Invité | Sujet: MADDOX ▽ I can crush your skull without even blinking Ven 25 Oct - 1:17 | |
| Maddox Pryam Lancaster robert amell ; tumblr
Mon nom est Maddox Pryam Lancaster et, je suis arrivé à Mystic Falls depuis un mois seulement. J'ai 24 ans ainsi que toutes mes dents et, jusqu'à nouvel ordre, je suis concierge au lycée de Mystic Falls. Je suis un sorcier accompli et, tolère la présence des vampires parmi les humains.
Petit rappel : tous les habitants de MF connaissent désormais l'existence des vampires.
DITES-NOUS TOUT , CELA NOUS INTÉRESSE
Honnêtement, Maddox ne se sent pas plus ou moins en sécurité à Mystic Falls. Il connaissait parfaitement l’existence des vampires avant leur exposition au public, et connaît toujours leur existence aujourd’hui… Bref, on se perd… Tout ça pour dire que ça ne change pas grand-chose à sa manière de voir les choses. Bien entendu, ce n’est qu’une question de temps avant que les sorciers soient découverts aussi, si les vampires le sont et les loups quasiment… Maddox n’est pas effrayé, non, il est bien content de la situation. D’après lui, les vampires se sont mis les deux pieds dans le même plat en révélant de la sorte leur nature aux humains. Ou alors on pourrait le voir autrement. Le début d’une suprématie, gagner la confiance des humains, instaurer un calme avant une tempête… Dans ce cas ci, Maddox doit avouer que ces suceurs de sang ont étés ingénieux. Sinon, ils ont simplement signés leurs arrêts de mort. Personnellement, il n’a rien contre eux. Ils sont considérés comme des abominations aux yeux de la Nature, mais le jeune homme est pratiquant de la magie qui les a transformés. La magie noire. Pour lui, ils ne sont donc qu’une source de profits, de bénéfices et d’opportunités sur lesquels il peut parfois en tirer quelque chose.
TOUTE HISTOIRE MÉRITE D'ETRE RACONTÉE
instable - peu bavard - distant - intelligent - adroit - pervers - altruiste - arrogant - indifférent - indépendant - autonome - vif d'esprit - calculateur - cynique - sarcastique - direct - bon menteur - fourbe - ingénieux - joueur - tenace - possessif - convaincant - opportuniste - philogyne - avide - observateur - étrange - énigmatique Angleterre, 1989. Cora Lancaster souffrait le martyr en tentant de donner la vie à son fils. Son état était instable, elle perdait du sang, beaucoup trop de sang, et ça, les docteurs s’en rendaient parfaitement compte. Une hémorragie de ce genre ne résultait jamais rien de bon, et au final, la mère mourait souvent. Comment pouvait-on perdre la vie en même temps de la donner? C’était illogique, c’était quelque chose d’insensé, pourquoi avoir conçu la femme de cette façon? Lui donner la possibilité de porter un être vivant en soi, de le nourrir, de savoir qu’un petit cœur bat au même rythme que le sien dans son ventre… Alors pourquoi trouver la mort par la suite? Ça, c’est une question que Maddox c’est longtemps posée. Pourquoi? Pourquoi la vie est injuste au point d’enlever sa mère à un enfant naissant? La réponse à cette question, il l’a découverte bien plus tard, à l’âge de quatorze ans, plus précisément… La Nature a toujours besoin d’une balance quelconque… Une vie donnée en échange d’une autre enlevée, mais pourquoi ne pas enlever les mères de tout le monde alors? Peut-être que les esprits le savaient… Oui, ils savaient probablement, ils savent tout... Une vie enlevée en échange des nombreuses que Maddox a lui-même prises de manière égoïste et avide… Il payait déjà ses actes futurs en étant nourrisson. Enfin, c’est de la pure théorie, rien de ce qu’il affirme n’a été prouvé, mais si la Nature a un contrôle total sur l’équilibre de ce monde et de celui de l’autre côté, elle savait, fort probablement, c’était presque une certitude pour le jeune homme… Et voilà qu’elle poussait son dernier soupire. Cora Lancaster venait de donner naissance à un petit garçon à la chevelure foncée et aux yeux aussi bleus et azurés que l’océan. À ce stade on se demande comment un être aussi innocent peut devenir l’homme qu’il est aujourd’hui, mais patience, ça viendra… *** Maddox se retourna vivement vers la fenêtre, où il venait d’apercevoir des lumières de phares. Son père était venait de rentrer, et le petit bonhomme, du haut de ses dix ans, bondit par-dessus le fauteuil et fila comme une flèche vers les escaliers, qu’il monta deux par deux, pour finir dans sa chambre. Il rentrait tard, il était presque trois heures du matin, et le paternel était fort probablement