Welcome to Lastedge, Asylum for Mad People

Welcome to Lastedge, Asylum for Mad People !

Bonsoir tous le monde ^.^Donc suite à une longue réflexion (... Rolling Eyes

), j'ai décidé de poster ma fic actuel sur GW Welcome to Lastedge, Asylum for Mad People 3149989503

J'espère qu'elle vous plaira !

Résumé:
Mon nom est Alicia Parks et j'ai était tenue coupable du meurtre de mon père, organisé par ma belle mère. Je me retrouve maintenant dans un lieu où je suis peut être à ma place: l'Asile. Qui que vous soyez, si vous lisez ceci, je suis sûr que vous n'êtes pas à votre place dans cet Enfer et j'espère de tout coeur que vous arriverez à vous échapper des ténèbres qui occupe ce lieu.

Personnages principaux: Alicia, Elena, Bonnie, Caroline, Klaus, Esther, Jeremy.

Chapitres: (cliquez dessus :p)
Chapitre I: Welcome
Chapitre II: Dark Paradise

Prologue:

Dehors il faisait gris, et la route semblait rocheuses vu le nombre de secousses que j'endurais à l'arrière de la camionnette. Où est ce que j'allais débarquer ? La police se doutait bien que j'étais innocente, les docteur aussi : comment une jeune fille d'à peine 18 ans aurait elle pu se battre et gagner contre son père, le faire sombrer dans le coma et faire exploser sa maison, et cela toute seule ? Ma ma belle mère avait des contacts, elle lui avait sans doute fallut moins de 3 coups de fils pour qu'elle trouve quelqu'un ou plusieurs personnes pour effectuer son meurtre, il lui avait ensuite suffit de signer un chèque avec plusieurs zéros pour tout me mettre sur le dos. Le tribunal m'avait jugé comme folle et instable, décidément le monde c'était dresser contre moi, même les psychologue qui m'avaient reçus voulait « m'aider à tourner la page pour écrire une nouvelle histoire ». Mais je n'étais pas une fille sage qui écoutait les gens pour s’exécuter... Cette fois si j'aurais du, ma belle mère avait gagné. La camionnette s'est rapidement arrêtés et deux hommes ont ouverts les portes arrières, l'un est rentré pour le traîner dehors. Le temps était gris et dépourvu de tout charme et devant moi s'élevait une immense battisse qui atteignait les nuages sombres du ciel. J'ai baissé les yeux et j'ai vu l'inscription sur une énorme plaque : "Welcome to Lastedge, Asylum for mad people". J'aurais pu me débattre, mais à quoi bon ? J'étais arrivée à ma funeste destination et le moindre acte de rébellion aurait aggravé mon cas. Je marchais sur le chemin de gravier, l'herbe aux alentours semblait fané... Non, en fait on aurait juste dit un tapis de cendre, avec une balançoire qui s'amusait au gré du vent, comme dans les films d'horreur vous savez. J'ai monté les marches avant de déboucher dans une petite pièce toute blanche avec un air d'hôpital. Au fond se trouvait un petit bureau ou une femme remplissait des tonnes de papiers. Le secrétariat. Quand j’arrivai devant elle, les deux gardiens à mes côtés elle leva ses yeux plissé vers moi. Elle portait une charlotte et avait coiffé ses cheveux gris en chignon, sa bouche formait un cul de poule et tout son visage était ridé.
« -Tu fois être la nouvelle venue. » déclara-t-elle avant de me tendre un formulaire qui me demandait mon identité.
Alicia Parks
Née le 18 novembre 1996 à San Francisco
Fille unique de Cahrles Parks et Rosa Lancaster.
Tuteur légal... Je reconnu la signature de ma belle mère qui autorisait l'Asile à faire ce que bon lui semble de moi, ce qui voulait dire que je bénéficiais de leurs soin tels que les « électrochocs » et dans le pire des cas, être lobotomiser. J’hésitai une seconde avant de signer, je voulais pleurer, mais je ne pouvais pas, dès que j'avais franchi le seuil du sanatorium j'avais pénétré un lieu où la pitié n'était qu'une vague idée.

Invité

J'adore

Welcome to Lastedge, Asylum for Mad People 1494286615

hâte de lire la suite Welcome to Lastedge, Asylum for Mad People 443659541

Merci Mary Welcome to Lastedge, Asylum for Mad People 1709748450

!

