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 What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy

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Anonymous
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MessageSujet: What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy    What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy  EmptyMer 6 Mar - 18:08



every teardrop is a waterfall.



Cette nuit, une nuit longue est douloureuse m'attendais. Ce soir c'est la pleine lune, je serai alors une louve toute la nuit. Je me prépare déjà au pire, c'est toujours une rude épreuve de se métamorphoser, mais surtout il y a cette crainte de tuer à nouveau une personne innocente et involontairement. Lorsque je suis une louve je ne contrôle pas mon gène de loup, je suis alors un vrai animal. Depuis que nous avons emménagé à Mystic Falls j’ai pris l’habitude de passé mes nuits de pleine lune dans la forêt attaché à un arbre centenaire avec des chaînes lourde.
Après mes cours je déposa mes affaires dans ma chambre et me rendis directement dans la forêt tout d’abord pour me balader et me relaxer avant la nuit mais aussi pour me préparer. J’allais toujours dans le coin le plus reculé de la forêt pour être le plus loin possible de la ville ou des endroits où se rendent les jeunes de la ville pour faire la fête.
J’étais habillé de vêtements ayant peu d’importance et peu de valeur marchande puisque de toute manière ils vont être déchiqueté lorsque je me transformerai. Dans un sac je pris de quoi m’habillé une fois la nuit passé. Je m’installai comme à mon habitude autours d’un chaîne centenaire. J’attendis par la suite que la lune apparaisse, je l’attendis comme une veille amie bien que notre rencontre soit toujours douloureuse et pénible.

On ne s’habitue jamais à se transformer à chaque pleine lune, c’est toujours aussi douloureux. La nuit était passée, j’étais épuisé. Je retira mes chaînes et vêtu mes affaires de rechange qui était plutôt banale : un jean et un t-shirt un peu déchiré. Je devais rentré pieds nus, car j’ai malheureusement oublié d’enlever mes converses cette nuit..
Je pris le chemin du retour après avoir réunis et ranger toute mes affaires. J’espérais rencontrer personnes, c’est assez bizarre de croiser quelqu’un avec des chaînes dans son sac.
Aujourd’hui une belle journée s’annonce il fait plutôt beau et tout ceci me donne envie de resté un peu plus longtemps dans la forêt assise sur un tronc d’arbre et lire un bon livre français. J’avais la tête ailleurs, je regardais le ciel et non ce qui avait autours et devant moi. Maladroite comme je suis me pris les pieds dans des racines et fit un jolie vol plané avec un atterrissage magnifique. « Rooo pu**** ! » Je me releva et ramassa mes affaires, finalement je crois que ce n’est pas ma journée. Un jeune homme arriva vers moi en me demandant si sa allait, la première chose que je me suis dite c’est « Ooh mon dieux quelqu’un ma vus .. » je voulais me faire toute petite et me pouvoir me cacher. Je lui répondus que tout allait bien que j’étais juste un peu maladroite. Je repris ensuite « Et toi que fais-tu a cette heure dans la forêt ? Tu es plutôt matinal .. ».


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MessageSujet: Re: What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy    What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy  EmptyMer 6 Mar - 23:37

Je crois que l'humanité est née d'un conflit, c'est peut-être pour ça qu'en chacun de nous vit un être obscur. Certains le laisse s'épanouir, d'autres n'ont pas le choix, d'autre encore le combattent. Mais finalement, il est aussi naturel que l'air que nous respirons. Il arrive un jour où chacun de nous est forcé de regarder la vérité en face, la vérité... de ce que nous sommes
at the full moon
C'était le moment que je redoutais depuis des semaines. Il y a encore quelque mois je me rassurais en me disant que le jour J n'était pas encore arrivé. Que j'avais encore du temps afin de me préparer psychologiquement à la douleur inexplicable qui allait brûler et casser chaque muscles, chaque os de mon corps. Cette nuit n'allait être facile pour personne. Du moins, pour toute les personnes ayant le gêne de loup-garous comme j'en était porteur depuis quelque années maintenant. J'avais beau commencé à entrer dans le cycle de l'acceptation, je ne pouvais contrôler la frayeur qui m'envahissait lorsque je voyais les bois se fondrent dans la nuit. Je savais très bien que je ne pouvais pas y échapper mais j'espérais toujours qu'un petit miracle allait se produire et qu'ainsi je serais libre de ne pas me transformer. Autant dire que j'attendais depuis longtemps... pour rien. Comme toujours, j'avais décidé de me pelotonner au beau milieu de la forêt. J'avais trouvé une sorte de cabane abandonné à l'écart de la ville. Je l'avais observé pendant un moment mais personne n'était jamais entré à l'intérieur. J'y avais construit mon isoloirs, ma cellule. Les lourdes chaînes que j'avais emportées avec moi tintèrent dans mon sac de sport lorsque je le laissais tomber sur le plancher. Pendant plus de deux heures, je mis en place ma propre cage, veillant à ce que chaque détails soit serrés ou mis correctement afin qu'aucuns incidents ne se produisent. Ma plus grande peur était de tué de nouveau. Rien que cette pensée me fit frissonner de la tête aux pieds. Non, cette fois-ci je serais incapable de me relever. Je secouais lentement la tête. « Ne te déconcentre pas Nath » me sermonnais-je en passant brutalement ma main dans mes cheveux bronzes. Ce n'était pas le moment d'avoir la tête ailleurs. Je ne pouvais me permettre de divaguer maintenant. Surtout pas maintenant. J'avais besoin d'économiser mes forces. La transformation n'est pas qu'un simple moment douloureux. La transformation vous achèves complètement. Elle vous use jusqu'à la moelle et aspire toute votre énergie en un claquement de doigt. J'étais toujours incroyablement faible lorsque je me réveillais après une nuit de lutte complète avec ma prison de chaînes. J'étais alors aussi vulnérable qu'un enfant, qu'un petit chiot tout juste né. Et j'avais faim. Si faim. Avec un soupir de lassitude je poussais mon sac du pied, il alla buter contre une chaise poussiéreuse. Je me déshabillais lentement, faisant l'effort de plier mes vêtements afin qu'ils ne se froissent pas. Puis je traînais les pieds jusqu'à mon attirail de parfait psychopathe. J'entourais ma taille, mes chevilles, mon cou, mes poignets de chaînes solides spécialement testés avant. Ce n'était pas un jeu. Définitivement pas. Une fois près, je jetais un coup d'oeil à la fenêtre. La lune entra dans mon champ de vision et l'élancement dans mon épaule se fit ressentir. La partie commence.

J'ouvris les yeux difficilement ce matin-là. Étendu sur le sol, je laissais mes yeux s'habituer à la soudaine clarté des lieux. Nu comme un vers, je trouvais finalement la force de me relever à l'aide de mes bras et de m'asseoir, frottant ma nuque douloureuse de ma main. Mes muscles étaient douloureux et une grimace traversa mon visage. Je restais un moment assis, adossé contre le mur, fixant droit devant moi comme un déjanté. Je me laissais juste le temps de reprendre mon souffle, de remettre mes idées en place. J'avais besoin de ça afin de redevenir le garçon calme et posé que j'étais toujours. J'avais besoin de reprendre le contrôle de moi même avant de réapparaître en société. Mon mauvais caractère devait resté ici, dans cette vieille bicoque toute délabrée, au beau milieu de cette forêt lugubre. Je me rhabillais, rangé mon matériel et quelque minutes plus tard je claquais la porte de la maison. Je marchais tranquillement dans la forêt, attentif aux moindres bruits aux alentours. Je n'étais pas un chasseur né, c'était plutôt le rôle de Sibby mais j'étais toujours méfiant et sur mes gardes. C'était une règle de base que j'avais toujours garder en mémoire. Si tu ne t'occupe pas de ton cul, qui le fera à ta place ? Notre survie ne tient qu'à un fil lorsque l'on n'apprend pas à rester discret dans les bois. J'entendis soudain sur ma gauche, un grand fracas suivit d'une voix profondément agacé. Guère rassuré mais curieux, je fis les quelque mètres qui me séparés de la jeune fille, étendue sur le sol. Je n'étais pas du genre à demander des nouvelles, mais je voulais être sure qu'elle allait bien avant de continuer mon chemin. « Hum.. Vous allez bien ? Rien de cassé ? » demandais-je en la regardant se relever et épousseter ses vêtements. Elle m'expliqua qu'elle n'avait rien, qu'elle était juste maladroite. Je faillis presque sourire. Presque. Ses racines étaient énormes, il fallait être aveugle pour ne pas les voire. « Et toi que fais-tu à cette heure dans la forêt ? Tu es plutôt matinal .. » marmonna-t-elle en relevant la tête vers moi. Je fronçais les sourcils, pas vraiment à l'aise. J'eus envie de lui envoyer une de mes phrases froides et distantes que j'utilisais généralement pour que les gens me foutent la paix mais curieusement malgré la colère froide que je ressentais, je ne fis rien susceptible de la blesser. C'était peut-être son visage, ses yeux ou sa petite moue qui m'avait fait faiblir dans mes résolutions. « Je me promène. J'ai.. une maison de campagne pas très loin d'ici. » déclarais-je en remettant en place une mèche cuivré rebelle. Une maison de campagne. Bah tiens. C'était un taudis oui. Et elle n'était même pas à moi.
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MessageSujet: Re: What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy    What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy  EmptyJeu 7 Mar - 10:12



every teardrop is a waterfall.



