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 Keep you safe, and inspired, dear, let your dreams take life - Cassandra F. Belnades

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sorciers
Catherine L. Kelly
Catherine L. Kelly

morsures : 536
inscrit(e) le : 18/01/2014
célébrité : Lily Collins
crédits : Schizophrenic

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MessageSujet: Keep you safe, and inspired, dear, let your dreams take life - Cassandra F. Belnades   Keep you safe, and inspired, dear, let your dreams take life - Cassandra F. Belnades EmptyMer 12 Mar - 20:19

 
Cassandra F. Belnades


Keep you safe, and inspired, dear, let your dreams take life - Cassandra F. Belnades Tumblr_inline_muxursrsRj1r47jkb
Kristin Kreuk ; trumblr
 

Mon nom est Cassandra Faith Belnades et, je vis/suis arrivé(e) à Mystic Falls depuis quelques semaines. J'ai 21 ans ainsi que toutes mes dents et, jusqu'à nouvel ordre, je suis coiffeuse. Je suis un(e) sorcière accompli(e) et, tolère la présence des vampires parmi les humains.

Petit rappel : tous les habitants de MF connaissent désormais l'existence des vampires.
Dites nous tout, cela nous intéresse


Avant toute chose, Cassandra voit cette révélation comme une opportunité. Elle n'aime pas être statique et supporte encore moins la routine. Toute cette agitation transforme le monde et lui offre des possibilités d'agir. Pour elle, c'est une fenêtre ouverte pour se faire connaître. Les sorcières ont toujours représentés un certain équilibre. Comme elle tend plus sur le bon côté, elle aidera avant tout les vampires qui semblent avoir besoin de se cacher. La jeune fille craint plutôt que tous les humains prennent les armes pour chasser les bêtes de la nuit. Elle se battra alors du côté de ses amis à dents longues. Pourquoi ? Parce que s'ils perdent la partie, rien ne lui assure que la prochaine cible sera les sorcières. La jolie brune se battra pour ses proches, pour qu'ils soient en sûreté. Sa famille est sa priorité, elle ne peut pas prendre de risque quand à la sécurité de Marie et celle de Tara.
Amusant, si si, c'est le premier mot qui lui ai arrivé en tête. Elle n'était pas là lors des événements, mais ça ne l'empêche pas d'être amusée qu'un originel ai perdu le contrôle et ai ouvert le champ libre à tout le monde pour connaître leurs existences.
Décevant, ça a été sa seconde réaction. Le danger était proche et le fait que tout le monde soit au courant fermait aussi des portes. Les gens allaient se regarder de travers pour savoir si oui ou non, son voisin était un buveur de sang.
Possible, c'est ce qu'elle avait vraiment en tête. Grâce à Marie, elle commençait à en savoir beaucoup sur le vaudoo mais aussi sur le monde des vampires et autres espèces. C'était un des tous premiers vampires lui-même qui avait jeté le feu aux poudres. Elle pourrait peut-être l'aider, ou aider un autre des originels, peu importe. Pour se faire connaître, il fallait parfois s'allier aux plus forts, même s'ils n'ont pas la même vision des choses qu'elle. Elle sait être maligne et faire des concessions pour arriver à ses fins.
Peu importe ce qu'il arrive, Cassandra à le sens de l'honneur et de la loyauté. Elle sera jouer de séduction pour arriver à ses fins, mais elle n'oubliera jamais de demander des conseils à Marie qui sera toujours tenu dans la confidence. Quant à Tara, elles sont un peu comme les faces d'une même pièce, la question ne se pose même pas. Elle se fera connaître, mais elle ne compte pas être la seule à se faire connaître et apprécier. Dans la tête de la sorcière, les choses sont très clairs ; ils font ce qu'ils veulent tant qu'ils ne touchent pas à sa famille.

