Cher journal, oublié tu es / Rebekah

L'hypnose d'Elijah sur Elena l'avait secoué à un point qu'elle en avait oublié des affaires et plus particulièrement son journal. Ne voulant pas retourner au manoir en sachant que Rebekah y était probablement et qu'Elijah n'était plus là je m'étais proposé pour aller le chercher. Moi c'était le contraire, que Rebekah soit la ne me gêne pas mais ça m'aurait embêté qu'Elijah y soit, tout comme Kol d'ailleurs, la plus part des originaux ne me portaient pas dans leur cœur et c'était réciproque. Barbie Klaus était en ce moment la seule que je pouvais supporter mais je peux comprendre qu'Elena avait peur que quelqu'un lise sont journal. D'ailleurs je serais très tenté de le faire moi aussi, en fait j'allais même être obligé de l'ouvrir. J'allais simplement regardé la dernière date qu'elle avait écrite au cas où elle ai parlé de ses sentiments par rapport à Elijah. Si elle avait écrit récemment il me faudrait arracher les dernières pages et ça risquait d'être très délicats pour ne ps que ça ce voit. Est ce que je résisterais à l'envie de lire ce qu'elle a put écrire sur moi si toute fois elle a parlé de moi ? Je ne sais pas. Ça faisait longtemps que je n'étais pas venus ici, et la dernière fois j'avais couché avec la jolie blonde mais en y repensant ça faisait aussi quelque temps que je ne l'avais pas vu elle. Bon j'entrais sans frapper, le bonheur de ne pas avoir besoin d'être invité, et refermais la porte avant de regarder autour de moi si je pouvais vir quelqu'un d'ici. "Ding don c'est le facteur !" j'étais en forme oui, les derniers événements 'avais plutôt remonté le moral. Elena était revenue habiter avec moi, elle avait oublier ses sentiments amoureux pour l'originel bien que j'aurais préféré que ça soit autrement que par hypnose, et puis j'ai également retrouver un ancien pote; Un vampire dont je suis le créateur, je l'avais transformé dans une de mes périodes les plus sombre dans le but d'avoir un compagnon de route et on avait passé à peut prêt un an ensemble avant de partir chacun de notre côté. La seule différence entre lui et moi maintenant c'est qu'il ne s'est pas assagit, il est toujours sanguinaire et sans pitié, je l’envierais presque. J'entend enfin du bruit, c'est pas trop tôt.