla une éternité. Quand enfin j'aperçus son visage je ne pus empêcher un large sourire d'apparaître sur mon visage. « Je suis de retour ! » Et oui j'étais enfin rentrée. À peine j'eus fini ma phrase que je sautais dans ses bras. Il m'avait tellement manqué, et même si Chloé avait fait en sorte qu'on puisse rester un peu en contact malgré la distance, ce n'était pas comme si j'avais pu le voir. Sortant la tête de son cou, je viens poser mes lèvres sur les siennes avant de m'écarter un peu pour pouvoir ajouter « Tu m'as tellement manqué ! »

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Après tous ce temps

C'était sans aucun doute la personne qui m'avait le plus manqué. Alors qu'il m'embrasse de nouveau je me demande comment j'ai pu tenir un an sans lui. Il m'attire à l'intérieur, me demande pourquoi je ne lui ai rien dit la dernières fois qu'on s'est parlé, en même temps quelques larmes coulent le long de ses joues. Je souris attendrie devant ce spectacle, je passe mes mains sur ses joues « Je voulais te faire la surprise ! Je ne suis rentrée que hier et personne ne sait ! Et pleure pas, sinon moi aussi je vais pleurer ! » On va dans le salon, je laisse tomber mon sac à côté du canapé avant de m’asseoir sur Max. Je le laisse déposer tout un tas de petits baisers contre mes lèvres, en même temps je n'allais pas me plaindre. J'enroule mes mains autour de son cou, ça me faisait tout drôle de le retrouver après 365 jours, bien sûr la technologie avait fait qu'on avait pu garder contact mais quand bien même, il n'était pas là en chaire et en os. « Un an c'est long hein ! Mais s'était nécessaire ! Mais si j'avais eu un peu de place dans ma valise je t'aurais emmené à la Nouvelle Orléans avec moi ! » Je tremblais encore sous le coup de l'émotion, j'avais moi même beaucoup de mal à croire que j'étais enfin de retour à Mystic Falls. Alors oui j'avais appris à parler français, c'était une ville juste formidable mais sans Max rien n'était plus pareil. Je finis par me poser et réfléchir un peu, pourquoi Max était-il en chemise, jamais je ne l'avais vu porter une chemise, et bien évidemment ça ne pouvait pas être parce que je rentrais puisque personne ne le savait. « Mais pourquoi tu t'es fait si beau hein ? » Je lui lance un regard inquisiteur avant de l'embrasser une nouvelle fois, après tous j'avais un an de bisous à rattraper ! Je finis par le lâcher et je me penche un peu pour attraper mon sac. Je n'étais quand même pas revenu les mains vides, après tous s'était la moindre des choses. Je sors un sac en plastique avec plusieurs petits trucs dedans, bon ok une gourmette, un tee-shirt, des portes-clefs et un poster loup-garou géant parce que je trouvais ça drôle. Un peu gênée je me gratte l'arrière de la tête. « C'est trois fois rien, juste des petits trucs pour me faire pardonner d'être partie aussi longtemps loin de toi ! »

