Invité | Sujet: Why i'm here ? - For the refreshments Ven 9 Mai - 13:30 | |
| Prénom P. Nom célébrité ; crédits
Mon nom est Daniel Ménalore Gault et, je vis/suis arrivé à Mystic Falls depuis une semaine . J'ai 33 ans ainsi que toutes mes dents et, jusqu'à nouvel ordre, je suis chasseur de primes, tueur à gages, le terme que tu veux. Je suis un loup-garou accompli et, ne tolère pas la présence des vampires parmi les humains.
Petit rappel : tous les habitants de MF connaissent désormais l'existence des vampires.
Dites nous tout, cela nous intéresse
Pendant la saison II du forum, l'existence des vampires a été révélée. Dites nous en quelques phrases comment votre personnage se sent depuis cette révélation. Comment vit-il la chose, ce qu'il en pense... a-t-il peur pour sa propre race ? Dites-nous tout en quelques lignes.
C'est l'histoire de votre vie
Tout en mettant les traits de caractère (adjectifs) en italique, racontez l'histoire de votre personnage en 500 mots minimum. J'me rappelle qu'un jour, mon grand père m'a dit "Tu sais fiston, pour les gens comme nous, il y a que trois choses qui comptent. L'honneur du chasseur, une belle grosse prime et toujours avoir une arme sur soi. C'est ça, le quotidien des chasseurs de primes." Il m'avait expliqué que les Gault descendait, avec six autres familles, d'un seule et même personne. Ce gars là s'appelait Ménalore, et était certainement l'Homme le plus couillu de son époque. Il avait instauré la tradition de la Chasse à la Prime dans la famille. Il s'agissait d'être payer par un noble pour capturer, assassiner ou humilier une personne. Il avait exprimé à ses six enfants qu'un contrat est bien plus qu'un bout de papier avec une grosse somme à la fin. Un contrat, c'est s'engager par l'honneur et le sang à obtenir la tête (de gré ou de force d'ailleurs) de quelqu'un de bien défini. Mes ancêtres ont d'ailleurs tous eût droit à un petit commentaire sur leur façon de chasser. Par exemple, mon arrière arrière arrière grand-père, James Ménalore Gault, avait été surnommé le boucher car sur toutes ses missions il préférait mutiler ses cibles avant de les tuer ou de les capturer... Bien que ses captures étaient aussi rares que violentes. Son petit fils, Aaron Ménalore Gault, mon arrière grand père, s'était rendu célèbre grâce à sa fine intelligence en manière de technologie. Son chef-d’œuvre avait été d'abattre sa cible avec un robinet, un grille-pain et un ours en peluche, ce qui est quand même assez proche de l'exploit. Quoi qu'il en soit, la réputation des descendants de Ménalore n'est plus à faire. Il est d'ailleurs de coutumes, comme vous avez pu vous en rendre compte si vous avez pris le courage de lire jusqu'ici mon histoire avec une concentration abstraite, de nommé chaque nouveaux descendant mâle « Ménalore » et chaque nouveaux descendant femelle « Ménalora », bien que les pères préféraient plutôt abattre leur propre fille. Vous comprenez, les hommes sont, par tous les clichés machistes de l'univers, meilleurs chasseurs que les femmes, ce que je n'approuves absolument pas. Certes, nous avons tendance à avoir une force supérieur par rapport à la gente féminine de part notre constitution masculine, mais bien souvent les chasseuses élaborent de bien meilleure stratégie que nous autres pauvres hommes.
