Catch me if you can - Connor is here !

Connor McKenzie

c'est tout moi ça !

Je n’ai pas toujours eu un caractère facile, encore moins maintenant. Enfant, j’étais adorable, sage, calme et obéissant mais à l’adolescence, on peut dire que j’ai fait ma crise, une crise qui ne m’a plus quitté depuis ! Je suis loin d’être un rebelle à fond. C’est juste qu’il y a des choses, des injustices, que je ne peux pas supporter. J’aime être libre, pouvoir faire ce qui me plait mais tout en restant dans le raisonnable. Je suis quelqu’un d’agréable à vivre, fêtard par moment (j’ai la boisson facile tout de même), séducteur pas toujours hors paire et je m’étonne encore d’avoir rencontré une fille qui a bien voulu de moi à une époque très lointaine. Il m’arrive parfois de me prendre des râteaux comme tout le monde mais parfois, mes techniques de dragues marchent. Je suis très, mais vraiment très protecteur envers les personnes qui me sont chères et qui ont compté pour moi au cours de ma vie. Je leur suis également loyal et dévoué mais si quelque chose ne va, je n’hésite pas à le dire, quitte à me disputer avec cette personne. Je suis rancunier et il est souvent difficile de regagner ma confiance, excepté pour mon entourage. J’ai tendance à leur pardonner facilement. Ah oui, il ne vaut mieux pas pour vous de me mettre en colère car alors, je peux devenir très très méchant et faire sortir le pire de moi-même. Je suis plutôt impulsif et je ne réfléchis pas toujours à mes actes. Encore moins lorsque l’on s’en prenne à mes proches. Je ne cache pas que j’aime le gout du sang mais je ne me nourris que lorsque c’est nécessaire. Faire du mal à un innocent m’a toujours écœuré. J’avoue être manipulateur par moment et être très profiteur si je peux tourner une situation à mon avantage. Ah oui et être cruel mais ça, comme je l’ai dis plus haut, il faut juste évité de venir me chercher !
En gros, je suis gentil mais il ne faut pas trop me chercher ou je dépasse les limites que je me suis mises !

tout commença ainsi...

Je suis né dans une famille de la noblesse anglaise. Petit, je faisais tout mon possible pour rendre mes parents fiers de moi. Aux yeux de ma mère, j’étais le petit garçon le plus adorable du monde, ce qui me rendait extrêmement fier mais pour mon père, ce que je faisais n’était jamais assez bien. Il me critiquait sans arrêt et devant les autres, il faisait celui qui était fier de son fils. Je regrettais que mes parents ne m’aient jamais donné de frères et sœurs mais en y repensant, je pense que c’était sans doute mieux ainsi car étant l’aîné, mon père m’aurait critiqué encore plus qu’il ne le faisait déjà. Je me contentais d’aller m’amuser avec les enfants des domestiques dans notre petite campagne, dans la petite ville de Cadbury. On disait que ce fut à cet endroit que se trouvait le château de Camelot et la cours du roi Arthur. Sur le Cadbury Hill, je m’imaginais être ce légendaire roi, entouré de ma cours de preux chevaliers - les enfants du village en l’occurrence.

Afin de parfaire mon éducation, mon père m’envoya, à dix ans, chez mon oncle qui vivait à Londres. Il était aussi pire que mon cher père et à sa mort, deux ans plus tard, je fus bien heureux. Mais ce n’était pas pour ça que j’avais pu rentrer chez moi. Non, mon père avait été bien clair là-dessus : je ne devais revenir qu’une fois devenu un homme comme il se doit. Alors, je devins peu à peu un jeune homme avec son propre point de vue, sa propre logique, ses propres règles et sa liberté. Je sortais le soir pour faire la fête avec mes amis, flirtant avec de belles demoiselles, que ce soit de la noblesse ou du peuple.
Un jour, peu avant mes vingt ans, j’eus la surprise de voir mes parents me rendre visite à Londres. Ma mère fut agréable surprise de voir un très beau jeune homme à la place d’un petit garçon. Mon père, comme à son habitude, me fit part de ces nombreux commentaires sur ma façon de me comporter qui n’était pas digne d’un lord. Je pouvais me comporter en parfait gentleman lorsque la situation l’exigeait mais n’allez pas me demander de tenir un rôle 24h sur 24 ! J’avais besoin d’être moi en dehors de cette noblesse et cette cage dorée qui m’étouffait plus que tout. Je pris la décision de partir et de voyager le lendemain de mon vingtième anniversaire. J’ai voyagé à travers la vieille Europe avant de faire une halte en Bulgarie.

Dans un charmant petit village, j’ai rencontré une magnifique fille, Katerina. Je m’étais senti immédiatement attiré par elle et j’avais pu remarqué que nous avions certains points, notamment le fait qu’elle semblait avoir une famille stricte ! Enfin, surtout un père stricte ! Cela ne m’a pas empêché de passer de merveilleuses nuits en sa compagnie.

