Sujet: Florida, 2010, with Sayanel Z. Pritchard Dim 31 Mar - 19:24
Florida, 2010
I drive alone in the night
Retour en Floride après avoir fait les boutiques à Paris, le vol avait était long et je ne supportais pas, j'étais impatiente. J'avais pris une chambre dans hôtel, sa changeais des motel miteux, mais en France j'avais trouvé le jackpot... Pas dans un casino, ni dans une banque non, chez un homme. J'avais rangé quelques une de mes affaires dans l'armoire et j'avais d'abord pris un on bain chaud, sa faisais tellement de bien. Mais comme je suis du genre active et qui est constamment en mouvement. C'était décidé : ce soir je sortais en boîte. Je regardais l'armoire en regardant ce que je pouvais bien revêtir. J'avais finalement choisi une tenue assez provocante : une jupe plutôt courte avec de haute chaussette fine et une paire de ballerine noire, sans oublier un chemisier blanc très transparente avec une cravate rouge. J'aurais pu sortir d'une université d'Angleterre. Je n'avais pas ramené que des habits, des chaussures et des bijoux de France, j'avais aussi découvert des grimoires, sa avait était difficile de trouver de vrais sorcières, et non pas des escrocs. Mais j'y étais arrivée, j'en avais acheter un, le reste je l'avais taxer, on vas dire. Et j'étais assez contente de ces ouvrages là, j'avais mis du temps à traduire des sorts et en lisant certains rites, je me suis demandé si les livres que j'avais entre mes mains n'étaient pas des gags, après les avoir utiliser, je me suis rendu compte que les arts qu'ils recelaient étaient bien réelles.
J'avais trouvé une super boîte, en bord de mer d'autant plus qu'il faisait chaud ! C'était super. Il y avait pas mal de monde, j'ai voulu rentrer par l'accès VIP, mais même la sorcière que j'étais ne pouvait contraindre l'esprit d'un humain. Peut être qu'un jour j'y arriverai. Deux voir trois bonne heures et les nerfs à vif plus tard, j'ai enfin franchis le seuil de la boîte, la musique était super bonne et il y avait une ambiance de folie ! Je me suis directement avancé vers le bar pour commander un verre, puis je me relevais pour danser avec les inconnus, je retournais au bar et je continuais comme ça, jusqu'à ce que ma tête tourne, jusqu'à ce que je garde un pied dans la réalité et l'autre dans les vapeurs. Sa faisait longtemps que je n'avais ressenti ça, ce que sa fait d'être à moitié défoncé. Je suis monté au 1° étage de la boîte, là où des sofa et des canapé en cuir étaient installés, la musique avait plus l'air d'un gros bourdonnement ici. Je me suis affalé sur un fauteuil avec une limonade. Je suis rester comme ça, d'abord étendu, puis pencher vers l'avant en retenant ma tête pour essayer de calmer la douleur. Quelques instants après, peut être même une bonne demi-heure après, j'ai vu quelqu'un s'installer prés de moi ; je n'ai pas eu le temps de commencer à lui parler, il avait déjà ouvert la bouche.
∞everleigh
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Sujet: Re: Florida, 2010, with Sayanel Z. Pritchard Dim 31 Mar - 21:57
Into the club
« Hé mec c'est mon ANNIVERSAAAAAIRE ! »
Un grognement. Un mouvement de couette, vers le haut. Non, il ne se réveillerait pas maintenant. Il ne valait mieux pas pour celui qui venait de lui crier dans les oreilles, d'ailleurs. Ce dernier allait souffrir. Réellement. Il allait même mourir dans d'atroces souffrances, que ce soit le jour de son anniversaire ou pas. Attendez … Anniversaire ? Comment diable Jackson avait-il fait pour entrer dans sa maison alors qu'il n'était même pas encore levé ?! Un regard vers la porte lui donna la réponse : son père adossé à la porte, souriait de toutes ses dents, hilare, alors que son ami sautillait pratiquement sur place de bonheur. C'était certain, ce n'était pas tous les jours qu'un adolescent avait dix-huit ans. Se levant péniblement, il se frotta le visage, se dirigeant vers la salle de bains pour se donner un semblant de toilette.
« T'es au courant que la majorité à dix-huit ans, c'est pas chez nous ou pas ? »
Une tape dans l'épaule lui répondit. Il ne savait pas réellement ce que son ami avait prévu, mais il était du genre à réellement penser que cela n'allait pas lui plaire. Pas du tout. Ou peut-être trop, allez savoir. Surexcité, Jackson faillit le suivre dans le petit espace qu'était sa salle de bains, mais Say' eut le temps de prévoir le coup, et de lui claquer la porte au nez.