sous l’effet de l’alcool. Il l’était souvent, la plus grande majorité du temps. Et Maddox vivait un enfer. Le garçon de dix ans se faisait blâmer pour la mort de sa mère. Son père le frappait et le traitait d’assassin de sa voix pâteuse et effrayante, dû aux nombreux verres qu’il s’était permis. C’était les seules fois où il entendait parler de sa génitrice. Sinon, pas un mot, pas un seul détail, le père laissait le fils dans un blanc total, et malgré les nombreuses questions qui se bousculaient dans la tête de Maddox, il ne voulait pas les poser. Le géniteur monta les escaliers en appelant pour son fils. Sans doute voulait-il se défouler... Son père était en souffrance, il était peiné et noyait son chagrin dans l’alcool et la violence. La porte de la pièce fut ouverte violemment alors qu’il fixait son fils un air meurtrier collé au visage. –T’aurais du prendre la place de ta mère, t’aurais du crever en naissant, et elle aurait du vivre. Effrayé, Maddox se précipita derrière son lit, histoire de mettre le plus de distance entre eux, malgré la grandeur de la chambre, assez petite. –Allez viens ici petit morveux. Avait-il dit alors qu’il l’empoignait violemment par la chevelure pour le tirer vers lui. Ses membres plus grands et sa force physique grandement supérieure à la sienne, Maddox ne pouvait rien faire, sauf gémir de douleur face à la poigne de fer de son père sur ses cheveux. Il sortit son fils de la pièce, toujours en le malmenant, et Maddox lui assena un bon coup de pied au tibia qui lui fit lâcher prise pendant quelques secondes. Le père poussa quelques jurons face à la douleur et se retourna vers l’enfant qui se trouvait maintenant près de la porte des toilettes. –Tu vas voir… La frayeur montait en flèche dans l’organisme de Maddox alors qu’il voyait son paternel approcher dangereusement. Soudainement, il se mit à avoir chaud, extrêmement chaud, comme si le petit garçon de dix ans bouillait de l’intérieur, comme s’il suffoquait, et ce besoin pressant de faire évacuer cette chaleur insupportable assimilait la peur qu’il ressentait quelques secondes plus tôt. Maddox posa son regard sur son géniteur, et le fixait un air de défi collé au visage. Il se concentra sur le bras de son père, celui avec lequel il était habitué de le frapper, et plus rien d’autre ne semblait avoir d’importance pour le gamin. Lancaster Senior s’approchait encore, tendit ce fameux bras vers son fils pour lui donner une bonne leçon, et à seulement quelques centimètres de son enfant, son bras pris brusquement en feu. De hautes flammes orangées qui venaient de sortir de nulle part. Un cri de frayeur, de douleur, et une odeur de chair brûlée s’en suivirent rapidement, devant un Maddox bouche-bée, et qui étrangement, venait d’évacuer ce sentiment de chaleur intense qui brûlait à l’intérieur de lui… *** Sociopathe à tendances pyromanes… C’était l’hypothèse du psychiatre chez qui cette travailleuse sociale l’avait emmené. Bien entendu, on avait fait plusieurs diagnostics, plusieurs tests servant à détecter la moindre faille, la moindre alarme dans le cerveau de Maddox, mais rien… Ce qui c’était produit n’avait rien d’ordinaire, c’était quelque chose de jamais vu… Alors les médecins utilisaient ces termes. Sociopathe, pyromane… Un enfant de dix ans sérieusement? Bref, on ne l’a pas interné pour une histoire de la sorte, même si son paternel allait probablement passer plusieurs mois voir années à l’hôpital. Plusieurs brûlures au troisième degré, et ce, sur la quasi-totalité de son organisme. Ce qui avait commencé par son bras s’était propagé, et Maddox ne ressentait pas la moindre once de culpabilité. Il l’avait mérité, il avait joué avec le feu et il s’était brûlé, pour ne pas faire de petits jeux de mots drôles… C’est sa grand-mère, la mère de la sienne qui l’a pris sous son aile quand personne ne voulait de lui. Ses oncles et ses tantes ne voulaient pas avoir à faire à lui, surtout après l’épisode du soit disant petit pyromane, et les familles d’accueilles ne voulait rien entendre lorsqu’on lui racontait le cas du petit garçon perturbé et qui avait envoyé son père sur un lit d’hôpital… Sa dernière option était l’orphelinat, ou encore un centre de jeunes délinquants, mais elle est arrivée… Maddox ne l’avait jamais vue auparavant. Grande, mince, les cheveux aussi blancs que neige remonté en chignon, habillée à la manière des gens riche… Elle avait les lèvres pincées qui lui donnait un air extrêmement sévère et ce