LA FÊTE DE LA PAIX - sujet commun

LA FÊTE DE LA PAIX

Voilà 20 ans maintenant que la paix existe entre toutes les races. Cette entente parfaite à surpris même le plus positif des politologues. Mais si le monde semble en paix des races, la réalité est plus complexe que cela et nous ne vivons pas dans un monde idyllique. Il suffit de voir les stigmates de la Nouvelle-Orléans. Des tensions existent, des tensions perdurent, des accidents de parcours et des scandales jalonnent les unes des quotidiens et des journaux télévisés. Cependant, une journée arrive pourtant à mettre d'accord tout le monde, c'est la journée de la signature du traité de paix entre toutes les races.

Chaque ville américaine a pris pour habitude de commémorer cette journée qui a pris les devants sur d'éventuelles crises. A la gloire sans réelle surprise des sorciers, c'est une journée heureuse et festive où les familles se retrouvent. Cette année, Mystic Falls organise cette fête sur la place de la ville. De nombreux stands proposent des jeux, des activités et de la dégustation en tout genre. Un homme propose des balades en poneys, le marchand de la ville possède même un stand où tout le monde se presse et un cracheur de feu se tiens au centre de la place.

L'après-midi se termine et la journée fut un grand succès. Il y eu beaucoup de travail pour Matt Donovan, shérif de la ville. La sécurité étant de sa responsabilité, il ne supportait pas l'idée d'un éventuel débordement, si bien que les forces de police se montraient très présente. En fin d'après-midi, un gouté géant s'organise, de nombreuses serviettes s'installent dans les coins d'herbe. Tout le monde attend avec impatiente la tombée de la nuit pour voir un feu d'artifice que le maire veut grandiose, mais pour l'heure, tout le monde admire le magnifique couché de soleil.

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LA FÊTE DE LA PAIX

U

ne soirée, j’avais eu vent de cela, c’était vraiment chouette, mais je ne savais pas si j’étais réellement prête à remettre un peu dans une soirée, seule en plus.
Je savais qu’on risquait de me regarder un peu, je m’attendais aux regards sur moi, j’étais la meilleure amie de Carla, qui était morte une nuit de soirée.
Je me savais aussi assez instable, la colère, j’étais remplie de colère et je réalisais que j’avais énormément de mal à gérer tout ça.
Sans oublier le fameux Prométhée qui me poursuivait partout, j’avais fini par croire que c’était mon esprit qui me faisait croire que je le voyais partout. Mais j’avais beau réfléchir, c’était son odeur, et rien d’autre, une odeur ancrée en moi, je n’avais d’autres choix que de le traquer cela semblait vraiment l’amuser.

Mais aujourd’hui, tout était différent, parce que j’avais décidé de vivre une journée normale, de tenter de fermer mes sens pour ne rien ressentir et de juste m’amuser comme tout le monde. Après avoir fouillé ma penderie, j’optais pour un jeans bleu délavé et légèrement déchiré et un haut bleu. Les cheveux lâchés et légèrement maquillée et je pouvais donc y aller. Finalement j’avais hâte de profiter de la Fête de la paix. Et surtout se sentir tout à fait normale.
Une fois dehors je pris une grande respiration pour rejoindre la population qui était déjà en nombre et bien installée, je fis de même. J’avais la sensation d’être vraiment bien, un bien-être que j’avais perdu, mais je profitais, je fixais ce soleil qui était sur le point de se coucher, un magnifique décor vraiment.
La fête pouvait continuer et rien n’allait pouvoir m’empêcher de m’amuser à nouveau comme avant.

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" Tu crois que c'est fait avec du vrai ? " " Bien sur que non, regarde ! " Tirant sur un bout de la guimauve que sa petite sœur tient à la main, le garçon englouti la sucrerie d'un air assuré. " De la cerise ! Je te l'avais dit ! " " C'est vrai ? " " Evidement que c'est vrai ! Goute. " C'est vrai que la couleur rouge vif, avec quelques nuances de bordeau, ne sont pas rassurantes du tout. On s'y croirai presque. Si bien que Gabriella en a presque la nausée, de voir de si jeunes enfants avec ce truc pareil à la main. En temps normal, elle adore ça : les bonbons, les glaces, les guimauves coulantes du haut de leurs présentoirs. Cela lui donne l'eau à bouche rien que d'y penser mais... choisir quelque chose comme "sanglante" pour un jour de paix... cela ne lui serait jamais venue à l'esprit. Elle se demande d'ailleurs qui a du avoir cette brillante idée, tiens... et qui a été l'imbécile qui a approuvé surtout ! Enfin bref, le gamin tend un doigt tout collant à sa petite sœur et celle-ci le lèche timidement. Un grand sourire aux lèvres, on la sent de suite rassurée. " Quelle idée de vendre des trucs pareils aussi ! " Gaby n'arrive toujours pas à comprendre que l'on puisse prétendre que certaines des confiseries de la fête de la paix soient faites avec du sang. En quoi c'est bénéfique à ce que la paix persiste ? en quoi c'est rassurant pour les enfants, voir même les adultes humains, qui ne se sentent pas toujours en sécurité. " C'est vraiment idiot, hein ? " Gaby se retourne, surprise. Dans son indignation, elle ne s'était même pas rendue compte qu'elle avait parlé tout haut. Ors, faisant la queue pour acheter des barbapapas géantes -pour elle, sa sœur et son frère- elle avait suivi les petits des yeux jusqu'à ce qu'il arrive à son tour de passer. " Heum... oui mais... " " Je suis d'accord avec toi ma belle, t'en fais pas mais... " Le garçon du stand se rapproche d'elle comme pour lui dire une confidence. " De toi à moi, sans ce boulot, je ne pourrais pas me payer mes vacances en Espagne cet été donc... " Il fini avec un clin d'œil mais, Gaby se contente de le regarder d'un air blasé. C'est quoi son problème ? D'où il l'appelle "ma belle" ? Non mais oh ! " Trois barba géantes, s'il te plait. " Le type lève un sourcil et, sans rien ajouter, il s'en va préparer la commande. La journée a beau se finir en douceur, tout le monde est encore dehors, en famille ou entre amis. Quelques stands sont encore ouverts mais, pas pour longtemps. Personne ne voudrait rater le feu d'artifice et, certainement pas Gaby.

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La fête de la Paix

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Chris avait décidé de se rendre à la fête de la paix. D’un côté il voulait passer un moment loin de tous ses problèmes notamment depuis la bagarre où Casey, son ami, avait tué l’un de leurs opposants. De l’autre, cette soirée organisée par la mairie était aussi un moyen pour le jeune homme de croiser Lys. Il n’avait pas vu la jeune femme depuis quelques temps. En réalité, il ne l’avait pas vu depuis la fameuse journée où ils avaient couché ensemble. C’était d’ailleurs cette même journée qui s’était terminée de manière dramatique. Arrivée en compagnie de sa famille, Chris ne tarda pas à fausser compagnie à ses parents, non sans leur avoir assuré qu’il les rejoindrait au moment du feu d’artifice. Théoriquement la famille Carter devrait se rejoindre au grand complet pour regarder ensemble le feu d’artifice mais vu le monde qui se pressait à la fête, il était loin d’être certain que la théorie devienne réalité.