C'est l'histoire de votre vie



Il m'arrive encore quelques nuits de me rappeler de ces moments-là. Quand j'étais petite, ma mère me contait des histoires. L'une d'elle revenait sans arrêt, elle parlait d'une princesse qui avait eue une vie si triste au début de son existence. Il me fallut des années pour comprendre que si cette héroïne portait mon second prénom, ce n'était pas dû au hasard.
Faith était une petite princesse aux longs cheveux d'or. Elle avait été très attendue par ses parents et tout le royaume fêta le jour de sa naissance. Elle était douée dans tout ce qu'elle faisait et était devenue la source même de la joie de vivre du Roi et de la Reine. Ils vivaient tous heureux et le royaume était en paix. Seulement, la reine mère tomba gravement malade alors que la petite Faith n'avait que deux ans. Malgré tout l'amour que sa famille et ses terres lui portaient, la maladie l'emporta. Le seigneur en fut anéanti. Même le sourire de sa fille n'arrivait pas à rendre le sien. Trop petite pour réaliser tout ce que cela impliquait, elle demandait encore à voir sa mère. Tout au fond d'elle, elle savait bien que plus jamais il serait possible de la revoir. La princesse à la longue chevelure d'or fut amenée à monter en calèche, son père semblait mystérieux, sans doute un peu trop. L'enfant monta sur ses genoux et voyait le paysage défiler devant ses yeux émerveillés. Elle ne se doutait pas que la mer qu'elle voyait avec ses myriades de couleurs annonçait l'heure de la séparation.
Ses petites chaussures si bien cirées purent poser pieds à terre. Avec un grand sourire destiné à son père, elle s'élança pour courir dans l'herbe jusqu'à une barrière, d'où elle pouvait admirer la mer et le ciel. Le vent glissait dans ses cheveux qui venaient eux-mêmes battre ses joues d'enfant. L'histoire veux qu'elle ait fermée les yeux une seconde, la seconde d'après, la calèche avait disparu. C'est ainsi que semblait se poursuivre le cauchemar. La douce chevelure d'or voulu retrouver la calèche, elle abandonna ses chaussures et courue pieds nus, s’égratignant de toute part. Elle tomba plus d'une fois, ravalant ses larmes pour elle-même. La petite princesse n'avait que quatre ans.
Une main tendue lui rappela la tendresse de sa mère, avec un espoir infini, elle releva ses yeux brillants vers la dame. Ce n'était pas sa mère, mais il s'agissait bien d'une Reine. Cette dernière et son mari ne pouvait pas avoir d'enfant. Une vilaine sorcière leur avait jeté un mauvais sort. La petite puce donna alors tout son amour et sa tendresse à sa nouvelle famille et son nouveau royaume. La lumière chaleureuse venait de nouveau veillée sur elle. Plus jamais elle ne serait triste, elle avait trouvé sa véritable famille. Parce que ce ne sont pas les liens de sang qui font qu'une famille est soudée, mais la puissance de l'amour de chacun de ses membres.
Mais il ne s'agit que d'un conte. Je suis incapable de discerner le vrai du faux, après tout, je n'ai jamais été blonde. Oui, je suis une enfant adoptée, je devais avoir tout juste cinq ans au moment de mon adoption. Comme l'histoire le raconte, j'ai vraiment été élevée et gâtée comme une véritable princesse. Dans ma façon de voir les choses, c'est le cas en tout cas.

