Sujet: There's no such thing as fate • Melou ♥ Mar 7 Mai - 18:10
There's no such thing as fate
Travailler, jamais je n'aurais cru tomber dans le monde du travail aussi vite que ça. J'avais été diplômé à une vitesse folle. Avec l'arrivé de Melfice tout avait basculé, j'avais appris la vérité sur Mystic Falls, quelque chose dont je me doutais mais les preuves me manquaient. Melfice s'était chargé de ça, rapidement, j'avais décidé de devenir comme lui. Je voulais apprendre à devenir une fouine, après tous, ma famille avait décidé de les éradiquer, moi de les observer. Alors c'est comme ça que j'avais pris la décision de travailler, un beau matin sur un coup de tête, enfin pas vraiment le départ de Say de la maison m'avait foutu un choc, j'allais pas pouvoir rester indéfiniment un gamin le nez dans les bouquins. J'avais une fois de plus choisit la voie que Melfice avait empruntée : le journalisme. J'avais cru comprendre que même si les faits divers n'étaient pas vraiment sa tasse de thé ça lui laissé par mal de liberté, alors en temps que bon élève je suivais le chemin qu'il avait déjà tracé. Toutefois en postulant en temps qu'apprenti, jamais je n'aurais imaginé me retrouver son apprenti, d'autant plus que je ne lui avais rien dit concernant ce désir.
Premier jour de travail, je ne cessais de regarder mon reflet dans le miroir de la salle de bain, j'avais cette boule au ventre, la même que lors de mon premier jour d'école. Habillé d'un jean et d'une chemise blanche, j'avais l'impression de devenir enfin adulte, à 21 ans il était peut-être temps... Pourtant, même habillé aussi simplement, j'avais la sensation que la chemise me grattait comme si le tissu était de mauvaise qualité. Je jette un rapide coup d’œil à ma montre avant de constater l'heure avancée, si je ne voulais pas être en retard, et c'était mieux pour un premier jour de travail, je ne devais pas passer une minute de plus dans la salle de bain et quitter la maison sur le champ. J'enfile une paire de chaussure rapidement, attrape les clefs tout en sortant de la maison et je m'enfonce dans ma Jeep direction le journal. Une fois sur place, je reste un instant devant le bâtiment et après avoir pris une grande inspiration je décide de rentrer. Très vite, je me laisse envahir par l'ambiance qui y règne, je regarde partout comme un gosse le matin de Noël avant d'aller à la rencontre d'une jeune femme qui avait l'air bien occupé. « Bonjour, je...euhm... Je cherche le bureau de Melfice Adams, il s'occupe des faits divers. » Elle relève la tête de ses papiers pour m'indiquer la direction. Je la remercie avant de partir à la rencontre de mon ami, mon supérieur et aussi mon professeur en fouinage, ça fait vraiment beaucoup de rôle pour une seule personne... Je toque avant d'entrer, je me sens un peu bête dans son bureau, niveau pot de colle on fait pas mieux que moi ! « Salut ! Alors t'en pense quoi de ton nouvel apprenti ? » Comme phrase d'accroche j'aurais pu trouver mieux...
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Sujet: Re: There's no such thing as fate • Melou ♥ Mar 7 Mai - 19:04
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Encore une journée qui commençait tranquillement. Je m’étais levé après que le réveil ait sonné, il faut dire que je n’avais pas trop eu le choix, si je voulais pouvoir avoir la salle de bain en premier et ne pas avoir à attendre deux heures que Cameron daigne enfin en sortir, il fallait que je me dépêche de me lever. Du coup, juste après que ce dernier ait sonné, je me suis levé et j’ai couru à la douche, juste au moment où elle sortait de sa chambre je fermais le verrou de la salle de bain. Ça me coûtait de me lever aussi tôt mais au moins je n’avais pas à patienter. Je pris donc ma douche et sorti de la salle de bain en serviette pour aller à ma chambre. Comme toujours Cameron attendait dans le couloir et tout en me rendant à ma chambre je sentais son regard sur moi. Tant mieux, elle ne m’embêtera pas ainsi. Je m’habillais très rapidement, un simple jean, des basket et un t-shirt sur lequel on pouvait voir un dark vador un cookie à la main et un slogan qui disait « come to the darkside we have cookies ». J’adorai ce t-shirt. Je me coiffais très rapidement et alla prendre mon café en quatrième vitesse avant d’aller au boulot. Une fois arrivée, j’allais directement dans mon bureau pour commencer à m’organiser sur la journée à venir, en gros, voir les nouveaux faits divers que mon patron voulait que je couvre. Je devais être arrivé depuis cinq minutes lorsque mon patron arriva avec comme toujours cette expression de dégoût sur son visage. Il faut dire que mon bureau était le seul à être décoré avec des objets non classique dirons-nous. Là où tous les autres journalistes décoraient leurs bureaux avec les photos de leurs enfants, femmes ou famille et des fleurs moi j’avais des posters de films sur les murs, des figurines de films et de séries sur les