Se baladant aux alentours des différents stands, Chris regardait avec amusement les plus jeunes jouer ou les plus âgés manger en rigolant grassement tandis que d’autres étaient déjà en train de commencer à boire et ils ne termineraient probablement pas avant de nombreuses heures. Le soleil couchant éclairait l’ensemble de la fête de ses reflets orangés et le jeune homme devait bien l’admettre, c’était plutôt agréable. Il s’était tellement pris la tête et renfermé sur lui-même ces derniers temps que cette sortie lui faisait le plus grand bien.

Le Carter passa à côté du stand de barbe à papa lorsqu’il aperçut une tête familière qu’il reconnut sans problème. Se dirigeant vers la jeune femme blonde, Chris eut le loisir d’entendre des bribes de parole du vendeur « Je suis d'accord avec toi ma belle, t'en fais pas mais.. » Le jeune chasseur s’avança encore alors que sa cousine passait sa commande. Il la connaissait suffisamment bien pour savoir qu’elle n’avait pas dû particulièrement apprécié le terme « ma belle » de la part d’un tel inconnu. Se mettant à hauteur de la blondinette, Chris prit la parole amusé. « Tu sais avant de draguer ouvertement une fille de la sorte, assures-toi que ni elle, ni personne de sa famille puisse te botter le cul. Et merci pour la barbe à papa gratuite que tu viens de m’offrir. » Le vendeur regarda Chris désemparé mais devant l’insistance et l’assurance du chasseur il ne chercha pas la petite bête conscient que des deux c’était bien le Carter qui avait l’avantage. Après avoir donné les trois barbapapas à Gabriella, le vendeur se hâta d’en faire une quatrième pour Chris. Un sourire sur les lèvres, le Carter le remercia avant de partir en compagnie de sa cousine. « Je pensais que tu lui aurais botté le cul toi-même, Gab’. Je suis sûr que ta sœur aurait détruit son stand s’il avait fait la même chose avec elle. Heureusement que tu es la plus raisonnable des deux. » déclara alors le jeune homme un sourire amusé sur le visage.

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LA FÊTE DE LA PAIX

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" Je pensais que tu lui aurais botté le cul toi-même, Gab’. Je suis sûr que ta sœur aurait détruit son stand s’il avait fait la même chose avec elle. Heureusement que tu es la plus raisonnable des deux. " Lui lançant une moue mi-heureuse -de le voir- mi-grognon, Gaby tente de se défendre comme elle peut... " Qui te dit que je ne l'aurais pas fait dés qu'il m'aurai donné ce que je lui avait demandé ? " ...mais Chris a raison et elle le sait. Sidjey ne se serait pas laissé faire aussi facilement mais, contrairement à sa sœur, Gaby n'a jamais eu le cœur au combat et le talent inné pour la chasse. Parfois, si elles n'étaient pas jumelles et issus de la même mère, ce serait à ce demander si elle n'avait pas été adopté tellement elle diffère de tous les Carter connus à ce jour. Non seulement elle n'avait pas cette confiance en soit qui les caractérise tous -bien qu'elle soit tout aussi borné- mais, son calme cartésien pouvait en déstabiliser plus d'un déjà lorsqu'elle était enfant. Avec le temps, les choses ne se sont pas arrangées, bien évidement... Malgré les entrainements, les mises en condition de chasse et les années passés auprès de sa famille, elle se sent toujours aussi décalée et, c'est l'une des raisons qui font que son cousin préféré aime autant la charrier. En effet, elle préfère réfléchir avant d'agir -parfois même un peu trop- ce qui la rend un peu trop sérieuse à son gout. Du moins, c'est ainsi qu'elle le sent... Tenant ses trois barbas dans ses mains, elle sent son portable vibrer dans la poche arrière de son jean mais, plutôt mourir plutôt que de demander à son cousin de le lui donner. A la place, elle lui plante deux des énormes confiseries dans sa main libre. " T'aurais quand même pu en demander une pour ta sœur, non ? J'en connais un qui va devoir partager... " Malgré son rire, elle regretta aussitôt ce qu'elle avait dit. Le connaissant, il pouvait tout aussi bien partir en courant comme un débile avec les deux autres qu'elle venait de lui "offrir gentiment". Elle n'aurait eu aucun mal à le rattraper -la vitesse étant l'un de ses points forts- mais elle se retrouverait bien con quand même... Avant qu'il n'ai le temps d'y penser, elle changea de sujet d'un ton joyeux. " Les autres savent que vous êtes là ? Ce serait dommage de ne pas être ensemble pour le feu d'artifice. " Chopant son téléphone, elle sélectionne le numéro de sa sœur et de son frère pour leur envoyer un sms commun : Vous êtes où ? Chris est avec moi..

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La fête de la paix

Intrigue

Everybody

« Viens, prends ma main, on va perdre les autres ! » Appuyée contre un arbre, j’observais toutes ces personnes qui semblaient s’amuser, qui étaient venus accompagnés. La fille que j’étais maintenant n’était pas sociable, je ne m’en rendais encore que plus compte avec ce genre d’événements. Élément discret de la ville, ma timidité était apparenté à de la timidité. C’était bien plus compliqué que cela. La foule rend les gens stupides. J’avais cette idée fixe. Pourquoi avais-je fait l’effort de venir ? Sans doute pour voir de mes propres yeux si ce que cette ville appelle paix peut vraiment tenir… Sorcière qui se prétendait humaine, je faisais partie des moutons noirs de cette fête spéciale. Comment ces personnes pouvaient prétendre qu’elles étaient là pour célébrer la paix et l’indifférence des races ? Cet événement était tout le contraire. Cela ne faisait qu’appuyer que l’humanité était à la fois notre proie et notre pire ennemi. Je me surprenais moi-même à avoir des pensées aussi violentes, mais c’était la réalité. Si je n’étais pas aussi timide, sans doute aurais-je eu le culot de demander à un vendeur qui avait fait don de son sang pour qu’il puisse le vendre. Les vampires m’effrayaient. Les sorcières étaient souvent employées par leurs soins pour leur servir et mourir. Certaines sorcières pensaient être au-dessus d’eux, mais il y avait la famille originel en ville. Qui peut vraiment croire à la paix alors que la nature nous a fait proie et prédateur ? Oh bien sûr, je sais que c’est plus compliqué pour les vampires, mais ils rentrent quand même dans la chaîne alimentaire. « Pardon ! » Quelqu’un m’avait bousculé en courant retrouver son groupe d’amis, toujours enfermée dans mon mutisme, je lui offrais un simple sourire timide avant de me caler bien mieux contre mon arbre. Discrète, un soupir m’échappa. Se forcer à faire des choses n’était vraiment pas l’idée du siècle. Mais si, comme je le soupçonnais, il se passait quelque chose ce soir, je voulais le voir de mes yeux. Masochiste ? Peut-être… Mais j’ai confiance en très peu de personnes en ce monde, à part Jilian et Hope. Alors je ne veux pas apprendre dans un journal ce qui s’est passé. Personne n’est objectif dans ses écrits, tout le monde à un point de vue. J’aimerai pouvoir me faire le miens en étant au cœur de l’action.