Cap Code, voilà le royaume qu'avait rejoins la princesse. Enfin, cette fois-ci je parle bien de moi. Je me plaisais souvent, en regardant par la fenêtre, à imaginer des sirènes et d'autres créatures des profondeurs. Il m'arrivait de sortir en cachette la nuit, je me réfugiais près d'un lampadaire à la plage et je passais plusieurs heures à faire des croquis. La lumière de la lune m'accompagnait dans mon entreprise, m'éclairant doucement. Dans ces contes qui m'ont toujours bercés, je retenais certaines choses et les comparais avec ma vie. Cette presque-île était la seule chose que je connaissais. Pas de voyage, tout comme ces princesses qui restent à cause de leurs obligations, qui se marient et ont pleins d'enfants. Je vais vous confiez un secret : Je ne veux pas de cette vie. Je me rends bien compte de la chance que j'ai, mais, vous vous voyiez vraiment avec une ligne toute tracée ? Je me battrais coûte que coûte face à un destin que l'on aurait tracé pour moi. Si c'est une ligne que je suis, c'est à moi d'en décider. Je dois avouer que j'étais plutôt imaginative, bien plus que la moyenne, alors il y avait toujours des choses en moi qui me disait de me méfier. Je craignais les sorcières, les loups-garous, le croc-mitaine. Enfin, vous voyez le tableau. Mais je rêvais aussi d'apercevoir l'un d'eux, parce que j'avais envie qu'un tel monde existe, ce n'était pas de la folie ou de la bêtise : just a dream. Je sais que quelque part je suis détestable. J'ai une famille qui m'aime, des amis, je ne manque de rien. Mais j'ai besoin de partir. Dans ma chambre, j'avais épinglé une grande carte du monde, j'y glissais quelques épingles. Parfois, je me glissais jusqu'à l'imprimante de mon père pour imprimer des photos d'autres villes : Paris, Tokyo, Prague... Peu importe tant que ce n'était pas Cap Code. Il y a tellement de choses à découvrir ! Je ne voulais pas être une simple jeune femme. Je voulais être plus, je voulais être conquérante.

Mon père adoptif est le maire de la ville. Je comprends qu'il préfère rester à Cap Code que de bouger, mais je ne sais pas comment faire comprendre à mes parents que tout est différent pour moi. J'ai beau être quelqu'un de gentil, d'adorable et parfois touchante, j'ai fini par devenir une garce. Dans certaines situations et parce que c'est l'un des effets secondaires quand vous n'avez qu'à vous baissez pour avoir tout ce que vous voulez. Je faisais la fierté de mes responsables légales. J'étais la première de la classe, étant très studieuse mais pas seulement. Je suis très sociable et la plupart des garçons me trouvent belle ; j'ai été aussi reine du lycée. J'étais une suiveuse mais je n'en abusais pas non plus. Je traînais avec ceux que j'estimais vraiment. Très vite, j'ai commencé à vouloir me mettre en couple. Telle une princesse, j'imaginais que celui pour lequel j'avais jeté mon dévolu me serait fidèle. Mais le moment de l'adolescence est parfois bien cruel par certains égards.
Alors que je pensais filer le parfait amour, mon cœur a été brisé et éparpillé. C'est peut-être exagéré, mais qui n'a pas ressentit ça à la première trahison amoureuse ? Vous m'en voulez parce que je file au matin, c'est vers lui qu'il faut se tourner pour les recommandations. Maintenant je me contenterais de m'amuser et ne laisserais plus un homme être gardien de mon cœur.
Je suis une grande fan des romans populaires que l'on lit et qui grandisse avec nous. Vous avez lu Harry Potter ? Je n'ai jamais reçu de lettre de Poudlard, mais il a eu le mérite de faire changer mon regard sur les sorciers. Pourquoi parler d'un seul coup de mes préférences littéraires ? Parce qu'il faut toujours se méfier en se disant que ce qu'on lit n'est qu'une histoire et qu'il n'y a rien de réel...
J'étais toujours souriante et paraissait des plus épanouies dans ces temps-là. Mais j'allais vite déchanter lorsqu'une pouffe se mit à draguer mon homme. Je voyais rouge et attendais qu'il l'a vire pour revenir près de moi. On était au self et j'en avais marre d'attendre. L'une de mes amies de l'époque me disait de passer à autre chose, que ce n'était pas grave s'il flirtait avec une autre après tout. Je sentie une vague de colère me submerger. Quelques secondes plus tard, passé dans le silence absolu, mon amie émit un cri de douleur. J'avais beau être furieuse, je relevais la tête pour m'inquiéter de ce qui lui arrivait. Elle avait la lèvre en sang. Son verre d'eau était fissuré, quelle bêtise de ne pas avoir fait attention. Elle s'en tint toujours à la même version ; il ne l'était pas avant qu'elle ne se blesse.