J’étais resté un long moment et à chacun de mes voyages, j’envoyais une lettre à ma mère pour lui dire où j’étais et les merveilles du pays visité. Un jour, j’avais reçu une lettre qui m’annonçait que ma mère était gravement malade. Bien entendu, ce n’était pas mon père qui me l’avait envoyé mais une tante à la demande de ma mère. Je retournais chez moi, en promettant à Katerina de revenir une fois ma mère guérie. Ma mère mourut cinq mois après mon retour. Lors de son enterrement, mon père ne voulait même pas que j’y assiste, prétendant que je n’étais pas un fils digne de lui. Pour toute réponse, je lui ai dit que j’en avais rien à faire de son héritage, d’être digne de lui car lui n’avait jamais été un digne père ! Je dus rester encore longtemps pour régler certains détails au sujet de l’héritage que me léguait ma mère malgré les protestations de mon père. Une fois tout réglé, je pris mes affaires et je retournais en Bulgarie, pensant y retrouver Katerina mais à mon arrivée, j’eus la désagréable surprise de me faire claquer la porte de chez elle par son père, sans oublier les petites insultes en bulgare dont je ne compris pas un traitre mot mais ce que j’avais compris, c’était qu’elle n’était plus là. Une des sœurs de Katerina, qui comprenait un peu ma langue - l’anglais pour être précis - m’expliqua qu’elle avait eu un bébé, ce qui porta la honte sur sa famille et elle fut bannie du village. Katerina ? Un bébé ? Je me mis à penser que ce bébé n’était sans doute pas de moi mais sa mère a tenté de me parler, en secret et je compris que l’enfant, une magnifique petite fille, était bel et bien de moi. Ne cherchez pas à comprendre car moi-même, je ne comprenais pas trop ce qui m’était arrivé. Sous le choc donc, je buvais verre sur verre et sur la fin, je m’étais laissé séduire par une fille de joie qui m’entraina à l’extérieur. Erreur de ma part car elle me mordit immédiatement avant de me faire boire son sang. Après, je ne sais plus ce qui s’était passé. Tout était devenu vague dans ma tête. La seule chose que je me souviens, c’est qu’à mon réveil, elle m’expliqua que j’étais un vampire mais qu’il me restait une étape à faire pour le devenir : boire du sang. Je ne voulus pas mais l’appel du sang était bien trop fort. Je tuais ma victime en la vidant, une femme dans la trentaine. Mais j’étais inquiet pour la petite fille de Katerina. Je ne savais pas où était le bébé mais grâce à mon mentor, je mis à profit mes pouvoirs de vampire. J’hypnotisais le père de Katerina pour savoir où il avait placé l’enfant et dés que j’avais retrouvé ma fille - diantre, comme elle ressemblait à sa mère - je quittais immédiatement le village avec. J’avais oublié un petit truc : je ne pouvais pas sortir le jour. Je me pris donc une gouvernante qui était au courant de mon secret. Je me fis passer au bout d’un moment pour mort et envoyais ma fille chez une tante qui s’occupa d’elle. Je gardais malgré tout un œil sur elle et sa descendance afin de m’assurer qu’ils allaient bien. Je n’ai jamais retrouvé Katerina mais j’ai cru entendre qu’elle se trouvait à Mystic Falls. Une chance pour moi car j’ai également découvert que j’avais une descendante là-bas. Oui, avec mon argent amassé au fil des siècles, j’avais pu me permettre de courir aux services d’un détective privé.

Ah oui, je peux à présent sortir à nouveau à la lumière du jour grâce à une sorcière à l’époque de la chasse aux sorcières de Salem. Je l’avais aidée, sa famille et elle, et comme remerciement, elle m’avait fabriqué une chevalière ensorcelée pour vivre au soleil. Une vraie petite merveille !

qui suis-je vraiment ?

Comment t'appeles-tu ? Quel est ton âge ? Quelle sera ta fréquence sur le forum ? Comment as-tu atterri ici ? Ce que tu aimes dans la vie ? Bref, raconte-nous tout ! Alors je m'appelle Sandrine, plus connue sous les pseudo de Zanzan et de Sybline. J'ai 26 ans, toutes mes dents. Je saurais être là 24h sur 24 si j'ai pas trop de rp en retard ou si je suis pas trop fatiguée, sinon ça serait en nombre de fois par semaine euh 3 fois par semaine min. J'avais repéré le fo sur prd mais j'osais pas venir. J'adore ma fille, mon chéri, les crêpes, les gaufres, si vous voulez m'avoir dans votre proche, le chocolat est le bienvenu même si ça grossit ! et pour terminer, cacahouète !