Invité | Sujet: Lloyd // Qui sait ce qu'on peut cacher derrière un sourire? Dim 16 Juin - 1:27 | |
| LLOYD C. ADAMS NOM ; ADAMS PRÉNOM(S) ; Lloyd Carl ORIGINES ; Américaines ÂGE ; 50 ans en vrai mais 38 d'apparence STATUT SOCIAL ; Marié PROFESSION ; Avocat AVATAR ; Matt Bomer CRÉDITS ; écrire ici, de la bannière/gif, des icons | GROUPE ; Sorcier PLUS GRAND RÊVE ; Atteindre un plus haut sommet PLUS GRANDE PEUR ; Perdre son fils et Melinda RAPPORT AUX AUTRES GROUPES ; Il est au courant mais s’en moque, ne prend partie pour personne car il est avocat et ne veut pas perdre un client pour cette raison |
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c'est tout moi ça !
Se décrire n'est pas le plus facile des exercices pourtant je crois pouvoir me plier à règle et passer cette rude épreuve. La première chose que je peux dire sur moi c'est que je suis un grand charmeur et cela m'a toujours été utile dans ma vie profesionnelle comme personelle. En tant qu'avocat savoir mentir et charmer un jury est une chose primordiale. Quand à ma vie sentimentale, j'ai toujours sur faire craquer tout le monde et leur faire faire ce que je veux. Enfin ça c'était avant que je rencontre Melinda. Maintenant je suis un homme marié, fidèle et surtout très heureux. Mais je ne suis pas que cela, je suis aussi un père certe un peu maladroit mais qui adore plus que tout son fils. Je ferais tout pour lui et je pense qu'il l'a comprit, ce qui ne pourrait pas me rendre plus heureux. J'ai beaucoup d'argent et j'en suis très fier car je l'ai gagné par moi même mais pour autant, je me considère comme quelqu'un de généreux, toujours prêt à donner aux bonnes oeuvres. Après tout, j'aurais aimé qu'on m'aide si je n'avais pas fait carrière et que j'avais fini à la rue. Je suis en permanence caché derrière une façade et rare sont les personnes qui ont su la transpercer pour voir qui je suis en réalité. Bien sur quand je dis quelques personnes, je parle la encore de ma femme et mon fils. Malgré mes talent d'orateur, je sais être un grand maladroit quand on me prend au dépourvu. Il m'arrive de cafouiller pas mal quand j'essaye de dire des choses qui viennent du fond de mon coeur et cela donne des situations assez comique. Après tout, je suis plus à l'aise dans le mensonge. Je suis aussi sensible même si je n'aime pas le reconnaitre. Un très bon film peut me faire pleurer de même qu'un oeuvre d'art pleine de sens. Je suis aussi quelqu'un de très inquiet. Je me fais en permanence du soucis pour mes proches, ayant déjà perdu quelqu'un de très important pour moi, je ferais tout pour éviter tout cela. Vous croyez que j'ai tout dis sur moi? Détrompez vous! Je suis bien plus qu'un avocat à succés, je suis également un sorcier assez puissant. Pourtant, je n'aime pas tellement faire étalage de mes pouvoirs. Je me vois plus comme un prestidigitateur que comme un sorcier mais attention, cela ne veux pas dire que je ne peux pas vous tuer assez rapidement.
tout commença ainsi...