Je ne pensais pas une seule seconde que c'était ma colère qui avait brisé le verre. Je me mis à espionner plus ou moins mon petit ami. Je le faisais rarement, mais je le faisais quand j'avais une amie qui me prévenais qu'il était en tête à tête avec une autre. Alors que j'étais presque discrète dans un fast food, je vis ses lèvres et celles d'une autre se coller. Mon cœur fit un bond, j'avais été trahis, dupée, piétinée et j'assistais à toute la scène. Le ketchup à côté de moi explosa littéralement, comme s'il avait s'agit de pop corn. J'étais recouverte de sauce, rajoutant de la frustration à la scène qui s'était déroulée sous mes yeux. Heureusement, personne ne me vit malgré tout, enfin, personne que je connaissais. Mais je comptais me venger de façon intelligente, pas en faisant un scandale. J'allais d'abord m'occuper du cas de la fille, il viendrait son tour. Je suis rentrée chez moi les poings serrés et me suis effondrée en larmes dans ma chambre. Ma mère adoptive vient à mon secours et me consola du mieux qu'elle pouvait.

L'heure de la vengeance à sonnée. Mais j'étais loin d'être idiote. J'avais beau être tombée amoureuse de lui, je savais que c'était un tricheur, un énorme cancre avec d'excellentes notes. Je me décidais à jouer la comédie, glissant par inadvertance le secret dans un couloir, à deux mètres de la salle des profs. Je savais que le prochain devoir était pour dans une semaine ; je comptais bien que la garce paie la première. Elle aussi avait trahis quelqu'un, les garces sont rarement célibataires au fond, elles ont besoin d'un preux chevalier pour se sentir mieux que tout le monde. Une semaine était un challenge mais qu'importe. J'avais accumulé les clichés ; bouquins qui m'échappent des mains, ne pas savoir qui passe le premier dans un couloir étroit. Finalement, je commettais le coup de grâce en feintant des larmes, me confiant sur celui que j'aimais, sur ce qu'il avait fait (sans donner le nom de sa petite amie). Je savais vers quelle porte du lycée elle sortait, avec une grande délicatesse, j'emprisonnais les lèvres de son chevalier entre les miennes. Il me prit dans ses bras et quand j'entendis des bruits de sac qui se déversent, je souriais intérieurement : j'avais gagné.
Quand elle s'approcha pour me baffer, je l'a devançais. Son mec ne savait même pas laquelle défendre. Le lendemain, le devoir sur table avait lieu. Mon (ex) petit copain se fit prendre la main dans le sac. Je gloussais dans la classe, pour qu'il n'ai aucun doute sur la cause de ce qui lui arrivait.
En bonne garce que j'étais, j'avais juste oublié de prévoir mes arrières. Je me sentais enfin sereine quand mon ex me plaqua méchamment contre un mur. Inutile de dire que je soupçonnais que ce n'était pas pour m'embrasser à pleine bouche. L'autre pouffe rousse était derrière, les bras croisés, un sourire fier sur les lèvres. La dispute qui s'en suivit fut violente, chacun crachait son venin et, quand il claqua son poing contre le mur, je sursautais. Voilà ce qui se serait simplement passé, si j'avais été une fille normale. La fenêtre au-dessus de nous implosa dans un vacarme sans nom. On fut tous les trois recouvert de verre. Non, je n'ai pas de photo de nous égratigné par les bouts de verre, ne vous moquez pas.

Je n'avais presque plus de doute, il y avait trop d'accidents involontaires en ma présence. Mais j'étais coincée entre le domaine du rêve et du raisonnable, ne sachant lequel choisir. C'est ce qui me permit de prendre la route du grand départ. Je ne savais pas où ça allait me mener, mais j'étais excitée à l'idée de vivre de nouvelles aventures. Il n'y a rien de bien méchant à une vitre qui explose, mais peut-être allais-je pouvoir développer mon don, connaître d'autres personnes comme moi ! Si c'est un rêve, laissez moi dormir, je suis très bien avec ce mystère qui me colle à la peau. La magie d'internet, maintenant tout le monde connaît. J'avais aussi cette passion de pouvoir parler à plusieurs correspondants dans différents pays. Quelque part, je voyageais de cette façon. Une copine d'Australie et moi étions très proches. On s'envoyait même des cadeaux à noël. Elle me proposa de partir chez elle. Mes parents étaient résistants à l'idée mais ils cédèrent.