étagères et j’écoutais en permanence, à niveau faible bien entendu, des musiques de films. Tout ce que les autres ne faisaient pas. « Y a un stagiaire qui vient travailler, enfin un apprenti plutôt. Du coup c’est toi qui le formera, il t’aidera sur les faits divers…j’ai pas envie de le coller dans les pattes d’un vrai journaliste tant qu’il n’a pas fait ses preuves. » Il partit juste après m’avoir dit cela. Vrai journalistes ? Les autres ? Mais c’était moi qui leur disait où ils devaient aller pour faire leur boulot…bah de toute façon ce mec me hait depuis toujours alors bon…tant qu’il ne me vire pas, je ne le contredirai pas, ce boulot est la bonne planque pour moi. Je repris donc mon boulot tranquillement, et m’affala sur ma chaise de bureau, le stylo en bouche en train de lire mes notes. Un super reportage sur la création de la pièce de l’école primaire m’attendaient. En lisant cela j’étais presque ravi d’avoir quelqu’un avec qui partager ce merveilleux évènement. On la sent mon ironie n’est-ce pas ? J’étais en train de songer à cela quand j’entendis une voix familière. Je rêve ??? Andrew ?? Je le regardais, incrédule, le stylo toujours en bouche. Il me suivait vraiment partout le gamin. Je souris et je retirai le stylo pour pouvoir parler. « Andy, j’aurai dû me douter que c’était toi en fait. » Tout en parlant je m’étais levé et j’avais déjà pris mon sac, plus vite on partirai mieux ce serait. Je le regardais de la tête aux pieds. Il était habillé comme les autres journalistes du journal, ça n’allait clairement pas le faire. « On va dire que ta tenue convient à ton premier jour mais…tant que tu bosses avec moi, oublie la chemise, tu la ressortiras quand tu seras avec un « vrai » journaliste comme le dis mon patron. »
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Sujet: Re: There's no such thing as fate • Melou ♥ Mar 7 Mai - 20:46
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Je me gratte l'arrière de la tête, un peu gêné par la situation. Parmi tous les journalistes qu'il pouvait y avoir, il fallait que je tombe sur Melfice, je n'avais aucunement envie qu'il pense que je voulais le suivre où qu'il aille, il avait fait de bon choix et je n'avais pas envie de me tromper. Son sourire me rassura, et lorsqu'il déclara qu'il aurait dû se douter que j'étais l'apprenti je me mets à sourire un peu nerveusement. Je jette un rapide coup d’œil à son bureau, je me sens déjà plus à l'aise. Tout compte fait je n'aurais pas dû faire au tant attention à mon apparence. Melfice se lève saisit son sac et ne manque pas de me faire remarquer que la chemise ce n'était pas réellement fait pou moi en tant que son apprenti, je rigole amusé, c'est vrai que le tee shirt de Melfice montrait clairement qu'il n'était pas très chemise lui aussi. « Ah, oui... Je savais pas trop comment m'habiller... » Après tous, c'était mon premier travail, je n'avais jamais été capable de décrocher un petit boulot, enfin je n'avais jamais eu envie d'un petit boulot, c'est quand même sensiblement différent. « En plus les chemises j'aime pas ça, j'ai l'impression de ressembler à rien avec ça. Pire, je ressemble à une voile de bateau. » La sensation qui m'irritait la peau n'avait pas disparut, mais s'était atténué quand j'avais remonté les manches au niveau de mon avant bras. Quittant le bureau de Melfice je faisais de mon mieux pour le suivre, chose loin d'être évidente avec le flux de personne que contenait le journal. Puis je finis par tilter, il avait dit que je ressortirai ma chemise quand j'irai avec un vrai journaliste. « Ah, je savais pas qu'il y avait des faux journalistes moi ! » Je souris amusé par la chose, j'avais déjà entendu parler de son patron, loin d'être un type cool d'après ses dires, d'ailleurs, j'avais longuement hésiter pour le journalisme à cause de lui, mais bon ! Je comptais bien aider Melfice à lui en faire voir de toutes les couleurs ! Une fois dehors, j'inspire un grand bol d'air frais, puis je me rends compte que je suis dehors sans savoir où on va et ce que l'on va faire. « Melfice, c'est quoi le programme d'aujourd'hui ? Quel fais passionnant va-t-on couvrir ? » Je savais que Melfice n'était pas un fan des faits divers, que c'était un bon moyen pour lui d'allier travail et surnaturel, moi au contraire, même si c'était de loin les sujets les plus intéressants à traiter, ils étaient de loin les plus complet, comme son nom l'indiquait, ils sont divers. Je pensais peut-être ainsi parce que j'étais encore plus que novice dans le domaine, ou alors, j'étais d'un naturel à tout découvrir, tout aimer. Quoi qu'il en soit, je bouillonnais intérieurement de commencer à travailler. « Je suis content d'être tombé avec toi, je veux dire, au moins tu me connais ! »
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Sujet: Re: There's no such thing as fate • Melou ♥ Mar 7 Mai - 22:05