Pour passer le temps, comme une petite fille, j’observais les étoiles, cherchant à trouver des constellations. Pourquoi tant d’insouciance alors que mes pensées étaient sombre ? Parce que même le plus dangereux des individus ne peut qu’aimer les feux d’artifice. Pourquoi se priver soi-même d’un tel spectacle ? Si quelque chose devait se passer, se serait pendant ou juste après. J’en étais persuadée. L’unanimité n’est pas quelque chose fait pour les groupes d’humains, de sorciers ou autres. Alors, il y avait forcément des personnes qui voudraient interrompre cette petite fête aux allures parfaites. Comment pourrait-il en être autrement ? J’espérais seulement que l’avenir me donnerait tort. Je pourrais retourner tranquillement à mes séries télévisées.

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Peace × ft. everyone

« Maxxie, reste près de moi s'il te plaît. ». Lys veillait au grain avec son petit frère, elle avait déjà eu suffisamment de mal à convaincre son père des les laisser aller à la fête de la paix, elle ne tenait pas à ce qu'il lui arrive quelque chose. Depuis que Casey était derrière les barreaux, l'ambiance était plus que tendue à la maison, à peine respirable en fait. Alex Wilson ne laissait plus sa fille aller et venir aussi facilement qu'auparavant et elle se sentait quelque peu étouffée. La fête de la paix et l'envie irrépressible de Maxxie de se gaver de barba-papa tombaient donc particulièrement bien.

Lys attrapa la main de son petit-frère qui s'émerveillait d'à peu près tout ce qu'il voyait. Le regard de l'adolescente, lui, se portait sur la foule, comme si elle était à la recherche d'un visage. Ce qui était en fait le cas, même si elle n'était pas forcément prête à l'admettre, elle espérait vraiment croiser Chris. Elle ne l'avait pas vraiment revu depuis qu'il avait quitté l'hôpital et elle lui avait simplement envoyé un message pour lui donner des nouvelles de Casey. Malgré tout, elle ne pouvait pas s'empêcher de penser de lui, elle ne parvenait pas à le sortir de son esprit. Elle se surprenait à sourire bêtement à chaque fois qu'elle repensait à la sensation de sa peau contre la sienne, à ses baisers, à cette passion. Un fait qui la faisait d'autant plus culpabiliser puisque la seule personne qui aurait dû prendre autant de place dans ses pensées en ce moment, c'était Casey. Cela dit, ça ne voulait pas dire qu'elle n'y pensait pas, au contraire, il n'était jamais loin non plus, traînant avec lui la peur et l'angoisse.

Fort heureusement, elle avait une petite tête brune barbouillée de sucre rose pour lui faire penser à autre chose. « J'ai trop hâte de voir les feux d'artifices ! Tu peux m'en faire rien que pour moi avec tes pouvoirs ? ». Lys ne put s'empêcher d'être attendrie malgré le fait que normalement, Maxxie n'était pas supposé parler de ses pouvoirs. Elle savait bien que pour un petit garçon de sept ans c'était difficile de garder le silence sur quelque chose qu'il trouvait aussi génial. « Non, je ne peux pas, mais à la maison, je te montrerai un truc encore plus cool... ». Elle fit un clin d'oeil au garçonnet qui hocha grandement la tête, impatient. En fait, l'adolescente espérait surtout qu'au retour, Maxxie allait simplement s'endormir dans la voiture et oublier cette histoire parce qu'elle ne savait pas vraiment ce qu'elle pourrait lui montrer. Elle n'avait pas assez confiance en elle et ses pouvoirs pour dévoiler à son petit frère le peu qu'elle savait sans avoir peur de le blesser.

« Oh c'est Chris ! Regarde ! ». Lys fronça les sourcils avant de remarquer le jeune Carter, non loin d'eux, en compagnie d'une jolie blonde. Merde! Lys n'avait pas la moindre idée de ce qu'elle devait faire. D'abord parce qu'il était accompagné et qu'elle s'était sentie bien assez mal à l'aise face à sa soeur la dernière fois, elle n'avait pas besoin d'en rajouter une couche. Ensuite, elle craignait ce moment de flottement durant lequel ils ne sauraient pas quoi se dire. Et ce qu'elle ne s'avouait pas, c'était que la jalousie venait de s'installer confortablement dans un coin de sa tête, anéantissant toute rationalité émotionnelle. Cela dit, Maxxie n'étant pas dans la tête de sa soeur, il fit un grand signe de la main au chasseur. « Tu viens on va le voir ? Comme ça tu pourras m'acheter des bonbons avant que ce soit trop tard ! ». Bah oui bien sûr, merci Maxxie, c'était tout-à-fait ce qu'elle avait prévu. C'était pour cela que ses pas suivaient ceux du petit garçon sans vraiment qu'elle n'y réfléchisse. « Salut Chris ! ». Maxxie avait l'air plus que content de voir Chris ce qui n'était pas vraiment surprenant étant donné l'admiration du petit garçon pour son grand-frère et ses talents de boxeur. Nul doute qu'il avait dû être tout aussi impressionné par Chris. « Salut... ». Elle offrit un sourire timide à Chris et à la jolie blonde, n'ayant pas la moindre idée de comment se comporter, surtout avec ses joues rougies. « Mademoiselle ? ». Elle se tourna alors vers le vendeur. « Pardon, je vais vous prendre, ce truc là... ». Elle montra une poche de bonbons qui semblaient plus que chimiques mais qui avait malgré tout l'air de convenir à Maxxie vu qu'il était déjà en train de saliver. Elle paya machinalement et donna les bonbons à Maxxie de la même manière avant de baisser à son niveau. « Attends, je te débarbouille avant que tu manges plus de sucre. ». Kate allait la tuer si elle savait la quantité de sucre que Maxxie avait mangé mais à vrai dire, Lys s'en fichait un peu dans l'instant, elle se sentait surtout en très mauvaise posture.

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La fête de la paix avait débuté depuis plusieurs heures maintenant. J’aimais ce jour car toutes les races faisaient l’effort de se côtoyer pour répondre au projet du Conseil. Je trouvais cela admirable de mettre toutes les tentions et les griefs de côté afin de fêter le bonheur tout simplement. Le monde était devenu bien trop pessimiste et voir enfin du bonheur sur le visage des gens. Et c’était le cas, tout le monde semblait relativement heureux d’être présent. J’étais venu seul sans raison spéciale, juste une envie de flâner à la sortie du tribunal. J’avais profité de ce jour férié pour bosser un peu tranquille dans mes dossiers en retard. Sorti du tribunal, j’avais naturellement décidé de faire un tour à la fête mise en place par le maire de la ville.

Je notais la forte présence policière. Ce Donovan était devenu un homme bon et fort même si j’évitais de m’approcher de lui, je savais que nous n’étions pas en bon terme. Continuant de parcourir les allées, je ne croisais personne que je connaissais réellement. Je me demandais si le reste de la famille Mikaelson allait faire son apparition, je n’en savais rien. M’arrêtant à un stand, je commandais un vin chaud pour m’occuper un peu la bouche avant de reprendre ma balade. Je flânais sans aucun but précis. J’étais heureux de voir que tout le monde semblait profiter de cette journée, avec bonne entente. Cela aurait tellement pu mal se terminer et j’avais bien cru que toute cette histoire se serait terminée dans un bain de sang mais je saluais le travail des sorcières bien que je ne les portais plus dans mon cœur depuis l’exil forcé des Mikaelson de la Nouvelle-Orléans.