Ce jeune homme se tenait près de moi, je ne l'avais jamais vus auparavant à Mystic Falls. Il était plutôt grand, cheveux brun et un peu bizarre à mon goût, c’est peu être tout simplement son côté mystérieux. Il remettait toujours sa mèche en place, ceci me fis rire silencieusement il me faisait pensé à ce chanteur dont tout le monde raffole qui fait également la même chose, mais je ne me rappelle plus de son nom … Dans tout les cas j’étais gêné face à cette situation, il m’avait probablement vus tombé et en plus j’avais quelque chose à cacher. Je ne suis pas vraiment sociable je parle peu et généralement de façon relativement froide, je ne suis pas faite pour parlé en public. Pourtant lorsque je communique avec ma correspondante je lui parle comme une personne disons normale, je ne suis pas gêné ni timide. Je ne dois pas être normale, enfin je ne le suis plus depuis que j’ai déclanché mon gène de loup.
Je trouvais étrange de voir quelqu’un à cette heure en plein milieu de la forêt après une nuit de pleine lune, je lui demandai alors ce qu’il faisait là. Il me répondit : « Je me promène. J'ai.. une maison de campagne pas très loin d'ici. » Je trouvais encore plus bizarre puisque je n’ai jamais vus aucune personne dans le coin, enfin aucun humain. Et puis avoir une maison de campagne aussi loin de la ville où il faut marché pendant des kilomètres, je ne pense pas que cela soit vrai .. En plus si c’est la maison qui est à 10minutes d’ici et bien je sais pas comment il fait pour vivre dedans c’est une maison en ruine. C’est vraiment très étrange et ça sentait le mensonge à plein nez. Mais alors pourquoi mentirait-il ? Pour que je le laisse tranquille ? Sûrement et puis je n’ai pas que ça à faire de resté à parler à un inconnu. Peut être que c’est un vampire ou un sorcier, dans ce cas il voudrait caché soit son repas soit son coin où il fait c’est tour de passe passe. Huum tout ceci m’intriguait et ma curiosité commençait à prendre le dessus. Je lui dis alors « C’est bizarre je n’ai jamais vus quelqu’un dans ce coin .. ». Le jeune homme portait un sac sur ses épaules, c’est peut être un randonneur fou pour être dans les parages. Je posa à terre mon sac à dos qui n’était pas léger comme une plume … Malheureusement lorsque je le posa à terre on entendit que j’avais des choses métallique dans mon sac, mais ça n’avait pas l’air de surprendre le jeune homme.



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MessageSujet: Re: What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy    What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy  EmptyDim 10 Mar - 17:54

Je crois que l'humanité est née d'un conflit, c'est peut-être pour ça qu'en chacun de nous vit un être obscur. Certains le laisse s'épanouir, d'autres n'ont pas le choix, d'autre encore le combattent. Mais finalement, il est aussi naturel que l'air que nous respirons. Il arrive un jour où chacun de nous est forcé de regarder la vérité en face, la vérité... de ce que nous sommes
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J'avais un jour eut la chance immense d'être un enfant sociable. A cet époque je n'étais absolument pas timide et j'allais naturellement vers les gens sans me poser plus de questions. Je parlais avec eux, tout simplement, et la conversation venait d'elle même. Aujourd'hui, j'étais réservé, trop discret et autant dire renfermé sur moi même. Ma solitude ne me dérangée pas, bien au contraire. La foule me rendait mal alaise. J'avais l'impression d'étouffer lorsque j'étais dans une pièce surpeuplé. J'étais beaucoup mieux, tout seul, avec ma guitare et ma cigarette, dans mon atelier à réparer les armes de la meute. J'adorais mon « métier ». J'en avais fait une passion depuis qu'Edgar m'avait chargé de cette tâche. On ne peut pas dire que j'étais nul au combat, comme tous loup-garou, la sauvagerie faisait partie intégrante de moi. Mais je suppose que mon Alpha avait remarqué combien je détestais tuer. Que ça soit un vampire, une sorcière ou un simple humain, le dégoût que je ressentais après coups était horrible. Alors il m'avait mis ailleurs et c'était très bien ainsi. Sibby était beaucoup plus doué que moi dans ce domaine de toute manière. Je sais que je peux paraître.. étrange parfois. Je ne m'implique jamais, je ne souris pas forcément tout le temps non plus, j'évite de parler aux gens, je les fuient, je met une distance entre eux et moi.. Bref, tous l'attirail, du parfait intello qui reste tout seul à toute les récrés. En réalité, ce que les autres pensent de moi je m'en fiche. Plus rien ne m'atteint. C'est comme ça et je le vis très bien. L'excuse de la maison de campagne ne passa apparemment pas très bien et la fille me contempla un moment sans rien dire. Je n'étais pas un très bon menteur non plus. Décidément. «C’est bizarre je n’ai jamais vus quelqu’un dans ce coin ..» déclara-t-elle doucement en me fixant avec curiosité. Hum... Pourquoi cela semblait-il tellement bizarre de se croiser dans cette forêt ? Ce n'était qu'une forêt après tout. Tout le monde se balade dans la forêt. Peut-être pas à Mystic Falls. « Peut-être parce que personne ne connaît cet endroit. » répliquais-je simplement en haussant les épaules. Pourquoi soudain tout lui semblait si suspect ?. Tout d'un coup, elle lâcha son sac à dos et il tomba par terre dans un bruit sourd. A l'intérieur, un bruit de tintement attira mon attention. Je connaissais bien ce bruit pour l'avoir plus d'une fois entendu dans mon existence. Alors tout s'éclaira dans mon esprit et je fus légèrement soulagé. Je comprenais maintenant pourquoi elle était si inquiète. Elle devait se cacher ici les soirs de pleine lune. Cette fille était un loup-garou, j'en était sur. Alors je laissais tomber à mon tour mon sac. Les chaînes s'entrechoquèrent entres elles, produisant ce son particulier. Je relevais les yeux vers la jeune femme. « Je suis comme toi ».



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MessageSujet: Re: What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy    What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy  EmptyMar 12 Mar - 17:20



every teardrop is a waterfall.



C'est que ça peut paraître bizarre de poser autant de question à un jeune homme qui a l'aire tout a fait normal et qui se balade juste en forêt. Et puis il peut avoir une très bonne raison d'être ici aussi tôt le matin, il peut être un randonneur ou bien un chasseur après tout. Il est alors tout a fait normale que le jeune homme me répond que : « Peut-être parce que personne ne connaît cet endroit. » J'étais un peu gênée c'était évidement un évide et a vrai dire je ne savais pas du tout quoi lui dire après, je me sentais bête et stupide ..
Lorsque je posa mon sac le jeune homme fit une drôle de tête puis posa ensuite son sac au sol et celui ci fit le même bruit sourd que le mien. Il releva les yeux et me dit : « Je suis comme toi » Je souris puis devenus toute rouge comme une tomate, oui depuis que je suis petite je suis une grande timide et les gens se moquaient de moi car dans un moment où je suis mal à laise je deviens toute rouge et a vrai dire c'est assez embarrassant. J'avança d'un pas et dis avec des yeux un peu mielleux : « ah oui ? » J'ai rencontré que peu de personne semblable à moi, enfaîte a chaque fois que j'ai rencontré un loup-garou c'était souvent pour se battre. Oui, je n'ai pas d'amis loup et c'est un vrai manque étant donné que je ne m'accepte pas du tout et que j'aimerai bien un peu d'aide et de soutien. Fin je cherche juste quelqu'un qui comprend se que je ressent .. Je respira un bon coup pour arrêté de rougir, ça me permet aussi de contrôlé mes émotions c'est une chose que j'ai appris de mes parents loups et c'est bien la seule chose qu'ils m'ont apprit pour me sentir mieux. Je lui souris et dis : « Je m'appelle Fantasy, je suis nouvelle en ville .. » J'étais toujours un peu maladroite dans mes mots lorsque c'est un premier abord avec une personne étrangère, ce fût un échange bref. Je n'aime pas être timide et je ne sais pas pourquoi je suis comme ça, mais depuis que je suis une louve c'est encore pire, je m'isole moi même des autres. J'ai tellement peur d'avoir des amis et d'ensuite les blessés lors d'un soir de pleine lune que je préfère ne pas en avoir. Bon après il y a Caroline mais c'est différent puisque c'est une vampire bien qu'une de mes morsures lui serait fatale. Je ne savais pas trop comment lancer la conversation, j'avais peur qu'il ne souhaite tout simplement pas parlé et qu'il s'en aille. La solitude me plait, mais de temps à autre elle me pèse c'est un peu dépriment de ce dire que ses seules meilleurs amis sont des livres .. Oui, je sais ça fait un peu pitié. Dans mon ancien lycée la plus part des gens me connaissaient depuis la maternelle, mais au fur et à mesure ils m'ont tourné le dos car ils me trouvaient étrange. Il faut croire que j'ai toujours été comme ça et que mon destin était déjà tout tracé.
« Eumm sa te dérange pas si on bouge un peu je commence à avoir froid .. aux pieds. » Oui, j'étais toujours pieds nus et ils étaient complètement gelés. Quelques pas permettrai de réchauffé mes pieds. Mes converses me manque je vais allé en acheté cette après midi même .. Enfin bref, avec ma timidité et bien la conversation était un peu plate et je ne savais pas du tout quoi faire.
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MessageSujet: Re: What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy    What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy  EmptyMar 12 Mar - 19:45