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« Ne sois pas insultant avec les voiles de bateaux ! » Dis-je souriant tout en continuant mon chemin pour l’extérieur. Tous les autres journalistes de l’endroit se retournaient sur mon passage, il faut dire que j’étais vraiment le Mulder de l’endroit, en gros celui qui n’avait pas réellement sa place ici mais qu’on ne pouvait pas virer parce qu’il faisait du bon boulet et qu’en plus il avait une sorte de moyen de pression sur le patron. Moyen de pression complètement débile puisque j’avais trente ans et que je ne vivais plus avec mon père depuis très longtemps. Je sortais du journal en compagnie du jeune Pritchard. Je crois qu’à force j’avais dû prendre un abonnement à cette famille, entre Sayanel qui était mon meilleur ami, Lisbeth que je considérai comme ma petite sœur et Andrew qui était ma mascotte préférée, je pense que si j’avais été en âge d’être adopté je leur aurais demandé. Une question du gamin pour savoir où on va et rien ne me réjouit plus. Je savais très bien que la journée qui nous attendait allait enfin avoir un intérêt, passer la journée à discuter avec lui à couvrir un spectacle d’enfant allait enfin avoir un côté amusant. « Prépare toi jeune Pritchard, nous allons couvrir le spectacle de l’école primaire ! » J’essayais de garder mon sérieux en le disant mais c’était tellement ridicule…au moins je savais que le spectacle se terminait vers les quinze heures, que l’article devait simplement être rendu le lendemain matin en fin de matinée, ce qui voulait dire qu’à partir de quinze heure la journée serait à nous. « Oui et au moins avec moi tu ne seras plus obligé de porter des vêtements qui te donnent l’impression d’être fait en toile de jute. Sérieusement, vu comment tu te dandines on croirait que tu veux faire comme superman et arracher tes vêtements sauf que je doute que toi tu aies en dessous une magnifique combinaison en lycra bleu surmontée d’un clip rouge. » Fier de ma blague j’avançais vers ma moto et en ouvrir le coffre sous le siège, j’en sorti un casque et le tendit a Andrew et après m’être assuré que personne ne regardait, fit venir celui qui se trouvait dans mon bureau à moi par la fenêtre grâce à la télékinésie. Bon sang que j’aimais ma nouvelle situation. J’avais toujours un casque dans ma moto et j’avais totalement oublié de prendre celui qui était dans mon bureau tout à l’heure en partant. Il faut dire qu’au début je pensais y aller à pied mais après tout, autant profiter du soleil qui apparaissait et j’ai toujours adoré rouler en moto de toute façon. C’est pour cela que je détestais l’hiver. Je regardais vers Andrew et lui fit un clin d’œil juste avant de mettre mon casque et de monter sur ma moto. « C’est quand tu veux Andrew ! »
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Sujet: Re: There's no such thing as fate • Melou ♥ Ven 10 Mai - 18:01
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Melfice m'avait dit de ne pas insulter les voiles de bateau quand j'avais comparé ces dernières à ma tenue actuelle, après tout, il n'avait pas totalement tord. Une voile de bateau est vraiment plus jolie que moi en chemise ! On sort, Melfice m'explique l'activité de la journée : le spectacle de l'école primaire. Je souris, pour un premier jour de travail j'avais eu plutôt de la chance de tomber là dessus, plutôt que sur le dernier pompier à avoir sauver le chat d'une mémé dans l'arbre du parc. J'explose limite de rire quand il me dit qu'il a l'impression que j'ai envie de faire comme superman. Et pourquoi pas ? « Hey ! Ce n'est pas une si mauvaise idée que ça hein... Mais je pense pas que je porterai la combi aussi bien que lui... Quoi que je peux toujours essayer... » Faut dire que mon corps à côté de celui de Clark Kent s'était pas trop ça, même si j'étais loin d'être gaulé comme un spaghettis. Quoi qu'il en soit, je reste bouche bée quand Melfice use de la magie pour faire léviter un casque jusqu'à nous. Décidément, j'avais encore beaucoup de mal à m'habituer au fait qu'il soit sorcier, non pas que ça me dérangeait, mais juste par simple habitude. D'ailleurs, s'approchant de la moto, Melfice me sort de ma rêverie, je secoue la tête avant de l'enfoncer dans le casque que j'avais récupéré quelques secondes plus tôt. Je m'approche à mon tour de la moto avant de m'installer derrière lui. Je n'avais jamais crains de monter en moto, mais j'avais toujours eu peur d'en conduire une, vous imaginez un hyperactif avec des troubles de la concentration sur un deux roues ? Ma famille avait déjà eu mal à me laisser passer mon permis... Après quelques minutes de trajet on arrive enfin à l'école primaire, retirant le casque et le rendant à Melfice tout en le gratifiant d'un sourire je reprends la parole... « Bon alors, on doit couvrir quoi exactement ? Les talents des gamins, la mise en scène, autre chose peut-être ? » Après tous, je devais tout apprendre dans ce nouveau métier et Mel lui avait déjà beaucoup d'expérience dans les faits divers !