La fête de la paix

La fête de la paix. Honnêtement je n'y avais jamais vraiment crus à cette sois disant paix. Mais contre toute attente ça tenait tout de même depuis vingt ans, bravo j'applaudit ! Combien de temps encore ? J'avais autrefois fait partit du conseil de la ville histoire d'être rayé de la liste des potentiels vampires et de savoir ce qu'il se passait. Mais depuis, grâce à notre ami Kol tout le monde connaissait l'existence des vampires et ça n'avait été que le déclencheur puisque les autres races se révélèrent ensuite. Sans ça il n'y aurait probablement jamais eu ce conseil puisque les humains ont une fâcheuse tendance à vouloir se mêler de tout et se sentir un minimum capable de contrôler ce qu'il se passe. Sauf que ça n'est pas aussi simple, nous ne sommes pas des animaux, à part les loups bien entendu, mais on ne se dresse pas. Si les vieilles querelles ont été endormie il ne faut pas croire que tout le monde s'est mis à aimer tous les autres, oooh non. Et moi le premier ! Ceci dit je n'avais pas prévu de faire de vague ce soir, tant que je ne me sentais pas menacé du moins. Je n'y étais pas allé de l'après-midi et je m'y pointais seulement maintenant. J'avais tout de même fait l'effort de mettre une chemise. Je reconnu rapidement certaines têtes comme celle de mon grand ami Elijah ou quelques minis Carter qui traînaient dans le coin mais mon regard s'arrêta sur une chevelure. Cette chevelure je m'en rappelais parce que la première fois que je l'avais vu c'était quand on m'avait dit que c'était Katherine. J'avais du mal à le croire, je m'étais juste dit qu'elle avait changé de coupe de cheveux puis quand elle s'était tourné j'avais compris qu'elle n'était pas la miss Pierce à laquelle je pensais mais quelqu'un qui portait le même prénom, écrit avec un C d'ailleurs. Elle s'était même excusée alors que c'était moi qui l'avais confondue. On pouvait difficilement trouver plus timide et innocente que la jeune fille. Une vraie poupée de porcelaine. Je m'avançais vers elle et appuyais ma main sur le tronc contre lequel elle était appuyée, juste derrière elle "Le ciel étoilé serait-il la seule chose intéressante à regarder ce soir ?" Un sourire étira le coin de mes lèvres. Bon on lui pardonnait je venais seulement d'arriver !

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Fête de la paix

La fête de la paix, c’est une habitude qu’on a prit à Mystic Falls. Faire cette fête, et réunir un peu tous les personnes présentes dans la ville, montrer que les humains, les vampires, les loups et les hybrides vivent en paix. J’aimerais bien le croire, vraiment. Mais je n’y crois pas vraiment à cette paix. Il y aura toujours une certaine rivalité je pense. Mais bon les humains ont l’air d’accepter tout cela. Après tout je les comprends, soit on accepte, et on vit avec, soit on se révolte, mais on a plus de chance de se faire tuer qu’autre chose. Moi maintenant je me sens mieux. Enfin je me sens plus en sécurité, dans le sens, où je sais encore mieux me défendre qu’avant. Je savais déjà bien me défendre, mais disons que maintenant je suis plus forte, plus rapide et j’arrive à plus rapidement analyser ce que m’entoure.

Donc après toutes ces festivités, ça ne s’arrête pas pour autant, et on s’installe tous dans le parc, et on attend les feux d’artifices. J’ai pris du retard, parce que je m’entrainais. Je ne cesse de m’entrainer un peu plus tous les jours, et c’est un sms de ma sœur qui me rappelle que je dois aller à cette fête. Elle y est déjà avec notre cousin, Chris. Bon faudrait vraiment que je pense à y aller alors. Je vais rapidement prendre une douche, histoire de ne pas sentir la transpiration, ça me gênerait tout de même. Finalement je sors de ma douche pour pouvoir m’habiller rapidement et partir pour la fête de la paix. Une fois sur place, je cherche des yeux mon sœur et mon cousin. Je les trouve rapidement, tous les deux, ensemble, alors je vais les rejoindre.

« Coucou, vous deux ! »

Je leur souris, à tous les deux. Ca ne fait pas de mal de temps en temps de passer des moments avec sa famille, c’est toujours plaisant, et là évidemment ça l’est.

« Désolé je suis un peu en retard, j’étais en train de m’entrainer, j’ai zappé. »

Et l’entrainement est tout aussi important que cette fête, du moins, de mon point de vue évidemment.

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Le traiter de paix

Encore une journée comme les autres qui s’annonçait. Je regardais mon réveil et il était déjà 14h28. J’étais allongée sur mon lit sans savoir quoi faire. Je regardais mon plafond sur lequel j’avais collé quelques étoiles phosphorescentes. Bon d’accord, ça faisait petite fille mais je devais dire que j’aimais bien ça et puis, c’était ma chambre, mon lieu, ma pièce, j’en faisais et la décorais comme je le voulais. Peu importait ce que pouvait en pensait les autres, moi ça me plaisait tel que c’était. Plus tôt dans la journée, j’avais appelé Bonnie pour savoir si quelques choses était prévue mais elle répondit que oui, il y avait le traiter qui se dérouler sur la place publique, comme chaque année. Ma tête…ma pauvre tête qui me faisait affreusement mal. Et cette douleur, je ne mis pas longtemps à comprendre d’où elle venait. Quelques souvenirs me revenaient lentement à l’esprit. La musique, des personnes autour qui dansaient, criaient, s’amusaient. Le goût de l’alcool ou plutôt d’un martini suivit d’une bière….quel mélange j’avais bien pu faire hier. Je portais ma main à mon front et tentais d’ouvrir lentement les yeux. Tout d’un coup, j’en voulu à Morgan. En général, c’était toujours lui qui nous proposait une soirée dans un bar ou en boîte après une affaire difficile et selon mes quelques souvenirs concernant ma journée d’hier, la journée avait effectivement été difficile.

Il fallait absolument que j’arrive à me lever. Une bonne aspirine et tout devrait rentrer dans l’ordre…enfin je l’espérais. J'enfile un jean slim de couleur noir et un haut simple avec une petite veste. Comment j'avais fait pour oublier le traiter de paix. J'écoute ma boite vocale, deux appel manquant de Matt. Je sortie de mon chez moi et conduisit en direction de la place. Il y avait un monde fou, des étudiantes, des membres de la mairie, des habitants et bien sur je reconnu au loin deux silhouette celle de Damon et Elijah. Je m'approche d'un pas silencieux vers le stand de boisson.

La Fête de la Paix représentait beaucoup pour pas mal de personnes, humains comme créatures. Il était évident que j'allais me montrer à cette fête en l'honneur de la Paix, bien que fragile instaurée depuis plusieurs années par les sorcières de la Nouvelle-Orléans. Mes cheveux recommençaient à pousser et j'avais opter pour le fer à boucles ainsi qu'une robe blanche. Mon pendentif pendant toujours autour de mon cou alors que je me suis aventurée jusqu'à la place de la ville pour rejoindre la population dans atmosphère enjouée et sereine. Souriant aux uns et aux autres j'ai finis par m'avancer vers un stand pour demander une citronnade, même si un bourbon aurait été meilleur. Les mains jointes autour de mon verre j'observe les alentours en soupirant, attendant la venue de Klaus ou n'importe quel autre visage familier... Même si Nik serait la personne la plus apte à m'aider pour ce que je comptais faire ce soir. Je suis arrivée en retard, peut-être que l'hybride, Elijah ou même Rebekah sont déjà présents. J'ai ouïe dire que la Fête de la Paix de Mystic Falls accueillera des invités d'honneur ce soir, je ne voudrais tous de même pas manquer une occasion d'allier utilité et amusement, c'est tellement rare de voir ces deux ingrédients s'accorder, surtout pour un membre de la famille Mikaelson. Les sorcières sont à l'origine de l'expulsion de mes frères et ma sœur de leur propre ville, bien entendu je me suis vit offerte un titre de régente mais s'il y bien une chose que j'ai comprise au fil du temps c'est que la famille vaut bien plus que le pouvoir. Sauf pour ce soir. Je veux dire, je choisirai toujours ma famille au détriment du pouvoir si l'on me le demandait et c'est pour pour cette raison je n'ai pas parlé à Elijah de mon plan, et que j'estime Niklaus enclin à prendre part à ma petite aventure...