Je crois que l'humanité est née d'un conflit, c'est peut-être pour ça qu'en chacun de nous vit un être obscur. Certains le laisse s'épanouir, d'autres n'ont pas le choix, d'autre encore le combattent. Mais finalement, il est aussi naturel que l'air que nous respirons. Il arrive un jour où chacun de nous est forcé de regarder la vérité en face, la vérité... de ce que nous sommes
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Je ne pouvais m'empêcher de fixer la jeune femme, trouvant amusant de deviner ses mimiques ou de simplement découvrir ce qu'elle était incapable de dire à voix haute. Elle avait le regard fuyant, tout comme je l'avais, elle parlait d'une voix douce mais légèrement timide, elle ne me regardait jamais droit dans les yeux et la gêne prenait petit à petit le contrôle de son corps. En réalité, nous n'étions pas si différent que cela. Je me voyais à travers elle en quelque sorte. Nous étions deux êtres étranges réunis et le résultat était assez intéressant au finale. Lorsqu'elle fit tomber son sac, le soulagement m'avait envahis. Pas besoin de mentir davantage, pas besoin de prétendre, de s'inventer une excuse bidon, de défendre son secret coûte que coûte. Mais d'un autre côté, j'étais également un peu stressé. Je n'avais jamais parlé aux loups solitaires ou venant d'autres meutes. Je n'avais jamais eut vraiment l'occasion de les connaître non plus mais mon clan me suffisait. Aujourd'hui, cette jeune femme semblait être l'opportunité que j'attendais pour élargir mon cercle de connaissance.. Mouais. Sans que je ne comprenne pourquoi, lorsque je lui avouais que nous étions de la même race, elle se mit à rougir violemment tout en avançant d'un pas. «ah oui ?» s'exclama-t-elle en me faisant un regard mielleux. Je ne savais pas vraiment ce qu'elle cherchait à faire, elle ne semblait pas apeurée en tout cas. Elle avait le profil type de la fille amoureuse de ses livres. Je le savais puisque je l'étais moi aussi. Comme je le disais, je me voyais à travers elle, et c'était réellement le cas. J'étais finalement.. heureux d'une certaine façon de ne pas être le seul spécimen solitaire au monde. Je n'étais pas une race à part au final, juste un peu différent des gens normaux. «Je m'appelle Fantasy, je suis nouvelle en ville .. » reprit la fille en respirant profondément. Aussitôt, son rougissement se calma et finalement elle retrouva son calme. De mon côté, je n'osais même pas bougé, immobile, adossé contre un arbre, mon sac de sport grand ouvert à mes pieds dévoilant les chaînes luisantes toute neuve. Je glissais mes mains dans les poches de mon jean tout en écoutant attentivement les bruits alentours. Mes doigts rencontrèrent un petit bout de bois que je sortis rapidement de sa cachette. Je le mis devant mon visage et j'identifié aussitôt l'objet en question : Une balle en bois. Je l'avais fabriqué hier soir, un nouveau prototype que j'avais inventé. Il avait une meilleure pénétration dans l'air et les dommages étaient selon moi amplifiés par 10. Il allait falloir que je le teste très prochainement. Je plongeais finalement mes yeux émeraudes dans le regard chocolat de la fille et esquissais un léger sourire de coin, histoire de détendre un peu l'atmosphère. Bien que mal à l'aise, je pouvais être aimable. «Nathanaël Lou Davidson, et comme toi je viens d'arriver en ville il y a quelque jours. » me présentais-je en me rapprochant légèrement d'elle tout en gardant une distance raisonnable. Le silence s'installa et je fus incapable de trouver quelque chose à dire. J'avais horreur de ça, horreur de faire le premier pas. Ce n'était pas mon genre, je préférais resté en retrait, écouter, simplement écouter. Mais là j'étais au premier plan et personne ne pouvait lui faire la conversation à ma place. Curieusement je n'avais pas envie de m'en aller. Ses deux sentiments me donnèrent mal à la tête. «[color=powderblue] Eumm sa te dérange pas si on bouge un peu je commence à avoir froid .. aux pieds. [/colora] »  Je jetais un coup d'oeil à ses pieds et en effet, je découvris qu'elle était pied nu. Un léger rire m'échappa. L'entendre me surpris. Elle avait à tout les coups eut un problème de transformation. Combien de fois avais-je du inventer des stratagèmes débiles à cause d'inatentions ? Combien de fringues avais-je détruit depuis ma première transformation ? Une bonne centaine. J'avais finis de comptabiliser. « Je suppose que des morceaux de chaussures gisent un peu partout autour d'un arbre maintenant  » dis-je en souriant. Je me baissais et farfouiller quelque minutes dans mon sac, les chaînes s'entrechoquant plusieurs fois d'affilées. Je trouvais enfin ce que je cherchais et lui tendis une paire de basket. J'avais toujours des vêtements prévus pour les membres de la meute dans mon sac. Je n'étais parfois pas tout seul lors de la pleine lune et il n'était pas rare que l'on oublie d'enlever quelque chose, où qu'il soit trop tard pour y penser. J'étais organisé, peut-être trop mais au moins nous ne manquions de rien. Les chaussures appartenaient à Sibby. Elle allait sans doute me tuer mais je n'allais pas laissé Fantasy pieds nus. Oui, les gentlemans refermés existent. « Elle ne tiront peut-être pas. Je ne connais pas ta pointure mais c'est toujours mieux que rien. Tu peux les garder.  » Je balançais mon sac sur mon épaule et sortit calement une cigarette de ma poche avant de l'amener à mes lèvres. « Tu fais partie d'une meute ? »



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MessageSujet: Re: What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy    What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy  EmptyMer 13 Mar - 12:28



