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 Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur...

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MessageSujet: Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur...   Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... EmptyDim 3 Nov - 22:09

 
Charles A. McThesson

Henry Cavill ; Tumblr
 

Mon nom est Charles Arthur McThesson et, je vis/suis arrivé(e) à Mystic Falls depuis quelques semaines. J'ai 566ans ainsi que toutes mes dents mais je n'en parais que 30 et, jusqu'à nouvel ordre, je suis beaucoup de choses, forgeron, comte, tueur en série, cauchemar ambulant, créature mythique, que de choses sortant de l'ordinaire. Je suis un Vampire accompli et, tolère bien plus la présence des vampires parmi les humains que celle des humains parmi les vampires.
DITES-NOUS TOUT , CELA NOUS INTÉRESSE

Elle coure. Elle coure la rumeur, semant sur son chemin calomnie, désolation, et frayeur dans les esprits. Elle coure toujours jusqu'à ne devenir plus qu'un mauvais souvenir, à peine plus qu'une légende, et la légende c'était eux. C'était lui. Rien de plus qu'une légende dont on racontait l'histoire romancée aux travers de films dont l'histoire paraissait stupide, et pourtant pas si éloignée que cela de la réalité. Alors un jour, tout bascule, à la télévision on peut voir partout tourner en boucle sous la forme d'édition spéciale la grande nouvelle, terrible nouvelle, celle-là même qui mêle qui mêle la légende à la réalité. Tout le monde en parle, et chacun chuchote en jetant un regard derrière son épaule soupçonnant le voisin de droite quand ce n'est pas celui de gauche d'être l'objet de sa peur. On ferme les volets, on interdit l'accès de sa maison à ceux que l'on ne connaît pas sans se douter un instant que cela ne sert à rien, qu'un simple regard suffit à faire tomber toutes les barrières que l'on s'était rapidement construit. On en oublie qu'ils sont des chasseurs, des morts revenus à la vie qui n'ont qu'une seule envie planter leurs crocs dans les jugulaires palpitantes et frémissantes pour mieux sentir la vie s'enfuir. Immobile dans ce brouhaha qui s’élève, un sourire s'étire sur ses lèvres blêmes, il pense déjà au plaisir de la chasse, il pense déjà à cette peur qui s'étend déjà au travers de tout ce pays. Il se complet dans leur terreur, déjà il se vautre dans le stupre et la débâcle de l'Homme qu'il voit perdant, à peine plus libre que leur bétail qu'ils entreposent sous le couvert d'une fausse humanité. Ainsi, rien ne semble le déranger dans cette grande révélation qui met fin aux rumeurs pour rentrer dans l'histoire, il se fiche bien de toutes les lois qui en découleront, comme il se fiche des hommes en général, ils resteront à jamais la proie et lui le chasseur. Esprit affûté, lentement, il sort de sa torpeur, avalant d'une traite ce restant d'alcool qui se trouve dans son verre, avant de quitter le bar dont il lustrait le siège jusqu'alors, un sourire bien plus accrus sur le visage se disant qu'il est peut être temps de sortir de sa réserve et de se rendre dans cette petite ville de Mystic Fall.

TOUTE HISTOIRE MÉRITE D'ETRE RACONTÉE  



Les souvenirs restent flous, comme si le temps les avait effacer, il ne se souvient plus du visage de sa mère, pas plus que du rire de son père. Pourtant la douleur reste là, celle qui accompagne les pertes. C'est un pincement constant qui sait se rappeler à votre mémoire dès qu'un élément, même le plus insignifiant vous y fait repenser, vous plongeant dans les émois infernaux de la mort. On peut vivre avec, mais jamais l'on ne peut oublier, la douleur s’atténue mais reste à jamais comme inscrite dans nos pensées, gravées dans nos cœurs et cela même après plusieurs siècles d’existence. La mort n'atténue rien, elle ne fait que plonger dans les regrets et les regrets forge la colère, poussant leurs remords à faire ranger leur sentiments dans une petite boîte, enfermée à double tour dans les méandres de l'esprit. La clé se perd, et c'est la naissance d'un de ces monstres qu'enfant nous imaginions peupler les dessous de notre lit, on perd de vu ce que l'on était, on perd de vue ce qui nous a fait chuter dans l'enfer de la violence, du sang versé, et de la souffrance. Faire souffrir les autres plus que ce que l'on souffre c'est là le plus important, et alors c'est un sourire infernale qui prend vie sur ses lèvres faisant naître cet effroi chez les autres, faisant apparaître la douce chaleur de la satisfaction dans son être.