« Même pas en rêve ! »
–
Quelques heures plus tard, les deux jeunes hommes étant en route pour la Floride. Comment Sayanel s'était-il laissé convaincre ? Facilement, en réalité, après avoir entre-aperçu les fausses cartes d'identité que son ami brandissait comme des trophées. Et lorsqu'il avait cité l'obligation de fêter cela « dignement », il sut qu'il était déjà d'accord. Promettant à son père de ne pas conduire étant soûl ni même de laisser Jackson le faire, il avait pris congé de sa famille avec un sac de rechange et s'était laissé conduire.
Ils arrivèrent au milieu de la nuit, et se garèrent directement devant l'entrée de la boîte où Jackson avait décidé de l'emmener. Étonnamment, ils purent rentrer assez facilement, leurs fausses cartes passant comme si de rien n'était sous le nez du videur. Sayanel s'enivrait de la musique qui était assez forte pour ne serait-ce que l'empêcher de penser. Il dansait avec toutes les filles qui le voulaient et ne s'en rendait même pas compte. C'était une bonne soirée, le genre de soirées qui rendait le sourire rien qu'en y pensant. Jackson s'éclatait, buvait à n'en plus pouvoir, tout comme Say'. A partir du moment où ils sentirent que l'alcool montait à la tête, ils décidèrent d'aller à l'étage, là où ils pourraient décuver tranquillement. Il n'y avait presque personne, seulement une poignée de jeunes, comme eux, ayant trop bu, ou pas assez, pour profiter pleinement de ce qui se déroulait, en bas.
Et c'est là que les deux garçons la virent. Cette fille, à moitié affalée sur un fauteuil, quelques mètres plus loin. Jackson tapa dans l'épaule de Say', lui intimant d'un regard presque plaintif d'aller la voir pour lui, avant de presque tomber sur le canapé. Secouant la tête, Sayanel s'approcha tout de même de la jeune femme, qui ne semblait pas vraiment en très bon état non plus.
« Salut ! Tu vas bien ? T'as pas l'air au top. »
Bien qu'il ne la connaisse pas, il eut un air soucieux. Sayanel était du genre à se préoccuper de la santé de la terre entière, pourvu qu'il la croise. S'étant assuré qu'elle allait bien, il enchaîna.
« Bon... Ca va peut-être paraître stupide ce que je vais dire, mais je connais quelqu'un qui voudrait bien te rencontrer. »
Un regard vers Jackson, et il regretta tout de suite ces mots. Son ami était maintenant endormi sur le canapé. Il n'aurait manqué que la bave aux lèvres pour parfaire le tableau.
Sujet: Re: Florida, 2010, with Sayanel Z. Pritchard Dim 31 Mar - 23:02
Florida, 2010
I drive alone in the night
« Salut ! Tu vas bien ? T'as pas l'air au top. » Aller, encore un peau de colle en plus.J'ai mis quelques secondes avant de capter le sens de ses paroles, mais une fois de plus je n'ai pas eu le temps de répondre. Qu'il était bavard seigneur dieu... « Bon... Ca va peut-être paraître stupide ce que je vais dire, mais je connais quelqu'un qui voudrait bien te rencontrer. » Génial, encore un de ces jeunots qui veulent essayer de ce taper une femme, sérieusement est ce que j'avais l'air d'une cougarde ? Bon mis à part le fait que je faisais plus du triple de mon âge, je préférais les hommes au paquet bien remplit, d'argent hein. Il jeta son menton vers le sofa en face de nous. « Enfin, il voulait en tout cas. » En retournant doucement le tête, j'ai prier de toute mes forces pour qu'il ne s'agisse pas de lui. Pourtant c'était bien lui, étendu sur un sofa complètement déglingué. J'ai haussé les sourcils, avec une expression de dire « on ne mélange pas les colombes aux crapauds », apparemment il avait capter mes idées car je l'ai entendu rigoler. Je me suis re concentré sur lui, il étais pas trop dégueulasse mais c'était pas mon genre. « Et bien ton pote manque pas grand chose : j'aurais dit non » Je m'étais exprimer de manière cash et bref, pus j'ai repris ma limonade, quand j'en ai repris une gorgée j'ai fait une grimace, peut être qu'il me fallait un énième verre d'alcool. C'était à mourir de chaud ici, j'ai retiré ma cravate qui me serrait trop le coup et j'ai déboutonner les trois premiers boutons de ma chemise, il n'y avait pas assez de lumière pour qu'on distingue quoi que ce soit, si ce n'est les néons qui permettait d'entre voir les gens, puis même si on avait distinguer mes gestes, sa n'allait pas non plus choquer quelqu'un, que je sache il n'y avait pas de morveux de 10 ans dans les parages, la foule au rez de chaussé les aurait déjà choqué avant. J'ai reporter mon attention sur le type qui m'avait accoster, il semblait pas