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Je ne vous cacherai pas que je trouve ce jeune un peu bizarre c'est une chose inexplicable, mais il a un petit quelque chose qui le rend mystérieux. Il attisait ma curiosité qui n'est pas franchement une qualité, on dit même que c'est le plus vilain des défauts. Enfin bref, désormais je pouvais voir ce qu'il avait dans son sac, rien de très étrange juste des chaînes. Je me rend compte que nous avons tous les même technique lors des pleines lunes : s'isoler et s'enchaîner à un arbre robuste. Ce qui me semblait absolument normale ne l'était pas pour une personne "normal". Je ne vous cache pas que si j'étais encore humaine et que je croise un homme avec des chaînes dans un sac de sport je partirai en courant ! Mais bon rien n'est normal dans ma vie et je me rend compte qu'elle n'a jamais été normale.
Le jeune homme sorta quelque chose de sa poche, je ne sais pas du tout ce que c'est, c'était très petit et il me semble qu'il était en bois mais je ne suis pas une experte alors je peux très bien me tromper. Il regarda attentivement. C'est une situation qui me mettais terriblement mal à laise, je ne savais pas quoi faire et il ne parlait pas, si on ne parle pas je ne vais pas faire le premier pas je suis bien trop timide pour ça .. Je regarda alors les alentours. Puis le jeune plongea ses yeux dans les miens, je peux vous dire que ses yeux sont a tombé ! Il me dit alors : «Nathanaël Lou Davidson, et comme toi je viens d'arriver en ville il y a quelque jours. » Tiens quel coïncidence, lui aussi est nouveau dans le coin cette information me fit sourire. Il rit légèrement lorsque je lui dis que je commençai a avoir froid aux pieds, j'avoue que c'est complètement idiot. Je suis vraiment bête d'avoir oublié mes chaussures, je suis prévoyante normalement et ça fait pas mal de temps qu'une tel chose ne mettais pas arrivée. Nathanaël reprit ensuite : « Je suppose que des morceaux de chaussures gisent un peu partout autour d'un arbre maintenant » Je ris légèrement tout en baissant la tête et en répondant d'un petit oui. C'est vrai que vus comme ça .. J'imagine plutôt bien la scène surtout quand une personne "normal" va voir cela il va se poser pas mal de question ! Il se baissa et chercha quelques choses dans son sac, j'étais une nouvelle fois gêné je ne lui ai pas non plus demandé des chaussures ! Il me tendit alors une paire de basket, « Elle ne tiront peut-être pas. Je ne connais pas ta pointure mais c'est toujours mieux que rien. Tu peux les garder. » je lui dis : « Merci, fallait pas tu sais .. » Je fis un sourire un peu crispé et mit ensuite les baskets, elles étaient juste un peu grande, mais ça allait et puis de toute manière je n'allais pas chipoter. Même si il me dit que je pouvais les garder j'avais l’intention de lui rendre les baskets. Il prit une cigarette puis reprit : « Tu fais partie d'une meute ? » Je baissa les yeux et ne dit rien durant un court moment. Je n'ai jamais vraiment fréquenté des personnes comme moi donc je ne pouvais pas faire partie d'une meute, en plus je suis une fille plutôt solitaire. De toute manière je crois que j'aurais du mal à respecté tout les ordres d'un alpha, non ce n'est pas pour moi je n'aime pas être soumise si je puis le dire .. Je répondis d'un simple « Non. » très bref et un peu froid. J'attendis quelques secondes avant de reprendre: « Je suis une fille solitaire, les meutes ne sont très peu pour moi .. » Je ne voulait pas paraître incorrecte c'est pour cela que je repris avec un ton plus doux.





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MessageSujet: Re: What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy    What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy  EmptyMer 13 Mar - 23:33

Je crois que l'humanité est née d'un conflit, c'est peut-être pour ça qu'en chacun de nous vit un être obscur. Certains le laisse s'épanouir, d'autres n'ont pas le choix, d'autre encore le combattent. Mais finalement, il est aussi naturel que l'air que nous respirons. Il arrive un jour où chacun de nous est forcé de regarder la vérité en face, la vérité... de ce que nous sommes
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Son rire sonna comme des petites clochettes autour de moi et je me surpris à apprécier ce son. Je n'avais pas l'habitude d'être avec une femme timide et discrète. Sibby était loin de l'être et Elise-Beth encore moins. C'était parfois même des vraies bonhomme. Après tout, se sont des chasseuses. Il n'y avait rien de timide ou de discret chez elles. Sibby était pourtant une fille plutôt calme lorsqu'elle venait me voir travailler parfois. Je suppose que sa véritable nature se rétractait totalement lorsqu'elle devenait un loup. De mon côté, mon job d'armurier ne dependait que de la patience et du silence. Tout ce que j'aimais en soit. Je n'aurais pas put mieux trouver. Fantasy ne semblait pas être une hystérique comme j'en avait parfois rencontré. Elle semblait gentille, douce et aimable en toute circonstance et sans vraiment savoir pourquoi j'avais envie de lui demander quel était le titre de son bouquin. Peut-être avions nous les mêmes goûts en matière de lecture ? Je secouais la tête. Qu'est-ce qui me prenait à la fin ? C'était le genre de question que je ne me posais jamais en temps réel. Je veux dire, en quoi cela était-il intéressant de savoir ce qu'elle aimait lire ? Je doutais sincérement qu'elle voudrait me revoir par la suite. Et moi ? Est-ce que j'en avais envie ? Trop tôt pour le dire. Mais j'aimais beaucoup sa compagnie. Elle ne parlait pas pour ne rien dire. Elle répondait simplement à mes questions. Cela me suffisait amplement. Elle prit les chaussures que je lui tendais et je l'observais les enfilées. Elles ne semblaient pas à la bonne taille mais c'était toujours mieux que mes propres chaussures. «Merci, fallait pas tu sais ..» déclarai-t-elle finalement en relevant la tête. J'esquissais un sourire en coin en haussant les épaules. « Pas de quoi. C'est ce que font les gens bien élevés il paraît. Les gens courtois et saints d'esprit. Je pense que je ne le suis pas. Je te paraît étrange non ? Bizarre ou mystérieux. Quelque chose dans le genre je suppose. C'est toujours le cas. » Elle allait vraiment me prendre pour un psychopathe maintenant. J'avais exactement le discour pour. En soupirant, je m'asseyais sur un gros tronc d'arbre et prit une dernière bouffée de ma cigarette maintenant consumée. Je lui demandais alors si elle faisait partie d'une meute. Son visage se ferma subitement et je sus instantanément que je venais de poser une mauvaise question. Bien joué Nathanaël, toujours autant de tact à ce que je vois pensais-je en m'arrachant limite les cheveux. «Non.» asséna-t-elle d'une voix cassante. Je relevais les yeux vers elle en fronçant les sourcils. Ce sujet semblait être plutôt difficile pour elle. Je plissais les lèvres et jeté mon mégot par terre. Avant que je ne reprenne la parole elle me répondit d'une voix plus douce : «Je suis une fille solitaire, les meutes ne sont très peu pour moi ..» J'analysais plusieurs minutes sa réponse. Elle semblait plutôt solitaire mais vivre dans une meute avait ses avantages, et ses inconvénients bien entendu. « Je fais partie d'une meute. Les Davidson, est-ce que tu connais ? Nous ne sommes pas connus. Du moins je ne pense pas. Sa pourrait te plaire, si tu essayais. Ce n'est qu'une question d'habitude. Je tiens à mon intimité et la foule me fait peur. On me laisse autant d'espace que possible. Une meute, c'est un peu comme une famille. On ressent leur présence même si on préfère ne pas les voirs. Cela me suffit. Tu devrais essayer si l'occasion se présente. C'est toujours mieux que de vivre en ermite. » Je lui fis un sourire. Bizarrement, j'avais envie de discuter avec elle. L'aura de mystère qui planait au dessus d'elle me donnait envie d'en savoir plus. Je n'étais pas curieux mais elle m'intriguait.


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MessageSujet: Re: What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy    What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy  EmptyJeu 14 Mar - 11:40



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« Pas de quoi. C'est ce que font les gens bien élevés il paraît. Les gens courtois et saints d'esprit. Je pense que je ne le suis pas. Je te paraît étrange non ? Bizarre ou mystérieux. Quelque chose dans le genre je suppose. C'est toujours le cas. » J'aimerai bien sa façon de parler, il commençai à me plaire. Je souris, dans ma tête j'avais envie de plus répondre que non il ne me paraissait pas étrange, mais tout au contraire plutôt intéressent, mais je suis trop timide pour dire une chose pareil. Alors je ne dis rien, je souris juste tout en riant légèrement. Nathanaël termina sa cigarette et s'appuya contre un arbre puis il me demanda si j'avais une meute, la réponse était bien évidement que non. J'avais qu'il me prenne pour une fille un peu dépressive qui passe toutes ses journées seule, non je ne suis pas dépressive j'aime just la compagnie de moi-même. Quand on est solitaire on peut plus facilement ce poser des question sur soit même et philosopher sur le monde. Et puis de toute manière si j'étais dans une meute il faudrait me supporté, je ne suis pas toujours de bonne humeur et plutôt lunatique et malheureusement très bornée. Voyant mon mal être, Nathanaël reprit : « Je fais partie d'une meute. Les Davidson, est-ce que tu connais ? Nous ne sommes pas connus. Du moins je ne pense pas. Sa pourrait te plaire, si tu essayais. Ce n'est qu'une question d'habitude. Je tiens à mon intimité et la foule me fait peur. On me laisse autant d'espace que possible. Une meute, c'est un peu comme une famille. On ressent leur présence même si on préfère ne pas les voirs. Cela me suffit. Tu devrais essayer si l'occasion se présente. C'est toujours mieux que de vivre en ermite. » Je me braqua. Moi ? une ermite ? Il est tout de même gonflé de me dire ça alors que ce connait à peine et qu'on parle depuis 5 minutes à tout cassé. Et puis je ne suis pas une ermite je sors, je vais mangé au Mystic Grill, je vais de temps à autre au cinéma et puis je vais voir des amis enfin une amie ... Caroline. Je reprit ensuite après avoir "reprit mon calme": « Non je ne connais pas les Davidson, je t'ai dis je viens d'arriver en ville et je ne savais même pas qu'il y avait des meutes ici. Et puis je sais déjà que ce n'est pas fait pour moi, de toute manière j'ai déjà une famille la mienne, mes parents sont eux aussi des loups-garous et vus ce qu'ils m'ont raconté des meutes je ne veux pas en faire partie. Je préfère être seule. Et puis je ne suis pas une ermite, je sors, je vois des gens ... » Je ne vous cache pas que j'étais un peu vexé. Voilà c'est encore une preuve comme quoi je suis une fille insociable ... Je pris mon sac et m'éloigna de quelques pas. Je pensai qu'il était différent et intéressent, mais finalement non il est comme les autres. Il peut m'entraîné dans une de ses meutes de la ville et il en est hors de question, j'aime ma liberté. Sa m'embêtai quand même de m'être froissé avec une personne que je ne connaissais pas. Je ne sais pas comment je fais, j'arrive toujours à m'engueulé avec quelqu'un que je ne connais pas, je suis incorrigible.