La fête de la paix

Intrigue

Everybody

Les bras croisés sur ma poitrine, j’entendais seulement les autres s’esclaffer, courir, et qui allaient très certainement continuer à me rentrer dedans. Il fallait se forcer parfois à faire des choses pour avancer, du moins c’est ce que je pensais. Mais à force de me faire piétiner les pieds à cette soirée, je risquais fort de changer d’avis. Perdue dans mes pensées, il y avait bien trop de présences pour que je comprenne que quelqu’un s’était véritablement arrêté à mon niveau. Alors que la voix d’un jeune homme me parvint à moins d’un mètre de moi, je sursautais. Faisant volte-face, je venais juste de frôler la crise cardiaque et ma réaction suivante ne put qu’être encore plus inattendue. « Tu… Tu veux ma place ? » Heureusement que j’avais décidé de m’affirmer… Si l’une de mes rares amies avait été là, j’aurai eu de la chance de m’en sortir avec une simple tape sur la tête. A vrai dire, j’ignorais même si Damon Salvatore savait pour moi, pour le fait que je n’étais pas humaine contrairement à ce que l’opinion public semblait croire. C’est ce que je souhaitais aussi, on avait déjà pris mes pouvoirs une fois, alors j’étais réticente à me faire connaître à ce niveau-là. « Tu as retrouvé ton amie Katherine ? » Je savais être sociable, bien que maladroite et rongée par la timidité. D’autant plus avec quelqu’un de mignon. Plaçant l’une de mes mèches de cheveux derrière mon oreille, je croisais de nouveau mes bras sur ma poitrine, osant affronter directement son regard. « Tu dois être accompagné, non ? Ou tu veux que je t’offre quelque chose à manger ou à boire ? » Oui, j’avais une idée défini sur toutes les races : humains, vampires, sorciers ou encore même hybride. Mais pourtant cela ne retirait en rien l’individualité d’une personne. Il fallait dire aussi que, finalement, je me méfiais de tout le monde. Réalisant soudain que ma bonne éducation pouvait, au contraire, paraitre mal élevée ou opportuniste, j’essaie de me reprendre sur ma proposition : « Enfin, je comprendrais que tu ne veuilles pas rester avec moi, c’était juste… Comme ça. Je suis venue pour le feu d’artifice. » Voilà, maintenant j’émettais des évidences. Qui était venu dans la paix et qui était venu pour le feu d’artifice ? Inutile de faire un vote à main levée pour savoir que l’unanimité serait remportée par le feu d’artifice.

LA FÊTE DE LA PAIX

Le Shérif Donovan patrouillait dans les allées lorsque l’on vint lui rapporter un feu sur le parking. Sans plus attendre, il prit la direction au pas de course du parking pour voir ce qu’il se passait. Il avait demandé à informer les services de pompier sur le champ. Il espérait cependant qu’il s’agisse que d'une fausse alerte. Arrivant sur le parking, il vit une femme dans un état de choc hurlant de tous ses poumons alors qu’il voyait dans l'arrière plan une voiture en feu. Sortant son arme sans plus attendre, il utilisa sa vitesse vampire pour arriver au bout de l’allée. La voiture brûlait et il voyait le corps d’une personne à l’intérieur. La chaleur était insoutenable. La portière ouverte, une main sortait de la voiture alors qu’elle se faisait consumer par les flammes. Il savait que l’on ne pouvait rien faire pour cette femme. Il s’agissait maintenant d’une scène de crime. Et il savait déjà que la situation serait tendue. Il avait reconnu la main de la jeune femme. Elle portait une bague que tout le monde connaissait dans la ville, celle de la chef du Coven. La plus grande sorcière en ville.

Alors que des pompiers s’afféraient à éteindre le feu du véhicule pour essayer de sauver des preuves, l’ouïe surhumaine de Donovan lui permit d’entendre des gémissements. Il comprit également que l’odeur de sang qu’il avait en plein nez n’était pas liée qu’à la victime. Il marchait en direction de la grande pelouse entourant le parking sombre et tombait sur le mari, deux balles dans le dos, allongé entrain de perdre son sang et de gémir. Il ordonnait au pompier de porter les premiers secours alors qu’il décidait d’appeler le maire pour le tenir informer. D’un geste de la main, il fit signe à ses agents de créer un cordon de sécurité autour de la scène de crime. La rumeur s’était déjà répandue comme une trainée de poussière et les premiers curieux commençaient à trop s’approcher. Donovan savait la situation brulante. La mort de la chef du coven le soir de la fête de la paix n’était pas anodin. Qui avait bien pu faire cela ? Nul doute que tout le monde commençait à avoir sa petite idée. Pour l’heure Donovan ne pouvait rien faire d’autre que d’attendre la sécurisation de la scène de crime. Au milieu de la zone de sécurité, il était impuissant face au spectacle. Mais qui donc avait bien pu enlever la vie à cette femme que tout le monde respectait ?

Impatiente, je bois rapidement ma citronnade histoire d'avoir les mains libres en voyant les uns et les autres s'afférer entre amis, autour d'un stand ou en pleine discussion. La nuit c'est rapidement installée sur la ville et tous le monde semble attendre le feu d'artifice et le discours du maire, suivit de celui de la régente des sorcières. Moi, je continue d'attendre mon frère Niklaus en vérifiant à chaque minutes mon téléphone. Mais lorsque certaines personnes semblent paniquer et s'aventurer vers la direction du parking, attirant foule, ma curiosité est piquée au vif. Je jette mon gobelet dans la première poubelle que je croise et suis le mouvement pour observer des camions de pompiers éteignant un feu, et une petite escorte s'occupant d'une silhouette au sol, dans l'herbe plus loin. On parle de meurtre, d'attente aux droits de l'Homme et à la Paix. Il parait que la leader des jeteuses de sorts vient de se faire brûler dans sa voiture, comme lors d'une véritable chasse aux sorcières. J'avale avec difficulté et m'éloigne de la foule pour sortir mon téléphone et téléphone à mon imprévisible de frère. Je tombe sur la messagerie et décide de laisser un message, la voix tendue "Pour l'amour du ciel Nik, dis moi que tu t'en est tenu à..." mais je n'ai pas le temps de poursuivre mon message que je me prend de plein fouet contre quelqu'un "Rappelle moi !" et je raccroche précipitamment, relevant les yeux vers la personne que j'ai bousculé.