petit quelque chose dans les yeux de la vieille dame lui démontrait bien que ce n’était pas la plus aimable des femmes. Mais elle restait néanmoins la seule et unique personne qui avait bien voulu de lui dans des moments plus difficiles. La découverte de ses pouvoirs de sorciers, cet accident terrible, et elle qui se pointait au dernier moment… En conclusion, Maddox est parti avec elle. La vieille dame lui avait tendu sa main ridée et il l’avait prise sans broncher, en la suivant vers sa voiture. Après tout, elle était sa nouvelle famille… *** C’est après quatre ans de vie commune avec sa grand-mère maternelle, que Maddox découvrit finalement ses véritables origines. Il tenait son don de sa mère, qui s’était avéré être une excellente sorcière. Honnêtement, Maddox n’a pas du tout été confus, ou effrayé lorsque sa grand-mère lui a avoué la vérité. Des évènements tellement étranges au cours de son adolescence ont fait en sorte qu’il pensait déjà être quelque chose de pas humain. Lorsqu’il ressentait des émotions fortes, la plupart du temps négatives, des objets se brisaient, des gens se blessaient, les lumières clignotaient… Bref, l’hypothèse d’être un sorcier semblait tout aussi plausible, et puis Maddox croyait sa grand-mère, avec qui il venait tout juste de passer quatre longues années. Selon cette dernière, il descendait d’une lignée de sorcières vivant en Nouvelle-Angleterre au 17e siècle. À la base pratiquante de magie blanche et de magie personnelle, elles formaient ensemble, un couvent de treize sorcières, reliées par le sang ou non. C’était un couvent assez puissant, considéré comme des guides au sein de sa communauté et en liaison très profonde avec les esprits. Néanmoins, l’une d’entre elles fut corrompue par la magie noire, lorsqu’elle tenta désespérément de ramener l’homme qu’elle aimait à la vie et que sa demande fut totalement rejetée par les esprits. Caitlin Bradshaw, c’était son nom. Selon la grand-mère de Maddox, cette sorcière en particulier aurait assassiné de sang froid son couvent en entier pour accéder à un genre de pratique qui pourrait lui permettre de ramener son homme à la vie. Une forme de sorcellerie qui ne serait même pas appelée magie par les autres sorcières et qui porterait le terme ‘’expression’’. Bon, en bref elle n’a pas réussi, a donné sa vie et son bien-aimé est resté parmi les morts, d’après sa grand-mère… Bien évidemment, vous vous doutez sûrement que cette même femme, Caitlin, est une ancêtre éloignée du jeune Lancaster, mais jamais celui-ci n’a porté une véritable attention à cette histoire. Contrairement à sa gardienne légale, qui était en admiration devant l’histoire de sa lignée… C’est elle qui lui a tout appris au sujet de ses pouvoirs, à comment les utiliser, apprendre à les canaliser, à les contrôler… Elle lui a appris l’existence des loups, des vampires, bref, de tout. Tout et absolument tout sauf une seule et unique chose. La mention de magie noire dans ses enseignements. En effet, ayant appris la découverte de son statut de sorcier à l’âge de quatorze, Maddox a gobé l’éducation et les vertus que sa grand-mère lui a transféré, sans réellement se rendre compte qu’elle lui apprenait en réalité, des bases de magie noire. Des moyens pour détourner les plans de la Nature, de la perturber. Lentement et sûrement, elle réussissait. Au début plus discrètement, et puis de plus en plus souvent, au point où Maddox n’a jamais eu de réelle connexion avec les esprits, ayant exercé de genre de magie depuis ses plus jeunes pratiques… C’était son mentor, son guide, et jamais Maddox ne s’est douté de sa corruption. Mère grand utilisait son petit fils pour essayer et tester des sortilèges et des rituels de cette magie malfaisante, au point de l’affaiblir totalement, et de lui faire frôler la mort. Ce n’est que plus tard, vers l’âge de dix-huit ans qu’elle avoua avoir fait de lui quelqu’un de mauvais. ‘’Un cœur noirci’’ qu’elle disait souvent, avec fierté… Si ce qu’elle disait était vrai, alors la pratique de Maddox se résumait à de la magie noire, uniquement, méprisé par les esprits, qui manifestaient leur mécontentement assez régulièrement… *** Vers l’âge de vingt ans, il était quasiment impossible pour Maddox d’utiliser ses pratiques qu’il apprenait depuis l’âge de quatorze ans. Les esprits étaient devenus plus que strictes avec lui, et Maddox décida d’arrêter. User de magie noire n’était pas quelque chose qui le dérangeait, et devoir renoncer à son statut