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MessageSujet: Re: What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy    What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy  EmptyJeu 14 Mar - 20:44

Je crois que l'humanité est née d'un conflit, c'est peut-être pour ça qu'en chacun de nous vit un être obscur. Certains le laisse s'épanouir, d'autres n'ont pas le choix, d'autre encore le combattent. Mais finalement, il est aussi naturel que l'air que nous respirons. Il arrive un jour où chacun de nous est forcé de regarder la vérité en face, la vérité... de ce que nous sommes
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Elle ne répondit pas à ma question, se contentant simplement de sourire et de rire légérement. Je ne pus m'empêcher de la suivre. J'avais l'habitude que les gens me jugent sur ce que je laissais paraître. Après tout, c'est plus difficile de gratter sous la surface la véritable nature des gens. C'est tellement plus simple de se faire une idée rien qu'en regardant quelqu'un. C'était le genre de comportement qui me mettait hors de moi. Je veux dire, nous l'avons tous fait un jour ou l'autre. Critiquer quelqu'un sur sa façon d'être, sans raisons particulières, juste parce qu'il sort un tant soit peu du moule. J'aurais peut-être dut arrêter d'y faire attention depuis le temps. J'avais beau ne rien laisser paraître en surface, à l'intérieur je bouillais littéralement. J'étais comme une cocotte minute prête à exploser au moindre effleurement. Généralement, la musique me permettait de reprendre le contrôle de moi même et j'oubliais instantanément ma colère. J'étais comme ça, la rancune ne faisait pas partie de mes talents. J'avais arrêté de faire attention aux personnes qui ne le méritait pas. J'avais arrêté de croire que la différence était une force que l'on pouvait utiliser à tout bout de champs. J'avais arrêté de croire que plaire aux autres était d'une importance capitale. Je vivais comme je l'entendais, en laissant les autres derrière moi. Façon plutôt passive, de prendre la vie du bon côté. Je ne voulais pas passer mon existence entière à me mettre en colère tout en sachant très bien que cela ne changerait rien. « Ton silence est suffisament explicite en fin de compte  » déclarais-je en souriant. Je n'avais pas besoin de plus. Je pense même que je n'attendais pas de réponse particulière. Je ne savais même pas pourquoi je lui avait parlé de ça. Elle devait s'en foutre comme de l'an 40. J'étais parfois stupide. Elle sembla prendre mal le fait que je la traite en quelque sorte d'ermite. Je ne m'étais pas rendu compte que c'était une insulte. Enfin pas vraiment. Je venais juste de lui dire qu'elle vivait recluse dans son petit cocon personnel, antisociale et totalement seule. Je levais les yeux au ciel face à la connerie que je venais de prononcer. Y a pas à dire pensais-je en me donnant mentalement une énorme gifle, t'es toujours aussi doué avec les gens Nathanäel. Triple idiot. Je n'avais pas pensé à mal. Je ne le pensais même pas. Elle … était comme une sorte de miroir dans lequel je voyais mon reflet. Je n'étais pas un ermite non plus. Je voyais du monde. On ne pouvait pas dire que j'en était un étant donné que je vivais avec une meute. Je les voyais tous les jours. Je travaillais même au Starbuck's de la ville. Mais j'étais la plupart du temps tout seul, je partais aussi souvent que possible en forêt faire de longues marches jusqu'à être au bord de l'épuisement. J'aimais beaucoup courir, dans la nuit noire, avec mes écouteurs vissaient dans les oreilles. Je me retrouvais totalement dans ces moments-là. Je pouvais être n'importe qui, le véritable Nathanaël, repenser à tout ce que j'avais fait dans le passé. C'était une sorte de retour au source. Je ne me sentais vivant que dans ces moments-là.  «Non je ne connais pas les Davidson, je t'ai dis je viens d'arriver en ville et je ne savais même pas qu'il y avait des meutes ici. Et puis je sais déjà que ce n'est pas fait pour moi, de toute manière j'ai déjà une famille la mienne, mes parents sont eux aussi des loups-garous et vus ce qu'ils m'ont raconté des meutes je ne veux pas en faire partie. Je préfère être seule. Et puis je ne suis pas une ermite, je sors, je vois des gens ...» Elle semblait vexé et je me sentis aussitôt mal. Fantasy ramassa son sac et s'éloigna de quelque pas. De mon côté, assis sur mon tronc d'arbre je réfléchissais à ce que j'étais censé faire maintenant. La laissé partir et prendre le risque de la croiser en ville tout en sachant très bien qu'elle ne m'adresserait plus jamais la parole. Ou m'excuser tout simplement. Je penchais pour la deuxième option. « Hey Fantasy, je suis désolé d'accord ?  » m'exclamais-je en me relevant brusquement et en me postant le plus vite possible devant elle. Nous étions plus proche que tout alleur, si proche que je sentais presque son souffle sur mon visage. Je me suis sentais stupide et je passais séchement ma main dans mes longs cheveux cuivrés. « Je ne voulais pas dire ça.. Ecoute, je ne suis pas doué pour ce genre de truc. Je ne parle jamais aux gens. Je m'en éloigne. Je fais ça depuis tellement longtemps que je suis incapable de me rappeler quand est-ce que j'ai commencé à détester l'être humain. Je fuis tout ce qui m'entoure. Je m'enferme dans mon petit cocon et j'exclue toute les personnes qui essaient de m'approcher. Tu peux trouver ça stupide. Je trouve ça stupide. Mais je ne peux pas m'en empêcher. Et en réalité, cela fait tellement longtemps que je n'ai pas fait d'humour que ma tentative du coup de l'ermite est totalement tombé à l'eau. Je sais ce que sa fait de vivre tout seul. Ce n'est pas mon cas mais j'aime à penser que si. Et je voulais simplement te faire part d'une de mes expériences. expliquais-je maladroitement en glissant mes mains dans mes poches de pantalon. « Je ne voulais pas te vexer, te faire du mal ou te faire repenser à une partie de ta vie que tu aurais préféré oublié. Si c'est le cas bien entendu. Je suis juste... Un … Un imbécile.. Un très gros imbécile.. Comme on en fait plus. »


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MessageSujet: Re: What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy    What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy  EmptyVen 15 Mar - 15:02



