Sujet: Ding dong, bitches are back... Dim 21 Avr - 22:44
Ding dong, bitches are back...
Rosalie V. Valentyne & Elizabeth . Lafay
Le vent avait tourné à Mystic Falls, c'était pour ça que j'avais quitté cette charmante et dangereuse petite ville surnaturelle pour me réfugier dans le quartier français de la Nouvelle Orléans.
Les sorcières mortes avaient donné rendez vous aux Originaux dans des lieux bien distincts de Mystic Falls, séparés en deux groupe : l'un dans la forêt et l'autre au Mystic Grill, dans lequel je faisais partie. Je ne sais pas vraiment comment c'est déroulé la soirée du côté de Mary dans la forêt, mais ma soirée c'est résumé à des lancer de sorts pas toujours efficaces, des mutations de loups prématurés, un incendie, une transition et la révélation de mon allégeance aux sorcières mortes à ceux qui l'ignoraient encore. Bref, sa avait était riche en surprise.
Mais malgré la puissance des sorts de Ruth, nous avions perdu, les Originaux nous avait bel et bien repoussées, et pour la première car le tour de la tornade n'a fait que d'innocentes victimes... Je ne sais pas ce qu'est devenue Ruth et Mary, ce qui m'inquiétait. J'étais restai chez moi en tentant de les joindre mais je me suis rendu compte que mon appartenance aux camps des sorcières fantômes était quelque peut... Dangereuse. Je voyais de temps à autres des vampires pointaient le bouts de leurs nez, sa ne m'était pas difficile de les battre, j'étais forte bien que j'étais surtout mortelle avant sorcière. Mais quand des hybrides et des vampires un peut plus féroces ont commencé à traîner en ville, les choses ont commencés à tourner à la vinaigrette. Il ne m'a pas fallut deux secondes pour mettre dans des poches mes habits favoris, mettre dans sa « cabane de voyage » ma chatte et de partir au volant de ma ridicule et aimante coccinelle jaune.
Et c'est en Nouvelle Orléans que j'ai enfin trouvé refuge. Je compte pas rester éternellement ici, viendra un jour où je retournerais à Mystic Falls mais je comptais me faire oublier pour le moment. J'avais essayé de localiser Ruth ou Mary, mais toutes mes tentatives étaient vouées à l'échec... De véritable fantômes si je puis me permettre.
J'avais trouvé une petite maison miniature des grandes demeures coloniales dans laquelle j'avais remplit le frigo de soda zéro, de taboulé et où des bonbons à la menthe traînaient partout. Mes habits étaient toujours entassés dans des poches à l'étage avec mon fer à bouclés et mes parfums. L'essentiel était présent. Mais je n'avais pas vraiment le temps de profiter de la chaleur des marais où de la citronnade, si j'étais ici ce n'était pas vraiment le fruit du hasard en fait... En environ cent ans d'existence, je m'étais faite des connaissances, il se trouvait qu'un vieux croûton de sorcier vaudoo se trouvait dans le quartier français. A cette heure ci les bars étaient déjà agités et puait fort le whisky et le bourbon. Ce qui était bien, c'était tout de même le charme de la ville, pour moi la Nouvelle Orléans était une des villes où la magie était reine.
Quelques glaces pilées et de bons détours en ville après, je me suis rendu compte qu'il n'y avait plus aucune trace de ce vieux reliquaire, juste de liseuse de cartes à deux balles avec un bandeau rouge acheter au supermarché du coin, de fausses créole et quelques os en résine dans les cheveux. C'était nul, ce vieux fou en connaissait pas mal sur les Originaux d'après les récentes rumeurs. Je déambulais donc dans la ville, un gobelet en plastique vide dans la main, mon portable dans l'autre. Comme si j'allais recevoir un appel de ma famille ou des amis... Oh, mais j'oubliais, j'étais la dernière de ma lignée et Ruth et Mary avaient disparues.