trop sobre lui non plus. Je me fichais de qui il était, de ce qu'il faisait là où ce qu'il voulait, mais étant claquer pour danser, autant faire passer le temps d'une manière où d'une autre. « D'où tu viens ? » lui ai je lancer. Je n'ai pas très bien entendu sa réponse, la musique bourdonnait en bas. Je ne savais pas si il m'avait retourné la question, je lui ai quand même dit d'où je venais. « D'un peut partout. » C'était vrai, depuis des années, je maraudais entre les USA et l'Europe, parfois je m’installais quelques mois chez un homme, parfois chez des amis de période (je ne m'attachais jamais aux personnes), et parfois dans des motel. Ma vie n'avait aucunes racines, j'avais une vie débridée qui se résumait en quelques mots : voyage, alcool, sexe, argent, fun et liberté. Oh, comment oublier mensonges, vol, manipulation, gueule de bois, hypocrisie et égoïsme ? Même si ma vie était pas un exemple, je le vivais bien, et briser des cœurs sincère ne me dérangeait pas plus que ça, j'arrivais à dormir le soir ! J'attendais le moment où une voyante à une fête foraine m'avait prédit « le jour où je me poserais pour mener une vie, pour tourner la page de ma vie débridée, pour accomplir ma destinée en compagnie de sorcières différentes ». Sa me faisait bien rire en y pensant. Je regardais l'inconnu, en me faisant particulièrement chier. Je me suis levé en lui tendant la main. « On danse ? »
∞everleigh
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Sujet: Re: Florida, 2010, with Sayanel Z. Pritchard Lun 1 Avr - 15:41
Into the club
Sayanel attendait la réponse de la brune, se demandant vaguement, en tournant le regard vers Jackson, si son ami ne finirait pas, un de ces jours, mort quelque part, de stupidité. Il en était bien capable. Pour une fois qu'il lui rendait service, il avait trouvé judicieux de s'endormir sur le sofa. Même en y réfléchissant, il ne comprenait pas comment il pourrait faire pour amener la jeune femme à accepter ne serait-ce qu'un verre avec lui. Et il n'allait sûrement pas essayer, en réalité. Et vu la réaction de la brune, il eut bien fait de se faire cette réflexion. Elle semblait le genre de femme à juger n'importe qui comme ne valant pas la peine d'être connu. Mais elle l'intriguait un minimum pour qu'il décidât de rester. Il ne connaissait pas son nom, mais n'y trouvait pas réellement d'importance, en réalité. Rien n'en avait dans ce genre de soirées, où les seules véritables valeurs étaient la danse, l'alcool & le sexe, à profusion. Mais cela ne lui faisait rien, il avait l'habitude de voir ce genre de situations : les soirées étudiantes se ressemblaient un peu toutes, à ce niveau. Bien que tout semblait différent, lorsque l'on était pas entourés seulement d'inconnus.
« Je lui dirais que t'avais pas le temps de rester. Il se réveillera seulement dans quelques heures de toute manière. »
Le Pritchard était du genre à réfléchir à voix haute. Toujours souriant, il refusait de reconnaître qu'elle tentait de se débarrasser de lui, autant que de son ami, qui semblait mourir dans un coin de la salle. Pourtant, elle sembla se ragaillardir, et accepter de parler avec lui, ne serait-ce que pour lui poser une question qui pouvait paraître aussi peu originale que l'endroit d'où il venait. Il savait que cela n'avait pas d'importance, que de toute manière elle l'oublierait sans doute dès l'instant où il le lui dirait, mais cela avait bien peu d'importance. Il fallait bien commencer quelque part, n'est-ce pas ?
« De Mystic Falls, je ne pense pas que tu connaisses, c'est assez … Perdu. »
Ou peu commun, il ne savait pas quel adjectif correspondait le mieux à sa ville. Pourtant, du monde, il y en avait. Mais les nouveaux venus en ville, s'ils étaient quelques uns, n'étaient pas légion. Pas encore. Avant qu'il ait pu lui retourner la question, elle lui répondait déjà, prenant de l'avance sur la conversation. Sayanel sourit, curieux d'en savoir plus sur cette femme qui semblait bien plus différente des autres qu'il ne l'aurait cru en premier lieu. Lorsqu'elle se leva pour danser, il se leva aussi. Elle semblait être le genre de femmes qu'aucun homme ne pourrait jamais satisfaire. Trop compliquée pour lui, sans doute, lui qui aimait les choses simples, qui allaient de soi. Hésitant quelques secondes, il lui attrapa la main pour l'emmener au milieu de la pièce, là où il n'y avait plus le moindre coussin. La musique leur parvenait distinctement, bien qu'un peu étouffée par la distance.