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« Hey Fantasy, je suis désolé d'accord ? » Nathanaël arriva devant moi pour plus que je n'avance. Il était proche de moi, à deux pas à peine. Je sentais son souffle sur mon visage. Je ne le regardais pas, j'avais les yeux rivé au sol. Mon coeur battait chamane et mes mains étaient crispés. J'étais tendu. Je respirai fortement, car j'étais un peu énervé. Il passa sa main dans mes cheveux, je ferma alors les yeux, ce n'était pas déplaisant mais plutôt rassurant. Je ne dis rien et le laissa parlé. « Je ne voulais pas dire ça.. Ecoute, je ne suis pas doué pour ce genre de truc. Je ne parle jamais aux gens. Je m'en éloigne. Je fais ça depuis tellement longtemps que je suis incapable de me rappeler quand est-ce que j'ai commencé à détester l'être humain. Je fuis tout ce qui m'entoure. Je m'enferme dans mon petit cocon et j'exclue toute les personnes qui essaient de m'approcher. Tu peux trouver ça stupide. Je trouve ça stupide. Mais je ne peux pas m'en empêcher. Et en réalité, cela fait tellement longtemps que je n'ai pas fait d'humour que ma tentative du coup de l'ermite est totalement tombé à l'eau. Je sais ce que sa fait de vivre tout seul. Ce n'est pas mon cas mais j'aime à penser que si. Et je voulais simplement te faire part d'une de mes expériences. Je ne voulais pas te vexer, te faire du mal ou te faire repenser à une partie de ta vie que tu aurais préféré oublié. Si c'est le cas bien entendu. Je suis juste... Un … Un imbécile.. Un très gros imbécile.. Comme on en fait plus. » Je releva les yeux tout en écoutant attentivement ce qu'il disait. Je me rendais alors compte que nous étions pareil, des personnes plutôt solitaire et peu sociable qui vivent dans leur monde. Je souris légèrement lorsqu'il dit qu'il avait essayé de faire une blague avec l'ermite et que c'était tombé à l'eau, je dirai même que c'était un naufrage. Il se traita lui même d'imbécile, non il ne l'était pas je pense qu'il est plus maladroit qu'autre chose surtout si il ne parle qu'a très peu de gens. Je pris enfin la parole « Ce n'ai pas grave, c'est aussi de ma faute j'aurai pas du m'emporté aussi vite .. Non tu n'es pas un imbécile, je dirai que tu es plutôt maladroit. » Je lui fis un jolie sourire pour m'excuser. Je ne voulais pas me froissé avec lui, je me rend compte qu'on est pareil et j'ai besoin d'une personne comme lui puisse me comprendre. « Et bien on peut dire que finalement on se comprend ..» Mes mots étaient maladroit, mais je ne parle jamais très longtemps c'est très peu pour moi les grandes tirades. Je ne pouvais pas vraiment lui en vouloir ce qu'il avait dit n'étais pas totalement faux et c'est bon d'avoir des critiques de fois. « Ecoute tu as raison, je suis trop solitaire, mais la vie en communauté c'est pas pour moi. Je me sens mal à l'aise lorsqu'il y a trop de monde et que je dois parlé et puis de toute manière je ne suis pas sociable .. » Waa je crois qu'on peut m'applaudir c'est la première fois que je parle aussi longtemps avec quelqu'un ! Je suis généralement plus silencieuse, je laisse parlé les gens et hausse la tête pour répondre et faire comme si j'avais tout écouter et des fois ce n'est pas le cas. Enfin bref malgré ce petit désaccord, je crois que je me suis fais un nouvel ami.

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MessageSujet: Re: What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy    What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy  EmptyVen 15 Mar - 20:50

Je crois que l'humanité est née d'un conflit, c'est peut-être pour ça qu'en chacun de nous vit un être obscur. Certains le laisse s'épanouir, d'autres n'ont pas le choix, d'autre encore le combattent. Mais finalement, il est aussi naturel que l'air que nous respirons. Il arrive un jour où chacun de nous est forcé de regarder la vérité en face, la vérité... de ce que nous sommes
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Je l'avais empêché de partir en me mettant devant elle. J'avais cru bêtement qu'elle allait tout simplement m'en foutre une pour avoir oser lui couper la route. Elle aurait dut relever la tête et m'assassiner du regard, me lancer d'une voix à couper au couteau un dégage bien placé. Et pourtant il ne se passa rien. Elle fixa ses pieds et n'osa même pas croiser mon regard. Alors je restais là, comme un imbécile à lui expliquer pourquoi j'étais incapable de faire preuve de compassion, ou de tenir une conversation normale et harmonieuse avec quelqu'un d'autre que moi même. Elle ne semblait pas soumise.... juste timide. Était-ce vraiment ce que les autres voyaient quand je ne souhaitais pas leur parler ? Je n'avais jamais eut l'idée stupide de me filmer. Peut-être que l'expérience m'apporterait beaucoup au finale. Finalement, au bout de ma longue tirade, la plus longue que je n'avais jamais dite de toute ma vie, Fantasy releva les yeux et les posa enfin sur mon visage. J'espérais ne pas l’impressionner ou.. quelque chose du genre. J'étais juste moi. Nathanaël, Nathou pour les intimes. Un gars d'1m80 certes mais que Nathou. «Ce n'ai pas grave, c'est aussi de ma faute j'aurai pas du m'emporté aussi vite .. Non tu n'es pas un imbécile, je dirai que tu es plutôt maladroit. » Je plissais les lèvres et la fixais pendant quelque minutes sans bouger. Figer comme une statue, je réfléchissais activement à ce qu'elle était entrain de dire. C'était limite pire que de la maladresse. J'étais incapable de parler sans bidouiller, baragouiner... et généralement j'avais la mauvaise manie de partir dans des discours philosophiques inimaginable et totalement inutile. Je trouvais toujours le moyen de tout bouziller et de ce fait, la plupart du temps, les gens ne m'avait apprécié que quelque minutes. Quelque minutes avant que je n'ouvre la bouche. Autant dire qu'il n'y avait pas foule dans mon répertoire de téléphone. Ma mère, mon père, les membres de ma meute et quelque personnes que j'avais finalement réussi à garder dans mon entourage. C'était tout. On pouvait les compter sur mes deux mains. Et pourtant je n'étais pas malheureux. J'étais une sorte d'électron libre. «- Hum... maladroit. Oui, sans aucuns doutes. Je n'ai pas toujours été ainsi mais les gens changent au fil du temps. Je n'ai pas échappé à la règle. » Oh oui, j'avais changé. Et pas qu'un peu. Lors de … l'accident, j'avais totalement perdu les pédales et le peu d'estime que j'avais pour moi même avait totalement été désintégré. Elle était toujours porté disparus d'ailleurs. Penser à tout ça me donna un sacré coup au moral et mon sourire ne fut qu'un bref souvenir. J'étais redevenu le gars morose, les yeux perdus dans le vague, la douleur brillant dans mes yeux émeraudes. J'étais comme en transe, perdu dans mes cauchemars.  «Et bien on peut dire que finalement on se comprend .. » La voix de Fantasy me sortit de mes rêveries et je clignais soudain des paupières, retrouvant son doux regard chocolat. Je lui fis un léger sourire en levant un sourcil. « Possible. J'espère quand même pour toi que ce n'est pas le cas. Sinon nous avons un sérieux problème tout les deux  » déclarais-je en riant. Un bourrasque de vent ébouriffa mes cheveux déjà super mal coiffé. En réalité, je ne les faisais jamais et de toute façon c'était quasiment impossible de dresser ma tignasse. Je me refusais complètement de les couper. Mes cheveux était en quelque sorte... le dernier souvenir de ma période d'adolescent que j'avais gardé saine et sauve. Selon mon ancienne et très vieille petite copine cela me donnait un air – bad boy qui vient de prendre son pied -. La définition était à revoir mais ma coupe me plaisait. «Ecoute tu as raison, je suis trop solitaire, mais la vie en communauté c'est pas pour moi. Je me sens mal à l'aise lorsqu'il y a trop de monde et que je dois parlé et puis de toute manière je ne suis pas sociable .. » m'explica-t-elle tandis que la bourrasque soulevait ses longues boucles brunes. Elle semblait s'étonner elle même en s’arrêtant soudainement de parler, comme si c'était la première fois qu'elle parlait aussi longtemps avec un étranger. « Laisse moi deviner, tu adores lire. Je suis sur que tu trimbales toujours ton livre préféré avec toi, tu es une croqueuse de romans et tu peux passer des heures perdue dans tes histoires sans t'ennuyer une seule seconde. Ce n'est pas que tu prévisibles, c'est juste que je t'imagine bien comme ça. La solitude ne veut pas forcément dire que tu es reclus de la société, que personne ne t'aime. C'est juste un état d'esprit, une autre façon de faire. Ça me plaît. »

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MessageSujet: Re: What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy    What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy  EmptyDim 17 Mar - 16:01