C'est donc sur cette note joyeuse que je vais réellement passé à la narration de ma pénible vie. Je suis né en 1983, ouais un an avant la sortie de «Oh Macumba, Macumba, elle danse tous les soirs... » Bref. Je suis venu au monde dans un pays réputé pour ses koalas, ses kangourous, et ses drôles de petits singes dotés de grands yeux inexpressifs : L’Australie évidemment. Ma mère est morte en me donnant le jour dans une petite maison coupée de la civilisation, et mon père s'est suicidé peu après avec les fragments d'une bouteille qu'il venait de boire de briser. Il s'est tranché la gorge. C'est donc ainsi qu'à peine âgé de ma première année je quittai les contrées tropicales de l'Océanie pour le territoire pluvieux et industriel du Royaume-Uni. J'ai encore des souvenirs de l'Homme qui m'avait recueilli, mais seulement des images flous car il est lui aussi décédé un an après m'avoir pris avec lui. Ainsi, c'est la personne la plus improbable qui m'a élevé. Mon grand-père. Il était et est toujours pour moi ce que ressemble le plus à un homme, un vrai. Deux mètres de haut, une carrure d'armoire à glace, il avait plus de cicatrices sur le corps qu'un lion n'a de poils dans sa crinière. Ses yeux étaient identiques aux miens : d'un bleu d'océan, cependant c'était comme si nos yeux évoquaient des facettes différentes de la mer. Son regard n'exprimait qu'une pâle froideur, une force mentale et physique sans nom et une expérience de la vie indiscutable. Dans ses yeux je voyais un océan déchaîné, sauvage, faisant preuve d'une terrible violence. Au jour d'aujourd'hui, je me rend compte que j'ai hérité de ce même regard, ce regard qui peut fermer la bouche d'un homme, qui peut inspirer un respect inébranlable à quiconque le croise. Quoi qu'il en soit, je ne peux pas prétendre avoir été battu, juste sévèrement élevé. Durant toute mon enfance j'ai vécu avec un vieillard dangereusement puissant qui me prenait pour plus fort que je ne l'étais. Je me souviens encore des nuits que je passais à sangloter, victime de la rigueur et de la pression du vieux chasseur. Pour lui, étant donné que j'étais le dernier descendant des Gaults, tout l'avenir de notre famille pesait sur mes épaules. Cependant, une telle éducation m'a apporté une qualité indispensable pour un chasseur de primes : La force. Aussi physique que mentale d'ailleurs. Tous les jours, mon grand-père se démenait pour me faire souffrir développer mon instinct, mon endurance et ma carrure. Je me souviens encore des longues courses dans la forêt voisine de sa cabane où je devais arrivé le plus vite possible à un endroit. Si je foirais, une cinquantaine de pompes en plus d'une magnifique privation de repas, sans compter les châtiments physiques. Ouais, on est très cool dans la famille. En tous cas, la première preuve d'affection que j'ai reçu de mon éducateur A eu lieu le jour de mes 18 ans. J'avais atteins ma majorité, donc j'étais en âge de chasser. La journée a commencé comme une journée normale sous le toit de mon grand-père. A huit heure du matin je me suis pris un sceau d'eau glacé en plein visage.
-Debout sale fainéant ! Aujourd'hui gros examen ! On va voir si j'ai réussi à remplir un t'en soit peu ta pauvre tête d'abruti croisé avec un ornithorynque ! Et on se demande d'où vient mon humour stupide ?
Comme si la mort me poursuivait, j'enfilai un t-shirt blanc ainsi qu'un shirt noir délavé pratique pour la fluidité des mouvements puis je laçais mes vieilles chaussures. Je suis sortie de la cabane au pas de course et comme je m'en suis douté, mon grand-père était déjà là, un fusil de chasse double-canon posé sur l'épaule. Il m'a examiné pendant un moment et à ma grande surprise m'a dit :
-T'es presque un homme maintenant. Si tu réussi cette petite épreuve, tu deviendras un vrai ménalorien, et t'as intérêt à ce que ça ce passe comme ça.
-T'inquiète pas vieille branche, ai-je rétorqué, je vais assuré. De toute façon ça peut pas être pire que la fois où t'as lâcher les chiens à ma poursuite non ?
-Oh, qu'est-ce que j'avais ris cette nuit là ! A-t-il gloussé, un sourire narquois aux lèvres.
-Je suis resté coincé au sommet d'un sapin deux jours ! Ai-je protesté.
-Ouais, mais c'était quand même hilarant de te voir crier comme une fillette qui a son premier rapport.
On a tous les deux éclater de rire puis mon grand-père s'est raffermi.
-J'ai placé des cibles un peu partout dans le bois. Quand tu toucheras les fils-pièges que j'ai installé, les cibles se montreront. T'as trois secondes pour détruire les capteurs au niveau de la poitrine de chaque cible sinon elles te mitraillent de paintball. Des fois tu tomberas sur des pièges où tu seras juste mitrailler. C'est ta réactivité qui sera évaluée. Le capteur mets environ deux secondes après le déclenchement pour envoyé l'info à la mitrailleuse alors fais gaffe. Ah et aussi, si tu as ne serait-ce qu'une seule tâche de peinture sur toi, tu perds. Ton objectif est à la lisière de la forêt. Tu dois dégommé le mannequin en pleine tête pour désamorcé la bombe à peinture qu'il a dans le ventre. T'as des questions ?