Sujet: Re: Florida, 2010, with Sayanel Z. Pritchard Lun 1 Avr - 19:44
Florida, 2010
I drive alone in the night
Il m'a prit la main et m'a emmener vers le centre de la pièce, certains dansaient aussi mais ils était certes beaucoup moins nombreux qu'en bas. J'ai jeté un dernier regard à son ami, pathétique. La musique était affreuse, vraiment, je savais même pas comment on pouvait qualifier sa de musique, moi j'appelais sa du bruit. Au moins sa avait le mérite d'être rythmé pour pouvoir danser. « Tu viens souvent ici ? » Je lui ai sourit, non je n'aimais pas ce genre de boîte là en fait. Je préférais nettement les cabaret français aux murs tapissés de velours rouges, des cabaret difficile à trouver qui vous transporte dans un univers à part où seuls quelques habitués ou vacanciers passent, pas ces endroit dégénérés bombés de monde. « Non, en fait c'est la première que je viens ici. » Il s'attendait sûrement à ce que je lui retourne la question, je le comprenais. Mais j'étais pas du genre à faire la discussion avec tous le monde, je ne m'attachais pas aux gens sauf quand j'y avais de l'intérêt, les rares « amis » que je m'étais fait c'était pour avoir un endroit où dormir quand je voulais garder mon argent. Et les hommes c'était pour l'argent, qu'est ce vous voulez que je vous dise ? C'est parfois le moment de céder à la bonté des inconnus aux cœurs brisés ! Je me suis finalement forcé à lui parler, qui sait il pouvait être intéressent. « Et toi ? Je sais pas pourquoi t'a pas une tête de fêtard » c'était fois ci j'avais afficher un léger sourire de coin. Quand il avait dit où il vivait, j'avais juste entendu le mot « perdu », j'ai grimacé en me rappelant de ça, je voyais clairement le genre de ville où il vivait : la ville où tous le monde est au courant de tous, où tous les secrets et les plus folle rumeurs débutent à la messe le dimanche matin, une ville qui se résume aux longues et identiques journées où il ne se passe jamais rien, une ville où un nouvel habitant est égal au mariage de deux stars internationale. Du moins c'est à sa que se résumait la ville das laquelle j'étais tombé il y a quelque années, les vieilles du quartier avaient lancer une rumeur selon quoi j'étais une catin. Si cette vieille folle de madame Lancaster savait ce que j'avais fait avec ces jumeaux, elle aurait sans doute arrêter de me casser du sucre sur le dos ! Oh et cette horrible harpie de Suzan, elle qui était si chaste et pieu, si elle aurait appris que ses filles se baignaient nues dans le lac avec d'autres garçons elle serait sans doute rentrer dans un asile. Quand j'y repense, je regrette de ne pas avoir semer la discorde dans ce village. « Tu doit pas venir d'à côté non, y a pas tellement de villes perdu aux alentours, en quelle honneur t'est en Floride ? » On continuait à danser et quand le bruit s'est arrêter, j'ai reconnu les notes d'une musique que j'adore, tous comme sa chanteuse d'ailleurs : Just Dance, de Lady Gaga. La futur reine de la pop je vous dit, moi je dis c'est time to die Madonna ! Cette fois j'ai pris la main de l'inconnu et je l'ai conduit en bas où la musique battait de son plein, j'ai pas fait attention à ceux qui se trouvaient aux alentours, il n'y avait que cette superbe musique, ce parfait inconnu qui, à la lumière, était plutôt vraiment pas moche du tout en fait, et moi qui me dandinait.
∞everleigh
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Sujet: Re: Florida, 2010, with Sayanel Z. Pritchard Mar 2 Avr - 1:31
Into the club
Sayanel se demandait comment, après la réponse de la jeune femme, deux êtres qui apparemment n'avait rien à faire dans ce genre d'endroits, s'étaient retrouvés là, à danser ensemble. Le destin forçait parfois beaucoup les choses, et malgré son manque de foi en une entité supérieure, il croyait au destin. Non pas qu'il pensât ne serait-ce qu'une seconde que cette rencontre allait bouleverser le cours de sa vie, mais il s'imaginait plutôt qu'elle devait forcément avoir un but. Autre que celui de lui faire passer une bonne soirée, bien entendu. Il tournait constamment le regard vers Jackson, pour voir s'il allait bien. Il était du genre soucieux du bien-être de ses proches, et même s'il lui en faisait souvent voir des belles, le blond restait sans conteste un des meilleurs amis qu'il n'ait jamais eu, malgré toutes les fréquentations qu'il avait au lycée. Si on l'observait, sans réellement le connaître, il passerait sans doute pour le genre de mecs à traîner dans ces boîtes là, à faire boire les jolies filles, à danser avec elle et ensuite à les mettre dans son lit. Mais il n'était pas comme cela. Et ça, la jeune inconnue en face de lui avait été la seule, en des années d'existence et de flirt avec le monde des adolescents populaires, à le voir. « Tu n'as pas une tête de fêtard. » Et c'est une inconnue avec qui il avait à peine échangé quelques mots qui le lui disaient, alors qu'il avait attendu longtemps pour que quelqu'un s'en aperçoive. Pas pour … Le changer, où changer les habitudes qu'il avait pris par rapport aux autres, mais juste pour le connaître mieux. Mais en réalité, il n'y avait pas grand-monde qui cherchait à le connaître mieux.