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Quand il vient me parler de sa ''maîtresse'' je tape du poing son torse puis je finis par joindre mon rire au sien. Max, me tromper ? C'était juste impossible, il n'était pas de ce genre là. Max reprend son sérieux et m'explique qu'il cherche un travail pour pouvoir prendre son indépendance. Je le comprenais après tous, on devenait grand, enfin il avait un an de plus alors il l'était encore plus que moi. Mais quand j'y réfléchissais, je me voyais pas quitter la maison familiale dans le sens ou j'étais déjà partie loin de mes frères et de ma mère pendant un an... Quand j'en aurais marre d'eux, j'aurais juste à aller chez Max. C’est un bon compromis. « Partir... mais pas trop loin hein, je fais quoi moi après si t'es loin ? » Je finis par lui tendre le sac de cadeau et il s'empresse de tout déballer. Pour me remercier il m'embrasse et je dois avouer que c'était la meilleure chose qu'il puisse faire pour me dire merci. Je me pousse de sur lui pour le laisser essayer le tee shirt, je le regarde prendre différente pause et me demander s'il est sexy, j'explose de rire avant de lui répondre. « Un véritable top model, mais à vrai dire, je te préfère sans haut alors bon... » Il finit par ouvrir le poster spécial loup garou, je suis contente que ça le fasse rire, d'ailleurs il suggère de le mettre dans la cave les soirs de pleine lune. « Ah non, là je suis pas sûre qu'il survive bien longtemps ! » Il se rassoit à mes côtés avant de me faire de nouveau venir sur ses genoux. Je me laisse embrasser, faut dire que ça m'avait tellement manqué ! À chaque fois que je voyais les couple dans la rue ça me faisait mal au cœur, parce que je n'avais pas cette chance de pouvoir sortir et m'afficher aux bras de mon chéri simplement parce qu'on était de deux mondes différents. Lorsqu'il vient à murmurer près de mon oreille que lorsqu'il aura un logement on pourra se voir autant qu'on veut je ne peux m'empêcher de sourire. C'est vrai le plus dure c'était pas pour nous, mais pour nos familles. Je colle mon front contre le sien et reprends doucement « Famille ou pas, ils ont plus trop le choix. Ils ont vu que rien ne marche. Ils vont devoir d'y habituer... » Bien sûr nous laisse ensemble toute une nuit ça allait leur écorcher le cœur mais ils n'auront bientôt plus le choix. Me serrant un peu plus contre son corps je vient à nouveau l'embrasser. Pendant un an ils m'avaient forcé à le quitter, à ne pas le voir, pas pouvoir l'embrasser, s'ils pensaient qu'à mon retour j'allais rester enfermée dans ma chambre... Toute sa tendresse m'avait manqué, son corps, ses bisous, ses petits mots tous gentils, comment on avait tenu un an sans aucun contact physique ? « Oh mon dieu tu m'as tellement manqué ! » J'avais dit ses quelques mots collaient contre ses lèvres avant de l'embrasser à nouveau. « Tellement manqué... »

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Après tous ce temps

Tant que Max restait à Mystic Falls il pouvait déménager autant qu'il le souhaitait, je l'aiderais même à faire et défaire ses cartons s'il le souhait ! L'entendre dire que je l'avais aussi manqué me faisait chaud au cœur, je m'en doutais, en même temps quel genre de garçon reste avec sa petite amie alors qu'il ne peut pas la voir pendant un an entier s'il ne l'aimait pas vraiment ? Je n'avais jamais connu ça auparavant et savoir qu'on était réellement importante pour une personne il n'y avait pas meilleur sensation au monde. Max finit par retirer son tee shirt affirmant que c'était de ma faute puisque j'étais une "coquine". Je fronce un sourcil, s'il le prenait comme ça... « Ah parce que juste parce que j'aime bien tu le fais... Ça devient intéressant vraiment... Mais je ne suis pas comme ça, je ne vais pas abuser de toi voyons. » Je prends un peu de recule pour pouvoir contempler son torse, c'est qu'il avait pris du muscle le Maxou. Je me mords la lèvre inférieure avant de faire glisser mes mains le long de son buste. « C'est qu'on a fait de la muscu en mon absence. Dis-moi tous, qui est cette jeune fille que tu veux séduire avec un tel corps ? » Je lui souris doucement avant d'enrouler mes bras autour de son cou. Max avoue son plan machiavélique qui est de me kidnapper ce soir et de m'emmener en forêt, même si l'idée est tentante, je ne peux m'empêcher de faire une moue un peu triste « Elle ne veut toujours pas entendre parler de moi hein... ? » Elle s'était sa mère, elle ne m'avait jamais accepté dans la vie de son fils, d'ailleurs j'étais même persuadée qu'elle avait sauté de joie en apprenant mon départ il y a un an. Elle n'avait pas encore compris que jamais je ne laisserai quelqu'un faire du mal à Max, même s'il s'agissait d'un Carter. Et puis quand bien même en ce moment on avait d'autres chats à fouetter. Reposant mes lèvres contre les siennes je profitais de la chaleur de son corps. Même si le printemps avait sonné, j'appréciais toujours autant la chaleur que le corps de Max faisait émané. Je me serrant encore un peu plus contre lui je viens ajouter. « T'avais dit que tu me tiendrais chaud l'hiver... T'étais même pas là pour le faire ! » Je viens poser ma tête au creux de son cou et j'y dépose tout un tas de petits bisous avant de reprendre « Je t'ai attendu cet hiver moi ! » Souriant, je dégage ma tête de son cou pour pouvoir embrasser ses lèvres, cette fois-ci s'était moi qui est venue chez lui et qui espérais que ses parents n'allaient pas rentrer d'aussitôt. « Si tu dois me kidnapper, c'est à quelle heure ? »