Chapitre 1 : Welcome
Ils m'avaient enlever mes vêtements pour me donner une longue chemise blanche qui m'arrivait juste en bas des genoux, ensuite ils m'avaient conduits vers les douches où j'avais était presque cramés par la chaleur de l'eau et la vapeur brûlante. Mais mon initiation dans l'Asile n'était pas terminé : mes longs cheveux noirs qui m'arrivaient avant en bas de mon dos avaient étaient coupés et m'arrivaient maintenant aux épaules. Puis ils m'ont conduit dans la salle commune, une ambiance mal saine s'y dégageait, j'aurais voulu me recroqueviller dans un coin, mais partout où j'allais un patient de l'Asile venait vers moi, marmonnant des choses incompréhensibles avec une allure des plus... Dérangeante. J'étais obligé de repartir ailleurs, c'était pourtant facile de voir que je n'étais pas à ma place ici, avec ces fous qui parlaient tous seuls, se balançaient sur eux mêmes et se tortillait au sol. Comment est ce que les gardiens ne le voyaient ils pas … ? La belle mère de Blanche Neige était décidément une personne bien face à la mienne... Tout était partit de rien, et pourtant je suis arrivée au plus haut point, au sommet le plus dramatique que j'aurais pu attendre. Mon père était brisé suite à la mort de ma mère après son cancer, il a trouvé refuge chez Laura et s'est remariée avec elle. Tout allait bien au début : on faisait les boutique ensemble, elle me rassurait et n'hésitais pas à me prendre dans ses bras les nuits ou je fondais en larmes en pensant à maman, elle était la belle mère idéal qu'une personne aurait pu avoir... En fait c'était juste une manipulatrice. Tout a commencé quand mon père était encore au travail, je rentrai d'une fête entre ami qui a mal tourné et je l'ai surprise en train de batifoler avec le meilleur ami de mon père, elle m'a vue. Tout a changé, elle est devenu froide et distante, mesquine et garce, elle ne se gênait plus pour inviter des hommes quand mon père était absent et quand moi j'étais bien présente, car au plus profond d'elle, elle savait que je n'aurais jamais le courage de révélait la vérité à mon père, de peur de le brisé de nouveau. Et quand mon père appris la vérité, quand mon riche de père voulut divorcé, quoi de mieux pour une traînée comme elle de garder sa fortune en se débarrassant de la seule héritière potentiel : moi. C'est ce qu'elle fit, elle monta un complot et mon père se fit tuer, puis j'avais ensuite était accusé sur le fait que la mort de ma mère m'a rendu instable.

J'étais assise sur un sofa, quand une jeune fille s'installa prés de moins, jambes contre sa poitrine. Je savais que j'allais bientôt devoir changer de place.
« -Tu est forte, les anciens nouveaux avaient déjà fondu en larmes quand ils sont arrivés » me lança-t-elle, puis je me suis surprise à répondre.
« -Rien ne me rattache à mon ancienne vie, j'ai tous perdue. »
Elle me regardait avec ses yeux noisettes, elle avait à peut prés mon âge et avait contrairement à moi des cheveux longs, fins et gras.
« -Mon nom est Elena. » elle me tendit sa main frêle que je serra doucement.
« -Alicia. »
Elle me sourit faiblement, elle n'était pas comme tous les autres, elle semblait elle aussi normal.
« -Eux aussi vont venir à ma rencontre ? » demandai je en désignant les autres patients qui semblaient vraiment fous.
« -Non, ils ont perdu toute conscience et liberté de pensé, c'est plus que de simple outils inefficaces. Seuls ceux qui ont conservés leurs convictions rentrerons contact avec toi. » elle désigna du menton une autre jeune fille sur une chaise de l'autre bout de la salle « Bonnie Bennett, ont lui a arracher la langue parce qu'elle prononçait des choses « mauvaises ». Sa ne l'empêche pas de rester équilibrer et elle fait semblant.»
Je resta sans voix, puis elle me montra une jeune homme, séduisant prés de la fenêtre « Jeremy, mon petit frère, les électrochocs l'empêche de s'exprimer correctement mais il garde ses convictions. » Puis elle se retourna et désigna une jeune blonde au cheveux ondulés, toute maigre et à la peau grisâtre« Caroline, tu vois l’appareil à sa bouche ? »[/i] C'était affreux, on aurait dit une machine de torture sortis des films saw. « On l'a accusé de cannibalisme. Alors ont lui a imposé cette machine à la bouche. »
[b]« -Quelle horreur... » soupirai je.
« -Bien que c'est faux. »
Comment pouvais je la croire ? Nous étions dans un Asile, nous avions tous une bonne raison d'être ici... Mais moi j'étais bel est bien innocente. Peut être ces quatre personnes l'étaient ils aussi.
« -Et toi, pourquoi tu es ici ? »
Elle ravala sa salive.
« -Un psychologue dit que la personne que je suis est mauvaise. Tu vois le type là bas. » elle me montra un homme grand et à la peau noir, chauve.
« -Dr Connor, il veux me faire avouer que je suis une personne de mauvaise qui a mis en danger ma famille. » Elle se retourna pour me regarder. « Un conseil Alice, fait semblant, plus tu fera ce qu'ils te disent, plus ton séjour ici sera plus ou moins paisible.»
« -Est ce que certains ont étaient libérés ?»
«-D'aprés la directrice, oui; mais on le les jamais revus, même pas pour des visites, mêmes aux fenêtres nous ne les avons jamais vu sortir du domaine. Mes amis et moi pensons le pire pour eux. »
« -La directrice n'est pas plus... empathique ? »
Elle rigola doucement.
« -Esther est la pire d'entre tous. »