Je m’étais bien décidé à la retrouver cette petite saloperie ! Non mais franchement, de quel droit s'était-elle permis de me déshabiller en plein Mystic Grill ? Pauvre idiote ! Elle était lesbienne ou quoi . Non mais quelle idée, vraiment ! En tous les cas, je n’avais pas eu l’avantage ce soir-là, Ruth déchainait les enfers et la professeure en avait profité pour utiliser la puissance des sorcières morte contre moi, résultat, malgré que j’étais plus puissante qu’elle, j’avais perdu … Quoique, entre guillemets hein, car pour moi un combat était perdu que lorsque l’un ou l’autre des protagonistes était à terre, or elle avait préféré fuir cette imbécile ! Choix qui s’était révélé être le bon, puisque sa petite sorcière était tombée à terre et ne s’était pas relevé. La magie noire avait triomphé de la magie naturelle, ces pauvres sorcières … évaporées, disparues, envolées, retournées dans le monde des morts ! Quel triomphe pour les originels, c’était une pierre de plus à l’édifice de leur suprématie … Katherine allait en profiter. Klaus allait se croire intouchable et la vampire allait pouvoir le faire disparaître et ce pour de bon ! Je n'’avais plus eut de contact avec la Pierce depuis l’attaque de la forêt … Sans doute qu’elle se terrait, comme à son habitude, quelque part dans une maison de Mystic Falls dont elle avait empoisonné l’esprit du propriétaire. En attendant, j’étais donc libre d’aller et venir, dans une moindre mesure bien sûr et j’avais donc traqué la sorcière qui m’avait mis sur le carreau lors de notre affrontement dans le Mystic Grill.
La Nouvelle-Orléans … Une ville de sorciers, une ville magique, une ville de plaisirs, de vices et de débauché, une ville typique du vieux Sud, une ville que je n’aimais pas, mais alors pas du tout. Tous ces charlatans, ces diseuses de bonne aventure, ces soi-disant voyantes, tout ça me donnait envie de hurler. Cependant, j’avais dans l’idée que la professeure devait aimer cet univers … Malheureusement pour elle, repéré une sorcière dans tout ce fatras de faux magiciens, c’était plus qu’aisé je dois dire, surtout que j’avais utilisé plusieurs espions de Katherine pour en savoir un peu plus sur mon adversaire : cent ans à son actif, sorcière maniant la magie naturelle, connue des services de police pour quelques vols mineurs, ancienne débauchée, ayant fait une carrière dans les arts … Bien bien, pas si effrayante que cela finalement. Elizabeth Lafay qu’elle s’appelait … Soit. J’apparaissais derrière elle, sortant d’une rue sombre avant de jeter un coup d’œil à son portable et de l’interpeller. « Vous ne recevrez aucun appel Mademoiselle Lafay … » Elizabeth se tourna vers moi. J’avais son attention.
« Vous ne recevrez aucun appel Mademoiselle Lafay … » Je me suis vivement retourné en entendant mon nom dans mon dos. Quand j'ai fait face à la personne qui m'avait appeler, j'ai d'abord eu un temps de réflexion, c'était qui celle là ? Mais au fur et à mesure qu'elle s'avançait vers moi, je l'ai reconnue : c'était la sorcière avec qui je m'étais effritais lors des meetings sorcières/vampires. Rien de bien méchant, notre crêpage de chignons c'était résumés à deux hauts en lambeaux. Mais les choses auraient put être un peut plus compliqués. J'avais préféré la planté au milieu des flammes, non pas que j'avais peur d'elle loin de là, mes toutes mes tentatives pour la blesser se révélaient être bien trop minimes et chacun de mes coups manqués lui donnaient une chance de me donner un coup... Assez fort on vas dire. Résultat des courses, je préférais déguerpir, j'allais pas me prendre trop au sérieux, on est pas dans un film et merde la dignité, je pensais surtout à ma peaux. Elle venait dé déboucher d'une ruelle sombre, j'allais éviter de lui demander ce qu'elle fichait dedans... Tandis qu'elle s'avançait vers moi, je marchais vers elle en posant mon verre en plastique sur un banc. « On dirait que ma personne me précède. Effectivement je n'ai pas vraiment eu le temps de me présenter. Et à qui ai je le déshonneur ? » Vas savoir ce qu'elle a du apprendre sur moi, j’espérais qu'elle sache que je suis dingue, sans doute bien plus âgée que la plupart des sorcières et que mes pouvoirs ne se limitaient pas à des anévrismes où des feux de camps. J'ai regardé mon portable. « C'est vrai, j'ai plus de famille et aucune traces de mes rares amis. J'ai surtout un portable pour la musique en fait. » J'ai rangé mon téléphone dans la poche arrière de mon jean noir et j'ai fourré mes deux mains dans les