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Après tous ce temps

Il avait remis sa maîtresse imaginaire sur le tapis, en y repensant, il ne valait mieux pas qu'il me trompe, la fille finirait sacrément amoché et lui en tapis chez les Carter., mais je faisais confiance à Max, et encore une fois il n'était pas de ce genre là. « Dans ce cas, moi j'ai un amant à la Nouvelle Orléans ! » Me laissant attiré contre son corps on vient à parler de cet hiver, j'affirmai qu'il m'avait promis de me réchauffer et qu'il n'avait pas été là, j'étais consciente que s'était parce que j'étais partie et que dans le cas où je serais restée à Mystic Falls, j'aurais pu passer un hiver à ses côtés. Max l'avait bien compris et il rétorqua que s'était parce que j'étais loin qu'il n'avait pas pu être. Je souris contre son torse avant de répondre à mon tour. « Dis plutôt que ta maîtresse occupait tout ton temps ! » Après avoir demandé quand est-ce qu'il comptait me kidnapper, il m'expliqua qu'on avait encore plusieurs heures avant que ses parents ne rentrent du travail. C'était une chance pour moi qu'ils ne soient pas là, du moins sa mère... Même s'il tenta de m'expliquer qu'elle me tolérait un peu plus grâce à son père, j'étais loin d'être naïve, et je savais pertinemment que ça n'allait pas être chose facile de me faire accepter. « Ouais, enfin elle n'est pas encore prête à me voir avec toi quoi... » Je trouvais ça triste que nos familles n'arrivaient pas à accepter le fait qu'on soit ensemble, ça semblait trop compliqué pour eux de nous voir heureux ? De mon côté, les Carter n'étaient pas non plus innocents, après tous, ce sont eux qui mont fait partir douze mois loin de Maxwell, mais ils avaient fait des efforts, la preuve lorsque Max m'expliqua qu'il avait pris du muscle grâce à Lukas qui l'entraînait. Mes yeux s’écarquillèrent, ça c'était Chloé qui encore une fois faisait beaucoup pour nous. « Tu t'entraînes avec un Carter ? Tu te rends compte de ce que tu viens de dire hein ? En plus Lukas quoi. Le mec qui après son accident savait limite juré de tuer tous les loups qu'il croiserait ! » J'explosais littéralement de joie, première vrai bonne nouvelle depuis un bon bout de temps. Lukas s'était le plus radical envers la race de Max, mais ça se comprenait, à cause d'un loup, il avait manqué de perdre la vie. Au final, Max avait quand même réussi à rentrer dans le cercle très très fermé des Carter, j'aurais pensé qu'il aurait éviter ma famille un maximum, mais non, Lukas était un peu devenu son ami si on veut. Je finis par réussir à me calmer , et je dépose de nouveau mes lèvres contre les siennes. J'aurais voulu lui répéter inlassablement que douze mois sans lui c'était vraiment trop long, mais je craignais de me répéter, et puis il devait sans doute l'avoir déjà compris ! Je fais glisser mes mains jusque dans son cou avant d’entremêler mes doigts dans ses cheveux. « Je plus te quitter, même pour quelques jours, je pourrais plus tenir sans te voir ! »