On ne dirait pas cela de moi quand on me voit pour la première fois mais je suis né dans une petite bourgade perdue au fin fond de la forêt nommée Falls Dawn. Je détestais tout ce cet endroit quand j’étais jeune. Je détestais comment les gens te regardait quand tu marchais dans la rue, comment tu les entendais chuchoter entre eux sur les derniers ragots craquant, je détestais le fait qu’il n’y ait personne de nouveaux qui ne venait jamais ici et je détestais même le nom de ce patelin perdu. Mais que voulez-vous, j’étais jeune, tête brulé et tout ce que je souhaitais c’était vivre dans une grande ville pour faire la fête tout le temps. Oui, déjà adolescent j’étais un fêtard qui adorait les jolies filles. Mais j’étais bien plus que cela. A 14 ans, j’arrivais à vendre des jouets vieux et cassés à des prix exorbitants à certains de mes amis à force d’arguments tous plus faux les uns que les autres. Ma mère disait de moi que j’aurais réussis à vendre un pantalon à un homme tronc si j’avais vraiment voulu. Mon père lui, me disait que je devrais faire avocat car je réussis toujours mes plaidoiries. Ils n’étaient peut-être pas très bien éduqués mais ils avaient du nez. Pourtant, je refusais en bloc cette idée. Quand on me parlait de ce métier je voyais un vieux garçon coincé dans un costard trop petit pour lui avec une cravate énorme et avec une calvitie tout aussi imposante. Rien de ce qui pouvait m’intéresser. Je n’arrêtais pas de répéter à mes amis que je voulais faire un métier qui impressionnerait les femmes et comme tous les adolescents j’avais d’abord pensé à astronaute mais ce rêve tomba rapidement à l’eau car j’avais le vertige. Je voulus ensuite devenir pilote de course mais abandonnait aussi, trop contraignant. Finalement, ma dernière année de lycée commença sans que je sache quoi faire de ma vie. Je connaissais mes points forts mais également mes limites. J’étais beau, et je le savais, j’étais un beau parleur, un grand menteur et un bon leader. Pourtant la vente ne m’intéressait pas. Finalement tout bascula dans ma vie lorsqu’on nous emmena voir un procès avec ma classe d’économie. J’avais passé la matinée à râler qu’on allait se faire chier comme des rats morts mais lorsque l’avocat entra dans la salle et commença à parler, je me sentis hypnotisé. Les gens l’écoutaient avec un grand respect et semblait même persuadé qu’il avait raison. Pourtant je sentais qu’il ne disait pas la vérité. Lorsque je sortis de la, j’avais pris ma décision : je serais un avocat. Je voulais que tout le monde me respecte et m’admire comme avec ce gars.
On pouvait penser que cela serait le plus gros changement de mon adolescence mais pas du tout. Deux autres événements arrivèrent cette année. Tout d’abord, mes notes m’avaient permis d’intégrer la prestigieuse université d’Harvard. Tout heureux, je venais de rentrer à la maison pour annoncer à mon père la merveilleuse nouvelle quand je remarquais que quelque chose n’allait pas chez lui. C’était visible au fond de ses yeux. Quelque chose le tracassait et je pouvais sentir qu’il ne savait pas s’il devait men parler ou pas. J’avais toujours eu un don pour ses choses-là et d’habitude, je m’en foutais pas mal, décidant que quand la personne en aurait marre des secrets il ou elle finirait par me le dire. Pourtant cette fois c’était totalement différent. Mon père me félicita tout d’abord avant de me demander de m’assoir. Il hésitait puis rapprochait une bougie de lui. Il commença à me parler, à m’expliquer qu’il y avait un secret dans notre famille, quelque chose qui faisait que nous étions tellement particuliers. Il finit par lâcher ce mot que je me mis tellement à détester par la suite : nous étions des sorciers. Bien sûr, ma première réaction fut de rigoler tout ce que je savais. Je ne pouvais plus m’arrêter tellement je trouvais cela stupide. Pourtant mon rire finit par se bloquer au fond de ma gorge lorsque je vis la bougie s’allumer toute seule. Il me dit qu’il pouvait maitriser le feu et la terre. Je ne le laissais pas finir sa phrase et partis de la maison. Ce soir-là, je bu jusqu’à ne plus pouvoir dans un parc, seul et ne rentrait que deux jours après. Je ne pouvais même pas regarder mon père. Je ne savais pas pourquoi je réagissais comme cela mais c’était plus fort que moi.