I. Souvenir d'Enfance.


J'étais jeune, un pauvre enfant, souillon, qui s'amusait à jouer dans les grands champs de blés. Je courrais à en perdre haleine baigné par les rayons du soleil qui reflétait l'éclat des épis d'or que nous écrasions en riant, on se faisait houspiller par les cultivateurs qui craignaient autant les caprices de la météo que nos propres bêtises. Nous vivions dans l'innocence dans laquelle baigne tous les enfants, nous nous amusions sans penser au lendemain, on oubliait jusqu'à la dureté de la vie alors que nous grimpions dans les arbres pour en cueillir les quelques pommes qui n'en était pas encore tombée. En bas de notre arbre que nous dépouillons avec bien plus de gourmandise que de faim, elle nous regardait avec ses yeux plein de défis, les mains posées sur ses hanches encore enfantine, et nous, gamins idiots, lui lancions les trognons de nos pommes avidement dévorées tentant de la faire fuir. Nous pensions qu'elle n'avait rien à faire avec nous, qu'elle n'était qu'une de ses autres filles qui devaient apprendre à coudre, et à préparer à manger quand elles ne jouaient pas avec leurs poupées de chiffons. Mais toujours elle restait, toujours elle avait cette flamme dans les yeux et parfois sa petite voix s'élevait captivant notre attention juste assez de temps pour que nous nous sentions plus idiots qu'intelligents.
Derrière son rideau de cheveux ébènes, elle levait son petit menton, et elle nous faisait parier sur tout mais surtout sur n'importe quoi, mettant en péril le peu d'honneur que nous avions, et frôlant l'inconfort d'un orgueil blessé. Cette fille, je la connaissais bien. Trop bien peut être, mais je n'avouais que rarement ce que tout le monde savait, elle était mon amie, peut être même ma plus grande amie. Nous avions à peu près le même âge et nous avions grandi ensemble, pas sous le même toit, mais sous le régime de la même éducation, partageant presque nos parents tant nos pères semblaient être des frères. Nous vivions heureux et dans l'insouciance générale, nous riions de bon cœur, et toujours nous pensions que jamais cela ne cesserait. Elle était un peu comme une sœur pour moi, je ne la voyais pas comme Eloïse, la fille de la laitière, qui avait de quoi charmer tout jeune garçon, je ne la voyais pas non plus comme Claudia la jeune épouse de mon frère aîné qui était d'une douceur incarnée. Rose comptait bien plus que toutes ces filles réunies, presque autant que l'une de mes trois sœurs, elle était une partie de moi que l'on m'avait greffé, un peu à l'image de ces pièces que l'on cousait au fond de nos de pantalons quand ils étaient troués. Pas vraiment là à l'origine mais d'une utilité qu'on ne remettait jamais en cause.
Pourtant, le temps de l'innocence s'envole bien vite. Je me roulais déjà dans la fange et le stupre quand on m'annonça que je devais me marier, et que Rose était ma promise. Je n'aurais alors su dire si je m'en accommodais ou si je dénonçais l'horreur de la situation. Ma jeunesse me laissait en proie aux doutes, et à la confusion de sens, je n'avait pas envie de me marier, encore moins avec cette sœur de cœur que l'on m'avait fait aimer bien plus que de raisons. J'aurais alors préféré épouser nombre d'autres femmes, j'aurais préféré continuer à la regarder au loin avec ce sourire plein d'une tendresse dont je ne comprenais pas la cause. Je convoitais tant d'autres choses, et elle n'était pas de mes convoitises. Pourtant j'acceptais les noces que l'on m'imposait par respect pour mon père, et pour cette amitié qu'il avait lié depuis longtemps avec le sien, néanmoins, j'osais me réjouir, me disant qu'il valait mieux pour elle que ce soit son mari, pas un de ces balourds violents qui traitaient les femmes comme de vulgaire sac de viande. Je la connaissais, je l'avais toujours connu, et à cette époque, je pensais qu'on ne pouvait pas faire mieux que moi.