Mais pour le moment, peu importait à Sayanel. Il ne fallait pas qu'il commence à penser de la sorte, ne serait-ce que pour conserver l'entièreté de sa santé mentale. Ses amis le connaissait, sans doute mieux que quiconque, n'était-ce pas suffisant ?
Se rappelant la question de la brune, il sourit. Son absence n'avait duré qu'une seconde, absence que l'on pouvait attribuer à la musique trop forte qui empêchait de s'entendre convenablement, même dans cette pièce, décalée de la vraie piste de danse.
« Je viens ici pour la première fois aussi ! Et la dernière, je suppose ! Ce n'est pas vraiment mon genre d'endroits, en réalité. »
Bien entendu, parfois, ce genre de soirées lui étaient agréables. Celle-là par exemple. Il y avait pris beaucoup de plaisir, mais il n'en referait pas une autre dès le lendemain. Heureusement que le lendemain signifiait le retour à la normale, et la fin du Jour de Jackson.
« C'est l'anniversaire du mec qui est en train de comater. Il voulait faire quelque chose de mémorable ! Partir ailleurs semblait une bonne idée, selon lui. »
Bien entendu, c'était sans compter le fait qu'il se soit endormi en plein milieu, mais ça, Sayanel n'y pouvait strictement rien. A part lui lancer un seau d'eau dessus, mais il devinait aisément la réaction du blond s'il osait un truc du genre.
« Et toi alors ? Où étais-tu juste avant d'arriver là ? Et pourquoi ici ?»
Avant qu'elle ait pu répondre, elle lui prit la main pour l'emmener en bas. La musique venait de changer, ce qui lui laissa supposer que c'était pour cela qu'elle avait décidé de se remettre dans le mouvement, ce qui ne dérangeait absolument pas le brun, qui se remit à danser. Là ou ailleurs, peu lui importait, tant qu'il continuait de profiter de sa soirée.
Sujet: Re: Florida, 2010, with Sayanel Z. Pritchard Mar 2 Avr - 20:30
Florida, 2010
I drive alone in the night
Un anniversaire ? Et bien, il a une manière bien à lui de fêter son anniversaire... Je passais ma mains dans les cheveux en faisant des gestes et des mouvements complètement ridicules, mais ici plus on est ridicules plus on se font dans la masse. La musique commençait à ralentir, elle allait bientôt se terminer, j'ai remis mes idées en place, je l'avais pas vue passé tiens, ni même le petit gars, si faut il a passé son temps à me reluquer avec une expression « c'est quoi cette folle ? ». J'ai soupiré en souriant, tout en le regardant droit dans les yeux. Je me suis retourné aussi rapidement pour aller vers le bar, je suis monté sur un siège, avant lui. « Oh, et pour répondre à ta question, hier matin j'étais en Europe, Italie pour être précise. » Inutile de préciser que j'étais partis en Italie dans le but de retrouver des sorcières qui me l'ont faite à l'envers et quelques grimoires en France. « Et je suis passé comme sa en Floride avant de repartir pour la nouvelle Orléans. » Inutile aussi de lui préciser que je devais rencontrer une « Reine du Vaudoo ». « Sinon, je crois pas qu'on ce soir présenté. Je suis Adriane Leferde. » Fausse identité du soir bonsoir, tiens hier j'étais Gabriella Lecarde, j'aimais bien mais après avoir pris ma revanche sur des sorcières, même novices, autant disparaître. Non pas que j'avais peur de ces gamines de bac à sables. Avec le temps j'étais devenue une professionnelle dans les fausses identités. A ma naissance j'étais Marie-Alice Delavano et suite à mon départ subis en apportant la caisse de ma patronne, la voiture de ma collègue et je ne sais quoi d'autres, j'étais devenue Elizabeth Lafay, en partit pour leur échapper mais aussi comme un moyen de dire « je tourne la page », mais en fait j'étais sur la même page, bloqué avec un gros bloc blanc qui n'avait toujours pas était rédigé. J'ai pas entendu son nom, j'étais occupé à commander deux cocktails et à regarder les fesses du barman, pour quoi je devais passer, franchement ? Pour une traînée qui ne ce soucier pas des autres sans doutes, bon on vas se mentir c'est un peut le cas. « Excuse moi, je t'ai pas écouté. » je lui ai affiché un grand sourire en me penchant vers lui. J'aurais pu lui dire j'ai pas entendu, mais c'était moins honnête et surtout, sa faisait moins biatch. J'aimais bien son prénom, j'ai du lui faire répéter plusieurs fois avant de bien le prononcer, au moins sa l'avait fait rire. Je commençais à m'endormir,le décalage horaire ? Peut être. L'idée de rentrer, maintenant, à... J'ai regarder mon portable: une heure moins le quart du matin, me paraissait vieux jeux. J'ai regardé Sayanel droit dans les yeux avant de descendre de mon perchoir, de lui poser la main sur la cuisse et de lui murmurer à l'oreille. « Tu fais quoi ce soir ? » Ne me jetez pas la pierre, après tous j'étais une mauvaise fille, autant l'affirmer.
