J'étais enfin de retour à Mystic Falls après avoir fais un séjour à la Nouvelle Orléans, histoire de tourner la page sur la victoire des Originaux face à nous, sorcières. Je m'étais aussi rendu à l'évidence : Ruth avait bel et bien disparue, son esprit avait était renvoyé dans l'Autre Monde avec les autres sorcières fantômes par un sort lancé par Mélinda et son frères, les serviteurs des Originaux. J'avais eu du mal à l'accepter, Ruth était une grande amie pour moi, et pour la seconde fois de ma vie, les vampires m'avaient arrachés ce que je chérissais le plus. J'avais chargé dans un grand panier d'osier un tas de fleurs, des roses, des lys... J'étais obligé de dire adieu à Ruth et lui promettre que je continuerais ce que nous avions commencer : éradiquer les vampires de cette terre. J'étais revenu à Mystic Falls avec une profonde peine mais avec une envie de vengeance encore plus grande. Inutile d'aller au cimetière, je savais où il fallait que j'aille. J'ai garer ma voiture à l'entrée de la forêt et j'ai attrapé le panier pour m'engouffrer dans la forêt. J'ai vu le toit et les colonnes de la maison des sorcières, je me suis avancé sur le porche et j'ai posé une rose blanche, pour toutes les sorcières qui avaient perdu plusieurs fois face aux vampires. Au lieu de rentrer j'ai contourné la maison pour aller au milieu d'un terrain vaste, une clairière où aucun arbres ne cachaient les rayons de soleil. Je suis allé au milieu et j'ai posé le panier au centre. J'avais oublié ce que sa faisait, de perdre un être chère. J'avais assez pleurer Ruth, inutile de recommencer. « Je sais que tu m'entends Ruth, les sorcières ont toujours une influence sur le monde, même morte. » j'ai soupiré en ravalant ma salive « T'est quand même vache de me laisser tomber comme ça tu sais. » cette fois j'ai lâché un petit rire. « Maintenant que vous êtes toutes parties vous n'allez pas me sermonner sur la manière que je combattrais les Originaux. Je ne blesserais pas les humains bien sûre, je canaliserai la mort de vampires et d'hybrides afin d'utiliser l'Expression. Je sais que sa dépasse sans doute la sorcière que je suis, que sa peut me tuer. Mais si je meurs en ayant une chance de détruire les Originaux, au moins un. Alors je serais en paix avec moi même. » J'allais continuer à parler, non pas toute seule, je savais qu'ici, les esprits m'écoutaient, que la moindre brise, feuilles qui volaient était un signe de leur présence. Mais je sais ressentir quand il ne s'agissait pas des esprits. Un craquement, c'est ce qui m'a stoppé. J'ai relevé la tête du sol en passant les mains sur ma robe noire. « J'espère que vous n'êtes pas n'importe qui, j'ai beaucoup moins patience ces derniers temps. » ”
Erwan est en ville depuis quelques années mais il n'avait toujours pas rencontré le meurtrier de ses parents. Pourquoi il s'obstine à rester ici, peut être que le meurtrier n'est pas ici mais en fait, toutes ses recherches le mènent ici et non pas ailleurs. Il se cache, c'est certain et la blond va le retrouver quoiqu'il arrive ! C'est alors qu'il décide de se balader en forêt, non pas pour chasser mais il se sent à l'aise ici, c'est tout de même un loup hein, la forêt, la nature, c'est un endroit où il se sent good. Bref, alors qu'il s'avance vers une maison dont il ignore l'existence, puisqu'il ne connait que les vampires et seulement cela, ni l'histoire de la ville enfin pas vraiment et leurs sorcières. C'est alors qu'il vit quelqu'un de dos, entrain de parler seule, du moins, c'est ce qu'il comprendre, car il n'y avait personne autour. C'était assez bizarre et il voulait en savoir davantage. C'est pourquoi, il décide de se rapprocher mais voilà, il se fit entendre et la jeune femme venait de l'entendre. Il s'avance alors, main en l'air, pour genre, ne vous inquiétez pas, ce n'est que moi.
N'importe qui je sais pas, mais ce que je sais, c'est que je ne suis pas méchant. dit-il amusé, en quelques sortes. Le jeune blond décide de se rapprocher tout de même de la jeune femme.