II. Les tragédies.


Jeune homme présomptueux, que trop arrogant et orgueilleux, je ne voyais que ce que je souhaitais voir, et je ne la vis pas s'éloigner, je ne vis pas même celle qui vint prendre ma place dans sa vie, l'emmenant loin de moi, mais surtout de sa famille pour bientôt n'en laisser rien d'autre qu'un souvenir dénué de vie. Cette découverte jeta un froid sur le village, et toutes les festivités se transformèrent irrémédiablement en un terrible deuil. Les fanions noirs naissant dans les campagnes comme pour souligner l'injustice de cet instant, comme pour montrer à tous l'affection qu'ils avaient pour elle, à quel point elle avait compté, durant sa courte vie, pour la plupart des gens qui l'avaient connu. J'ai porté le deuil des semaines durant, et je suis parti, disparaissant tout bonnement de ce monde qui m'avait vu grandir, abandonnant mon père qui m'avait tout appris, pour parcourir ce monde étriqué qu'était l'Angleterre.
J'ai errer de village en village, dormant parfois sous la ciel étoilé, tantôt dans le lit de femmes aux mœurs légères ou payant mon couvert ainsi que le gîte en échange de quelques menus travaux qu'ils soient dans les champs ou encore dans la forge. Itinérant, je finis tout de même par m'installer dans une contrée reculée du nord du pays, bien loin de tout ce que j'avais connu, perdant de vu tout ce que j'avais pu aimer, et me laissant petit à petit emporter par la douceur du vent de l'oublie. Si je ne l'oubliais pas, cette amie, cette fiancée trop vite disparue, je n'en oubliais pas tout ce qui m'avait un jour plu, je faisais juste abstraction de sa mort, lui parlant presque dans mes songes. Je l'imaginais près de moi, souriante presque moqueuse, me faisant remarquer que je parlais à un fantôme, une simple vue de l'esprit et que le père Matthew aurait honte de moi s'il me voyait ainsi en train de parler à un mirage. Je riais seul, et je la laissais la mélancolie m'abattre un peu plus, travaillant plus longtemps sans vraiment voir que le temps continuait à passer. Sans même me rendre compte que j'étais devenue l'objet de convoitise de la châtelaine.
C'était une femme d'une cinquantaine d'années qui avait, malgré son âge, gardée sa beauté à défaut de son mari qui, lui, n'avait pas réussi à survivre à un chasse au cerf. Sans enfant, sans famille, elle avait décidé de retrouver un mari le plus rapidement possible et au vu de son âge, elle avait décidé qu'il serait comme elle le souhaitait. Autrement dit, elle avait jeté son dévolu sur moi, tout d'abord elle sembla se montrer juste curieuse, passant de longues heures assises sur le muret qui bordé la forge, elle me regardait faire tout en me demandant d'exercer de menu travaux pour elle, et puis elle devenue plus insistante. J'aurais aimé vous dire que je me suis donné la peine de lui résister, mais je n'avais rien à perdre, tout à y gagner, si bien qu'un jour elle me demanda de l'épouser. Elle disait que nous nous entendions bien, et qu'elle ne pourrait pas aimer un autre homme après moi... J'en doutais, je n'étais certainement rien d'autre qu'un jouet qu'elle estimait plus agréable qu'un autre, un jouet qu'elle ne voulait pas partager et auquel elle ne permettait aucun écart. A force de la fréquenter j'avais remarqué que j'avais perdu le droit de parler à ces autres femmes qui naguère m'avaient lancé des œillades encourageantes. Si elle ne m'avait fait aucune remarque, elle n'avait pas hésité un seul instant à me designer comme sa propriété auprès du reste du village qui m'évitait désormais. Si la situation ne me déplaisait pas vraiment, j'avais perdu le plaisir de converser avec le reste du monde depuis sa disparition, et finalement je me complaisais dans cette situation, acceptant tout ce qu'elle m'ordonnait. Acceptant même sa demande en mariage.