∞everleigh
Invité
Sujet: Re: Florida, 2010, with Sayanel Z. Pritchard Mer 3 Avr - 18:59
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La réponse de la jeune inconnue surpris quelque peu Sayanel. Pour sa part, il avait rarement voyagé, seulement pour se balader à quelques endroits des Etats-Unis, pas de grands périples, en somme. Et la jeune femme en face de lui semblait, quant à elle, ne faire que cela. Mais en fin de compte, le brun se demandait ce qui était le plus profitable : s'établir, s'attacher à une place, un lieu, peut-être un peu trop, et rarement le quitter, ou ne pas avoir d'endroit vraiment propre à soi, que l'on puisse appeler « maison ». Ceci dit, un petit voyage en Europe ne serait pas de refus, rien que pour voir ce que les autres voyaient quand ils lui racontaient leurs épopées. L'Europe... On devait y prendre de belles photos, là-bas. Bien plus de choses intéressantes à immortaliser qu'à Mystic Falls, sans doute. Ce qui n'était, en soi, pas vraiment un exploit, quand on savait qu'il s'agissait d'une des villes les plus tranquilles des environs.
« On peut dire que t'as vu du paysage, hein. »
Le Pritchard se demanda brièvement si elle avait, quelque part, une attache. Une famille, vers qui revenir, ou même des amis qui comptaient assez à ses yeux pour qu'elle revienne vers eux. Mais il n'était pas réellement sûr qu'elle soit ce genre de personnes là. Quoiqu'il n'en sache pas grand-chose, en réalité, il venait de la rencontrer.
Au bout de quelques secondes de battement, elle lui apprit son prénom. Adriane. Il savait très bien qu'il finirait par l'oublier, un jour ou l'autre. Bien entendu, ce ne serait pas de son bon vouloir, mais il savait bien que le genre de rencontres que l'on pouvait faire dans les endroits comme cela ne finissaient jamais en quelque chose de concret. Seulement en une soirée, peut-être une nuit, pour enfin finir par se quitter et ne plus jamais se revoir. Et c'était peut-être mieux comme cela, après tout.
« Je m'appelle Sayanel. Enchanté. »
Mais apparemment, la jolie brune qui l'accompagnait ne semblait pas réellement se soucier de ce qu'il répondait. Voilà pourquoi il n'aimait pas tellement ce genre de soirées. Parce qu'elles vous forçaient à juger les gens trop facilement. Il était du genre gentil garçon. Réellement. Il ne se prenait pas vraiment la tête, s'amusait, certes, mais par dessus tout, il laissait une chance à tout le monde, tendait la main à qui en avait besoin, arrivait à trouver le bon dans chaque personne qu'il croisait. Mais les filles du genre d'Adriane étaient bien trop sauvages pour qu'il puisse les comprendre, bien trop … En-dehors du genre de filles qu'il fréquentait habituellement. Cependant, il décida de laisser passer la soirée. Après tout, qu'importe qui était cette fille, il n'était pas prêt de la revoir dans l'immédiat.
« Sayanel. »
Bien qu'elle tentât réellement de le retenir, cette fois, elle n'y parvint pas du premier coup, ce qui le fit rire. Il y avait souvent ce genre de réactions à l'entente de son prénom. En le regardant, on s'attendait à ce qu'il s'appelle Alex, Max, Thomas. Mais certainement pas Sayanel, un prénom qui semblait sorti de l'imagination d'un écrivain fantastique.
Bien qu'il pensât que la situation n'irait pas beaucoup plus loin, elle avança d'un cran. Face à l'apparente proposition de la brune, il mit une seconde à lui répondre. Pouvait-il sincèrement laisser Jackson seul ici ? Bien entendu qu'il le pouvait, il avait toujours son téléphone portable, pour l'appeler au cas où il se réveillerait. Alors pourquoi pas ? Avec un sourire, il descendit de sa chaise, attrapa sa veste et lui prit la main, pour l'emmener au dehors.
« Avec toi, je suppose ... »
Sayanel se dirigea donc vers la sortie, en compagnie d'Adriane.