Australie me voilà, j'avais seize ans et toutes mes dents. Je les ais toujours bien sur, mais c'était histoire de … passons ! Je me suis prise pour Mulan avant mon départ, enfin, je suis passée au coiffeur quand même. Je partais donc, la tête légère, les cheveux coupés au carré. J'ai passé quelques mois fabuleux là-bas. Le ciel s'est assombris sans que je puisse m'en douter un instant. Ce n'était pas ma correspondante, nous étions toujours très proche. Mais quelque chose clochait chez moi, rien à faire, je ne mettais pas le doigt dessus. Quand j'étais triste, il pleuvait, coïncidence ? J'aurais aimé vu la suite. Une contrariété et les engins électriques de notre appart rendaient l'âme. Le moment où je craignais pour les autres arriva très vite. Un mec insistait bien trop auprès d'une amie et son portable lui envoya une décharge électrique. Un autre se brûla les lèvres avec sa cigarette qui avait pris entièrement feu (je n'évoquerais pas l'état de ses mains). J'étais devenue coiffeuse, oui, j'aurais pu faire un autre métier, poursuivre des études, mais j'aimais mon travail. C'est là où le pire des drames s'est produit. Le miroir explosa et blessa grièvement l'une de mes clientes. Il m'arrive encore d'en faire des cauchemars. Je refusais de remettre les pieds au travail tant que je ne comprenais pas comment cela fonctionnait : j'étais un danger public.

Le soleil s'était couché, seul le noir subsistait. J'imagine que le vide absolu serait pire. Je me raccrochais aux miettes de normalité qu'il y avait encore dans ma vie. Je voulais me maîtriser, devenir quelqu'un, mais seul et sans guide, je ne faisais que glisser vers les abysses. Alors que j'étais sur le bord d'une plage, repensant à mes parents, une femme approcha : Elle disait s'appeler Marie. J'avoue que je lui parlais normalement sans comprendre ce sourire qu'elle avait aux bords des lèvres. C'est quand elle commença à me parler de magie que je l'a regardais de travers. Malgré tout, je suivais son regard qui fixait le sable. Depuis combien de temps je le faisais léviter dans les airs autour de moi ? J'en eus un sursaut et tous les grains regagnèrent le sol. J'avais envie de m'arracher les cheveux de désespoir. Vous avez déjà ressentit ça ? Ce sentiment au plus profond de vous qui vous fait regretter ce que vous avez toujours voulu. J'étais magique, mais cette magie me nuisait, c'était une véritable angoisse.
Je ne comprenais pas, pourquoi cette femme me tendait la main ? Pourquoi était-t-elle si prévenante envers moi ? D'une certaine façon, Marie devient ma troisième mère. Elle me tuerait sans doute à cause du rapport à l'âge que cela implique. Rapidement, je me pris pour un poussin qui collait sa mère, j'imagine même pas quelle horreur ça a du d'être d'avoir une élève qui en demandait toujours plus. J'étais avide de savoir, avide de connaissance, avide de pouvoir. Contrairement aux crétins qui en veulent pour eux-même, ma façon de voir les choses étaient moins égoïste. Je voulais aider les gens, mais pas n'importe comment, avec la science et le pouvoir du vaudoo. Je couperais la langue à la première personne qui ose me dire que ce type de magie est maléfique. Elle peut être bénéfique, elle l'est entre mes mains.