ps: libre à qui veut d'être cette personne bousculée

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Le traiter de paix

La fete pour le traiter de paix avait ramener le quart de la ville sur la place public. Matt avait pas fait les choses à moitié pour que tout ce passe bien et dans les règles bien sur. Je ne voyait aucunement mes deux meilleures amie, Caroline et Bonnie. C'est aussi occasion pour nous trois de se retrouver. Depuis que jeter revenu à Mystic Fall j'avais pas eu le temps de voir ni l'une ni l'autre, mon travail me prenez trop de temps. Certes, cela n'ai pas une excuse mais quand tu es le chef de la chirurgie comment trouver du temps, déjà que j'en est vraiment pas pour moi. Je fini mon verre d'un seul trait. Il fallait que je me dégourdisse les jambes, je marcher tranquillement parmit les stands. Il y avait un peu de tout, des jeux de fléchettes, de la barbe à papa, des peluches et encore pleins de choses incroyable pour petit et grand. Une journée merveilleuse a passée en famille. Complètement obstruer parce ce qui se passe autour de moi, je n'y pas attention à la jeune femme. Une grande blonde au yeux très clair. " Pardons, je ne regardez pas devant moi " dit-je en ramassant mon sac qui avait glisser de mon épaule. Je suis vraiment maladroite comme fille, on ne te refera pas Elena. " Je suis confuse ... je m'appelle Elena Gilbert. Je ne vous est jamais rencontrer vous etes de passage en ville ? Désolé si je suis indiscrète ..." Je ne savais vraiment pas ou me mettre. Les traits de son visage me rappeler une personne de familier pour moi. Pourtant cette jeune femme enfin son identité mais inconnu. Un petit groupe d'étudiant passa juste à cotés de nous en hurlant de toute leur force, sous l'effet de l'alcool ils bousculèrent et embêter les familles qui se trouver aux stands. Je regarder l'heure sur ma montre et j'esperer que mon bipeur sonne. Jeter devenu une bourreau du travail. Je devais vraiment prendre des vacances et apprendre à vivre. Prendre du temps pour moi.

HJ: Je suis la fille que tu as bousculer ^^

Lorsque je reconnais la personne que j'ai bousculé, je ne peux m'empêcher de me figer et de voir le temps passer au ralenti. Elle ne semble pas me reconnaître, d'un côté je remercie le ciel, ça serait pour le moins embarrassant. De l'autre, mon ego en prend un coup. Certes, les gens ont plus tendance à reconnaître Elijah, Nik et Rebekah comme les Mikaelson et oublient parfois l'aînée oubliée au cours du temps. Je souris au célèbre sosie en plaçant une mèche blonde derrière mon oreille "Elena Gilbert, c'est un plaisir !" je souris gracieusement à la brune qui semble déstabilisée, ou en attente de quelque chose "On ne c'est jamais rencontré mais, je suis Freya. Freya Mikaelson. J'ai ouïe dire que vous avez un passé commun des plus... explosif disons, avec ma fratrie." je n'ai pas encore de réelle opinion sur miss Gilbert, je sais juste qu'Elijah a déjà éprouvé des sentiments pour elle et cela doit faire de la femme vampire quelqu'un de bien. Néanmoins je n'oublie pas qu'elle a œuvrer pour la mort de ma famille par le passé. En attendant, j'espère que l'un de mes frères ne tardera pas à se montrer. Surtout Niklaus, je dois m'entretenir avec lui au plus vite...

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"Elena Gilbert, c'est un plaisir !" Elle me regarder d'une drôle de manière, comme si elle me connaissait. J'était vraiment perplexe devant cette jeune femme. On pouvais lire dans sont regard que la situation l'amuser et ou l'irriter. Je n'arriver pas vraiment à décrypter son ressentiment. "On ne c'est jamais rencontré mais, je suis Freya. Freya Mikaelson. J'ai ouïe dire que vous avez un passé commun des plus... explosif disons, avec ma fratrie." Je ne sais quoi lui réponse et la regarde intrigué. Elle était donc l'ainée de la fratrie. Elle devait etre froisser que je ne sache rien sur son identité au départ. "Enchantée Freya. Il est vrai qu'il a eu des hauts est des bas avec ta fratrie ... mais bon cela date. Tu es donc l'ainée ... désolé je ne savais pas" dit-je en parlant avec la jeune femme et j'étais sincère. " Vous vous plaisez à Mystic Fall ? Cela n'a rien avoir avec la Nouvelle-Orleans ses pas très dynamique comme ville ... vous devez avoir une mauvaise opinion de moi ou je me trompe ? " Ce que je pouvez comprendre vue mon passée explosive avec sa famille. L'eau est passée sous les ponts depuis et je pense que de chaque cotés nous avons beaucoup perdu. Jeter pas revenu ici dans ma ville natale pour savoir qui a raison ou tort. Il y avait foule vers une partie de la place, je voyait la voiture de Matt garer au loin. J'espérer qui est pas eu de drame. Cette ville avait assez souffert comme ca.

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La fête de la Paix

RP commun

« Qui te dit que je ne l'aurais pas fait dés qu'il m'aurai donné ce que je lui avait demandé ? » Chris regarda sa cousine avec un sourire, elle n’avait pas un tel caractère, du moins, il ne l’avait jamais vu attaqué tête baissée comme l’aurais certainement fait Sidjey à sa place. « T'aurais quand même pu en demander une pour ta sœur, non ? J'en connais un qui va devoir partager... » « Nan, elle en a pas besoin. » répliqua le jeune Carter sans hésitation. Il n’insinuait pas qu’elle était en surpoids ou quoi que ce soit, simplement qu’elle aurait probablement déjà une si elle en voulait une lorsqu’ils se croiseraient. « Les autres savent que vous êtes là ? Ce serait dommage de ne pas être ensemble pour le feu d'artifice. » « Si par les autres tu entends, Logan et Sid’ non, je ne crois pas, mais si j’ai bien suivit ce que ma mère m’a dit, nos parents sont supposés se rejoindre dès que possible. » A peine le Carter eut-il terminé sa phrase qu’il croisa le regard de Lys. Son cœur rata un battement au contact du regard de la jeune femme avec qui il n’avait pas parlé depuis plusieurs jours. Mais ce fut le petit frère de la jeune femme qui vint le premier à la rencontre du chasseur. « Salut Chris ! » « Salut Max’ ! » répliqua le jeune homme avec enthousiasme alors que Lys le salua elle aussi plus timidement. Chris entreprit alors de faire les présentations. « Gaby, je te présente Lys et son petit frère Maxxie, Lys, je te présente ma cousine, Gabriella… » C’est alors que Logan fit son apparition. « Et son frère Logan. Salut Lo’. » déclara alors le jeune Carter. Alors qu’ils formaient un groupe conséquent tous les cinq, une colonne de fumée noire s’élevait au ciel tandis que la masse de gens se déplaçait en direction du parking. Les voix paniquées se faisaient entendre, et une notification sur le téléphone du Carter provenant du Twitter lui indiqua que la chef du coven de Mystic Falls venait d’être retrouvée morte sur le parking. Chris lança un regard à ses cousins ainsi qu’à Lys et Maxxie. Il ne voulait pas effrayer le jeune garçon présent avec eux mais il devait en vitesse rejoindre la voiture familiale où se trouvait ce qui lui fallait pour se battre. « Quelque chose me dit que cette fête ne sera pas de tout repos. » Cette fête lui rappelait étrangement l’une des histoires que lui avait raconté ses parents. Une fête foraine qui avait été le champ de bataille entre Carter et Originaux, Chris avait le pressentiment que cette fête n’aurait de paix que le nom. Le jeune homme se hâta alors en direction du parking, souhaitant accéder au plus vite à la voiture des Carter.