J'ai dégluti. Ce qu'il semblait me demander me paraissait humainement impossible. Je savais qu'il avait tendance à me surestimer de part mon hyperactivité mais là, c'était un peu fort. J'ai réussi à dire :
-Et j'ai le droit à quoi comme arme ?
-Oh, a-t-il répondu, ta récompense. Si tu réussi, je te les lègues. Si tu échoue, je te descend avec.
Il a ramassé un petit coffret, me l'a tendu et je l'ai ouvert. Je n'ai pas pu m'empêcher de pousser un « Wouah » admiratif. C'était deux Colt M1911 en parfait état. Il y avait également dans le sac une bandoulière spécialement faite pour les deux pistolets. -Je... Je sais pas quoi dire, ai-je bafouillé au comble du ravissement. Grand-père, si je ne me trompe pas ce sont...
-Ouais, les miens. Ils te reviennent fiston. Un pistolet tire huit coups avant que tu n'ai besoin de le recharger. Donc tu as seize balle avant de tomber en rade. Je vais te donner des munitions. En tout tu auras 128 balles. Tu pourras donc être pleinement chargé huit fois. Après, tu seras en rade. T'es prêt ?
Je dois admettre que j'étais impressionné. Si grand-père me donnait l'autorisation de me servir de ses armes du temps où il était chasseur, cela signifiait que ça comptait beaucoup pour lui. J'ai enfilé la bandoulière, glissé installé les deux armes et lui ai dis, un sourire aux lèves :
-Je suis prêt.
Il a sourit à son tour, et m'a montré le sentier.
-Parfait... Trois... Deux... Un...
Il a pointé son fusil vers le haut et tirer en guise de coup de départ. J'ai sprinté vers la forêt aussi vite que mes jambes me le permettait. Dès mon entrée dans le bois, je me suis rendu compte que c'était d'une facilité déconcertante de me déplacer dans la forêt. J'y avais passé toute mon enfance et j'en connaissais tous les détails. Après quinze minutes de course, j'ai finis par m'arrêter pour respirer un coup. J'ai armé les colts et, un dans chaque mains, j'ai avancé au pas vers le nord, vers mon objectif. Après une dizaine de pas j'ai entendu un petit « clap ! » et soudain trois cibles se sont levée ce qui faisait trois mitraillette de peinture contre moi.
1...
J'ai tiré sur une cible et ai explosé d'un coup le mécanisme en la touchant en pleine poitrine, ce qui m'a pas mal impressionné.
2...
J'ai braqué mes deux armes, une sur chaque cible et ai visé.
3 !
Au moment où le temps s'est écoulé j'ai tiré des deux côtés, détruisant les cibles, chacune en pleine poitrine. Je dois admettre que j'étais assez fier de moi, j'avais pas le temps de me reposer sur mes laurier. Durant une trentaine de minutes, j'ai marché sans interruption. Quand soudain... CLIC...
Une mitrailleuse de paintball s'est braquée sur moi. Aussitôt j'ai roulé sur le côté et me suis caché derrière un tronc d'arbre tandis que l'arme automatique criblait ma position de balle de peinture. J'ai attendu qu'il n'y est plus de munitions et en effets, une trentaine de secondes plus tard l'arme s'est désactivée. Jusque là, tout se passait comme sur des roulettes... Alors pourquoi avais-je l'impression que quelque chose clochait ? Mon instinct me mettait en garde, mais ne semblait pas décidé à m'expliquer pourquoi, ce qui provoqua en moi un grand sentiment de frustration. Mettant mes doutes de côtés, je me remettais en route.