Plusieurs mois étaient passés depuis cette grande nouvelle et j’avais décidé de tout simplement tout oublier de ce que m’avait avoué mon père. J’étais un étudiant d’Harvard et j’étais bon ! Major de ma promotion sans trop forcer, j’étais autant populaire auprès des femmes que les joueurs de football américain et au final, j’avais tout ce que je voulais. J’avais troqué mes jeans et tee shirt contre des costumes. Un sourire assuré avait pris place sur mon visage et ma démarche était celle d’un homme sophistiqué. Personne n’aurait imaginé que je venais d’une petite ville perdue au milieu de nulle part. D’ailleurs je me passais bien de le dire à qui que ce soit. Durant ces années à la fac, je m’étais rapproché d’un de mes collègues de dortoir. Il était à peine plus âgé que moi mais je sentais que quelque chose n’allait pas chez lui. Il était différent… Un jour, mon père m’appela. Me mettant à l’écart, au fond du parc, je décrochais. Il m’annonçait que ma mère était malade, vraiment. Mais ce n’était pas une maladie normale, non, c’était un sort. Quelqu’un de très puissant avait décidé d’en finir avec elle de la manière la plus vicieuse qu’il soit. Le sort qu’il lui avait jeté allait la tuer à petit feu et mon père n’était pas assez puissant pour l’en sortir. A ce moment-là, deux sentiments me remplirent. J’étais enragé que mon père ne puisse rien faire. Je pensais qu’il était un sorcier puissant, même si j’avais décidé d’occulter cela de mon esprit pendant un moment. Pour moi, il n’était pas imaginable qu’il eut été aussi faible. D’un autre côté je maudis la magie et je maudis mon père pour ne pas m’avoir dit qu’il s’agissait d’un simple cancer ou de quelque chose… d’humain. De colère, je tapais contre un arbre et vis quelque chose que je n’attendais pas. Une flamme qui montait le long du tronc. Tombant en arrière, je me rendis compte que je saignais du nez. Abasourdis, je ne me mis à bouger que quand j’entendis des pas derrière moi. La personne qui arriva devant moi était le garçon étrange de mon dortoir. Il s’assit à côté de moi, regardant mon visage et me souris. Il me dit qu’il savait que j’étais un sorcier depuis un moment mais il attendait de me voir à l’œuvre. Il voulait me montrer quelque chose. Je le vis sortir son téléphone et envoyer un texto avant de me faire signe de le suivre. Normalement j’aurais posé au moins une centaine de question avant de lui emboiter le pas mais j’étais encore sous le choc, physique et psychologique, de ce qu’il venait de se passer. J’étais à peine conscient de l’endroit où j’allais et d’un coup, je me retrouvais en face de 5 personnes. Liam, mon colocataire me les présenta comme des gens « comme moi ». Cela me fit l’effet d’une douche froide. Reprenant mes esprit, je partis vers les résidences et m’enfermait dans ma chambre. A peine quelques minutes plus tard j’entendis taper à la porte et la vis s’ouvrir. C’était une des personnes qui était dans les bois quelques minutes avant, une jeune femme avec des longs cheveux noirs et des yeux tout aussi sombre. Elle me sourit et s’assit à côté de moi.
Encore aujourd’hui, je peux me rappeler de chaque mot prononcé cette soirée. Cette femme s’appelait Anna et je l’ai épousée quelques années plus tard. C’est elle qui m’a donné confiance en ma magie et m’a appris à la maitrisée. C’est elle aussi qui m’a fait devenir un avocat de génie. Car oui, après avoir quitté Harvard, je n’ai fait que grimper. Je suis vite devenu extrêmement prisé par presque tout le monde. J’avais des rendez-vous à n’en plus finir et une liste de client à vous en faire tomber dans les pommes. Ma réputation ne faisait que grandir et ma fortune aussi. Et je dois bien avouer que j’adorais cela. Je me dis que j’étais fait pour être riche, beau et populaire. Mais ce fut cela aussi qui gâcha tout. J’avais beau aimer Anna de tout mon cœur je n’arrivais pas à être fidéle. J’adorais passer des soirées dans les bars à vendre du rêve aux femmes que je rencontrais. Je les charmais, couchait avec elles et les abandonnait sans rien dire. Je revenais vers Anna avec un sourire et une bonne excuse. Elle ne disait rien, jamais, pourtant je savais qu’elle s’en doutait parfaitement. Après quelques années de mariage, elle m’annonça qu’elle était enceinte. J’étais bien évidemment fou de joie. Les mois passèrent et on n’arrivait pas à se décider pour le prénom de notre petit garçon. J’avais tellement d’idée mais rien ne me venait. Je passais mes journées à bosser, à défendre les meurtriers et les honnêtes sans que cela ne fasse la moindre différence pour moi. J’avais même acheté une énorme maison pour Anna et moi. Pourtant le soir, prétextant un affaire urgente, je sortais en ville et continuait la deuxième chose pour laquelle j’étais le plus doué depuis des années : la drague.