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Après tous ce temps

Quand j'eus parlé de mon amant imaginaire, Max tira une de ses têtes qui me fit simplement exploser de rire. J'aurais pu avoir un amant, mais quel intérêt ? Max était tous ce que je voulais, alors oui beaucoup de garçons, enfin beaucoup c'est vite dit, avaient tenté leur chance pensant que j'étais célibataire, manque de bol pour eux mon cœur était déjà pris et en plus à côté de Max, ils ne faisaient pas le poids. « Bah oui, lui il était là au moins... » J'aime bien l'embêter, c'est tellement amusant de voir son visage changer du tout au tout, pendant un an on s'était concentré sur des banalités, savoir comment l'autre allé, la famille, les amis, un tas de chose qu'on ne fait pas attention quand on n’est pas loin l'un de l'autre. On finit par parler de Lukas, ça me fait vraiment plaisir qu'il arrive à mettre sa rancœur de côté, et surtout qu'il prenne Max sous son aile. D'ailleurs, Max est conscient qu'il doit apprendre à utiliser son gêne de loup à bon escient, faire de la muscu c’est bien pratique mais si on sait pas se défendre … « Je suis sûre qu'il t'en fait baver ! Le contraire m'étonnerai ! » Après tous, il n'avait jamais été tendre avec moi quand j'ai commencé à m'entraîner avec eux, j'avais beau être plus jeune, plus petite et moins forte je suivais les mêmes sessions et en grandissant, je devais limite être meilleure qu'eux juste parce que j'étais une fille. Finissant par passer à autre chose, je l'embrasse et Max semble du même avis que moi : qu'il ne faut plus qu'on se quitte aussi longtemps. Un an ça avait été bien assez pour tous les deux. J'avais cette sensation amer que pour notre relation ça n'avait servi à rien, pire, nous avions perdu du temps, mais pour tout un tas d'autre chose la Nouvelle Orléans m'avait fait du bien. Max finit par s'éloigner de mon visage, je fronce les sourcils ne comprenant pas bien pourquoi il faisait ça, puis il se lève tout en me portant, j'avais presque oublié qu'à ses yeux je ne pesais presque rien... Me posant sur le sol il déclare rapidement qu'il revient. Avant que je n'ai le temps de dire quoi que ce soit il avait déjà filé à une allure folle, si bien qu'il avait réussit à faire bouger mes cheveux. « D'accord... » J'avais parlé au vent, puis presque aussi rapidement qu'il était parti, il était revenu. Il s'excuse d'être parti aussi vite « Ce n'est rien... » J'étais pas encore au courant qu'il pouvait se déplacer aussi vite que ça, à quel point avait-il progressé depuis mon départ. Il faut croire que l'entraînement de Lukas devait lui être bénéfique. Je sors de mes pensées quand il vient à me tendre une petite boite une large sourire plaqué sur ses lèvres, il me faut quelques secondes avant que je décide de récupérer la boite. Il m'explique qu'il pensait que je serais là à Noël et qu'il comptait me l'offrir pour cet événement, mais comme je n'étais pas rentrée... Ça me rend un peu triste qu'il avait pensé que je puisse revenir pour Noël, et que de toute évidence il avait du être horriblement déçu en apprenant que je ne serais pas là. Mais ses tristes pensées s'évaporent quand j'ouvre la boite et que j’aperçois un magnifique collier, je reste sans voix un instant la bouche entrouverte et les yeux rivés sur le collier. Je finis toutefois, par relever la tête vers max. « Mais t'es fou, il fallait pas ! Il est magnifique ! » Puis sans plus attendre je lui saute dessus l'embrassant avec tout l'amour que je pouvais lui donner un baiser. C'était une petite intention qui me remuait de l'intérieur, alors oui moi aussi je lui avais acheté un bijou, et plein d'autre truc, mais je n'espérais pas recevoir quelque chose en retour. « Tu me le mets ? » Je lui tends la boite avant de me mettre dos à lui tout en poussant mes cheveux pour lui simplifier la tâche. Ce collier, je ne comptais pas le quitter ! Une fois la tâche accomplie, je refais face à Max, je le gratifie d'un sourire avant d'enrouler mes bras autour de son cou, je me hisse sur la pointe des pieds pour pouvoir atteindre une nouvelle fois ses lèvres. « J'ai tellement de chance de t'avoir ! » Je laisse mes talons tomber sur le sol, et je me serre contre le corps de Max, faisant passer mes mains dans son dos avant de dire doucement « Je t'aime »