« Et sinon … A part faire le tour du monde, il y a quelque chose qui t'intéresse, dans la vie ? »
Sujet: Re: Florida, 2010, with Sayanel Z. Pritchard Ven 5 Avr - 17:57
Florida, 2010
I drive alone in the night
« Et sinon … A part faire le tour du monde, il y a quelque chose qui t'intéresse, dans la vie ? » Gagné, oui je voyais souvent mes conquêtes comme des trophée que je collectionnais, même si ce n'était pas indispensable. J'ai attendu de sortir de la boîte avant de lui répondre, histoire d'être au calme. Quand j'ai poussé le battant du night club, une bouffée d'air frais m'a fouetter le visage. Sa avait provoquer un fort contraste avec la chaleur oppressante de la boîte. L'air frais se mélangeait au bruit des vagues et à l'odeur de la mer. Je me suis avancé sur la terrasse en étendant les bras pour remplir mes poumons de la brise. J'ai subitement rebaisser les bras pour me retourner et lui faire face. « Ce que j'aime faire, hum... » je me suis avancé vers lui en baissant la tête tout en réfléchissant. « A part faire le tour du monde, qu'est ce qui m'intéresse. Bonne question, être libre sans doute. C'est peut être pour ça que je reste jamais au même endroit, j'ai l'impression d'être... D'être parqué ! Après j'adore la photographie et euh... Et voilà quoi ! » Inutile de lui parler de mes envies de devenir plus forte en matière de sorcellerie. Je me suis avancé vers le chemin de bois qui nous conduisais vers la ville, en quittant la plage. Je savais qu'il me suivait, j'ai pas pris le temps de lui dire de me suivre. On est rentré dans la ville, les restaurants, les casino et d'autres boîtes étaient pleins. Pendant un instant, je me suis demander par où il fallait passer pendant quelques secondes, en m'arrêtant net comme une vraie dinde, qu'est ce que je pouvait être débile parfois, j'espère que je ne vais pas continuer à évoluer comme ça. Puis j'ai eu une subite pousser d'adrénaline en prenant un tournant dans le centre ville. Durant tous le trajet, je n'avais pas parler à Sayanel, sa avait quelque chose de gênant il faut dire. En récupérant ma clé à la réception, je suis directement rentré dans l’ascenseur en appuyant sur le 20° bouton, je me voyais mal monter les escaliers avec le mal au pied que j'avais, sauf si Sayanel me porte... Non je blague, sérieusement vous me voyez comme Cendrillon ? Non mais allô, je me rapproche plus de la méchante reine moi. En rentrant dans ma chambre, j'ai directement enlever mes talons pour les jeter je ne sais où. « Installe toi je passe rapidement à la salle de bain, j'en peut plus je crois que c'est la ménopause. » En voyant l'expression incrédule de Sayanel, je me suis esclaffé. « Un peut d'humour allons, t'est hétéro mais décoince toi un peut allons ! » Quoi que, j'allais bientôt fêter mes 100 ans, je devais avoir largement passer la ménopause... Quand je me suis enfermé dans la salle de bain, je me suis directement déshabiller en un clin d'oeil avant de tourner le pommeau de la douche en attendant que la chaleur arrive. En fait non, je pouvais pas attendre, j'ai lever la main avant de refermer mes doigts sur ma paume et la vapeur d'eau chaude est apparue sur les miroirs et les vitres de la douche. Quand je suis ressortie, j'avais une serviette enroulé autour de mon corps. « Et toi ? Je t'ai pas retourné la question, qu'est ce qui te passionne dans la vie ? Mis a part accompagner ton ami pour le laisser tomber ? » Je me suis jeter sur le lit à plat ventre à côté de Sayanel qui était déjà installer en regardant le plafond.
∞everleigh
Invité
Sujet: Re: Florida, 2010, with Sayanel Z. Pritchard Dim 7 Avr - 20:30
Into the club
Sayanel suivit la jeune femme lorsqu'elle avança, un peu au hasard des rues, comme si elle ne savait pas très bien où elle allait. Mais il ne voyait pas vraiment ce qu'il pouvait faire d'autre. Lorsqu'elle lui énonça les choses qu'elle aimait, il sourit. Ils n'étaient pas si différents que cela, finalement. Assez tout de même. D'un simple coup d'oeil, on pouvait voir qu'ils n'étaient pas faits du même bois, mais, alors qu'en temps normal, ça aurait sans doute posé quelques problèmes, là, il s'en fichait. Après tout, il ne la reverrait sans doute pas après cette nuit, alors à quoi bon s'en faire, de quel bois ils étaient faits ?
« Tu as dû prendre beaucoup de belles photos, en Europe. »
Voilà la seule raison pour laquelle le Pritchard aurait aimé voyager : les photographies des pays qu'il aurait visité. C'est la seule chose qu'il regrettait de ne pas avoir fait, la seule chose qui aurait peut-être pu l'intéresser. Etre l'un des millions de photographes ayant capturé les monuments les plus célèbres pour en faire des souvenirs éternels. Rencontrer des personnes qui lui seraient totalement étrangères, parlant une langue qu'il ne comprendrait pas et vivre des expériences hors normes. Ca aussi, l'intéressait. Mais au fond de lui, il savait qu'il ne pourrait pas quitter sa mère, son père, Lisbeth & Andrew. Ils tenaient trop à eux pour les laisser à l'avantage d'un périple solitaire. Mais il ne savait pas vraiment si c'était une mauvaise chose, ou plutôt une bonne.
