BEKAH ✦ 'Cause our love survives the difference.

Rebekah s’était éveillée avec un affreux mal de tête et des crises de toux ce matin. Elle était pourtant certaine qu’elle n’avait bu qu’une ou deux gorgées la veille, ce qui rendait la compréhension de la situation inexplicable. Elle reçu un message de son meilleur ami, Gabriel. Ce beau garçon qu'elle aimait tant, son confident, il était toujours là pour elle quand elle en avait besoin, elle ne voulu jamais le remplacer par qui que ce soit. Le texto disait qu'elle le rejoigne au Pont Wickeri, elle réponds seulement par un « j'arrive », celui-ci tombait vraiment bien étant donné que sa tête tournait et qu'elle avait une envie folle de prendre l'air. Sur le moment elle cru qu'il avait découvert qu'elle était un vampire original, ce qui n'était pas très étonnant étant donné que tout le monde la craignait et que tout le monde dans cette petite ville la connaissait elle ainsi que ses origines. Elle sortit du manoir en vitesse et part pour le pont. Perdue dans ses pensées, elle n’entendait rien au tour, elle se promenait, maintenant sur le pont Wickery. Ce fameux pont qu'elle aimait tant.. il lui faisait surtout penser à la jeune et innocente Elena. Cette jeune fille qui a failli mourrir sur ce pont où devrait-elle dire sous ce pont ? Elle rit quand elle eût cette pensée. La jeune Elena avait perdu ses parents à cette endroit même et s'est ici que la belle blonde l'avait tué. Elle rejoint Gabriel qui était quelques mètres en face de lui, il regardait le lac qui était assez beau aujourd'hui. Elle lui sauta dans les bras pour ensuite lui faire un gros câlin. Après l'avoir relaché, elle se positionne devant lui pour lui parler. “ Salut mon beau, je vais bien et toi ? ” dit-elle. Un grand sourire envahi son visage, une expression heureuse s'emparait d'elle. Elle avait en ce moment très peur de ce qu'il allait dire, elle attendit sa réponse tout en souriant.

Rebekah ignorait tout à son tour de son beau Gabriel, elle ne savait rien à propos de ses origines malgré le temps qu'ils se connaissait. Ils s'aimaient beaucoup tout les deux et avaient confiance l'un avec l'autre. Bekah pouvait normalement sentir les loups-garou de loin ou bien leur façon de parler, d'agir, elle vivait bien trop longtemps au côtés de son frère Klaus pour ne pas les reconnaître. Gabriel ne pouvait pas en être un donc, étant donné qu'il était très réservé et discret, ce n'étais pas lui. Il ne pouvait avoir aucun pouvoir surnaturel ou elle l'aurait senti. La pire chose serait qu'il découvre qu'elle était un vampire, surtout un originel.. mais la belle blonde ne se doutait pas vraiment de cela donc, elle n'en avait aucune idée de ce qu'il pourrait bien dire et de ce qu'elle pourrait bien faire ici. Étant donné que son texte paraissait important, ce n'est peut-être rien sur lui, pas une grande révélation. Le mal de tête qu'elle avait eu ce matin revenait, elle toussait beaucoup ses derniers temps et avait des symptômes bizarres. Étant donné les circonstances et son expérience professionnelle, elle pensait que seule une épidémie pourrait faire cette effet-là mais, pas n'importe laquelle, quelque chose de surnaturel en tout cas. « Je vais toujours bien voyons » elle rit à ses paroles mais, c'était vrai, il disait qu'il était toujours bien même si ce n'étais pas le cas, juste pour lui faire plaisir sûrement et c'est aussi pour cela que la jeune Bekah l'aimait beaucoup et avait confiance en lui. « dis moi, tu crois au surnaturel? je veux dire aux histoires de vampires ? » à ses paroles, je commençais à stresser, les symptômes de "l'épidémie" commençaient à faire effet mais, étant donné que j'étais une originelle, cela ne lui faisait pas si mal que cela, mais elle souffrait. “ Je ne sais pas trop, pourquoi tu me demandes ça ? ” la jeune blondinette lui lança un sourire nerveux, mais tout de même un sourire d'aspect calme, aimable et rassurant.

« Hm parce que... bon il faut pas que t'angoisse hein je sais me maitriser mais... je suis en quelque sorte... un Lycanthrope. Ce qui veux dire que les soirs de pleine lune je suis obligé de me transformer en loup garou... Je l'ai pas choisi crois moi. Mais tu m'as toujours connu comme ça... ça fait environ 9 ans que je ... enfin que je suis comme ça » m'avait il avoué. Mon coeur s'était brisé en mille morceaux... Ce qui m'avait le plus blessé n'était pas du tout le fait qu'il soit un loup-garou mais le fait qu'il ne m'avait jamais rien dit, je croyais qu'on était amis mais, après tout il ne lui faisait pas confiance. Mais si je regardais les choses d'un autre côté, si je lui racontais toute la vérité, on serait quittes étant donné que je ne lui avait jamais dit ma vraie nature. D'ailleurs, j'ignore comment il ne l'avait pas déjà appris étant donné que tous les vampires et loups-garou et même sorcières me connaissaient, peut-être seulement par le fait que je suis la première vampire ou même personnellement. C'était donc peut-être impossible qu'il ne l'ait pas encore appris ou peut-être qu'il me disait ceci, mais c'était en fait un mensonge et qu'il était au courant de ma vraie nature mais, il me le racontait car il savait que je lui raconterais la mienne ensuite ? Je ne le savais pas, j'avais donc besoin d'une preuve. J'étais aussi colère contre moi même car, je suis une vampire originel je devrais sentir la présence d'un loup-garou. « Je voulais pas t'en parler au début pour ne pas t'effrayer mais je ne veux pas on plus de mentir davantage sur ma vraie nature » Après ces mots, mon visage ne démontrait pas vraiment de la colère, je cachais mes émotions pour qu'il comprenne que je n'ai pas peur de sa nature mais, que j'étais déçue. Je restais sans rien dire pendant un moment pour essayer de gober cette découverte qui m'avait brisée puis je décide de m'exprimer. « Attends... tu es une créature surnaturelle et tu ne me l'avais jamais dis ? Mais, qu'est-ce que je suis pour toi Gabriel ? Qu'est-ce que je suis pour toi ? Une étrangère ou ta meilleure amie ? Non mais, tu dois être en train de te foutre de moi.. » ma colère commençait à se montrer, je mis mes mains sur mon visage. « Prouves-le moi ! » criais-je. « Prouves-le moi, Gabriel ! »