Invité | Sujet: Grayson • Have you any idea why a raven is like a writing desk? Jeu 9 Mai - 18:18 | |
| Ewen Grayson Scartrick NOM ;Scartrick. Même à l'époque mes parents semblaient avoir un parfait handicap dans la vie. Handicap, handicap, il m'a suivi, me suit toujours, m'empêche, me bride. PRÉNOM(S) ; Grayson. Drôle de nom Grayson ... Mais avec un peu de chance, tu ne sauras jamais que c'est un Grayson qui t'a attaqué. Tu ne sauras jamais que tu as été attaqué, d'ailleurs, ni même si tu as vécu un jour. Ewen est mon premier prénom. C'est drôle Ewen, ça se prononce étrangement, j'en ris, aha, toujours mais mes amis me surnomment Mad Hatter. Non, c'est une blague, ahaha, je me gausse, mais pas toi, toi tu n'as pas le droit, parce que c'est triste, je n'ai pas d'amis. Tu as ris? Tu t'es moqué. Ne te moque pas. Je n'ai pas d'amis. Vieux radoteurORIGINES ; Je suis né à Manchester, ou peut-être Liverpool. Enfin, ce qui tenait lieu de Manchester ou de Liverpool à l'époque mais c'était peut-être ailleurs, dans le Pays Imaginaire ou que sais-je, je n'y étais pas plus, peut-être, jamais ÂGE ; 922 ans, des poussières, des lumières, des étoiles et des ciseaux. STATUT SOCIAL ; je suis un bourreau des coeurs, littéralement parlant, et cette fois, ce n'est pas une blague, I promise. J'aime tout j'aime rien, j'aime le sexe, je le déteste, j'aime ton sexe, je ne l'aime pas, je ne veux pas, je veux, je ne sais pas. PROFESSION ; Je suis un arracheur de dents, je suis le croque-mitaine, le monstre sous ton lit, ta peur, ton ombre aha, je me moque, de ta mort, de ta vie, de la sueur sur ton front. AVATAR ; Sebastian Stan CRÉDITS ; Tumblr | GROUPE ; Vampire. Sanguinaire, petit, fort, vampire. PLUS GRAND RÊVE ; Qu'il m'aime. Je suis fou, petit garçon sans avenir, sans lendemain, sans passé, fort, indestructible, presque, je veux que mon frère m'aime. Mais il est mort. Mais il ne l'est pas. Je veux qu'il m'aime.PLUS GRANDE PEUR ; L'humanité. Etre humain c'est effrayant. Si éphémères ... J'ai vécu plus de 20 vies humaines. Une seule, c'est relativement peu. RAPPORT AUX AUTRES GROUPES ; Les loups vous font peur? Les loups sont des loups, je les fais cuir sur un barbecue. Les hybrides sont un peu plus préoccupants, ils sont tout, ils ne sont rien, ils ne savent pas, ils se mettraient à genoux pour un homme beaucoup plus pathétique que puissant. Autant dire qu'il l'est. J'ai un avis critique sur toute chose, je n'ai pas de respect pour les puissants et je tue les faibles. Tu crois me faire peur? Essaie. |
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c'est tout moi ça ! Je suis une personne à double facette, comme un miroir, tu sais, les miroirs, j'aime les miroirs, d'un côté c'est plus ou moins proportionné, de l'autre c'est grossissant, c'est moche, c'est gras , c'est moi, c'est un miroir, je suis un vampire, j'aime le sang, les éclaboussures sur mes chaussures, les coeurs dans mes mains, les rires sortant de ma gorge, les sons gras et impressionnants des corps qui se meurent, je suis sensible, comme un petit garçon, quand on m'enlève mes jouets je pleure, mais jouer, mes jouets, tu veux jouer? Jouons ! Je veux être le chat, sois ma souris, alcoolique mélancolique j'aime boire, me souvenir du passé, mes années d'humanité, je ne connais plus j'étais aimant, je n'étais pas moi, ce n'était pas lui non plus mais qui était-il ce pauvre être perdu?; mais aussi irrationnel, je vis ailleurs, dans un autre univers, un autre monde, une autre planète, ou peut-être celle la, ailleurs t'as peur?, Les gens me craignent et moi je m'amuse, je m'amuse de leur peur comme l'on se repaît d'un repas agréable, je les hais, je les aime, je suis fou, mais qui ne l'est pas, Je suis très famille, j'avais un frère autre fois aha, drôle d'histoire, tu ne veux pas, tu n'aimerais pas, tu ne sais pas, J'étais humain aussi, perdu, ailleurs, dans le vide, dans les pleurs, dans le feu, dans l'eau, et j'ai vu rouge, j'ai vu lui, j'ai vu moi, des dents, du sang, je suis moi, je suis lui, nous sommes nous, nous sommes fous, mais qui ne l'est pas?
tout commença ainsi... I'm not perfect but I keep trying cause that's what I said I would do from the start.