de sorcier le frustrait plus que tout au monde. Il avait enfin trouvé un petit sens à sa vie, en découvrant ses origines et les esprits venaient de la dénuer de tout sens. On l’avait clairement prévenu que le prochain rituel qui perturberait un tant soit peu la Nature serait son dernier. Maddox a prit cet avertissement très au sérieux, jusqu’au jour où sa grand-mère vint à lui avec une soit disant solution. -Comme Caitlin. Avait-elle dit… -L’expression te permettra d’accéder à nouveau à tes pouvoirs, à ce que tu voudras… Mais les dommages collatéraux étaient élevés, très élevés. Tuer au minimum douze âmes, et taper dans ce lieu sombre pour en retirer une énergie puissante, qui le délierait des esprits. Quand on y pense aujourd’hui, la grand-mère de Maddox avait peut-être eu ce plan en tête toute sa vie… Récupérer l’enfant, lui enseigner la magie noire, faire en sorte que ce soit la seule magie qu’il puisse connaître, pour que les esprits lui tournent le dos, et finalement le pousser vers l’expression, faire quelque chose qu’elle n’a jamais osé faire… -Les esprits se sont tournés contre toi, ils t’ont refusé l’accès à leur puissance, et tu n’es plus apte à faire ce que tu faisais avant, tu vas te contenter de magie personnelle le restant de tes jours, Maddox? C’était cette réplique qui l’avait fait réagir. Non, non, il n’allait pas puiser dans ses propres forces physiques pour user de sa magie, et ce, pour le restant de sa vie. Peu importe les conséquences de ses actes. –Par où doit-on commencer? Avait-il répondu d’une voix dénuée de toute émotion… *** - Ex Spiritum Intaculum, In Terrum Incendium, Phasmatos Salvis Adisdum! Les flammes prenaient de plus en plus d’ampleur, et les cris des gens invités à cette petite soirée mondaine organisée à Oxford donnaient froid dans le dos. Maddox étaient en train de puiser dans sa magie personnelle, dans sa propre énergie pour altérer le niveau des flammes du feu qu’il avait lui-même commencé quelques minutes plus tôt. - Ex Spiritum Intaculum, In Terrum Incendium, Phasmatos Salvis Adisdum, Presmatos Sareves Adisto! Les gens c’étaient regroupés autour du bâtiment en feu, alors que Maddox continuait de prononcer son incantation en retrait du groupe. Plusieurs camions de pompiers apparurent sur les lieux, du mouvement, des gens agités… Pendant plusieurs heures, les pompiers tentèrent de stopper les flammes, en ignorant qu’elles étaient tout simplement le produit de la magie, et l’eau ne pouvait rien y faire. Maddox avait choisi cette soirée parce que c’était l’endroit parfait pour qu’un incendie prenne accidentellement… Pas de détecteurs de fumée, plein de gens fumeurs de cigarettes, des briquets partout, des gosses de riches saouls qui se croyaient invincibles, et au total, vingt-quatre morts, zéro survivant. Vous vous demandez probablement comment quelqu’un est capable de tuer vingt-quatre personnes sans avoir de remords… Eh bien détrompez-vous, Maddox a des remords. Il s’en veut pour le meurtre de ces innocents, mais ne le regrette pas. Grâce à eux, il est désormais capable d’accéder à nouveau à ses pratiques, et plus encore. Ses anciens sortilèges étaient certes puissants, mais contrôlés par les esprits à chaque instant. L’expression lui permet une certaine liberté, une once de pouvoir auquel il s’est très attaché. C’était un geste cruel et égoïste, mais que Maddox a jugé nécessaire. Il a d’ailleurs du prendre ses distances, au début incapable de contrôler ses pouvoirs qui prenaient lentement vie par eux-mêmes. Étroitement reliée à ses émotions, cette puissance se manifestait à n’importe quel moment, sans que Maddox ne le veuille réellement. Mais dans la mesure où il a toujours été apte à canaliser les forces malfaisantes de ses sorts et à en subir les conséquences, jusqu’à atteindre la limite, il a su se contrôler. Il a su contenir son expression, et est aujourd’hui en parfait contrôle de cette pratique pour le moins douteuse. Après cet épisode, Maddox a quitté sa grand-mère. Il l’a laissée à Oxford, en bon terme, tandis qu’il est partit vivre quelques années au Canada, en France puis un peu partout au travers des États-Unis, avant de s’installer à Mystic Falls. Sa raison principale? Le flux de pouvoir qui découle de cette ville, remplie de créatures surnaturelles…
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Dernière édition par Maddox P. Lancaster le Dim 27 Oct - 20:02, édité 15 fois |
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