poches de ma veste en cuir sombre. « Ne me dit pas que tu est venue exprès ici pour retrouver ma trace ? » j'ai pouffé « Sa serait pathétique, ton corset était jolis mais j'ai pas vraiment l'âge pour jouer à la guerre du bac à sable ma grande. Toi non plus d'ailleurs. » Il fallait être stupide pour me cacher certaines choses à moi ou une sorcière ayant le même niveau de puissance que moi. Sa se sentais, sa se voyait et c'était presque palpable, le fait que cette sorcière ralentisse également l'impact qu'a le temps sur elle. « Oh, a moins que veuille vraiment te venger du fait que tu ai trouvé une sorcière qui te résiste ? ». J'ai levé les yeux vers le lampadaire non loin de nous et des étincelles ont commencés à tomber au sol dans un grésillement. Je pouvais rien faire contre elle au milieu de temps d'humains en activité et puis je n'en avais pas envie, ce n'était pas un vampire, j'allais pas lui retrousser les membres ou l'enflammer... Quoi que, sa sa dépendra de ses actes et de mon humeur. A côté de nous, les maigres colonnes peinte en bleu ciel s’effritaient comme si quelqu'un les décapaient, le vent soufflait et lampadaire continuaient de grésiller. Bref, c'était assez bon enfant, j'allais pas le prendre plus méchamment pour le moment, c'est pas comme si elle m'avait mise KO à Mystic Falls.
Sujet: Re: Ding dong, bitches are back... Mar 23 Avr - 13:42
Ding dong, bitches are back ...
Le déshonneur ? Oh cette petite avait la repartie d’une enfant de quatre ans, c’était pas mal. Malheureusement, elle allait apprendre que l’ignorance était le meilleur des mépris. Je n’allais pas me battre verbalement avec elle, car elle n’en valait tout simplement pas la peine, au même titre que me battre physiquement avec l’aide de sortilèges. Je ne cherchais pas l’affrontement, non, juste tout simplement la narguer et lui montrer que ses petits jeux n’avaient pas marché, que ses sorcières étaient tombées, qu’elles avaient disparu, qu’elles étaient mortes et enterrées. Qu’elles étaient capoutes et qu’elle était seule, peut-être même que si elle était sage, je lui proposerais une alliance … Katherine n’était pas la meilleure patronne au monde, mais peut-être que ça l’intéressait à revenir en ville sans craindre que tout le monde lui tombe dessus. Je n’avais pas peur pour ma part, non, loin de là même, je ne craignais pas grand monde en ville à par les originel et leurs sorciers, sinon j’étais à peu près intouchable aux vues des capacités des autres personnes présentes. « À une personne qui ne vous veut aucun mal. » Je souriais. « Aucune trace … » Je riais. « Un euphémisme très mal placé quand on sait qu’elles sont presque toutes mortes. » Je lui lançais un sourire macabre. « Vous avez misé sur le mauvais cheval mademoiselle LaFay, vous avez encore des choses à apprendre visiblement … » Moi j’avais parié sur Katherine, en fait je n’avais pas eu le choix, mais je m’en étais beaucoup moins sortie. Finalement j’œuvrais pour moi-même, sauf quand elle me demandait de faire des courses dans son intérêt, sinon j’étais assez libre. « Retrouver votre trace … Il me semble un peu évident que oui. Je trouvais ça beaucoup plus cordial de vous annoncer l’évaporation de Ruth et compagnie en personne plutôt que par texto ou e-mail … » Je riais. « Fort heureusement, ce ne sont pas les originels qui m’ont envoyé à vos trousses, sans quoi vous seriez déjà morte … Ils ont l’air de ne pas du tout de s'intéresser à votre cas, comme moi, vous êtes passé bien inaperçue. » J’avais envie de rire à nouveau, mais non, ça aurait enlevé tout le coter dramatique de mes paroles.
Les lampadaires se mirent à grésiller, le vent se mit à souffler et je fis une moue, avant de lever les yeux et de m’avancer vers elle. « Sachez que nous ne jouons pas dans la même cour … » Un humain s’arrêta à côté de nous, posa sa main sur le dossier du banc avant de porter sa main à son cœur et de se mettre à suffoquer. « Je n’hésiterais pas à tuer des innocents … Et pour une sorcière qui se dit défenderesse la nature, quel parjure pour vous que d’être l’une des causes sine qua non de la mort de pauvres humains sans défenses. » L’humain posa les genoux à terre et se mit à tousser, à cracher du sang, mais aucune personne ne s’arrêtait, il était comme couper du monde. Je l’avais mis dans une bulle, personne ne le percevait à part nous. « Voulez-vous vraiment jouer à un jeu où il n’y a pas de règles ? »
Sujet: Re: Ding dong, bitches are back... Mar 23 Avr - 14:22
Ding dong, bitches are back...
