Candice . all i`ve ever needed is myself.

A. Candice Sanders

c'est tout moi ça !

La personnalité de Candice n'est plus à forger, la jolie blonde puise sa force dans chaque instant de sa vie, dans chaque chose du quotidien. Ses qualités sont ses principales armes, et ses plus forts atouts. Candice est une femme attachante, à qui l'on ne peut rien refuser, pas même les choses les plus farfelues. Sa force de persuasion est grande, et le vampire n'hésite pas à user et abuser de tous les moyens possibles pour parvenir à ses fins. Ce qui peut constituer une véritable épreuve pour les personnes à qui elle s'adresse, car Candice est une femme obstinée, qui ne lâche jamais son but si elle ne l'a pas atteint. Déterminée et ambitieuse à la fois, la belle blonde se donne toujours les moyens d'atteindre ses objectifs, et son âge avancé renforce cet aspect de sa personnalité. Du haut de ses sept-cent ans, Candice a appris à ne plus reculer devant un objectif, et à foncer tête baissée pour y parvenir. L'impulsivité est d'ailleurs un élément fort de son caractère, et ne manque pas d'être remarqué. Lorsque le vampire a quelque chose en tête, elle prend seulement quelques secondes pour réfléchir à la manière d'y parvenir, et se lance sans pour autant avoir pensé à tout. C'est peut-être ce qui fait qu'elle peut parfois se mettre dans des situations gênantes, car elle n'avait pas forcément pensé aux conséquences de ses actes. Mais généralement, elle arrive à anticiper ces choses là, et à se sortir aisément d'un mauvais pas.

Jalouse et possessive, Candice ne supporte pas que les autres lui prennent ce qu'elle désire. Et ce, autant dans la vie de tous les jours qu'en amour. Elle aime que les choses soient à elle, et à personne d'autre. Sans quoi, elle n'hésitera pas à le faire savoir. Toutefois, le vampire ne s'emportera pas aussi rapidement ; son impulsivité n'est pas poussée à l'extrême, et la laisse tout de même faire la part des choses quand il le faut. Son sens de la loyauté est assez impressionnant, et Candice s'efforce d'être respectueuse envers ses interlocuteurs. Elle n'aime pas réellement s'attirer des ennuis ou se mettre les autres à dos. Pour elle, l'amitié peut être une véritable force, car elle sait qu'elle pourra compter sur ses proches ; tout comme ils savent qu'ils pourront compter sur elle, quoi qu'il arrive. Candice est une personne de confiance, sur qui l'on peut compter, se reposer. Elle n'hésite pas à faire passer les autres avant elle, si c'est ce qui peut rendre tout le monde heureux. Malgré ses sept-cent ans, la belle blonde n'est pas un vampire avide de pouvoir, qui cherche seulement à se faire respecter. Elle est avant tout une femme avec un cœur, et des sentiments. Une femme fragile et à fleur de peau, dont on doit prendre soin.

tout commença ainsi...

Le XIVème siècle, probablement une des époques qui aura le plus marqué ma vie. C'est là qu'elle a commencé, et c'est aussi là qu'elle a pris un tout autre tournant. Je suis née dans une petite famille modeste, en Angleterre. J'étais destinée à vivre tranquillement, comme je le sentais, bercée par une éducation rigoureuse mais agréable. Depuis toute petite, mes parents m'ont appris à profiter de chaque instant, à vivre ma vie comme je le sentais, en laissant de côté les mauvaises choses, et en ne gardant que les bonnes. Et c'est plus ou moins ce qu'il se passa - durant les vingt premières années. Puis, lors de ma vingt-et-unième année, toute ma vie bascula, et vola en morceaux. Je suis rapidement tombée malade, à cause d'une forte épidémie de grippe frappant tout le continent. Mon état s'aggravait de jour en jour, et sans cesse, les paroles de ma mère retentissaient dans ma tête. « Profite de chaque instant, et vis ta vie comme tu le sens. » Un apprentissage que je me devais de respecter. Ce jour-ci, j'étais dans un lit, peau brûlante, membres tremblants. Je vivais là mes derniers instants, à seulement vingt ans. Une chose impressionnante, mais presque habituelle à cette époque là.