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Peur que ça ne me plaise pas ? Il était fou de penser ça, le collier était juste sublime, une véritable petite merveille. C'était le premier garçon à m'offrir un bijou, enfin si on ne compte pas les hommes de ma famille. Il faut dire qu'en général, les bijoux n'avaient pas une longue espérance de vie avec moi, mais ce collier j'allais y faire très attention, ne pas le mettre pendant mes entraînements, les chasses et tout autre chose susceptible de le faire casser. « Comment j'aurais pu ne pas l'aimer, il est trop beau, je ne savais pas monsieur avait du goût en bijou ! » C'est vrai, jamais je n'aurais pu penser que Max puisse dépenser de l'argent dans un collier, surtout pour moi, encore moins pour Noël alors que je suis à des centaines de kilomètres de lui. Alors que je suis dans ses bras, je viens à dire que je l'aime, c'était juste spontané, j'avais envie de lui dire et même de lui redire encore et encore, ce sont des mots qu'on ne dit pas assez quand on est sûr de les éprouver, et bien souvent et les dit trop tôt alors qu'on doute encore un peu. Mais Max, je l'aime, j'ai besoin de savoir qu'il va bien, qu'il n'est pas loin, et qu'il sera toujours là. C'est un besoin viscérale, ça peut sembler bête, mais j'en avais assez de calculer le moindre de mes mouvements. Max m'avait permis d'être moi, et jamais je ne m'étais sentie aussi vivante que dans ses bras. Je lâche un cri de surprise quand il vient à nous faire tomber dans le canapé. On rit, et il finit par dire que lui aussi m'aimait, ça faisait tout bizarre dans mon cœur, le dire était une chose, mais l'entendre en était une autre encore plus formidable ! Passe ma main sur son visage avant de le laisser m'embrasser encore et encore, il finit par reculer son visage, m'expliquant que c’est grâce à la rencontre d'un loup qu'il arrive à gérer sa condition de loup. Ça n'avait jamais été facile pour lui alors toute personne pouvant l'aider était la bienvenue dans sa vie. « S'il n'a pas peur de moi, peut-être que je pourrais le rencontrer un jour ! » Après tout, je devais être un vrai fardeau comme petite amie, tous les amis surnaturels de Max devait me craindre juste parce que je suis chasseuse. On change de sujet, il me reparle de kidnapping, et peux m'empêcher d'exploser de rire. « Si je suis consentante, ce n'est plus un kidnapping Max ! » Il n'avait pas besoin de me forcer pour que je reste avec lui, après tous, je n'avais pas pu profiter de lui pendant douze longs très longs mois, je comptais bien passer le plus de temps possible en sa compagnie. Je fais glisser mes doigts contre son torse avant de reprendre. « Pendant douze mois, je ne t'ai pas vu, pas touché rien, tu penses que je suis venue chez toi juste pour quelques heures, en attendant sagement qu'on puisse se revoir seul à seul dans quelques jours ? C'est mal me connaître monsieur Maxwell Walker ! » J'explose de rire encore une fois avant de retourner l'embrasser. J'étais partie trop longtemps pour laisser quiconque mettre de la distance entre nous. Même si sa mère ne m'appréciait pas encore, même si mon père avait encore du mal à l'accepter. J'étais partie pour leur prouver qu'on tiendrait et maintenant j'allais vivre ma vie comme je le voulais et avec Max même si ça leur déplaisaient. Je prolonge le baiser, puis je finis par l'embrasser un peu partout avant de dire contre ses lèvres. « Sincèrement, t'as pas besoin de me kidnapper, je te suis avec grand plaisir mon Maxou. »

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Sa question était un peu bête, s'il venait à vivre seul je passerais sans doute plus de temps chez lui que chez moi. En même temps ça pouvait se comprendre la seule barrière qui restait c'était sans doute nos familles, une fois l'un indépendant on devenait presque libre de nos actes. Avant de répondre quoi que se soit je le laisse m'embrasser, passant une main dans son dos. « Si tu viens à vivre seul, je compte bien passer beaucoup de nuit avec toi autant que possible ! » Je frissonne en sentant la main de Max caresser mon ventre, je souris en l'entendant dire que j'avais déjà tout préparer. « J'avais pas prévu de passer la nuit là... C'était juste une issue que j'avais envisagé ! » Max s'était mordu la lèvre, un sourire en coin. Même quand il prenait sa tête de pervers d'ado plein d'hormones il restait mignon. Déposant une nouvelle fois un tas de baiser contre mes lèvres, sa mains toujours sur mon ventre il affirma que ça aussi ça l'avait manqué, et qu'il comptait bien rattraper cette année de séparation. Je le regarde faussement outrer avant de dire sur le ton de la rigolade. « Et tu compte t'y prendre comment ? Je suis curieuse de savoir tient ! » J'aimais bien le taquiner à ce sujet, après tout s'était lui qui avait commencé en me donnant le mauvais rôle. Bon j'avoue, j'avais un peu aider en le faisant mettre torse nu, mais il n'y avait rien de mauvais à ça. Il faut dire qu'entre Max et moi, il y avait toujours eu une attirance assez forte l'un vers l'autre, on avait beau dire qu'on savait se contrôler, un après-midi on avait bien faillit passer à l'acte. En y réfléchissant bien cet époque me semblait lointaine, pourtant j'avais cette sensation de déjà vu, les rôles étaient inversés. En parlant d'inverser les rôles... Max avait pris le dessus en me faisant tomber sur son canapé, il était temps pour moi de faire valoir mes droits ! En un coup de hanche je réussi à me mettre au dessus. Loin de moi une sur-femme, j'avais misé sur l'effet de surprise et ça avait marché. « Je vois que t'as pas encore travailler le corps à corps avec Lukas... » L'air triomphante, je claqua un rapide baiser sur ses lèvres avant de me redresser. « Je vais devoir t'apprendre ... »