L'histoire d'une naissance. Voilà quelque chose sensé être beau. La naissance d'une vie, vouée au bonheur. Parce que ça ne peut être que cela, un bonheur, le bonheur d'un nouveau-né. Grayson Scartrick. Né dans la douleur d'une mère qui a tout donné pour ses fils. Même sa vie. L'ignorance, toute une vie, de savoir quel genre de femme était celle qui les avait mis au monde. Une femme hors du commun, pour qu'elle ait accepté d'en mourir. Mais peut-être n'avait-elle pas eu le choix. Peut-être que Grayson et Ewen n'étaient pas de son choix. Peut-être qu'ils n'auraient jamais dû vivre. Que leur père avait eu raison de les abandonner à leur sort, de les déléguer comme il l'avait fait. Des enfants des rues, voilà ce qu'ils étaient. Des rues du monde entier. Des rues inconnues. Des rues non construites. De celles ancestrales. Comment ont-ils survécu jusqu'à l'adolescence ? Dieu seul le sait. Ou personne. Il avaient une bienfaitrice. Durant leurs premières années, elle était présente, leur a montré comment s'en sortir, survivre dans ce monde bien trop dangereux pour des enfants de leur âge. Main dans la main et leur seul nom à la bouche, ils ont avancé dans la vie, n'ayant rien d'autre à faire. Ils sont devenus des voleurs. De brillants voleurs. De charmants voleurs. Des voleurs de pauvres, des voleurs de riches, des voleurs bien trop préoccupés par leur survie qu'ils en oubliaient leur situation précaire. Ils apprirent à vivre ainsi. A aimer cette vie. A en profiter. Ils détroussaient les pauvres, s'excusaient de leurs méfaits, un sourire aux lèvres, ils détroussaient les riches, et s'incrustaient dans leurs groupes. C'est là qu'il la rencontra. Alycia. La plus belle créature du monde. Celle qui méritait toutes ses batailles pour survivre.
Ses boucles brunes lui tombant sur les épaules, sa prestance et sa grâce semblant innées … Pour la première fois de sa vie, Grayson se sentit amoureux. Il n'avait que dix sept ans. L'âge pour lui de se marier. D'avoir des enfants. D'une femme merveilleuse, si tant est qu'il le puisse. Alors il la courtisa. Avec une passion dont peu auraient été capables, avec un désir certains, et un romantisme à faire pâlir les auteurs les plus célèbres. Alors elle accepta de partager le reste de sa vie avec lui. Ce jour-là, il crut que son cœur arrêterait de battre de bonheur. Ce qu'il ne savait pas encore, c'est qu'il le ferait réellement. Mais du malheur que le monde lui apporterait. Bien qu'avec des femmes différentes, la relation entre les deux frères n'avait pas diminuée d'intensité. Elle en était même bien plus forte qu'auparavant. Ils se voyaient souvent, et avaient pris des habitudes plus … Convenables, quant à l'obtention de leurs richesses.
Grayson avait donné la vie à son tour. Le miracle qui le rendit sans doute le plus heureux du monde. Il ne savait pas comment un tel bonheur pouvait être accepté en ce monde. Sans doute car les retombées ne sont jamais bien loin. Carl avait 8 ans, et James 3 lorsque l'histoire que je vous conte commença réellement. Tout le reste n'avait été qu'avant goût, départ, coup de sifflet à la course effrénée, la course folle de son cœur en supplice. Ils avaient été voleurs. Ils avaient été abandonnés. Ils avaient été hors la loi. Et la loi les avait rattrapés, par l'intermédiaire d'un homme jurant sous le nom de Dieu d'éliminer toute la vermine qu'ils avaient perpétués. De l'eau. Du feu. Le feu pour la maison qui leur appartenait, et qui avait abrité les cadavres calcinés de ses deux enfants et de sa femme.
I'm not alive if I'm lonely so please don't leave …
L'eau. Pour le torrent de sanglots, de larmes et de pluie qui commença à tomber sur Grayson. L'eau qui continua sa course jusqu'à tremper entièrement son corps, plongé dans la boue devant sa maison. L'eau qui noya son frère la même nuit. L'eau qui semblait le narguer par sa pureté. Comme un couteau qu'on lui planterait dans l'âme. Comme une douleur sans fin, qui ne finirait de le torturer que le jour de sa mort. Et ce jour arrivé si vite. Ce jour maudit où son esprit le quitta. Grayson, le temps où toute sainteté d'esprit n'avait pas encore quitté son corps, s'était demandé pour quelles raisons l'Originel était venu à lui. Peut-être de la pitié, de le voir abandonné de tous. De le voir seul, devant quatre tombes, dont trois étaient vides. De l'ennui, sinon. Le besoin de jouer avec les gens comme avec des pantins. L'envie de changer l'éphémère et de le rendre constant. De rendre cette peine inévitable, ingérable. De la rendre si douloureuse qu'elle transpercerait la bienséance. Peut-être ne le saurait-il jamais. Peut-être que ce n'était pas la volonté de son créateur qu'il le sache.