C'est alors que tout a changé. Alors que ma mère s'était endormie, je la regardais, une larme roulant le long de mon visage. Puis, une personne est venue à moi. Un bel homme avec une certaine classe. Je ne le connaissais pas, mais je n'étais pas assez forte pour avertir ma mère. Je ne voulais pas bouger un peu plus, car je risquais de rendre mon dernier souffle. C'est alors que le bel inconnu a porté son poignet à ses lèvres, avant de faire tomber quelques gouttes de son sang entre les miennes. Le liquide chaud a coulé le long de ma gorge. Je me suis évidemment débattu, sans penser aux conséquences. Ma mère s'est réveillée, et l'homme est partie. Mais avant que cette dernière n'ait pu faire quoi que ce soit, mes efforts avaient été vains, et étaient parvenus à ma fin. Mon corps était encore chaud, mais inanimé.

Le temps passa, les funérailles se préparaient. Et c'est lors de cette funeste journée que tout a réellement changé. Bien vite, mes esprits revinrent à eux, et mes membres semblaient me répondre. Ma respiration se faisait plus rapide, et plus aisée. La lumière de ma lampe de chevet me frappait la tête, comme si mon cerveau allait exploser. Lorsque le prêtre arriva seul dans la pièce, mes sens s'aiguisèrent. Sa surprise lorsqu'il me vit, réveilla en moi un instinct que je ne connaissais pas ; la soif de tuer. Je ne contrôlais aucun mouvement, rien. Mon corps se jeta sur lui sans que je ne puisse rien faire, et mes crocs se plantèrent dans sa gorge. J'avais du mal à le croire, mais j'étais un vampire. J'ai alors vécu éloignée de ma famille pendant plusieurs années, sans jamais revenir à mon foyer. Mes funérailles avaient été organisées sans que personne ne sache que le corps se trouvant dans le cercueil était celui du prêtre, et non le mien.

Les années passèrent, et je vis ma famille disparaître, impuissante. La peste les emporta un par un, sans que je ne puisse rien faire. Ma vie était désormais totalement changée. J'étais un vampire, et je n'avais plus de famille. Pendant toutes ces années, je revis fréquemment l'homme qui m'avait ramenée à la vie. Un certain Elijah. Nous nous sommes vite rapprochés, voyageant assez souvent ensemble. Tant et si bien que je finis par faire plusieurs fois le tour de l'Angleterre, ce qui me mena à connaître ces terres comme ma poche. Les siècles passèrent à une allure impressionnante. Le temps semblait être accéléré, comme si je n'avais plus aucune prise sur lui. J'allais de voyages en voyages. Parfois seule, parfois accompagnée. L'Angleterre, la Nouvelle Orléans, les Etats-Unis, l'Inde. Tant d'endroits si différents les uns des autres.. Durant toutes ces années, j'ai appris à contrôler ma soif de sang. Je ne voulais pas faire de mal aux autres, alors je ne me nourrissais que de sang animal, ou de poches de sangs. Je ne préférais pas boire directement à la source, trouvant cela absolument ignoble.

Ces nombreux voyages me conduisaient toujours au même endroit, l'Angleterre. Probablement une certaine nostalgie. C'était un des rares endroits où je faisais tout pour me faire respecter. Je me devais de « protéger » mon territoire. Et lorsqu'un autre vampire que moi arriva en ville, je ne pus m'empêcher de la défendre. C'était un certain Stefan Salvatore. Plutôt bel homme, mais qui ne semblait pas réellement partager les mêmes idéaux que moi. Nous nous sommes d'abord confrontés, puis nous avons fini par nous rendre à l'évidence ; aucun de nous deux ne constituait un réel danger. Alors, nous avons rapidement appris à nous connaître, pour finalement nous rapprocher. Ma connaissance parfaite de l'Angleterre me permit de lui faire visiter entièrement. Très vite, une réelle complicité s'est installée entre nous deux. Partagée entre amour et amitié, notre relation était relativement ambiguë, jusqu'au jour où Stefan décida de repartir à Mystic Falls, sa ville natale. Là où vivait cette fameuse Elena Gilbert dont il m'avait tant parlé. J'ai alors immédiatement compris qu'il voulait la revoir, ses sentiments pour elle n'étaient pas encore totalement effacés, ce qui me rendait incroyablement jalouse. Ma possessivité me poussa à couper toute relation avec lui.

Et pourtant, je ne cessais de penser au beau vampire. Trois mois durant, je ne pus me résoudre à l'oublier. Malgré quelques relations éphémères, mes pensées étaient toujours dédiées à Stefan Salvatore. Ce qui me poussa à aller à mon tour à Mystic Falls. Je voulais une seule chose : m'excuser, et retrouver cette relation et cette complicité d'autrefois.

qui suis-je vraiment ?

Coucou, moi c'est Cora sur les forums, et j'ai dix-huit ans. J'ai connu le forum grâce à un partenariat, et je le trouve très intéressant et original. Je me connecterais, en général, tous les jours.