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Rien que le fait de savoir que j'allais passer la nuit à ses côtés rendait la journée encore mieux qu'elle ne l'était déjà. Le fait qu'il veuille prendre son indépendance n'était pas mauvaise au fond, même si refuserait catégoriquement que je sois présente les soirs de pleine lune. C'était déjà bien qu'il ne m'oblige pas à m'enfermer à double tour dans ma chambre. Finalement il avait fait son innocent en ne sachant pas comment il allait rattrapé mon année d'absence. J'avais alors décidé d'inverser nos positions, le taquinant sur l'entraînement qu'il suivait avec mon aîné il avoua que la partie corps à corps serait plus intéressante avec moi ce qui me fait sourire. « Bah tient, le contraire m'aurait étonné ! » J'estimais qu'il était sans doute plus agréable de se retrouver coller à moi plutôt qu'à Lukas , quoi que j'en connais une que ça ne devrait pas dérager... Puis Max parla de cette après-midi chez moi où on s'était retrouvé bien bête à moitié nu, il accentua le fait que je n'avais pas fait ce genre de chose avec un plâtre. Arquant un sourcil, je finis par rire à mon tour. « Je trouve que pour une fille en convalescence je m'en suis quand même bien sortie ! » Certes on avait rien fait, enfin rien qui puisse énervé plus nos familles qu'elles ne l'étaient déjà, mais quand même j'avais même réussi à passer outre mon handicape. Puis d'humeur taquine, j'avais envie de l'embêter aussi. « Dis pas que ça te gênait d'avoir une pauvre fille sans défense rien que pour toi ! » C’est vrai qu'à aucun moment il ne s'était plaint, alors oui j'étais consciente qu'il avait du se montrer plus doux que d'ordinaire afin d'éviter de réveiller la douleur que j'avais, mais ça ne l'avait pas empêcher de me déshabiller et inversement. Max se relève doucement pour pouvoir se coller contre moi, je sens une nouvelle fois ses lèvres s’emparer des miennes et sans émettre aucune opposition je me laisse attirer contre lui quand il décide de se rallonger. En un an d'absence j'avais presque oublié que le corps d'un loup émanait une telle chaleur, mais la retrouvait n'était pas pour me déplaire, finalement Max vient à dire qu'il n'avait jamais remarqué que son canapé était confortable. Je relève la tête en le regardant intrigué sans savoir réellement où il veut en venir, mais quand il ajoute que son lit l'est encore plus, pas le temps de répondre, qu'il attrape de nouveau mes lèvres après quelques secondes je viens à rompre le baiser. « Ah bon ? Dans ce cas, pourquoi on est encore là ? » Je décide de me lever de sur lui, et je monte en courant les escaliers jusqu'à sa chambre. Sans aucune gêne j'ouvre la porte, et je rentre dans la pièce, suivie de très près par Max. « Ça n'a pas changé ! » Je trouvais ça rassurant de voir que certaines choses n'avaient pas bougé malgré le fait que je sois partie aussi longtemps, histoire de m'assurer que tout est vraiment comme avant je fais un rapide tour des lieux avant de retourner face à Max. Je passe mes bras autour de son cou et je commence à l'embrasser, je recule de quelques pas pour pouvoir me laisser tomber sur le lit. Tout contre ses lèvres je viens lui dire « Vraiment plus confortable  » avant de reprendre le baiser là où je l'avais laissé