Contrairement à mes souvenirs de jeunesse, la forêt semblait froide, vide, lointaine. Je ne comprenais pas ce sentiment. Que m'arrivait-il ? Pourquoi sentais-je l'étau de la peur se resserrer sur mon cœur ? J'ai regardé tout autour de moi, cherchant un indice. Et là j'ai compris. J'ai compris pourquoi j'avais peur, pourquoi la forêt elle même retenait son souffle. Le silence. Un très grand, un très long silence. Ni le bruit du vent, ni les chants des oiseaux. Je me sentais comme une erreur, un élément perturbateur sur cette drôle de scène. Cependant, je ne pouvais perdre plus de temps à comprendre le pourquoi du comment. La forêt était grande et je n'avais aucunement l'intention de perdre l'épreuve. Au fur et à mesure de ma marche, j'ai remarqué un autre détail insolite. C'était beaucoup, beaucoup trop facile. Ça faisait deux heures que je marchais et seulement deux obstacles ? Il y avait forcément une erreur. L'hypothèse qu'ils soient sur une autre route s'éclipsa de mon esprit car c'était grand père lui même qui m'avait appris à trouver mon chemin dans les bois. Quelle ne fût pas alors ma surprise quand, en effet, j'ai atteins la lisière de la forêt sans le moindre problème. Enfin presque. Mon objectif était presque inaccessible. Le mannequin était attaché à un tronc d'arbre, cependant il était entouré de mitrailleuse à peinture. La seule manière de pouvoir dégommer le mannequin était de m'approcher suffisamment pour tirer, ce qui déclencher les pièges. Je me suis accroupie pour réfléchir. Je devais trouvé une solution. Une minute passa, puis deux, puis dix. Je dois admettre que l'un de mes principales défaut est mon incapacité à faire des plans logiques et minutieux. Non pas que j'étais complètement stupide, mais j'avais eu l'habitude d'entendre que la manière forte résolvait tout, ce qui me correspondait assez bien.
Et puis c'est la que je l'ai vu. Un tout petit petit petit fil de fer tendu à un mètre. Je ne m'en suis pas voulu de ne pas l'avoir vu plutôt. Après tout, la lumière du soleil le cachait vraiment bien. C'était la détente des mitrailleuses. C'était ça la solution. Je me suis caché derrière un arbre et ai tenté de lancer une pomme de pin sur la détente. Dans ma tête, ça avait l'air cool, sauf qu'en fait j'ai raté ma cible et ai lancer la pomme dans le vide comme un guignol. J'ai essayé une fois, deux fois, trois fois, et au bout de la quinzième ça m'a gonflé. J'ai attrapé une sorte de rocher qui se trouvait à côté de moi, l'ai soulevé au dessus de ma tête et l'ai lancé vers le fil. Enfin, ça a marché. Toutes les mitrailleuses se sont braquées sur le rocher et l'ont bombardés jusqu'à plus soif. Ça, c'était la bonne nouvelle. La mauvaise, c'était qu'un compteur de cinq secondes s'était allumé sur le ventre du mannequin et que il était très vraisemblable que le zéro donnait sur une explosion phénoménale d'aquarelle. Je suis sortie de ma cachette et ai couru comme un fou vers la cible. Je dois admettre que j'ai été fier de ma vélocité. En moins de trois secondes, j'avais braqué mon pistolet sur le front du mannequin et tiré à bout portant, ce qui explosa littéralement le mécanisme de la bombe. J'ai poussé un cri de triomphe. J'avais gagné.
Hey toi, derrière ton écran !
Je m'appele Moi c'est Damien '-' et j'ai 15 ans. J'ai découvert Ghost World Google, my best friend 'o' et, maintenant que je me suis inscrit, je compte venir le plus de fois possible :3. J'aime les CHAMALLOWS/i] et Les COOKIES bien fondant *-*...
Parrainage ? [] OUI [] NON
- Code:
-
NOM prénom de l'avatar [color=crimson]✘[/color] NOM prénom du personnage
Dernière édition par Daniel M. Gault le Mer 21 Mai - 13:54, édité 4 fois |
|
Invité | Sujet: Re: Why i'm here ? - For the refreshments Ven 9 Mai - 14:19 | |
| Ouaaaaaah je poste, 20 minutes après quatre personnes sur ma fiches, Rhaaan je suis flatté Damon : Merciiiiiiiiiiiiiiiii, on me fait souvent la réflexion *^* Si j'ai une question je te sollicite en priorité, promis Wayny : Merchi beaucoup beaucoup beaucoup C'est l'un de mes gifs favoris de Woody Harelson Wolf poweeeeeeer Hope : Merrchiiiiiii, t'inquiète t'inquiète faudrait même un rp rien que pour ce gif :ponpon: Chloé : Merci boucooooup, ca rox du poney même |
|