III. Le début de la fin.


Cela dura un temps, et elle se lassa de moi, préférant accueillir des amants toujours plus jeunes, toujours plus vaillants, certainement plus distrayant que moi. Et moi, pauvre idiot prisonnier de sa propre vie, de ses propres remords et de ses torts, je laissais ma vie s'écouler sans tenter de la retenir, sans la vivre non plus. Je regardais les jours s'écouler, un petit peu plus à chaque instant. Je fuyais ma demeure pour passer de long jour à chasser, ramenant rarement ma proie préférant de loin la laisser aux dents des charognards et des braconniers ; passant de longues heures à regarder le monde tourner autour de moi. Passant de longues heures à chercher la solitude. Pourtant c'est en cherchant à être seul que je me suis mis sur son chemin ; il était passionnant, avait l'air d'être plus sage que tout ceux que j'avais pu connaître tout en ayant l'air un peu plus jeune que moi. Et il y avait cette flamme dans ces yeux, celle qui m'avait quitté depuis longtemps. Avide de vie, presque sauvage, alors je me mis à l'envier, à vouloir passer plus de temps avec lui pour apprendre à le connaître, mieux, toujours mieux. Ce n'était pas de l'amour, pas vraiment de l'amitié, juste une furieuse envie d'être plus comme lui. Alors un jour, ou plutôt une autre de ces nuits que je passais dans la forêt à vagabonder, je lui ai demandé ; osant lui demander de m'apprendre à être cette personne qui avait l'air en tout point parfaite, qui avait encore la force de vivre une vie qui semblait trop lourde, trop insignifiante.
Et dans ses mots, dans cette demande que j'imaginais d'une banalité affligeante, presque d'une surprenante et idiote innocence, j'appris qu'il résidait un demande plus profonde pour un être tel que lui. Et déjà, je sentais mon corps se vider de sa vie alors que le coulait le long de ma gorge mon sang encore chaud, ce n'était pas une sensation douloureuse, pas tellement désagréable non plus, et lentement comme emporté par le voilà qui se posé sur mes yeux, je me laissais emporter par la mélodie de mon cœur dont la rythmique se faisait de plus en plus lointaine. Je me laissais glisser alors qu'au loin résonnait sa voix, je l'entendais me dire de boire, d'avaler alors que je sentais mon corps fourmiller d'un rien. Je n'avais plus la force. Je n'avais plus aucune force. Et je m'éteignais alors qu'il plantait une nouvelle fois ses crocs dans ma gorge. Ce qu'il s'est passé par la suite, je ne saurais le dire, ce sont des choses auxquelles je n'avais pas pensé avant, des choses que je n'avais pas même osé imaginer parce que j'étais né à une époque où l'on bénissait tout à force d'une religion qui condamnait toutes les choses extraordinaires. Qualifiant tous les êtres de la nuits de créatures occultes, sataniques, enfants des enfers.
Quand j'ouvrais les yeux, la première chose que je vis c'était un visage que je ne connaissais pas, l'air apeuré, ses gémissements craintifs faisant vriller mes tympans, et me rendait plus agressif que jamais. Et puis, il y avait cette faim qui me galvanisait, un appel que je n'avais jamais encore ressenti, un sentiment intense de manque. Un manque horrible, instinctif, qui prenait tout mon être me faisant oublier jusqu'à toutes mes retenues, alors que je me jetais sur cette innocente retenue par un simple fil à la patte. Impitoyable carnassier, j'arrachais presque sa chair pour venir y boire goulûment cette liqueur de vie que j'aspirais sans vraiment m'en délecter. Un besoin, ni plus ni moins qu'un besoin de sentir sa vie s'échapper sous la violence de cet assaut. Puis elle perdit de sa chaleur, ses gémissements cessèrent, et le tambourinement incessant, presque hypnotisant de son cœur aussi. Il aurait été souhaitable que je ressente quelques remords vis à vis de cette vie que je venais de prendre, mais là où j'aurais dû ressentir tout cela, il n'y avait rien d'autre qu'une espèce de satisfaction malsaine. Et seul cet applaudissement qui résonnait dans la nuit ambiante me fit lâcher des yeux ce corps que je convoitais encore malgré sa mort survenue trop rapidement.
Assis derrière moi, avant une nonchalance exceptionnel, il continuait d'applaudir un sourire aux coins des lèvres. Ce sourire je ne l'avais encore jamais vu, et je comprenais lentement que tout ce que j'avais connu de lui, n'avait jamais été que ce qu'il avait bien voulu me montrer. Jeu de dupe dans lequel j'étais tombé. Jeu de dupe dans lequel, finalement je me complaisais.