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Sujet: Re: There's no such thing as fate • Melou ♥ Dim 12 Mai - 10:21
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Une fois arrivés à l’école primaire je retirai mon casque et descendit de la moto. Je n’avais réellement aucune envie de faire ce reportage et encore moins de devoir me supporter les voix suraiguë des gamins un peu trop enthousiastes de pouvoir enfin montrer à leurs parents le magnifique spectacle qu’ils ont réalisés. Je n’aimais déjà pas les spectacle quand c’était moi qui les faisaient mais en plus là il allait falloir aller interviewer les parents qui ont aidé à la mise en place, des gamins pour savoir ce qu’ils pensent et bien entendu des parents à la sortie du spectacle pour savoir ce qu’ils en ont pensés. Je regardais vers Andrew, il semblait absolument surexcité à cette idée mais il était réellement fou lui. Bon d’accord, la fougue de la nouveauté, l’excitation de la découverte. Il était quasiment aussi fébrile que lors de leur début de fouineur. « Et bien…On doit couvrir la totalité du spectacle. J’espère que tu aimes entendre hurler ! » Quatre ans que je suivais ce genre de truc et c’était de plus en plus nul chaque année. Je pris mon sac et avança vers l’entrée de l’école et comme toujours Francis était là pour s’assurer que les gens qui entraient avaient bel et bien déjà acheté leur place. Je le saluais et lui montrais ma carte de presse. Cela faisait quatre ans qu’on se voyait pour ce genre de débilité qui avait lieu quatre fois dans l’année alors forcément maintenant il me connaissait. « Et le gamin il a une carte de presse lui ? » Je regardai Andrew et fit non de la tête à Francis. « Pas de carte, il prend un billet » Je fis signe à Andrew d’aller s’en acheter un et attendis à l’intérieur. Au bout de quelques minutes il me rejoint enfin, ça va que les parents arrivaient au compte-goutte, sinon j’aurai du l’attendre pendant trop longtemps. « Je suis désolé, Francis est un bon gars mais il est très à cheval sur les entrées et les sorties, tu comprends ça fait dix ans qu’il fait cela donc forcément, à force il devient pointilleux. » J’avançais vers la salle de spectacle, monta sur la scène, passa derrière le rideau et salua tous les enfants et professeurs. Ces derniers se ruèrent immédiatement sur lui. « Oula moi aussi je suis content de vous voir mais un par un ! » Je me tournais vers mon apprenti préféré et lui fit un immense sourire. « Voici les personnes à interroger, tu t’occupes des enfants et moi des adultes ! » Profiter honteusement de lui et lui laisser les tâches ingrates ? Oui j’assume ! J’avançais vers les professeurs et sorti mon enregistreur pour les interviewer.
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Sujet: Re: There's no such thing as fate • Melou ♥ Dim 19 Mai - 14:01
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Nous étions enfin arrivés, melfice passe grâce à sa carte de presse, moi je suis relayé au simple statut de visiteur, je comprends tout à fait l'homme qui gère les entrées, un passe droit n'était jamais une bonne chose, toutefois, je fais la queue en bougonnant, je perdais un temps fou à attendre aux côtés des parents pour pouvoir enfin renter. Je rejoins rapidement Melfice, qui m'explique que le gars en question, Francis, n'était pas mauvais en soit, mais qu'il était pointilleux. « Ah ce n'est rien ! Puis, je le comprends, s'il me laisse passer comme ça, qu'est-ce que les autres diraient hein ? » je rigole un instant, puis on se dirige vers les coulisses. À peine les enfants remarquent Melfice, que tous viennent l'encercler, parlant tous à la fois. Je reste un peu en retrait et j'observe la scène, je viens à me dire que Melfice ferait un bon père, enfin, vu que tous les enfants semblent l'adorer. Je sors de ma rêverie quand il me dit qu'il s'occupe d'interviewer les adultes et moi les enfants. Mes yeux devaient ressembler à des véritables billes en voyant un troupeau d'enfant se précipiter en ma direction... « Melfi... » Trop tard, il était déjà occupé avec les parents... je me sens nerveux, les mains moitent et cette chemise devient pire qu'insupportable. Je prends mon courage à demain, mais ce malaise avec les enfants de côté, faut dire que je n'étais pas habitué à ses petites choses criardes et hyperactives à cause de la jeunesse. Finalement, je me dis que mes parents ont du souffrir avec moi... Quoi que j'ai un traitement moi.... je finis par noter quelques informations sur le fameux spectacle de ses gamins surexcités, je les remercie et les encourage une dernière fois avant en de m’éclipser en direction de Melfice... « Je t'ai déjà dis que ma kryptonite, c'était les enfants ? . » Je lui donne une tape amical sur l'épaule, même si j'avais vraiment du mal avec les enfants de moins d'un certain âge, les bébés s'étaient le pire de tout, ça pleure, ça bave, il faut changer des couches... Une horreur.« Bon, maintenant que je sais à quel point ils ont travaillé sur le spectacle, que la tenue du gamin en carotte le gratte. On fait quoi maintenant ? » Je prie intérieurement pour ne plus avoir à faire à ses petits démons courts sur pattes, je suis même prêt à regarder leur spectacle en entier si ça me permet de leur extirper des informations intéressantes.