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l avait fallu quoi ? À peine quelques secondes avant que Max me rejoigne dans sa chambre, évidement il s'était déplacé normalement, enfin pas aussi vite que tout à l'heure pour aller chercher le magnifique collier qu'il m'avait offert. Alors que je regarde un peu partout pour me certifier que vraiment rien n'avait changé, j'entends Max me dire qu'il ne cache pas sa maîtresse ici. « Dommage j'aurais pu lui crever les yeux devant toi... » Je rigole, tandis que je fais volte face pour retourner l'embrasser, je nous fais alors tomber sur le lit, avouant qu'il était plus confortable que le canapé il me regarde avec cet air que tout le monde a déjà pris pour dire qu'on avait raison. Je sens sa main passer sous mon haut, encore et toujours je ne peux m'empêcher de frissonner à ce contact. Il finit par se reculer un peu, déclarant par la suite qu'il n'avait pas profité de moi alors que j'étais dans un état de mobilité réduite, et que surtout ça n'avait pas dû me déranger. Je souris amusé par sa réflexion. « Je n'ai jamais dit que ça m'avait dérangé ! Juste que tu avais profité de mon état de faiblesse ! » Bon j'abusais peut-être un peu, je l'avais un peu aider après tous en commençant à le déshabiller, mais bon c'était légitime, il ne se serait sans doute jamais permis de me retirer un vêtement en premier ! Je le regarde rigolais, sans trop savoir pourquoi, même si j'avais ma petite idée. Il s'excuse et mon hypothèse s'avère juste quand il dit penser à cet après-midi. Je soupire en y repensant aussi, on avait été beau tient, deux ados avec un trop plein d'hormone. On avait dit savoir se contrôler et en quelques minutes on s'était retrouvé presque nu, prêt à passer à l'action. Max s'était réveillé en disant n'avoir rien pour se protéger. Je mêle mon rire au sien avant de répondre. « Ah non ! Pitié tous mais pas ça ! Mon dieu on était pitoyable hein à dire qu'on avait tout notre self contrôle et à ce sauter dessus deux minutes après. Toi à la rigueur, je veux bien mais moi... » Mais moi j'avais toujours mis un point d'honneur à garder le contrôle en toute situation, mais avec le temps j'avais appris que Max me faisait justement perdre tout ce contrôle. Du bout des doigts je caresse son avant bras tout en lui souriant tendrement. Il m'arrivait aussi de repenser à ce jour, et ça me mettait dans le même état que lui, bien qu'à cette époque je n'arrivais pas encore à en rire, je me souviens que j'avais terminé rouge pivoine tout en mettant rapidement en tee-shirt. « Ça me semble bien loin tous ça ! » Loin, pas tant que ça en y réfléchissant, seulement un peu plus d'un an, pourtant ça s'était accéléré avec mon départ, et tous ce qui s'en est suivi. Mystic Falls m'avait manqué, enfin surtout ses habitants, et principalement Max, si j'avais pu les emmener avec moi je l'aurais avec grand plaisir. Je lui sourie avec tendresse tout en passant une main sur son visage avant de reposer mes lèvres sur les siennes, je fais passer mes mains dans son dos, glissent le long de sa taille, dessinant des formes sans queue ni tête.

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Max dit ne pas avoir profité, comme si mon état l'avait gêné. Mais sincèrement, ce jour nous avions était un peu pitoyable... Le contrôle on l'avait vite perdu, d'ailleurs en y repensant je crois qu'on ne l'avais jamais eu... Et lorsque j'avais laissé ma phrase en suspend, Max l'avait gentiment achevé disant que je n'avais jamais su résister à son charme, le regard désapprobateur, je n'avais pas tenue deux secondes sérieuses que j'explosais de rire à nouveau. Je laisse mes mains glisser dans son dos et ce qu'il vient dire tout contre me lèvres me fait littéralement fondre. « Comment je peux résister si tu me dis de telles choses ? » Lui aussi m'avait manqué, même beaucoup trop, je savais pas comment j'avais fait pour tenir, non je ne savais vraiment pas. Je ne comprendrais jamais pourquoi ils avaient fait ça, m'éloigner ? Ça n'avait servi à rien pour ma relation avec Max, juste une perte de temps, mais Max avait servi de prétexte, la Nouvelle Orléans n'avait pas été juste pour nous séparer. Je chasse ses mauvaises pensées, en sentant les mains de Max remonter un peu plus mon tee shirt, je frissonne en sentant ses lèvres glisser contre ma peau et c'est à mon tour de frissonner. Je change une nouvelle fois nos positions mais pas aussi rapidement que dans le canapé. Cette fois c'est moi qui mange son corps de baiser: lèvres, mâchoire, cou, torse tout y passe. « En même temps, maintenant, je n'ai plus trop besoin de résister... » Ni une ni deux, j'enlève mon tee shirt, enfin... Max l'avait déjà à moitié retiré je l'avais simplement aider. Même si la premier fois j'avais émis j'avais été plus combative, maintenant ça n'avait plus vraiment d'intérêt. Je me mord la lèvre inférieur, avant de retourner l'embrasser. Ça me fait tous drôle de ressentir sa peau contre la peau, j'ai l'impression d'être encore la June d'il y a un an, je pensais pourtant avoir fini de avec la période des papillons dans le ventre et tous ce qu'apporte une relation naissante, mais ce n'était pas dérangeant, s'était même agréable de se sentir autant amoureuse, voir même plus que le premier jour. « Est-ce que tu sais que tu me rends dingue ?  » Je lui laisse pas le temps de répondre que je retourne l'embrasser, ses lèvres et lui tout entier m'avait tellement manqué qu'il était difficile de le laisser parler.