Pris par surprise, il n'avait pas pu faire autrement. Il n'avait pas pu résister, n'aurait jamais pu de toute manière, qu'il ait essayé ou pas. Le sang. Il n'avait jamais goûté le sang. Mais celui-là avait un goût étrange, il en était persuadé, étonnamment persuadé. Il ne savait pas ce qu'il se passait, jusqu'à ce que sa nuque brisée vienne toucher le sol boueux. « Un sauvetage pour une vie. »
Il s'était réveillé seul. Il était persuadé que quelqu'un avait été là, que quelqu'un lui avait brisé la nuque et pourtant il s'était réveillé. Bien vivant, du moins c'est ce qu'il crût. Vous connaissez ces psychopathes qui n'auraient jamais été eux si seulement il n'y avait pas eu dans leur vie un événement. Une chose, qui leur fut fatal. Grayson était déjà perdu, à ce stade là de son histoire. Rien n'aurait pu le sauver, rien n'aurait pu le faire vivre mieux. Mais il signa la fin de sa vie précédente lorsqu'il planta la première fois ses crocs dans un cou humain. Il avait faim. L'instinct, l'envie, le désir de mettre fin au passage éphémère de celui qui avait été une personne, mais qui n'était guère plus pour lui qu'une nourriture bien trop appétissante pour qu'il soit raisonnable.
Was it something I said or just my personality ?
Neuf cent ans dans l'obscurité d'un esprit malade. Tout ça peut paraître long. Les tumultes de pensées qui se chevauchent, qui ne se ressemblent pas. Grayson est lui, Grayson est un autre. Il est tout et en même temps il n'est rien. Il n'est que souffrance, peine, ressentiment. Il est tant de sentiments, mais à la fois, il n'en a aucun. Le sadisme fait partie de sa vie. De Londres à Tokyo, en passant par Moscou, il ne répandit que terreur partout où il alla. Il appuya la légende de Dracula comme l'on appuie une lame de rasoir sur une carotide. Il était mort, mais il ne s'était jamais senti aussi puissant. Et donner puissance à un fou revient à signer son arrêt de mort.
La folie était mal vue, sa folie était étrange. Double personnalité, aussi dangereuse l'une que l'autre, il n'était aimé de personne mais avait trop aimé dans sa vie d'avant pour prendre cela en compte. Il ne vécut que pour le sang, le sexe et la torture des âmes en peine. Il redécouvrit le monde sous un autre jour. Le monde de la luxure, des plaisirs, de la démesure. Il vida des villages de toute vie, propageant des rumeurs de choléra. Cela ou autre chose, était-ce vraiment important ? Il se fit passer pour une bête sauvage, avançant dans les siècles comme on avance dans la vie. Le temps n'avait plus aucun impact sur lui, le calvaire qu'il propageait n'avait pas de limite, mis à part celles de la discrétion de son état.
Certains font semblant d'être fous. Lui faisait semblant d'être sain, pour appâter ses futurs repas, ses futurs partenaires sexuels, s'ils avaient de la chance, les deux à la fois. Intelligent, rusé, il n'a jamais été en danger de rien. C'était sûrement cela qui l'avait sauvé. Et qui avait condamné bon nombre d'hommes et de femmes de tout bord et de toute religion.
« Je ne suis pas homme à aimer. Ou peut-être homme à trop aimer. Assez pour que la passion devienne meurtrière. »
On est jamais trop prudent avec les sentiments. On est jamais trop prudent avec l'humanité. Elle peut atteindre des sommets, ou ne pas apparaître du tout. Elle peut être destructrice et sauver le monde entier.
On peut dire que Grayson s'est amusé. Changeant de continent chaque siècle, il vivait sa vie de vampire à fond. Il a tout vu, tout voyagé, a rencontré des gens, en a perdu d'autres. The Mad Vampire. Le monstre sous les lits, dans les placards et le jour de ta mort, l'ombre qui vous hante … Malgré le temps passé, la torture et le sang demeuraient ses passions premières. Désormais, plus rien n'était réel. Lui ne le semblait plus. Seul le fait de s'abreuver relevait encore de l'intérêt. Puis un jour, il arriva à Mystic Falls …
I know that I'm not perfect but I keep trying …
Mystic Falls. Cette ville dont tout le monde parlait autour de lui. On disait là qu'il pourrait trouver de quoi sortir en plein jour. Il avait croisé des vampires de la sorte, et les avait envié. Seulement, à l'époque, il n'avait pas vu la réelle utilité d'un tel bijou. Voilà peut-être ce qui leur avait sauvé la vie.
C'est arrivé dans cette ville qu'il l'avait vu. Vestige du passé, mémoire retrouvée. Ewen. Son frère. Son lui. Son nous. Celui qui avait vu le jour avec lui. Celui qui avait partagé ses rires, ses pleurs, ses envies, ses colères. Il n'était pas mort.
qui suis-je vraiment ?
| J'ai demandé l'accord du staff et je suis à jour sinon *-* "patapépatapé" Bref je vous aime, et si vous voulez en savoir plus allez voir la fiche de mon chasseur rageux et BG ténébreux 8D (sisi je suis sûr que tu sais qui je suis ! Et la fantôme un peu surexcitée qui aime presque tout le monde sauf Damon?) Bbref, love you guys ! |
Dernière édition par E. Grayson Scartrick le Jeu 9 Mai - 22:18, édité 7 fois |
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