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Sujet: Re: There's no such thing as fate • Melou ♥ Jeu 23 Mai - 22:45
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Les professeurs étaient toujours aussi imbu d’eux-mêmes c’était un truc de fou ! Tous avaient la meilleure classe et le plus bel intermède à proposer aux parents. En même temps les parents venaient pour voir leurs rejetons jouer une pièce bien entendu qu’ils adoreront ce qu’ils verront. Vous avez déjà entendu un parent dire qu’il est allé voir le spectacle de ses mômes et qu’il a détesté ? Enfin…il fallait bien flatter quelques ego après tout. Voyant Andrew venir vers moi, dépité et stressé. Je ne pus m’empêcher de rire en l’entendant me parler de kryptonite. Je me penchais alors doucement vers lui et lui dit alors à l’oreille « C’est aussi la mienne c’est pour ça que c’est toi que j’y ai envoyé ! Je te l’avoue, j’ai honteusement profité du fait que tu étais mon assistant pour m’en débarrasser…je suis navré ! » Je lui souris largement, fier de ma petite embrouille puis me rendit dans la salle, Andrew sur les talons. Je m’installais dans le fond et sorti de mon sac un appareil photo et m’assis en attendant que le spectacle ne commence. Andrew semblait un peu perdu, mais il faut dire que pour un néophyte, ce genre de chose semblait atroce. A vrai dire, même pour moi c’était atroce ! Mais pourquoi je ne me lançais pas dans un journal parallèle à faire ce que j’avais réellement envie de faire ? Mais bon…en fait le mieux serait qu’un jour je puisse vivre de mes vidéos sur le net. Quoi que…je sais que je pourrais même carrément arrêter d’être journaliste et vivre de la rente que mon père continuait à me verser tous les mois. « Tu vois mon cher Andrew, maintenant nous attendons gentiment que le spectacle commence et nous prendrons en photo ces magnifiques petites têtes blondes. Et nous sélectionnerons par la suite les plus belles photos pour la mettre dans notre article. » J’avais à peine terminé ma phrase qu’une mère de famille vient s’asseoir près de moi et se présente. Après un rapide flirt avec moi et après m’avoir laissé sur un mot le nom de son fils et de sa classe ainsi qu’une photo d’identité du gamin afin que je sache à quoi il ressemblait elle repartie. Me tournant vers Andrew amusé, je lui disais à l’oreille « Voici typiquement une mère prête à tout pour son fils. Pour toi, elle m’a simplement laissé une simple photo de son fils avec son nom et sa classe mais… » sortant de la poche de ma veste un autre papier et un billet de 100$ je les montrait au jeune homme en souriant « …elle sait exactement ce qu’elle veut et quoi faire pour l’obtenir…mère célibataire et plutôt pas mal qui plus est ! » Tout en étant penché vers Andrew, je fis un signe de la main à la mère qui venait de nous quitter en souriant. Elle était vraiment pas mal la demoiselle !
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Sujet: Re: There's no such thing as fate • Melou ♥ Mer 29 Mai - 12:47
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J'étais le dernier de la famille, je n'avais pas connu le fait d'avoir un petit frère ou un petite sœur, alors bien sûr je considérais Lisbeth comme la plus jeune, mais dans les faits il n'en était rien. De plus le fait de traîner avec Say depuis ma plus tendre enfance j'avais pris pour habitude de côtoyer les personnes plus âgés que moi, j'avais finit par me dire que tout avait été fait pour que je ne sois pas très familier avec les enfants encore moins quand ils ne sont pas de ma famille. Je soupire, mais reste néanmoins amusé quand Melfice avoue qu'il a aussi du mal avec les enfants et qu'il s'était servi de moi. Je hausse les épaules résigné par ma nouvelle fonction et je finis par dire amusé « Bof, je suis ton assistant après tous, c'est moi qui doit faire les tâches ingrates ! » et puis, ce ne sont que des enfants, il y avait bien pire comme job que d'interviewer des gamins excités. Un autre journaliste aurait pu en profiter d'avantage que Melfice ! On s'éloigne un peu du chahut, alors qu'il sort un appareil photo de son sac, m'expliquant qu'on attend le début du spectacle pour faire des photos, moi, je regarde un peu partout, les profs et les enfants courent un peu partout, je remarque à peine la femme qui s'approche de Melfice, et d'ailleurs, je ne prête aucune attention à ce qu'elle dit, enfin pas besoin d'écouter, entendre ses gloussements me suffit. Je tourne la tête en sa direction et son visage me rappelle