Rosalie V. Valentyne & Elizabeth . Lafay
Qui ne me veux aucun mal ? Qu'est ce qu'elle fichais ici alors. Et non, j'ai trouvé mon jeux mot très bien moi ! En même j'ai le sens de l'humour d'une adolescente en crise qui vas à son premier bal de promo... Un humour débile et qui vole pas toujours très haut quoi ; évident qu'elles étaient toutes mortes, leurs corps devaient regorger d'asticots et désintégrer par le temps à l'heure qu'il est, mais leur âme persistent encore.
Pour moi je n'avais pas misé le mauvais cheval, on a tous un minuscule arguments qui nous pousse vers une voie plutôt qu'une autre. Ce qui m'avait diriger vers les sorcières c'était... C'était l'amour. J'avais pourtant appris que l'amour était une faiblesse et que quand nous évoluons dans un monde pleins d'être surnaturelles et dangereux, il fallait avoir un minimum de faiblesses. Si les vampires n'avaient pas tuer Adrian, peut être que j'aurais choisis le camp des vampires. Ils ne ce souciaient pas des autres et n'avait pas peur de ce qui pouvait leur arriver, après tous ils avaient les grands Originaux comme maîtres. Mais même aujourd'hui la perte de celui que j'aimais avait l'effet d'une lame glaçai toujours enfoncer dans mon cœur.
Et si je n'avais jamais aimer personne, peut être que je n'aurais carrément pas pris par de cette guerre. «Retrouver votre trace … Il me semble un peu évident que oui. Je trouvais ça beaucoup plus cordial de vous annoncer l’évaporation de Ruth et compagnie en personne plutôt que par texto ou e-mail … Fort heureusement, ce ne sont pas les originels qui m’ont envoyé à vos trousses, sans quoi vous seriez déjà morte … Ils ont l’air de ne pas du tout de s'intéresser à votre cas, comme moi, vous êtes passé bien inaperçue. » L'évaporation ? Alors selon elle Ruth et les autres étaient avaient bel et bien disparus... Manque de peaux j'étais sûre du contraire. Je dois quand même avouer que sa a était vraiment saoulant de faire marcher cette planche ouija. J'ai bien passer presque toute une journée à avoir un contact avec elles, et devinez quoi, je n'ai eu aucun signe. Je commençais vraiment à croire qu'elles avaient disparus mais c'est après que j'ai compris : la planche permettait de communiquer avec les esprits de l'autre monde, si il n'y avait aucune manifestation c'est que l'esprit convoquer n'était pas dans l'autre monde. Et mis à part de l'autre côté, où l'esprit d'une sorcière désirant se venger des vampires depuis des siècles, brûlée sur le bûcher peut elle revenir ? Je sais, c'est limite paranoïaque, mais j'étais persuadé qu'elles attendaient le bon moment pour refaire surface.
J'avais passer inaperçu ? Cette fois ci j'ai pas cacher ma déception, moi qui aimai m'afficher. Oh et puis pas besoin d'avoir l'avis de cette sorcière pour savoir si j'ai passer inaperçu ou non. C'était son avis, et vu comment elle avait l'air de m’adorai je doute qu'elle me dise des choses plaisantes. « Sachez que nous ne jouons pas dans la même cour … » J'ai détourné mon regard du siens en entendant un homme se mettre à s'étouffer à quelques mètres de nous. « Je n’hésiterais pas à tuer des innocents … Et pour une sorcière qui se dit défenderesse la nature, quel parjure pour vous que d’être l’une des causes sine qua non de la mort de pauvres humains sans défenses. » L'état de l'humain commençait à empirer, il tomba à genoux et personne ne prenait gare à son état. « Voulez-vous vraiment jouer à un jeu où il n’y a pas de règles ? »
Je me suis avancé vers l'humain en me penchant vers lui pour le regarder, il a croisé mon regard, ses yeux était larmoyants et remplis de détresse. Puis je me suis relevé pour refaire face au regard de l'autre sorcière. « T'a mon feux vert, je le connais pas ! »
C'est comme ça que j'aurais réagis si je n'étais pas du côté des sorcières, mais j'avais grandit et j'avais appris que les humains n'avaient pas à être les proies de la guerre entre les créatures. Je savais ce que j'allais vraiment faire. Je me suis concentrer et j'ai sentis l'électricité monté en moi, j'ai regardé l'homme agonisant et, peut à peut, il s'est lentement remis du maléfice, il s'est relevé en titubant et a disparu dans la foule, paniqué.