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Peace × ft. everyone

« Gaby, je te présente Lys et son petit frère Maxxie, Lys, je te présente ma cousine, Gabriella… ». En un instant, Lys sentit sa jalousie s'évaporée et son coeur se faire plus léger. Elle savait qu'elle n'aurait pas dû imaginé quoique ce soit mais pour une fois, elle était plutôt soulagée d'avoir tort. « Et son frère Logan. Salut Lo’. ». Elle tourna alors le regard vers le jeune homme qui venait tout juste d'arriver, le saluant d'un sourire. « Ravie de vous rencontrer...j'imagine que vous... ». Elle aurait pu terminer sa phrase et entamer la conversation mais son regard, comme celui de beaucoup d'autres, se tourna vers l'épais nuage de fumée qui se soulevait. La panique semblait déjà prendre possession de la foule et tout comme Chris, elle sortit son portable, soucieuse de savoir ce qui se passait. « C'est pour le feu d'artifice ? ». Maxxie était très loin du compte. La sorcière la plus influente de la ville venait de se faire tuer. « Pas vraiment Maxxie, c'est plus un... accident. ». Elle n'allait pas lui parler de meurtre, il avait sept ans.

Elle lança un regard inquiet à Chris savant d'observer Gabriela et Logan. Chris lui avait dit que la chasse était une affaire de famille chez eux, sans doute qu'ils savaient tous les trois comment réagir. Seulement, la préoccupation de Lys à cet instant restait de mettre Maxxie à l'abri. « Quelque chose me dit que cette fête ne sera pas de tout repos. ». Non et à vrai dire, Lys craignait assez vite le pire, la paix était fragile et ça, c'était un acte de guerre. Elle observa le jeune Carter s'éloigner, le priant intérieurement de faire attention à lui. Elle se tourna vers son petit frère. « Quoiqu'il arrive, tu restes avec moi, d'accord ? ». Maxxie hocha la tête et un instant, l'inquiétude se lisait sur son visage. Il était jeune mais loin d'être idiot,si Lys disait cela c'est que les choses risquaient de mal tourner.

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LA FÊTE DE LA PAIX

sujet

commun

Soyons un peu réalistes... cette fête est loin d'être aussi paisible et pacifiste qu'elle en a l'air. Les rires des enfants, les activités proposées, tout est là pour masquer l'aspect politique d'un tel évènement mais, cela, Klaus en est pleinement conscient. Il n'est pas dupe. Il sait que les sorcières ne sont pas seulement là pour sourire et offrir des bonbons au gens, que les vampires ne se montrent pas pour prouver qu'ils sont gentils... Il en a d'ailleurs déjà marre de devoir supporter toute cette hypocrisie mais, Hope tenait à venir pour retrouver certains de ses amis donc, l'hybride n'a pas pu lui refuser ça. Comme toujours, il a cédé malgré son envie irrésistible de rester à la maison, une bouteille de bourbon à la main et un pinceau dans l'autre. Oui, cela aurait fait une bien plus belle soirée... mais bon, on ne fait pas tout ce que l'on veut lorsqu'on est parent. C'est une chose que Klaus a appris à ses dépends puis, Hope est jeune après tout. Il ne peut pas lui interdire de regarder un feu d'artifice sous prétexte qu'il considère cela inutile et extrêmement ennuyeux. Et surtout très bruyant...

[...]

L'avantage avec les fêtes de ce genre, c'est que tout le monde est beaucoup trop occupé pour regarder ce qui se passe vraiment autour d'eux. Donc, lorsque viennent les cris et les questionnements à propos du corps retrouvé, Klaus en est presque amusé. Il fini de se laver les mains à l'arrière d'une des caravanes-stand lorsqu'il sent son téléphone vibrer à l'intérieur de sa poche. N'arrivant à temps, le bip bip annonçant un message vocal ne tarde pas à venir : Freya. Il n'a pas besoin d'entendre son message pour savoir que cela vient d'elle. Il la voit au loin, accompagnée de Elena. A sa vue, il ne peut d'ailleurs pas s'empêcher de rouler des yeux. Après tant d'années, cette fille l'agace toujours autant et, si son frère n'avait pas une once de sympathie pour elle, l'hybride s'en serait bien chargé plus d'une fois... Bref ! il s'empresse d'aller rejoindre les deux femmes et empoigne sa sœur par le bras pour l'emmener plus loin. Loin d'Elena par la même occasion. " Ne me remercie surtout pas. " dit-il avec un sourire narquois ; mais, après s'être assez éloignés, l'hybride reprend son sérieux, ralenti la cadence et lâche le bras -comprimé- de sa sœur. Enfin. " Crois-en mon expérience, il ne faut pas rester là. Les cris ne sont que le début, la chasse aux coupables est toujours la seconde étape. Tu as croisé Hope ? " Klaus ne cache pas son inquiétude à sa sœur. Et ils savent tous deux que la soirée est bien partie pour être plus animée que prévu... " Rassure-moi et dis-moi que tu n'as rien à avoir là-dedans. Ce n'était vraiment pas le moment ! " Paranoïaque toujours, il interroge sa sœur du regard... alors que cette derrière se pose surement la même question.

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La conversation était fort gênante, en plus d'un atmosphère pas franchement propice à rencontrer l'ex petite-amie de votre frère sosie d'une femme ayant formé un triangle amoureux avec deux de vos frères. Je m'efforce de sourire à la brune, me retenant de partir le plus loin possible jusqu'à ma voiture pour rejoindre le manoir de ma famille. Mais lorsque je sens une poigne m'attraper par le bras pour me tirer à l'écart, sans même saluer Elena, je suis presque heureuse de voir Nik aussi brutal. Je frotte ma robe en regardant aux alentours, avant de croiser les bras et de regarder l'hybride "Non, je suis arrivée il y a peu de temps..." il savait bien que j'avais quelque chose à faire qui allait me mettre en retard. Ce qui vient d'arriver à Alisha est effroyable mais après tout... La vengeance est une garce. Après ce que les sorcières ont manigancées contre ma famille et moi pour nous expulser de la Nouvelle-Orléans, je pense que Schoonmaker a eu ce qu'elle méritait. Je fronce les sourcils en entendant les suggestions de mon petit frère "Partir alors que l'une de nos ennemies vient tout juste de trépasser ? Je ne pense que que ce soit la meilleure chose à faire stratégiquement parlant." il faut savoir se camoufler et si l'hybride originel et sa sœur sorcière désertent subitement ça ne fera que lever les doigts d'autrui pour faire de nous des cibles. Je lâche un rire étouffé en entendant les paroles de Nik "Je ne vois pas pourquoi je blesserai l'une de mes semblables..." alors qu'au fond, lui et moi connaissions la vérité.

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la fête de la paix
all the town.