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«- Hum... maladroit. Oui, sans aucuns doutes. Je n'ai pas toujours été ainsi mais les gens changent au fil du temps. Je n'ai pas échappé à la règle. » Oui les gens changent, je suis plutôt bien placé pour le savoir bien que se n'a pas été mon cas. J'avais vus tant de personne changé dans mon entourage que sa soit en bien ou en mal. Je faisais partie de ses gens qui eux n'avait pas changé et regardé passivement les autres se métamorphoser. Au fond je suis resté cette petite fille timide qui n'ose pas voir les gens et qui passe trop de temps avec des livres. Je n'ai jamais vraiment fait de folie, je ne vais pas souvent en soirée enfin très rarement plutôt. Quelques fois j'aimerai changé, mais avec le temps je commence à aimer ma solitude. J'avais finalement peut être trouver une personne qui pourrait me comprendre. J'avais fais part de ça à Nathanaël qui me répondit : « Possible. J'espère quand même pour toi que ce n'est pas le cas. Sinon nous avons un sérieux problème tout les deux » J'avais du mal à comprendre cette phrase. Je ne répondis rien et réfléchissais au sens de cette phrase, je ne savais pas comment le prendre en bien ou en mal ? Je laissa passé, mais mon esprit était toujours sur cette phrase, comme bloqué. Une bourrasque de vent fit valser mes cheveux dans tout les sens, je rattrapa quelque mèche tout en regardant Nathanaël qui reprit : « Laisse moi deviner, tu adores lire. Je suis sur que tu trimbales toujours ton livre préféré avec toi, tu es une croqueuse de romans et tu peux passer des heures perdue dans tes histoires sans t'ennuyer une seule seconde. Ce n'est pas que tu prévisibles, c'est juste que je t'imagine bien comme ça. La solitude ne veut pas forcément dire que tu es reclus de la société, que personne ne t'aime. C'est juste un état d'esprit, une autre façon de faire. Ça me plaît. » Je souris et pris mon sac. Je farfouilla un moment et en sorti un livre, car oui j'ai toujours un livre avec moi. Je montra celui-ci à Nathanaël et dis : « Effectivement c'est tout a fait ça. » Je souris légèrement. Il était plutôt bien tombé puisque que c'est tout a fait moi. Je décida de finalement me jeter à l'eau : « Alors comme ça je te plait ? » Je ris légèrement tout en baissant la tête, je n'osais pas le regarder pendant qu'il me donnait une réponse, timide comme toujours. Je rangea le livre dans mon sac, au milieu de toute ses chaînes. Le vent souffla a nouveau et maintenant je ne vois plus rien, déjà que j'avais une tête affreuse je n'imagine même pas désormais ! Je remis mes cheveux en place et regarda timidement Nathanaël. « Toi aussi tu aime lire, non ? Je te vois bien aussi comme ça, tu aime te cultiver et tu aime aussi beaucoup la musique, c'est une passion. Je parie que tu joue d'un instrument, du piano ? de la guitare ? » Je regarda attentivement son visage, chaque traits qui étaient d'ailleurs plutôt marqué et je finis avec ses yeux d’émeraude sublime, j'en suis même jalouse ! Je le trouve plutôt mignon avec sa coupe décoiffé, toujours en bataille, c'est un genre particulier mais agréable à regarder et puis il ne passe pas des heures dans la salle de bain rien que pour ses cheveux. Je continuais à lui sourire bêtement et timidement.

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MessageSujet: Re: What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy    What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy  EmptyLun 25 Mar - 18:22

Je crois que l'humanité est née d'un conflit, c'est peut-être pour ça qu'en chacun de nous vit un être obscur. Certains le laisse s'épanouir, d'autres n'ont pas le choix, d'autre encore le combattent. Mais finalement, il est aussi naturel que l'air que nous respirons. Il arrive un jour où chacun de nous est forcé de regarder la vérité en face, la vérité... de ce que nous sommes
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Après avoir fait ma petite analyse de sa personne, je me mis à réfléchir si j'avais raison ou tord. En réalité je n'avais pas vraiment réfléchit. Tout était venu naturellement comme si je la connaissais depuis des années alors que cela ne faisait qu'une heure, peut-être même moins. Les mots s'étaient enchaînés et j'avais était incapable de faire taire ce flot de parole non prémédités. Et finalement je me mis à penser que j'avais sûrement raison. Tout dans sa silhouette soulignait mes mots. Sa façon d'être aussi. Il fallait être aveugle pour ne pas le remarquer. Même si ses yeux étaient très expressifs, elle me semblait plutôt.. secrète et mystérieuse. Autant ou sinon plus que moi. Ce n'était pas un mal. Trop en dire n'était jamais bon non plus. Les ragots allaient bon train dans cette ville.. du moins, de ce qu'on m'en avait dit. Je n'était pas du genre à écouter les commérages ni à croire quelqu'un sur parole. N'étant pas un très bon menteur moi même, je savais reconnaître facilement les signes. Bégaiement, les yeux allant à droite et à gauche, le regard fuyant, le mordillement des lèvres ou encore les hésitations. Je le savais pour l'avoir déjà fait autrefois, aujourd'hui j'avais arrêté d'essayer. Je me contentais simplement de me taire. C'était mieux pour tout le monde et pour moi aussi. «Effectivement c'est tout a fait ça.» s'exclama-t-elle en farfouillant dans son sac avant d'en sortir son bouquin abîmé. Cela me fit sourire. Combien de fois l'avait-elle lu pour qu'il soit dans un état aussi déplorable ? Une bonne centaines au moins. J'en était certain. Je plissais les yeux afin de lire le titre et sans étonnement je découvris que je l'avais déjà lu. Une fois ou deux tout au plus. J'étais amoureux de la littérature. Je ne pouvais pas passer une seule journée sans me plonger dans une bouquin durant plusieurs heures. Autant dire que les bouquins s'entassaient dans ma chambre et dans ma bibliothèque pleine à craquer. Je n'avais pas de genre particulier, j'aimais tout les genres. Sauf les histoires d'amour dégoulinante de romance en tout genre. Je n'étais pas macho ou homme des cavernes, c'est juste que j'avais certaines limites. Pas comme si j'avais put expérimenter mes talents de Don Juan depuis l'accident. «Alors comme ça je te plait ? » demanda-t-elle en baissant timidement la tête. Elle contempla ses pieds un moment, attendant apparemment ma réponse. Je la fixais un moment sans rien dire, parce qu'en réalité je n'en avais aucune idée. Elle me plaisait oui mais je ne savais pas dire si c'était simplement une curiosité malsaine ou tout simplement parce qu'elle était réellement intéressante. Les deux sûrement. Elle était très belle, c'était indéniable. Elle avait beaucoup de charme, tant dans sa manière d'être que dans sa façon de parler. Elle était calme et attentive. Elle ne s'exprimait pas à tord et à travers. Sa timidité était peut-être maladive mais elle était attendrissante. Bien sur, je serais incapable de lui faire part de tout ça à voix haute mais si j'étais resté dans ses bois avec elle pour papoter, c'est qu'elle avait quelque chose de particulier. « Et toi, tu aimerais me plaire ?  » demandais-je simplement d'une voix douce en inclinant légèrement la tête. La question était sortie toute seule. Mes joues se colorèrent légèrement. Ma virilité en prenait un sacré coup. «Toi aussi tu aime lire, non ? Je te vois bien aussi comme ça, tu aime te cultiver et tu aime aussi beaucoup la musique, c'est une passion. Je parie que tu joue d'un instrument, du piano ? de la guitare ?» Un petit sourire se dessina sur mes lèvres alors que je ramassais un petit bout de bois sur le sol. Je sortis mon couteau de ma poche et inconsciemment je braquais mes yeux sur mon travail. Je me mis à travailler le morceau, dessinant et sculptant sans réellement d'idée en tête. « Bien joué Sherlock. En plein dedans. Je lis beaucoup. En réalité je lis tout le temps. J'aime apprendre, mais j'aime apprendre ce qui m'intéresse. Par exemple, j'ai toujours était mauvais en maths mais j'ai toujours était bon en philosophie. J'adore la musique, je passe mon temps en musique. Je joue de la guitare depuis.. Humpf.. Je ne sais même plus combien d'années. Je suppose que j'ai commencé à en jouer quand mes doigts on était capable de la tenir correctement. J'ai fais du piano étant plus jeune. Avec ma mère. Je ne suis pas un virtuose mais je me débrouille. Suis-je si transparent que ça ? » demandais-je en relevant les yeux vers elle.



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MessageSujet: Re: What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy    What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy  EmptyMar 26 Mar - 8:46



every teardrop is a waterfall.