vaguement quelqu'un mais impossible de retrouver de qui il s'agit. Finalement elle repart comme elle était venue, Melfice me tend alors une photo avec le nom et la classe écrit au dos. Je regarde la photo avant d'écarquiller les yeux, pensant à une mauvaise blague, je cligne plusieurs fois rapidement comme pour voir un autre visage, mais non c'est le même que tout à l'heure... « Aah, c'est le gamin-carotte, son costume le gratte affreusement... » Sur tous les gamins qui pouvaient avoir une mère prête à ça, il fallait qu'on tombe sur celui déguiser en carotte. Je n'avais même pas osé lui demander la raison d'un tel déguisement tellement j'avais peur de sa réponse. Il manquerait plus qu'il joue dans une pièce nous disant comment réaliser une soupe et je vais me suicider. Toutefois, l’énigme du visage le mère est résolue, même regards, même nez... Je me demande bien à quoi le père peut bien ressembler... L'euphorie ambiante semble s'apaiser, les instituteurs récupèrent leurs canailles et font une dernière fois l'appel histoire de s'assure qu'aucun chérubin est disparu à quelques minutes de monter sur scène. « Je crois que ça va bientôt commencer ! Et n'oublie pas on doit prendre en photo la carotte-enfant ! » À défaut de me souvenir de son nom, le costume qu'il avait, aller lui coller à la peau encore bien longtemps. Du moins jusqu'à ce que son prénom veuille bien s'imprimer dans ma tête.« Non, mais sérieusement... Une carotte quoi ! »
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Sujet: Re: There's no such thing as fate • Melou ♥ Mer 29 Mai - 16:56
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J’avais parfois du mal à comprendre les réactions du gamin. Je lui parle d’un truc et lui se focalise sur la chose la plus débile et stupide qui puisse être. Je lui parle du métier, certes une agréable partie du métier, mais lui ne garde en tête que le fait que le gamin sur la photo est celui qui se plains d’un costume comblé par du poil à gratté. Sérieusement, si c’est ainsi qu’il voulait devenir journaliste, il allait falloir qu’il fasse un effort. Je regardais la tête de gamin et essayait de l’imaginer avec un costume de carotte et d’un coup je commençais à comprendre pourquoi il le marquait autant. Soupirant je regardais vers le programme et explosa de rire en voyant le titre de la pièce. « Les légumes sont nos amis ! ». Sérieusement ?? Qui pouvait bien faire ce genre de spectacle et surtout qui pouvait avoir trouvé ce nom ? Sortant l’appareil photo quand Andrew me dit que ça allait démarrer, je souris amusé à sa dernière remarque. « Il n’y a pas qu’un seul enfant dans l’école tu sais. Ce n’est pas parce que je n’ai rien fais quand elle m’a glissé le tout dans la poche que je vais me laisser corrompre. » Je savais très bien qu’une fois la pièce terminée j’irai remercier la mère de m’avoir dit à quel point son fils était époustouflant et en lui serrant la main je lui re-glisserai numéro et billet offert si généreusement précédemment. Les tableaux du spectacle se succédaient et les photos allaient bon train. Je détestais ce spectacle mais vu que les parents à mes côtés me disaient toujours des choses sur les enfants, j’étais obligé de faire les hypocrites et dire que j’étais d’accord. Au bout de deux heures notre calvaire prenait enfin fin. J’allais donc remercier la mère en lui redonnant tout ce qu’elle m’avait donné puis fit signe à Andrew de sortir avant qu’un autre parent ne m’attrape. Arrivant à la moto je remis mon casque sans un mot et monta dessus, une fois Andrew monté également je démarrais et parti me mettre à l’abri. Au bout de cinq minutes je garai la moto devant chez moi et en descendit. « Désolé de t’avoir pressé mais crois-moi que tu n’as aucune envie de trainer dans le coin avec les familles qui ont enfin compris qui tu étais ! » Attrapant mes clés je m’engouffrais dans l’immeuble, puis dans mon ascenseur privé pour me rendre à mon loft. J’adorai l’idée que l’ascenseur était la seule issue possible. Entrant dans le loft, je déposais sac et casque sur l’ilot de la cuisine et fouillait dans mon frigo. « Tu as soif ? Ouais je sais, on devrait être au journal et blablabla mais bon, on ne va pas en faire toute une histoire hein ? On y re pointera avant l’heure et ce sera bien ! » Je détestais le bureau alors tant que je pouvais y échapper je le faisais. J’allais travailler directement sur le pc ici et une fois l’article fini je le mettrais sur une clé USB et l’enverrai ce soir à l’imprimeur.