Erwan-G. Oswald Quelqu'un de pas méchant. J'ai souris, c'est ce que me dise les vampires aussi avant de découvrir que je suis une sorcière qui a combattu les Originaux aux côtés de sorcières mortes. Malgré tout l'inconnu a continuer d'avancer. J'ai roulé les yeux en me les frottant pour cacher mes larmes qui montaient. J'avais toujours les mains jointes, mes cheveux noirs noués en queue de cheval qui s'agitaient au gré du vent. « A ta place, je n’avancerai pas. » Il n'avait pas l'air de prendre en compte mes paroles. J'ai inspiré profondément et il c'est alors retrouvé bloquer par un mur invisible, à quelque mètres moi. Puis j'ai élargis ce mur derrière lui et à ses côtés. Si il était du côté des vampires il allait vouloir s'enfuir mais se retrouvera bloquer par mes scellés. « Tu n'a pas l'air de voir qui je suis. » Je m'exprimais avec une voix forte et pleine d'assurance ; c'est vrai, ce qui avait pris la peine de défendre leurs camps savaient qui était avec qui. Et même si certaines personnes voulait me faire croire que je n'étais rien et que j'étais rester invisible aux yeux de mes ennemis, je savais que c'était faux et que les vampires savaient à peut près tous qui j'étais. Elizabeth Lafay, ancienne professeur d'Art, amie proche de Ruth Hobbs récemment renvoyée parmi les morts, fervente combattante au nom de la nature et sorcière utilisant la magie naturel... Mais qui allait bientôt utiliser l'Expression et autre formes de magie noire. « Qui es tu, et que fais tu ici. » Ma voix ne laissait par paraître d'interrogation, c'était un ordre. Vu les récents événement je n'allais pas m'attarder sur des vampires afin de leur soutirer des informations, si j'en croisai un je me débarrasserai de lui avec la magie naturel, elle avait était décuplé avec la puissance que j'avais accumulé aux cours des années. Quand je croiserais un groupe de vampires, cette fois je canaliserai leur mort pour utiliser l'Expression sur les leurs. Ruth allait péter un câble dans l'Autre Monde quand elle me verra utiliser l'Expression, mais comme on dit : aux grands maux les grands moyens. "Et tant qu'on y es, qu'est ce que tu veux." Mais après réflexion, je me suis rendu compte de quelque chose: il n'était pas un vampire. Quand une sorcière atteint un certain niveau, certes minime, elle arrive à reconnaître les êtres surnaturelles. Moi j'arrivais à repérer un vampire et lui, il n'en étais pas un, néanmoins je sentais tout de même quelque chose de surnaturelle en lui. J'ai affiché un sourire en coin en m'avançant vers lui. "Tu a de la chance, si tu aurait était une de ces abominations je serais déjà en train de te torturer pour avoir oser mettre les pieds sur ces terres. Mais tu n'est pas des leurs...à proprement dit." A proprement dit oui, de quel côté était il ? Si il était avec les vampires, sa revenait au même.
Erwan s'avance alors petit à petit mais voilà, il fut bloqué par un mur invisible... Pour lui, ce fut un petit choc, il ne comprenait pas... Oui, il ne connait pas l'existence des sorcières, il ne connait que les vampires, qu'il prend pour des meurtriers et des loups, puisqu'il en est un, tout comme sa soeur, normalement. Il tente d'avancer, joue comme un mime mais rien n'y fait, il est bloqué et c'était vraiment bizarre.
Euh, qu'es-ce qui se passe là ? dit-il sincèrement, il ne comprenait rien. Bon, au fond, il fut tout de même amusé par le ton de cette femme, qui lui demande des comptes. Il fronce alors le regard, se demandant quoi faire, bon il était bloqué, il ne pouvait pas faire grand chose !
Je répondrais quand on me dira ce qui se passe, bordel ?! dit-il alors que finalement, cette femme s'avance vers lui et lui dévoile enfin pourquoi, elle faisait cela, du moins, elle l'insinue complètement. Vous voulez parler des vampires ?
Il ne fallait pas être aussi intelligent pour comprendre où elle voulait en venir.
Erwan-G. Oswald « Un simple sortilège d'entrave, des scellés qui t'empêchent de franchir un certains périmètre, de t'enfuir ou chez d'autres individus, d'approcher certaines personnes. » Il avait pas l'air d'en connaître un rayon dans le domaine de la sorcellerie. Sa me foutais souvent le bourdon ça, il n'en avait que pour les vampires, les sorcières passait parfois au dernier plan. Elles étaient celles qu'on appelait quand un vampire a un problème, celles qui se pliaient à la moindre règles de leurs « maîtres », c'était pathétique de voir des êtres avec autant de potentiel sous la croupe d'abominations. « Vous voulez parler des vampires ? » J'ai poussé un rire faux qui laissait tous paraître, sauf ma bonne humeur : la rage, le dégoût, le dédain, la colère... « Tu vois d'autres abominations que les... » je ne voulais même pas les nommer, ces choses là ne méritent aucune appellation « que ces choses ? » Je me suis reposé devant lui, à moins d'un mètre de l'inconnu après avoir fait un tour autour de lui. Je lui ai tendu ma main. « Je m’appelle Elizabeth Lafay. Tu es ? » lui ai je demandais, souriante. Quand il a serré ma main, j'ai sentis une sensation que j'avais reconnu que très rarement, indescriptible par rapport à ce que je ressentais en contact des démons. J'ai souriais à pleine dents, je savais qu'il pouvais paraître parfois... Maléfique, c'était sans doute une habitude que j'avais attrapée quand je me retrouvais face à des vampires dont les jambes étaient dérobée et qui se tenait la tête en se tortillant tel de misérables vers de terre. Mais à ce moment là je ne voulais pas l'intimider. « Intéressent... » ai je soufflé en le regardant droit dans les yeux « Tu n'en ai pas un. Tu est une créature de la nature, comme moi. » C'était vrai, les vampires furent crées par un sortilège de magie noire. Les loups garou eux étaient aussi anciens que nous les sorcières, je ne connaissais pas leurs origines mais ils étaient purs eux, contrairement à leurs ennemis, les vampires. « Contrairement aux vampires tu n'es pas une abomination, tu te rapproche plus du prodige capable de contrer ces horreurs... » Je devais avoir l'air d'une folle fanatique à cet instant, il faut dire que les récents événements m'avaient rendus... Nerveuse. J'ai secoué la tête en replaçant une mèche brune derrière mon oreille. « Excuse moi, je sais que je dois te paraître... Effrayante, c'est pas mon intention. »