J’étais encore dans un bar quand on m’appela pour m’annoncer que ma chère et tendre allait accouchée. J’étais euphorique je dois bien le reconnaitre mais sur le chemin je ne pouvais penser qu’a une seule chose : nous n’avions toujours pas choisis le prénom du petit garçon qui était sur le point de montrer le bout de sa tête. Une fois à la maternité, j’entrais dans la salle d’accouchement. J’étais terrifié mais je ne voulais pas le montrer. Pourtant cette peur s’évacua quand je pris notre petit dans les bras. Une fois de retour à la chambre, je parlais à ma chère Anna. J’avais plusieurs idées de prénoms pour lui : Matthew, Eliott, Louis, Francis, Isaac, Conrad ou Eoin. Anna les aimaient tous. A vrai dire on les aimait tous qu’on ne pouvait choisir. Alors nous nous sommes regardés et j’ai attrapé une feuille en papier. J’ai écrit les noms à la suite et j’ai entouré les premières lettres. Melfice. Tendant la feuille à Anna, je la vis faire signe à l’infirmière et lui annoncer que notre fils s’appellerait Melfice. Anna choisit que son deuxième prénom serait celui de son père, Nathaniel. Une tradition qu’il fallait respecter. L’infirmière n’avait pas l’air d’accord avec notre choix mais après tout, elle décida de s’en foutre, elle n’avait pas son mot à dire et elle le savait.
Les années qui suivirent furent banale. Nous avions déménagés à Mystic Falls et étions un heureux couple mariés avec un joli petit bébé. Bien sûr cela était en apparence mais je ne me sens pas de tout raconter ici. Sachez juste qu’il y avait autant de sourire que grimaces. Anna et moi étions à fond dans nos travails respectifs et cela nous évitez de nos disputer plus qu’il ne le fallait. Ainsi Melfice resta ses premières années auprès de nourrices malgré le fait que nous faisons souvent des sorties en famille les samedis et dimanches. Nous voulions que notre fils soit heureux et cela soudait notre couple à la place de l’amour. Même en habitant à Mystic Falls j’étais toujours un avocat très demandé et cela me permettait de rapporter beaucoup d’argents à la maison et dieu que j’étais fier de cela. J’achetais tout ce que Melfice voulait et le chérissait plus que ma femme. A l’époque je n’avais pas honte mais je le regretterais plus loin. A ce moment, je développais un peu ma magie. Malgré quelques saignements de nez et vertiges je pouvais sentir que je devenais de plus en plus puissant. Un jour, alors que Melfice était à l’école, je rencontrais un autre sorcier. Il m’expliqua ce qu’était l’expression et de suite, j’adorais l’idée. Il me présenta cette forme de magie comme « sans limite » et c’était parfaitement ce que je cherchais pour ma vie. En parallèle, je me rendis compte que Melfice commençait de plus en plus à s’intéresser au journalisme. Lorsqu’Anna l’apprit, elle piqua une crise sans nom et parti avec la voiture. Ce soir la, Anna ne rentra pas à la maison, ni même les jours après. J’étais passé du jour au lendemain du père pas très doué au veuf. La situation était dure et je me promis une chose ce jour-là : jamais je ne laisserais Melfice entrer dans la magie. Elle m’avait enlevé ma mère et ma femme et je ne voulais pas qu’il souffre pour cela. Je remarquais une autre chose. Je ne semblais pas vieillir. Alors que certains de mes amis prenaient des signes d’âges, minimes bien sûr, moi je restais comme à mes 20ans et je ne comprenais pas. J’étais devenu un paradoxe. Alors que je ne voulais pas que mon fils s’approche de la magie, je l’explorais de plus en plus. Alors que Melfice entrait à la fac, je décidais de partir pour la Nouvelle Orléans. Si seulement je savais à quel point ce voyage allait changer ma vie pour toujours… Et ce changement s’appelle Mélinda. Vous croyez que c’était une autre de mes conquêtes ? Détrompez-vous, c’était