Puis sa a était à mon tour de payer le prix, j'avais retourner le sort. Je l'avais entre mes mains mais je ne pouvais pas le renvoyer sur un humain, j'en ai donc fais les frais. Du sang à commencer à couler de mon nez, que j'ai essuyé du revers de la main, ensuite j'ai sentis mon cœur s'emballait comme si une main invisible le serrer, j'ai porté mon cœur à ma poitrine en essayant de respirer profondément, j'ai serrer les poings et la douleur s'est arrêté net, j'étais en mesure d'arrêter la plupart des sorts mais je pouvais pas toujours en diminuer les effets, j'étais pas non plus super witch. J'ai arranger les plus sur ma veste avant de tousser et de regarder la sal... Sale sorcière. « Pour quelqu'un qui ne me veut aucun mal tu n'y vas pas de main morte, t'aura pu arrêter l'effet de ton tour avant moi quand même. Donc, si le bâtard d'Esther, au sens propre j'ai envie de dire, ni son frère classe mais en mode papy ne veulent rien de moi, pourquoi a tu chercher à me contacter ? »
Sujet: Re: Ding dong, bitches are back... Mer 24 Avr - 17:50
Ding dong, bitches are back ...
Arrêter mon tour … Pour quoi faire . C’était tellement plus drôle de la voir galérer avec mes sortilèges … Car la pauvre, elle n’était pas capable de rivaliser avec la magie noire, avec l’expression. Il n’y avait qu’une seule règle avec cette magie, c’était qu’il fallait parfaitement la contrôler, sans quoi, elle vous dévorait de l’intérieur et c’était sans retour possible. Vous mourriez … C’était ça la rançon de la gloire et du pouvoir, la mort si on n’en faisait pas bon usage. Fort heureusement, j’avais été une sorcière assidue dans mon apprentissage, résultat, j’étais maitresse de moi-même et de ma magie, contrairement à beaucoup d’autres qui finissaient par être consumées, comme de simples bougies. La magie naturelle avait ce défaut, c’est qu’elle pouvait être pratiquée par toute sorcière, aussi mauvaise soit-elle ! De plus, elle était tellement insignifiante par rapport à m’expression … Elle était pleine de contrainte et votre pouvoir restait esclave de la nature. Vous ne pouviez donc pas faire ce que vous vouliez, c’était assez triste, voire très triste et totalement stupide ! C’était comme bridé les compétences d’un athlète, le priver d’une partie de ses forces … Stupide ! Totalement inutile.
Son feu vert … Mais je n’avais pas besoin de son feu pour tuer quelqu’un. D’ailleurs, je n’appréciais pas trop le fait qu’elle m’a privé de la mise à exécution de ma menace … C’était indélicat de sa part, vraiment. Je décidais donc de faire bonne mesure. Pourquoi j’étais venue là ? Par simple besoin de me délecter du malheur d’autrui ? Parce que le fait qu’Elizabeth était maintenant totalement seule, démunie dans ce monde dangereux où les originels régnaient. Mais soit, maintenant que j’avais bel et bien vu de mes yeux qu’elle était totalement seule, ma visite était terminée … Je lui lançais un sourire satisfait, mais laissais sa question en suspens. Je n’y répondrais pas. Quel intérêt ? Elle allait me suivre . Me poursuivre ? Selon moi, elle ne le ferait pas, car elle n’était pas prête de remettre les pieds à Mystic Falls. J’avais eu ce que je voulais, je pouvais donc mettre les voiles … Je jetais un regard assassin à un passant, qui tomba net alors qu’un lampadaire explosa. Les gens se mirent à crier, à hurler, à appeler les secours … Les gens se regroupèrent autour de nous et j’en profitais pour prendre la fuite : me faufilant à travers la foule, frôlant les passants qui pleuraient, criaient … Je claquais des doigts, une vitre vola en éclats tandis qu’un deuxième passant tombait à terre. La frénésie totale, voilà ce qui venait de se déclencher, une peur panique envahie bientôt les esprits de la foule, qui évacua bien vite les lieux, m’emmenant avec elle. Je disais « au revoir » à mademoiselle LaFay, mais certainement pas « adieu ».