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Sujet: Re: There's no such thing as fate • Melou ♥ Mer 19 Juin - 17:20
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Ce gamin carotte était devenu une véritable obsession en quelques secondes, il faut avouer que j'étais du genre à être rapidement obséder par une chose, il suffisait qu'elle me tape dans l’œil en bien ou en mal et je la voyais partout. Quoi qu'il en soit, Melfice m'expliqua qu'il n'était pas du genre à se laisser aller par la corruption. Cette mère de famille avait été généreuse, et ce n'était pas non plus la pire chose qui puisse exister après tout, il suffisait de glisser une photo de son superbe enfant et voilà le tour était jouer. « Même si tu ne veux pas de l'enfant carotte, tu verras il est partout ! » J'explose de rire avant de suivre mon ami pour qu'on puisse s'installer avant que le spectacle commence. Je m'affale dans l'un des fauteuils, les bras croisés, très vite les enfants entrent sur scène, chantent dansent, se trompent dans les pas qu'ils ont appris cette année, parfois je crois décelé un message dans leur chorégraphie, puis notre calvaire prend enfin fin. Melfice se lève, je le fais de même et le suis jusqu'à maman-carotte pour qu'il puisse lui rendre ce qu'elle lui avait donné un peu plus tôt. On quitte l'école primaire, et en un tour de moto on se retrouve chez mon ami. Il s'excuse alors de m'avoir pressé. « T'inquiète pas va, ce n'est pas comme si j'adorais les spectacles scolaires et être entouré de parents jurant que leur enfant possède un véritable don ! » Dans l'immeuble on vient à prendre un ascenseur mais pas n'importe lequel, un ascenseur privé, quand Melfice m'avait expliqué le pourquoi du comment j'étais resté un instant admiratif. Une fois dans l'appartement je dépose le casque de moto juste à côté de celui de Mel. « Un jour je m'achèterai un casque personnalisé pour quand je monte avec toi en moto. » Je m'installe alors sur l'une des chaise tandis que Melfice se met à ouvrir le frigo. « Si t'as quelque chose de sucré et qui ne risque pas de m'exciter plus que je ne le suis en temps normal je veux bien. » Je considère ce qu'il vient de dire sur le bureau et ça m'amuse, il n'était pas bien différent au travail de ce que j'avais pu m'imaginer. Je ne le voyais pas se conformer à l'idée qu'on peut se faire des journalistes. C'était pour ça que j'appréciais Melfice, il n'était pas dans les cases, il était le premier à dire haut et effort qu'il croyait au surnaturel, il avait même tout fait pour me convaincre. Deux ans déjà... Je m'en rappelle encore comme si s'était hier ! « Je suis ton stagiaire, je dois t’obéir envers et contre tout ! » Bien sûr, j'avais usé d'ironie, ne pas retourner au bureau ça m'arrangeait, vu la première impression que j'avais eu j'étais bien mieux chez Melfice. « C'est quoi le programme maintenant ? »
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Sujet: Re: There's no such thing as fate • Melou ♥ Jeu 20 Juin - 18:35
There's no such thing as fate
A bien y réfléchir, je crois que c’était la première fois qu’Andrew venait à la maison, même bien la première fois que quelqu’un autre que ma famille ou ma colocataire vienne chez moi. Ce n’est pas que je ne le voulais pas, c’était plutôt que je n’avais jamais eu l’occasion ou simplement pensé à leur proposer de passer. Il était évident que mon loft risquait de le surprendre un peu mais en même temps, il me plaisait bien. Il était moderne sans avoir l’air vieux. Je regardais vers Andrew tandis qu’il me demandait quelque chose de sucré et de ne pas trop excitant. Oui, il est vrai qu’il était particulièrement actif, mais bon, pas plus que moi en fait. Lui attrapant un soda dans le frigo je lui donnais. C’est tout ce que j’avais dedans de toute façon. Me faisant couler un café, je m’assis sur un des tabourets de bar de ma cuisine et le regarda. « La suite du programme ? J’avoue que je n’y ai pas réellement songé…je pense qu’on va déjà bosser sur l’article et choisir les photos pour que ce soit on ait plus qu’à simplement le déposer à l’impression et après bah…j’ai des consoles si tu veux. » Inutile de préciser que mon père continuait à me gâter malgré mon âge et qu’il m’achetait à chaque sortie, les consoles vidéos. Je me retrouvais donc avec en permanence trois à quatre consoles en même temps dans mon salon. Tout en parlant j’avais attrapé mon ultrabook et l’avait lancé. Puis je sorti la carte SD de mon appareil photo et la brancha dans l’appareil pour lire les cartes branché en permanence à mon ordinateur. Il allait falloir trier le tout. « Je pense qu’on va mettre ton ami à la carotte et une photo de groupe, après tout c’est un petit article. Viens donc là et choisit les deux que tu veux mettre en avant. » Me levant je lui laissais donc la place et récupéra mon café au passage. Puis le versant dans un verre je le refroidis en utilisant mes pouvoirs. Je n’étais pas des plus doués en magie, contrairement à ma belle-mère je ne savais contrôler qu’un élément vraiment parfaitement et je commençais à peine à savoir en contrôler un second. J’adorais les cafés glacés et depuis que j’avais découvert que j’étais capable de les faire moi-même je n’arrêtais plus. Me penchant vers l’ordinateur, je regardais Andrew travailler. Il faisait ça bien et avec beaucoup de professionnalisme. Beaucoup plus que ce que j’aurai moi-même fait. Attrapant ma tablette…oh quand même, je suis riche et fils à papa, bien sûr que j’ai également une tablette…je commençais la rédaction de l’article. A vrai dire, je savais que je l’aurai fini en moins de trois minutes. Tout simplement parce que j’avais déjà rédigé la base à l’avance et qu’il ne me restait plus qu’à y inclure les quelques détails que je n’aurai pas pu savoir avant aujourd’hui, c’est-a-dire, les noms des élèves sur les photos, et des professeurs et surtout ce qu’il se passerait dans le spectacle. Au bout de cinq minutes montre en main j’avais terminé. « Alors ? »