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Après tous ce temps

Je sens les mains de Max remontait le long de mon dos, il dégrafe mon soutien gorge sans pour autant le retirer, il finis par prendre un visage innocent, disant que je pouvais lui montrer à quel point j'étais dingue de lui, il finit par m'embrasser à nouveau, retirant finalement le soutien gorge, avant de refaire glisser ses mains jusqu'à mes hanches, inversant encore une fois nos positions. Il me regarde un instant, un sourire triomphant sur le visage avant d'embrasser chaque passerelles de mon corps, je sens mon cœur s'accélérer, ce qui ne s'arrange pas à sa phrase, on recommence à s'embrasser, avant même que je n'ai le temps de répondre. Préférant profiter ses lèvres plutôt que de parler, je me laisse entraîner par la passion. Je finis par enrouler mes jambes autour de sa taille, souriant contre ses lèvres je finis par dire. « C'est toi qui disais vouloir rattraper mon année d'absence... » Mes mains passent dans son dos avant je change une fois de plus nos positions, je commence à embrasser le haut de son torse tandis que je fais glisser mes main jusqu'à son pantalon, j'enlève sa ceinture, défais le bouton mais je m'arrête là après tous, j'avais retirer mon tee shirt seule ! Je n'avais pas non plus oublié ce qu'il avait dit précédemment en retirant le sien. De nouveau à califourchon sur lui je me redresse un peu triomphante. « Tu vois que ta copine n'est pas si coquine que ça... » Je retourne embrasser son cou avant de retourner sur ses lèvres. Je comptais moi aussi rattraper cette année perdue, mais si je pouvais le faire languir un peu s'était encore mieux. Après tous, une femme devait se faire désirer, un peu... Du moins c'est ce qu'on m'avait dit. max n'était pas du genre à me prendre pour quelque chose d'acquis, mais s'était tellement drôle de le faire patienter encore un peu. Collée tous contre lui, je viens lui dire à l'oreille. « J'attends toujours de savoir comment tu comptes rattraper cette année de vide... »

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Après tous ce temps

Moi, coquine, pas le moins du monde, quoi que … Après un an d'absence j'avais bien le droit non ? Enfin, on était au même niveau Max et moi. Et même si je faisais mine d'ignorer ce qu'il comptait faire pour combler toute une année de vide, dans ma tête je savais pertinemment où ils voulait en venir. Il insistait sur mon niveau de perversion en disant que je le faisais languir, ah j'étais démasquée, tant pis. Lorsque Max revient sur moi, embrassant tout mon corps je sens le désir monté un peu plus, ni une ni deux il retire mon pantalon. Il pouvait parler de moi, mais lui aussi pouvait se montrer entreprenant, mais aussi influé par ses hormones. Bon je n'étais pas non plus mieux. Je me mords la lèvre, avant de m’asseoir sur le lit. « T'as raison, je suis vraiment pas une fille fréquentable... » Je rigole un instant avant de me jeter littéralement sur Max, je le refais tomber en arrière et finit de lui retirer son pantalon, que je jette en dehors du lit, je le regarde un instant. C'est fou ce qu'il m'avait manqué ! « Vraiment pas fréquentable ... » Je mords une fois de plus ma lèvre, avant d'embrasser le bas de son ventre pour remonter jusqu'à sa bouche, je colle tout mon corps contre le sien, mais il reste encore plus brûlant que le mien, je frissonne, puis une fois n'est pas coutume, j'attire Max sur moi, pour une fois que je ne tentais pas de prendre le dessus. Je lui mordille gentiment sa lèvre, tandis que mes mains se perdent dans ses cheveux, j'entoure sa taille de mes jambes avant de repenser à quelque chose d'important. « Dis-moi que t'as des préservatifs et que ça face pas comme le jour où on s'est mis ensemble. » C'était un détail, mais de loin le plus important, quoi que s'il me disait ne pas en avoir, j'étais limite prête à me rhabiller en vitesse pour en acheter. Ça peut paraître fou, mai un an c'est vraiment, mais vraiment très long sans celui qu'on aime. Je sais que ce qu'on peu penser, des ados qui ne pensent qu'à ça, mais non c'était bien plus que ça.

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