et est toujours bien plus que cela. Je l’ai rencontrée dans un bar et l’ai accosté avec mon sourire habituel. Il y avait quelque chose de froid et distant qui me mettait au challenge. Je la voulais. Je décidais alors d’utiliser une valeur sure de ma drague : la magie. J’avais rodé mes tours à la perfection pour qu’ils puissent paraitre « humains » et en général, ils avaient un effet immédiat sur les femmes. La femme me souriait et, alors que je commandais un verre, disparu. Je n’étais pas du genre à laisser partir quelqu’un comme cela alors je décidais d’aller voir à l’arrière du bar. Je la vis, la, me souriant et partant en marchant. Elle était tellement sexy, sensuelle et attirante. La suivant, je me rendis compte que nous étions à un endroit désert. A cette minute, ma vie pris un tournant différent. Elle était une sorcière et me défia, me montrant sa magie. J’étais orgueilleux et surtout, je ne savais pas vraiment à qui j’avais à faire. Décidant de lui montrer toute ma magie, je me retrouvais assis au sol, le nez ensanglanté et elle rigolant en face de moi. Elle avait réussi à me piquer au vif. Me relevant, je lui demandais de m’apprendre si cela la faisait tellement rire et à ma plus grande surprise elle accepta. Les années qui suivirent, nous les passâmes à Mystic Falls entre magie et séduction appuyée. Nous couchions parfois ensemble et je commençais à me rendre compte que plus cela allait, moins j’allais voir d’autres femmes alors nous commençâmes une relation plus sérieuse qui aboutit sur une demande en mariage que j’estime encore aujourd’hui magnifique. A ma plus grande surprise, elle accepta. Je ne pouvais pas être plus heureux.
Moi qui croyais que tout allait être parfait, un autre évènement arriva et chamboula tout. Oui, encore une fois. Mon fils adoré se découvrit ses dons de magie. J’étais bien sur contre et une suite de disputes s’en suivit. Il savait que si il avait ce don, moi aussi, et il m’en voulait de ne pas lui avoir dis. Je fis tout pour me faire pardonner mais ce fut un travail de très longue haleine. Je ne savais pas comment lui montrer que je l’aimais plus que tout alors je lui donnais autant d’argent que possible. Au fond, on finit par se reparler. Maintenant tout vas bien, alors qu’au début Melfice et Mélinda ne s’entendait pas, maintenant ils s’adorent et c’est quelque chose qui me fait énormément plaisir. Je vis à Mystic Falls avec elle, dans sa maison et cela ne me gène pas non plus. Tout ce que je veux c’est être à ses côtés. Je ne suis plus un coureur de jupon même si des fois j’aime faire marcher mon charme, enfin, surtout pour l’énerver. Niveau magie, je maitrise bien l’expression et ait même une certaine force quand il s’agit de magie noire, ce que je suis fier. Le moindre que l’ont puisse dire c’est que nous formions un duo de choc avec Mélinda !
qui suis-je vraiment ?
| Je suis le triple compte de Daryl W. James et de Natasha A. Faust de retour pour encore plus de folie avec ce scénario de folie! |
Dernière édition par Lloyd C. Adams le Dim 30 Juin - 23:04, édité 5 fois |
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Damon Salvatore morsures : 19337 inscrit(e) le : 13/01/2013 célébrité : Ian Somerhalder crédits : Tag | Sujet: Re: Lloyd // Qui sait ce qu'on peut cacher derrière un sourire? Dim 16 Juin - 10:37 | |
| REBIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE !!! Super choix de DC évidemment :cooooontent: Et bonne chance pour ta fiche ! |
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SHERIF morsures : 1870 inscrit(e) le : 23/07/2012 célébrité : Zach Roerig crédits : TAG et Tumblrs | Sujet: Re: Lloyd // Qui sait ce qu'on peut cacher derrière un sourire? Dim 30 Juin - 23:32 | |
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