Le silence s'éternisait, entre les deux jeunes gens, mais Sayanel ne trouvait pas cela pesant. Il était quelqu'un d'assez fermé de nature, solitaire. Bien que très sociable, se taire et penser était quelque chose dont il avait l'habitude, bien plus que de sortir en boîte, par exemple. La jeune femme le fit passer par des endroits assez perdus, puis par des lieux plus fréquentés, jusqu'à entrer dans un hôtel. Après avoir pris l'ascenseur, ils montèrent dans ce qui semblait être la chambre de la dénommée Adriane, et Sayanel se posa instantanément sur le lit. Il ne savait pas combien de temps il passerait ici, mais autant se mettre à l'aise, ça ne coûtait rien. D'autant qu'en règle générale, il était assez familier.
L'humour assez spécial de la jeune femme le fit lever les sourcils mais il finit par en rire, tandis qu'elle partait s'isoler dans la salle de bains, pour aller, vu le bruit, sous la douche. Profitant de ce moment de répit pour regarder son téléphone, il vit que Jackson ne l'avait toujours pas appelé. C'était peut-être une bonne chose finalement.
Lorsque la brune revint, elle ne portait en tout et pour tout qu'une serviette.
« Techniquement il m'a laissé tomber avant l'inverse ! Sinon … J'aime la photographie. Ma ville, même si elle n'est pas très mouvementée, et la musique. J'aime beaucoup la musique. »
Sujet: Re: Florida, 2010, with Sayanel Z. Pritchard Mar 9 Avr - 20:40
Florida, 2010
I drive alone in the night
« Techniquement il m'a laissé tomber avant l'inverse ! Sinon … J'aime la photographie. Ma ville, même si elle n'est pas très mouvementée, et la musique. J'aime beaucoup la musique. » Je n'ai pas vraiment eu le temps de répliquer que son portable sonna. Quand il a décroché il a immédiatement reculé le téléphone, une musique assourdissante bourdonnait de l'intérieur. Possibilité numéro une : on avait volé le portable de son ami et on avait ligoté son corps dans un coffre contre une rançon. Possibilité numéro deux : son ami c'était réveillé et ne trouvait pas Sayanel. Je mis sur la possibilité 1, sa rendrait la soirée piquante. Mais quand j'ai entendue une voix furax lui hurlé à travers l'appareil, j'ai compris qu'il s'agissait de la possibilité 2. Dommage. Il s'est ensuite relevé pour s'excuser et m'expliqua qu'il devait retrouver son ami. Je lui avait proposé de dormir lui et son ami ici mais il avait apparemment vraiment compris le terme « dormir ». Je lui ai dit aurevoir en lui expliquant que je partais demain en fin d’après midi et que si il était dans les parages il pouvait passé me voir avant que nos chemins se sépare, puis j'ai fermé la porte en le voyant prendre l’ascenseur. Depuis la fenêtre de ma chambre avec une flûte de champagne à la main, je le voyais rejoindre la plage, espérant qu'il ne se perde pas. J'ai jeté la boisson dans la poubelle, j'ai jamais aimé le champagne c'était surtout pour donner du genre en fait. Je me suis jeté sur mon lit, les écouteurs dans l'oreille en songeant à ce gars là que je risquais de ne plus jamais revoir de toute ma vie.
Le lendemain matin, mon réveil à sonner à midi me sortant de mes rêves. J'ai immédiatement bondit de mon lit en me rappelant mon objectif : la Nouvelle Orléans. Je me suis douché en vitesse en me faisant des boucles parfaites comme je les aimés, j'ai enfilé un un t shirt blanc des beatles en dessous de ma veste en cuir et de mon jean noir trop grand. J'ai rangé tous mes habits dans des cartons et des poches que j'ai remis dans ma décapotable jaune. Décidément mes habits étaient habitués à déménager. J'ai régler mon dût, cette fois j'en avait les moyens et je me suis installés derrière mon volant. J'allais démarrer ma voiture de luxe quand je me suis rappeler d'un truc : Sayanel. Je lui avait dit de passer avant la fin d'après midi. J'ai regardé mon portable, il n'était même pas trois heures. Tant pis, j'allais foncer quand je l'ai vu entrer dans l'hôtel, suivit de son pitoyable ami qui l'attendait dehors. Sayanel ne m'avait pas vu et allait déjà se diriger vers l’ascenseur pour une chambre vide. Son ami a croisé mon regard et je lui ai souris, il devait pas se rappeler de moi après tout. J'ai mis mes lunettes de soleil sur mon nez avant de déballer de son emballage une sucette à la cerise que j'ai directement mis dans ma bouche. Et j'ai rouler, dans un bruit de voiture de course j'ai foncé vers la Nouvelle Orléans, du moins je l’espérais, et tant pis pour Sayanel : j'avais une reine du vaudoo à rencontrer.
∞everleigh
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Sujet: Re: Florida, 2010, with Sayanel Z. Pritchard