Marie me laissa le choix, je pouvais rester en Australie ou, au contraire, venir avec elle à Mystic Falls. Je m'excusais auprès de mon amie, prenant la poudre d'escampette. J'étais plus qu'enthousiaste à l'idée, une femme extraordinaire m'ouvrait les portes d'un royaume fantastique. J'appris tout ce qu'il y avait à savoir sur les autres races. Plus j'en savais, plus j'en voulais. Il en est venu un rêve, une volonté personnelle : Sortir de l'ombre pour rejoindre la lumière. Peu importe qui, tous sauf humains, serait qui je suis. Peu importe l'alliance, je saurais grandir et me faire entendre. Je ne vous ai pas encore parlé de Tara ? Et bien tant pis pour elle, pour une fois que je ne l'a présente pas en premier. Collègue de boulot, étudiante comme moi, je déteste l'aimer. Elle n'a rien compris et s'entête dans une forme de magie que je n'apprécie guère. Elle reste dans le cliché du vaudoo et n'est pas d'accord avec ce que je fais. Mais si jamais quelqu'un ose toucher à l'un de ses cheveux, il m'aura sur sa route et ce sera la dernière chose qu'il fera. Je l'aime comme une sœur, mais j'aime aussi me prendre la tête avec elle. Je ne sais vraiment pas comment fait Marie pour nous supporter.

Maintenant je passe à mes objectifs ; vous êtes là pour ça, non ? Ils sont très simples. Je compte me faire voir quand à cette cure pour loups-garous. C'est ma chance de rallier des gens à ma cause, plus j'aide de monde, plus je me fais connaître. Tara et Marie reste en haut de la liste ; je leur parlerais toujours de mes plans. Je reste volage, c'est pratique pour obtenir des informations ou bien se faire voir. Le charme amène bien des choses, mais ne croyez pas que je suis facile pour autant. C'est moi qui choisis qui touche mes lèvres, personne d'autre.
Quelque chose de plus personnel pour finir sur une touche plus mignonne, Marie m'aide pour autre chose que la magie. Toutes les deux, on se penche sur mon histoire. Je ne sais pas encore ce que j'attends vraiment mais... J'aimerais retrouver mes parents biologiques. Ils sont peut-être sorciers aussi après tout.

Hey toi, derrière ton écran !


Je m'appele Cami' et j'ai 22 ans. J'ai découvert Ghost World grâce à Hayley  Keep you safe, and inspired, dear, let your dreams take life - Cassandra F. Belnades 2396655900  et, maintenant que je me suis inscrit, je compte venir 6/7j. J'aime le cinéma, le rp, vous retrouver ♥️ et  Keep you safe, and inspired, dear, let your dreams take life - Cassandra F. Belnades 3017361962 ...

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SHERIF
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MessageSujet: Re: Keep you safe, and inspired, dear, let your dreams take life - Cassandra F. Belnades   Keep you safe, and inspired, dear, let your dreams take life - Cassandra F. Belnades EmptyJeu 13 Mar - 11:23

Te voilà devenu un vrai Ghostien !


Te voilà (re) validée :fff:

Maintenant, t'es libre de créer ta fiche de liens ainsi que ta fiche de rp's ; cela t'aidera -entre autres- à y voir plus clair dans l'évolution de ton personne. Si tu manques d'action ou de piquant dans ta vie, n'hésite pas à créer ton scénario ; avec un peu de chance, il sera pris dans les jours qui suivent.

Il arrive que l'on soit timide mais, tu n'as rien à craindre sur GW ; nous sommes tous aussi déglingués les uns que les autres. Pour t'aider à mieux t'intégrer, il t'es possible de demander un parrain/une maraine ; ils seront là pour toi tout au long de ton aventure sur le forum o/

Pour finir, il ne te restera plus qu'à t'amuser parmi nous et, pour nous aider à ramener du monde sur le fofo, n'hésite surtout pas à voter pour le fofo sur le Top-Site.

HAVE FUN !

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MessageSujet: Re: Keep you safe, and inspired, dear, let your dreams take life - Cassandra F. Belnades   Keep you safe, and inspired, dear, let your dreams take life - Cassandra F. Belnades EmptySam 15 Mar - 1:29

Merci Keep you safe, and inspired, dear, let your dreams take life - Cassandra F. Belnades 1709748450
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MessageSujet: Re: Keep you safe, and inspired, dear, let your dreams take life - Cassandra F. Belnades   Keep you safe, and inspired, dear, let your dreams take life - Cassandra F. Belnades Empty

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