« Et toi, tu aimerais me plaire ? » Ce n'est pas exactement la réponse que j'espérais, mais ça me convenais aussi. De toute manière je n'allais pas chipoté ce n'est pas mon genre de toute façon. Je souris et ne répondis rien, car je commençai malheureusement à devenir rouge. C'est vraiment gênant parce que sa m'arrive assez souvent enfin quand je suis gênée ou prise d'une émotion forte, comme par exemple quand je suis vexé ou bien énervé. Vous l'avez compris j'ai du mal à cacher mes émotions à cause de ça. Je regarda Nathanaël et remarqua que mes joues rougissaient, je ris légèrement, je trouvais ça mignon. Nathanaël reprit ensuite : « Bien joué Sherlock. En plein dedans. Je lis beaucoup. En réalité je lis tout le temps. J'aime apprendre, mais j'aime apprendre ce qui m'intéresse. Par exemple, j'ai toujours était mauvais en maths mais j'ai toujours était bon en philosophie. J'adore la musique, je passe mon temps en musique. Je joue de la guitare depuis.. Humpf.. Je ne sais même plus combien d'années. Je suppose que j'ai commencé à en jouer quand mes doigts on était capable de la tenir correctement. J'ai fais du piano étant plus jeune. Avec ma mère. Je ne suis pas un virtuose mais je me débrouille. Suis-je si transparent que ça ? » J'étais fière de moi d'avoir réussit à le décrypté. Je le voyais bien comme ça, je sais pas pourquoi d'ailleurs. Je souris en l'écoutant et répondit timidement ensuite : « Non, disons que je te vois plutôt bien comme ça. » Nathanël était vraiment comme moi et sa me faisait plaisir, j'allais enfin pouvoir parlé de littérature avec quelqu'un ! Oui parce qu'on ne pas parlé de Balzac ou de Zola avec tous le monde, certes il y en a qu'on lit en cours mais les passionnés, les vrai ce font rare. Je repris ensuite rapidement : « Alors dis moi, quel est ton auteur préféré ? » Je lui fis un grand sourire. J'étais toute contente comme une gamine qui avait trouvé le plus beau des trésors. J'avais envie de sautiller partout, mais ça c'est plutôt bizarre donc oublier. Je l'invita à marcher avec moi, nous allions tout de même pas rester planté là toute la journée en plein milieux de nul part. Je repensa au fait qu'il jouait du piano, il me dit qu''il en jouait avec sa mère, cela me faisais penser à la complicité que j'avais avec mon père lorsque j'étais une enfant. Je jouais aussi du piano, mais quelques années disons que je n'ai que les bases. Avec mon père nous étions plus travaux manuels et activités extérieur. Tous ces souvenirs me rendais nostalgique. J'ai perdu cette complicité à l'adolescence puisque je me suis renfermé sur moi même et je commença à ne plus trop parler avec mes parents. Je ne suis pas en conflit avec eux, c'est juste que je n'avais rien à leur raconté. Je souriais, le regard dans le vide en repensent à tous ça.

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MessageSujet: Re: What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy    What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy  EmptyMar 9 Avr - 18:34

Je crois que l'humanité est née d'un conflit, c'est peut-être pour ça qu'en chacun de nous vit un être obscur. Certains le laisse s'épanouir, d'autres n'ont pas le choix, d'autre encore le combattent. Mais finalement, il est aussi naturel que l'air que nous respirons. Il arrive un jour où chacun de nous est forcé de regarder la vérité en face, la vérité... de ce que nous sommes
at the full moon
Fantasy ne répondit pas à ma question et se contenta d'un léger sourire tout en rougissant. De mon côté je n'en menais pas large et finalement je baissais la tête vers mes pieds en passant ma main dans mes cheveux. Un tic que j'avais hérité de mon père. Pour dire, je le faisais déjà surement dans mon berceau. Je m'étais retrouvé décontenancé par sa question et résultat, nous l'étions tous les deux maintenant. Bien joué Nath', bien joué. Je poussais un soupir inaudible en posant mon regard sur elle. Finalement, je me sentis presque obligé d'arranger les choses. «Enfin je veux dire.. Je t'aime beaucoup.. Et... Euh... On se connaît depuis 1h00 et .... Je suis un con » déclarais-je en enfouissant mes mains dans mon jean taille basse. Un rire s'échappa de ma gorge alors que je réfléchissais à la manière dont je venais à peine de me ridiculiser. On aurait un gamin de 5 ans. Je ne savais même pas ce que j'avais foutu du charme qui opérait sur les demoiselles dès que j'ouvrais la bouche quand j'étais adolescent. J'étais aujourd'hui un véritable manche et si mon grand-père me voyait il se fouterait surement de ma gueule. Merci papy. Contre toute attente, Fantasy venait de me décrire trait pour trait comme si elle était capable de lire dans mes pensées. Soit elle était terriblement doué, soit j'étais un livre grand ouvert. Surement un peu des deux. Je lui fit un léger sourire alors qu'elle semblait très heureuse d'être tombé dans le mille. « Non, disons que je te vois plutôt bien comme ça. » et curieusement en analysant son visage, elle semblait au septième ciel comme si c'était la première fois qu'elle rencontrait quelqu'un qui lui ressemble. C'était peut-être le cas remarque. Personne dans la meute n'aimait lire autant que moi, personne n'était discret et renfermé. Enfin bref, j'était un peu l'ermite de la famille et je l'entendais presque tous les jours. Mon portable vibra dans ma poche et je le sortis rapidement. Un message d'Anthony. Je fronçais aussitôt les sourcils, sur mes gardes. Il ne m'envoyait jamais de message d'habitude, sauf pour m'engueuler. " Qu'est-ce que tu fou Nath ?! On poireaute depuis 20 minutes ! " Qu'est-ce que je disais. Je levais au ciel en répondant rapidement. " Ca ne te regarde pas. Fou moi la paix ". Anthony et moi ce n'était vraiment pas le grand amour. Il passait son temps à m'envoyer des pics destinés à m'énerver et de mon côté je passais mon temps à l'ignorer. Je reportais mon attention sur Fantasy quand elle me demanda mon auteur préféré. Je restais sans rien dire quelque minutes en rangeant mon portable tout en entamant notre marche. Mon auteur préféré ? Je n'en avait absolument aucune idée. «Hum.. Je n'en est pas. J'aime tellement de livres que je serais incapable de te citer un nom qui compte vraiment pour moi. Je lis du Stephen King en ce moment. Salem. Les vampires de son livre ne sont pas si différent des notres au finale. » déclarais-je en lui souriant. La forêt était plutôt calme aujourd'hui. Peut-être trop calme. Comme toujours, j'étais sur mes gardes, prêt à intervenir en cas de problème. «Et toi ? Quel est le tiens ? »


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MessageSujet: Re: What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy    What Doesn't Kill You Make You Stronger ∆ Natanaël & Fantasy  EmptyMer 10 Avr - 19:51



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«Hum.. Je n'en est pas. J'aime tellement de livres que je serais incapable de te citer un nom qui compte vraiment pour moi. Je lis du Stephen King en ce moment. Salem. Les vampires de son livre ne sont pas si différent des notres au finale. » Je lui fis un grand sourire, j'ai ENFIN trouvé une personne avec qui je pourrais parler de littérature pendant des heures. J'avais envie de lui dire que ça faisait tellement longtemps que j'attendais de rencontré une personne comme lui, mais je suis bien trop timide pour exploser comme ça, faire la folle et sauter partout. Je ne pouvais pas m'arrêter de sourire. Nathanaël reprit ensuite : «Et toi ? Quel est le tiens ? » C'est une question assez dure, je lis que des livres dont je sais que je vais adorer. Oui, c'est une phrase un peu compliqué. Je veux dire que lorsque j'achète un livre c'est parce que je sais que je vais l'aimer. Je réfléchis un peu avant de répondre. « C'est une question très dure, je dirai Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur de Harper Lee sinon j'aime énormément Dracula de Bram Stoker. » Je souris plus timidement. Le vent soufflait à travers les arbres et fit voltigé ma chevelure dans tous les sens. Je voyais que Nathanaël avait un regard inquiet, il avait peut être entendus quelque chose. Je jeta un regarde au alentour, mais il n'y avait rien a signalé.
Je n'étais pas très "réceptive" de mon instinct de loup, de toute manière je sais même pas comment ça marche .. Je vis ça plus comme une malédiction qu'autre chose, elle ne m'apporte rien de plus a par de la solitude et de la douleur. Je ne vous cache pas que d'un autre côté j'étais un peu perdu, je n'ai rien à quoi me raccrocher ou avec qui me confier. Enfin si il y a Caroline, mais ce n'est pas vraiment la même chose. J'hésita un moment avant de lui demander : « Excuse moi de te demander ça, mais ça fait longtemps que tu es ... un loup ? » J'avais encore du mal à dire ce mot, c'est stupide puisque c'est ce que je suis. Je regarda Nathanaël qui sorta à nouveau son portable, il me regardait avec un regard noir, énervé, je me demandais bien qui c'était pour qu'il soit ainsi. Vous trouverez peut être ça étrange mais je ne vois pas du tout Nathanaël s'énervé ou être violent, il du genre plus calme .. Je dis ça mais je viens juste de faire ça connaissance donc après je peux me tromper mais en tout cas c'est l'impression qu'il me donne.
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