La paix, Snow n'y croit pas. C'est un murmure d'espoir trop faible pour être réelle. Il avait assez vécu pour savoir que les hommes s'entre-déchiraient pour un rien. Il avait assez vécu pour savoir que la guerre n'était jamais loin des paroles de paix. Cela n'avait pas empêché le monde de trouver un certain accord avec le temps, entre les différentes races, comme si tout était possible. Snow ne se sentait pas pour autant en sécurité. Il n'avait pas sa place parmi les hommes et continuait de se sentir comme un paria, un monstre qu'il était préférable de laisser de côté, d'oublier. La curiosité l'avait pourtant guidé jusqu'à la fête, mais il n'abordait aucun sourire. Il observait, discrètement, espérant s'effacer dans la foule qui riait. Il y avait du monde, trop peut-être à son gout. Il se sentait presque étouffé dans cette masse mouvante qui semblait ne jamais disparaitre. Il repéra quelques visages différents, quelque personne qui ne semblait pas être satisfaite de cet événement. Une femme était accoudée à un arbre, observant les étoiles plutôt que de profiter des différentes activités proposées. Snow connaissait la plupart des gens, ayant pris la peine de noter intérieurement les informations dont il aurait besoin à l'avenir. Il savait rarement plus que leur nom, mais c'était bien suffisant. Malgré sa discrétion, il bouscula un policier qui marchait avec un collège. Leur présence ne faisait que renforcer son idée. Il s'excuse d'un bref mouvement de tête avant de disparaitre d'un clin d'œil, s'éloignant un peu de tout ce monde.

Et puis son oreille capte quelque chose. Une odeur de fumer le captive, alors que ses pas le guide déjà vers la source. Il ne s'avance pas trop lorsqu'il aperçoit de loin une voiture en feu. Cela ne faisait surement pas partie de la fête. De là où il est, il observe Matt Donovan s'approcher, l'arme prête à tirer. Ses yeux s'ouvrent alors qu'une femme sort de la machine, consumé par les flammes. C'est un crime, peut-être même un sacrifice. Les pompiers ne tardent pas, mais une autre victime est découverte, un peu plus loin. Son regard croise un bref instant celui du policier, alors que des curieux se mettent à spéculer, rendant la scène de crime presque impossible à gérer. Snow sent le dégout monté en lui. Brulée vive, comme si l'histoire n'avait rien appris aux hommes.

Son regard se met alors à glisser sur un visage familier. Ses cheveux étaient peut-être plus courts, mais ce visage n'aurait su disparaitre de ses souvenirs. Au début, il a du mal à le croire, mais il se rapproche de ce qu'il voit comme pour vérifier. Son ouïe se fait plus juste, alors qu'il entend quelques bribes de sa conversation. Il reconnaît la voix de l'homme dont il ne voit pas le visage. Il n'y a pas de doute, c'est elle. Maintenant que son regard croise le sien, il se sent paralysé par une drôle de chose. Son coeur s'arrête alors que son passé refait subitement surface. Soudain, une seule solution s'impose à lui, partir.

La fête de la paix

Quand la petite brune se retourna en sursautant je restais planté devant elle a seulement quelques centimètres. Un sourire en coin accroché au visage, ce sourire toujours aussi sûr de lui et satisfait de son effet de surprise que vous connaissez temps. « Tu… Tu veux ma place ? » J'haussais un sourcil en arrêtant de sourire "Quoi ?" En quoi ce que je lui avait du avait bien pu lui faire penser que je voulais qu'elle dégage pour me laisser la place ? Y'avait d'autres arbres sur lesquels je pouvais m'appuyer si j'y tenais. Elle était visiblement très intimidée. "T'es pas assez grande pour me cacher la vue tu peux rester" je souris à nouveau "Et puis je suis pas venu pour regarder le feu d'artifice" ça va hein je connaissais, j'en avais assez vu dans ma vie, c'était toujours la même chose, rien d'exceptionnel. « Tu as retrouvé ton amie Katherine ? » Je fis une légère grimace. Katherine avait été une amante, une ennemie, une alliée, elle avait un peu occupé tous les postes en fait. "Oui et non, je ne la cherche pas de toute façon" je l'avais seulement prise pour elle parce qu'elles avaient le même prénom mais Katherine était Katherine, elle disparaissait et se faisait oublier, puis elle réapparaîtrait quand le moment semblerait opportun. Ah ça y est, la miss me regardait enfin, y'avait du progrès ! « Tu dois être accompagné, non ? Ou tu veux que je t’offre quelque chose à manger ou à boire ? » Non à la première et pour la deuxième, depuis quand c'était les filles timides qui offraient un verre aux mecs séducteurs ? J'allais répondre mais j'eu juste le temps d'ouvrir la bouche qu'elle rajouta « Enfin, je comprendrais que tu ne veuilles pas rester avec moi, c’était juste… Comme ça. Je suis venue pour le feu d’artifice. » Je ne pu pas m'empêcher de lâcher un rire "Si je voulais pas rester avec toi, je ne serais pas venu te voir, ça aurait t'aurais au moins évité autant d’embarras." Je passais mon bras par dessus ses épaules pour l'entraîner vers le stand de buvette "Bon alors, une bière ça te conviens ? Ou peut-être que tu préfères un jus de fruit ?" Mes yeux se posèrent sur Donovan, le quaterback plus tellement quaterback depuis le temps. Il venait de prendre son taki-walki et avec la curiosité je ne pus m'empêcher de tendre l'oreille. Un feu. Et pas d'artifice pour le coup. C'était pas prévu ça. Je fronçais des sourcils, concentré, le regard dans le vide, à essayer d'entendre au mieux ce qu'il se passait plus loin avant de revenir à la réalité et de reposer mon regard sur Catherine "On va peut-être devoir reporter ça, je crains que la fête ne soit terminée" et on pouvait déjà voir les gens s'agiter en entendant la sirène des pompiers. Je désignais du regard la fumée qui s'élevais un peu plus loin derrière elle.

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La fête de la paix

Je papillonnais des yeux "S'il te plait ?" J'insistais, je voulais y aller et je voulais que ça soit lui qui m'y emmène. Bon c'était aussi un prétexte pour le faire sortir. J'avais envie d'en profiter, ça faisait longtemps que je n'étais pas sortit avec mon père et j'étais bien la dernière personne qui aurait honte de s'afficher avec lui. Ah ça oui il a une belle réputation, que je connaissais par cœur d'ailleurs à force mais heureusement, j'étais loin de m'en préoccuper, j'étais sa fille après tout ! Un grand sourire étira mon visage à ma victoire et je filais me préparer rapidement. Je m'habillais d'une robe pour l'occasion. Je savais que j'y retrouverais quelques amis j'avais hâte, et puis y'avait le feu d'artifice !

On y était à présent, on avait finit par se séparer et j'étais allé rejoindre des amis à moi, enfin plutôt des camarades de classe. Je m'éclipsais finalement pour aller au ptit coin, oui oui être une hybride n'empêche pas les envies pressantes ! Je sortais dans le but de rejoindre les autres quand des bruits et une odeur de cramé attirèrent mon attention. Rapidement je me rendais vers l'objet de ma curiosité puis m'arrêtais net, perdant mon sourire en voyant le spectacle qui s'offrait à moi. J'avais beau être plutôt familière aux meurtres, en ayant moi même commis, je n'aimais pas voir ça. Comme figée alors que tout le monde s'agitait, je me fis même bousculer. En temps normal j'aurais probablement sortit une remarque, disant de faire gaffe un peu, mais la je ne dis rien. Après tous les gens paniquaient et c'était normal. C'est plutôt moi qui devait paraître anormale en ce moment. Je soupirais.

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