Sujet: Re: Ding dong, bitches are back... Mer 24 Avr - 19:13
Ding dong, bitches are back...
Rosalie V. Valentyne & Elizabeth . Lafay
Comment expliquer ce qui venait de se produire si ce n'est que sa avait était un jolie bordel. J'avais réussi à retourner le maléfice de la sorcière et c'était du costaud il faut avouer. De l'expression sans doute, je savais le reconnaître, j'avais moi même cette magie en moi, sa m'étonnait qu'elle ne l'avait pas sentit en moi. En même temps je ne faisais pas usage courant de cette... De cette chose. Si j'avais mis les pieds dans ces ténébreux chemins c'était dans le simple but d'aider les sorcières mortes, à l'époque où elles étaient encore... Elles sont toujours là, c'était obligé. Quand les sorcières de la maison abandonnée ont appris que j'avais appris l'Expression et la magie noire, elles n'ont pas cacher leurs indignation. Mais pour une des rares fois de ma vie, j'avais découvert quelque chose qui allait faire la différence de celles qui finissaient rongés par l'Expression et celle qui y deviennent shootés : j'arrivais à faire la différence entre l'Expression et la magie noire avec la magie naturel. Résultat, j'utilisais toujours la magie naturel et quand à l'Expression, c'était un plan de secours on vas dire mais en aucun cas un plan A, B, C ou Z. C'était la dernière issue lors des situations critiques. J'avais utiliser l'Expression à deux reprises : quand je l'ai découverte bien sûre et j'ai mis la vie d'innocents en danger, une telle puissance avait un point négatif, du moins quand on est une sorcière ayant les principes de sa race. Moi je devais me situer entre les deux, j'utilisais la magie naturel pour servir la Nature mais j'utiliserai l'Expression pour mener à bien le combat. Drôle de sorcières, qu'importe celles et ceux qui me critiqueraient sur mon choix, si je devais mourir en utilisant l'Expression pour combattre les Originaux, alors cette manière là de mourir était une cause noble qui ne me gênait pas. Et puis les choses sont allés rapidement, les vitres ont éclatés et un passant est tombé au sol sans rien voir venir, mais cette fois ci les personnes ont bien fait attention à ce qui se tramait. J'avais jeté un regard vers le corps ne serai ce qu'une fraction de seconde mais la garce avait déjà disparue. Je me suis avancé directement vers l'humain en m'abaissant pour poser mes doigts sur son artère du coup. Rien, il était mort. Une autre vague de hurlements, un autre mort. Je n'ai pas pris le temps de l'analyser, c'était inutile. Au lieu de ça j'ai pris la direction opposé à mon ennemie. Je n'allais pas utiliser l'expression maintenant, non il aurait fallut que je canalise une énergie qui n'était pas de mon habitude : une énergie de souffrance, de mort. C'était ça la règle, tuer pour mieux dominer. J'ai continué à déambuler en ville alors que les gens se dirigeait là où se tenaient 2 corps. J'ai porté la main sur mon pendentif, mon collier à breloque qui retraçait la vie de Marie-Alice, mes 70 années à marauder et mon arrivée à Mystic Falls. Une perle en plastique, un porte clé à 2€ acheter en France, un bout ruban rouge et je ne sais quoi. Qu'est ce que j'allais faire maintenant ? Retourner à Mystic Falls, évaluer comment les choses avaient évolués ? J'avais cru pouvoir débarrasser la ville des vampires, c'était comme si un rayon de soleil avait percer les nuages, oui je sais plus culcul tu meurs. Mais maintenant cette ville me dégoûtait, mais après tout, la nouvelle vie que j'avais construite était là bas, avec June et Alex, la maison des sorcières mortes où j'étais sûre que mes anciennes amies déambulaient. Et après tout je ne pouvais pas quitter cette ville comme ça en laissant les Originaux gagner. Même s'ils n'étaient pas mort, je devais les blesser comme ils nous ont blessés. Et puis là bas, je pourrais canaliser la mort des vampires et hybrides pour utiliser l'Expression. Mais j'allais attendre, quelque chose au fond de moi me disais que je saurais quand je devrais retourner dans cette charmante petite ville.