IV. Après la mort, le beau temps.


Les jours, les nuits, les mois, puis les années, jusqu'aux décennies, tout s'est écoulé très rapidement. Je me défaussais lentement de tout ce qui faisait moi un être humains, oubliant les sentiments pour me laisser aller à l'animalité. Je suivais Kol durant un temps, puis nos idées ainsi que nos envies finirent par diverger nous poussant à partir chacun de notre coté. Après tout, il n'avait pas besoin de moi, ils vivaient une quelque chose de tout à fait différent, je restais mortel là ou loin semblait parfaitement immortel, capable d'être particulièrement infâmes à certaines instants tout comme il pouvait revêtir le déguisement, parfait, du bon ami. Il était mon créateur, peut être la personne la plus importante dans ma vie, et je sentais quelque part, bien profondément encré en moi, une fidélité à toute épreuve. Un lien très étroit qui, malgré la distance, me semblait indestructible, et qui malgré le temps perdura.
Cinq siècles c'est tout ce temps qui s'écoula jusqu'à maintenant, emportant souvenirs, gentillesse, sympathie, remords, regrets, pour qu'il ne subsiste plus que le vampire. Un sourire un lèvre, cherchant sans cesse la violence et la torture, me laissant aller à l'adoration de ces cris de douleurs qui pouvait rouler dans les chaudes gorges de ces jeunes femmes qui se perdaient dans leur peur viscérale. Je ne me nourrissais dès lors, plus tant de sang, mais surtout de tous ces épanchements si humains. J'ai oublié, et peut être qu'au fond, c'est mieux ainsi, préférable bien qu'impitoyable. Certainement est il mieux pour moi d'avoir omis mon humanité qui me traînait vers le bas, certainement est il préférable pour moi que je sois devenu le monstre que l'on craignait.

TOI , DERRIÈRE TON ECRAN !



Je m'appele Caroline et j'ai 23 ans. J'ai découvert Ghost World grâce à Rose via Facebook et, maintenant que je me suis inscrit, je compte venir dès que je peux. J'aime euh, un peu de tout, à cette heure-vi je vous avouerais que j'ai pas d'idées et ne prenez pas mal ce que je dis, parfois je semble un peu sèche, mais je dis très rarement quelque chose pour blesser, c'est toujours sur le ton de l'humour....

Parrainage ? [x] OUI [] NON


Dernière édition par Charles A. McThesson le Mer 6 Nov - 0:20, édité 6 fois
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sorciers
Jillian Hale
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MessageSujet: Re: Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur...   Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... EmptyDim 3 Nov - 22:18

Bienvenu sur le forum sexy boys ! Amuse toi bien chez nous Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 1709748450
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MessageSujet: Re: Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur...   Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... EmptyDim 3 Nov - 22:19

Charles ** Bienvenu ici et bonne chance pour ta fiche ! Très bon choix de scéna :fff:
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MessageSujet: Re: Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur...   Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... EmptyDim 3 Nov - 22:34

Bienvenue à toi ;)
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MessageSujet: Re: Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur...   Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... EmptyDim 3 Nov - 22:36

Bienvenue sur GW! Enjoy! Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 2016122830
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MessageSujet: Re: Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur...   Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... EmptyDim 3 Nov - 22:39

L'homme de ma vie <3 ( si c'est pas de la déclaration ça xD)
Bienvenue, bonne chance pour ta fiche et j'ai vraiment hâte de rp avec toi (les retrouvailles vont promettre )
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vampires
Damon Salvatore
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MessageSujet: Re: Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur...   Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... EmptyDim 3 Nov - 23:10

Et bien ça si ce n'est pas de la livraison express !

BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE !!! Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 1550764429

Excellent choix of course et bonne chance pour ta fiche !
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http://tag-gallery.e-monsite.com/

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MessageSujet: Re: Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur...   Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... EmptyDim 3 Nov - 23:12

Bienvenue à toi sexy boys, je me laisserait bien croquer pour la peine
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MessageSujet: Re: Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur...   Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... EmptyDim 3 Nov - 23:30

Bienvenue parmi nous! ❤
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MessageSujet: Re: Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur...   Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... EmptyLun 4 Nov - 11:54

BIENVENU parmi nous Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 2016122830 

Citation :
Euh je suis arrivée par facebook, je suppose que ma marraine et la personne qui a posté ce scénario?!
A vrai dire, il s'agit simplement d'une "option" sur le fofo. Si tu souhaites que quelqu'un t'aide à t'intégrer ou t'explique le contexte (ou autre), tu peux demander à avoir un parrain ou une marraine Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 3222413981
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MessageSujet: Re: Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur...   Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... EmptyLun 4 Nov - 12:08

Oui, je sais on me l'a déjà dit, mais j'ai pas encore changé ça! Je l’enlèverais après!

Et merci à tout le monde!
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MessageSujet: Re: Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur...   Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... EmptyLun 4 Nov - 12:11

Bienvenue parmi nous Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 3149989503
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MessageSujet: Re: Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur...   Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... EmptyLun 4 Nov - 13:16

Bienvenue sur GW Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 423957859 !
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MessageSujet: Re: Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur...   Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... EmptyLun 4 Nov - 16:07

" Rose comptait bien plus que toutes ces filles..." Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 2253543525 Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 2253543525 Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 2253543525 Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 2363634485 
"...elle était une partie de moi que l'on m'avait greffé..." Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 1494286615 Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 1494286615 Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 1494286615 Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 1494286615 Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 1494286615 Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 1494286615 Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 1494286615 :jtm: :jtm: :jtm: :jtm: 
"...elle n'était pas de mes convoitises." :cryyy: :cryyy: :cryyy: :cryyy: Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 1942183325 Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 1395046221 Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 23803067 Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 136699104 
Méchant Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 3581421557
Allez, j'arrête de flooder sur ta fiche, bonne chance pour la fiche, le début est très prometteur Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 1993485106
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MessageSujet: Re: Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur...   Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... EmptyMar 5 Nov - 23:31

Allez, je viens officiellement^^ Bienvenue parmi nous :mcgo: 
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SHERIF
SHERIF

morsures : 1870
inscrit(e) le : 23/07/2012
célébrité : Zach Roerig
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MessageSujet: Re: Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur...   Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... EmptyMer 6 Nov - 13:31




Voilà ! Charles A. McThesson ♣ Je croyais que sous ton air de salaud il y avait un cœur... 3149989503
Maintenant, n'oublie de recenser ton avatar ; cela aidera les admins à mettre le bottin à jour pour qu'il n'y ai pas de doublons de célébrité. Après ça, t'es libre de créer ta fiche de liens ainsi que ta fiche de rp's ; cela t'aidera -entre autres- à y voir plus clair dans l'évolution de ton personne. Si tu manques d'action ou de piquant dans ta vie, n'hésite pas à créer ton scénario ; avec un peu de chance, il sera pris dans les jours qui suivent.

Il arrive que l'on soit timide mais, tu n'as rien à craindre sur GW ; nous sommes tous aussi déglingués les uns que les autres. Pour t'aider à mieux t'intégrer, il t'es possible de demander un parrain/une maraine ; ils seront là pour toi tout au long de ton aventure sur le forum o/

Pour finir, il ne te restera plus qu'à t'amuser parmi nous et, pour nous aider à ramener du monde sur le fofo, n'hésite surtout pas à voter pour le fofo sur le Top-Site.

HAVE FUN !
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