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Sujet: Re: There's no such thing as fate • Melou ♥ Sam 29 Juin - 17:55
There's no such thing as fate
Un soda ? Ça ferait l'affaire ! Je reste silencieux quand il parle du programme, qui finalement me semble pas mal : finir l'article puis jouer à la console quoi de mieux ? Voilà qu'on doit trier les photos et probablement mettre mon ami l'enfant carotte... Oh non, j'imagine déjà mon père vouloir garder le journal comme preuve de mon premier emploi, s'il y avait bien une chose dont je ne voudrais pas me rappeler c'est bien l'enfant Carotte et ce costume lui donnant de l'urticaire ! Je soupire, alors que je commence à visionner les photos une par une. Autant faire ça correctement hein ! C'est fou ce que ce spectacle insignifiant et ennuyeux avait pu me rentrer en tête, je me rendis même pas compte que j'étais en train de fredonner une de leur chanson ridicule. Au bout de plusieurs minutes, Melfice se retourne vers moi, me demandant alors où j'en étais. J'avais fini de visionner les photos et même si j'eus du mal à me décider, j'avais enfin trouvé deux photos correcte pour l'article. J’incline alors l'ordinateur pour que Melfice puisse mieux voir celle que j'avais choisi. « Voilà mon super pote la carotte et la team des... des... Je sais plus, enfin eux quoi pour la photo de groupe ! » Mémoire défaillante il ne faut pas m'en vouloir avec tous les gamins que j'avais vu aujourd'hui... Et puis quand bien même , les photos choisies étaient vraiment top à mon humble avis, plus qu'à retrouver le nom de la classe avec leurs supers déguisements et voilà que le tour était joué ! Enfin fini avec le spectacle de l'école primaire, j'étais ravi de pouvoir faire autre chose que de me souvenir des voix parfaitement non accordés des enfants. « Bon maintenant qu'on en a fini avec l'article je crois me souvenir que tu as parlé de console. Je veux tout savoir Mel tout ! » J'aimais les livres certes, mais j'aimais aussi la technologie, les jeux vidéos avec un penchant pour le retro gaming mais tout de même. Au vu du studio et des moyens de la famille de mon ami je dis pas non pour tester ses dernières acquisitions dans ce domaine. Je m'attendais déjà à voir sortir le tour dernier jeu de la toute dernière console, que même dans mes rêves les plus fous je n'oserai poser les yeux dessus tellement le prix coûterait un bras à ma famille. Je reviens à Melfice, à sa proposition de jeu qui me semblait plus qu'une bonne idée après avoir survécu à cette horde de gamins surexcités ! « Après tout, on mérite bien d'un peu de détente après ce qu'on a vécu non ? » Je lui souris amusé avant de me lever, histoire de le laisser récupérer les photos choisies pour son article ce qui nous permettrait enfin de profiter d'un peu de détente.
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Sujet: Re: There's no such thing as fate • Melou ♥ Mer 17 Juil - 16:16
There's no such thing as fate
Je regardais les photos qu’il avait choisies. Comme je m’en doutais, il avait pris une photo de son petit ami carotte. Ce gamin l’obsédait vraiment trop, je commençais à me demander si j’avais eu raison de le laisser s’occuper des photos, mais surtout des gamins en fait. Bah, il finirait par s’habituer au travail ingrat, après tout, il était le premier à me le dire, il était mon esclave désormais ! Enfin mon esclave, c’était mon assistant et comme tout bon patron insupportable, je profitais honteusement de mon assistant. Bon l’avantage c’est qu’il ne me tenait pas rigueur et même qu’il me le réclamait, ça c’était le bon plan. Après avoir mis ma clé sur le pc, je récupérai et installais les photos dans les emplacements prévus à cet effet et après une bonne dizaine de minutes de mise en pages, je retirai le tout et le plaçais dans ma poche, et voilà le boulot de la journée était terminé et il nous restait encore facile deux longues heures à tuer. « Eh bah, je te parle rapidement de ma console et déjà tu deviens tout excité ! Bon, tu veux savoir quoi ? Soyons honnête, des jeux il n’y a pas qu’un type, tu préférerai quoi ? » Je le regardais un moment puis allais vers mon salon. De prime abord, on pourrait effectivement penser que je n’ai pas de télévision, mais en vérité, elle est juste bien cachée. Prenant la télécommande, je la pointais vers un tableau de peinture sur le mur. Le tableau s’éteint et une image d’une émission débile d’après-midi apparut à sa place. Oui, j’étais un fils à papa et j’adorai la technologie et cela était sans doute la plus belle invention au monde : le faux tableau écran de télévision. Ouvrant les portes de la commode sous le tableau, je laissais apparaitre les consoles de jeux ainsi que les jeux que je possédais. Me tournant vers Andrew, je lui désignais la commode. « Je t’en prie, choisit le jeu qui t’intéresse ainsi que la console qui te tente. J’ai des jeux de sports, de guerre, de coopération, des jeux musicaux, tout ce qui tu veux en fait. » Le laissant faire son choix, je retournais dans la cuisine me prendre à boire. Je me mis alors à réfléchir à l’excuse à donner au boss en rentrant, car oui, même si je me permettais de prendre du temps pour moi, lui savait très bien le temps que cela devait prendre. Bah, comme toujours je laisserai mon imagination décider. Retournant dans le salon, je m’assis sur le canapé et attendit qu’il choisisse.
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Sujet: Re: There's no such thing as fate • Melou ♥