Invité

Glauque mais j'aime Welcome to Lastedge, Asylum for Mad People 1709748450

Invité

j'adore !

esther est la pire d'entre toutes xDDDDD

Merci les zamis Welcome to Lastedge, Asylum for Mad People 1709748450

Chapitre 2: Dark Paradise
Je sortais de la cantine de l'Asile, pour l'instant j'avais pas faim, mais si sa continuait comme sa j'allais bientôt avoir un troue dans l'estomac. La mixture que nous servait les cuisinières ressemblait à une masse de plâtre, je savais pas comment ils faisaient pour manger sa, Elena m'avais expliqué qu'ils avaient perdus toute notions de la réflexion, c'était sûrement pour sa... Quand nous avions finit, ou censé avoir finit, les gardes m'ont conduits dans ma chambre, par chance je partageais ma cellule (c'était le terme qui convenait le mieux) avec Bonnie, l'amie d'Elena dont on avait arracher la langue. Sur le coup j'avais oublié son handicap et elle m'a répondu avec un léger son sourire que ce n'était pas grave, puis par chance, elle avait appris le langage des signes que je connaissais aussi. Elle connaissait Elena, son frère et Caroline depuis le collège, ils formaient un groupe d'amie et me confia ses peines par rapport à Jeremy : elle était sortie avec lui, il était quelqu'un de courageux et de dynamique qui avec trois bouts de bois vous sortez des plus terribles situations selon elle, comme si elle parlait de McGiver. Et il lui était pour elle insupportable de voir Jeremy ainsi, ayant perdu toute sa logique, bien qu'il conservait selon elle sa conscience, il était juste devenue un bloc de glace : impénétrable et impossible à discerner. Je lui expliqua en retour la cause de min isolement et elle me fit part de sa terrible histoire : Bonnie appartenait à un mouvement, la magie, rien de bien commun, mais de la à lui arracher la langue... Un jour elle a vu venir trois sœurs qui ont voulus la « purifier », on l'a torturer dans le but de refuser cette forme de pratique mais elle est rester forte. On l'a alors interner à Lastedge, l'accusant de pratiquer le satanisme et comme punition, on lui arracha la langue, afin qu'elle ne récite plus aucune prières. Elle m'annonça aussi que les nones l'ayant accuser se trouvaient dans l'établissement : sœur Gretta Martin, sœur Bree et mère Gloria. Je les avait rapidement entraperçue dans la cantine : elle étaient toutes les trois métis et leurs visages restaient grave et sévères. Elle portait la traditionnelle cornette et robe de none ainsi qu'un chapelet dans leur mains. Les gardes passèrent dans les chambres pour vérifier si nous dormions, Bonnie commençait à s'assoupir quand à moi, trois larmes coulèrent le long de mes joues pour s'abattre sur le fin et dur matelas.

Le lendemain matin, le réveil n'avait pas était en toute douceur, on nous a mener aux douches où on n'avais aucun accès à un quelconque produit d'hygiène, que se soit savon, gel douche ou shampoing. D'habitude je n'étais pas gêner de me montrer en public, avant je faisait de la danse et je prenait les douches avec mes amies, ici c'était différent, vous comprendrez... On se retrouvait encore dans la « salle de jeux », je restais avec Bonnie pendant qu'Elena aidait Caroline qui selon ma coloc, avait craqué. Puis, une des trois nones s'est diriger vers nous, Bonnie la regardait droit dans les yeux sans faiblir.
«-Mlle Parks, Madame Mikaelson veut s'entretenir avec vous. »
Voyant mon interrogation, elle m'appris que madame Mikaelson n'était autre qu'Esther, la directrice de l'Asile.

Elle me sortit de la salle de jeux pour me mener vers l'aile arrière en traversant les cuisines et salles d'examens qui ressemblaient plus à des salles de tortures. Quand j’arrivai devant la porte du bureau d'Esther, la sœur me laissa seul, assise sur une chaise raide. Je me suis levé pour me rendre à une fenêtre, elle avait aussi des barreaux. Dehors je regardai le ciel qui se dégageait et la ville qui s'activait, et dire que je me retrouvais à quelques kilomètres de la vie, car ici, c'était la fin de tout. Je repensais à mes amies qui avaient appris mon sort, est ce qu'elles allaient avaler ça ? Elles me connaissaient assez pour savoir que jamais je n'aurais pu tuer mon père. Des hurlements me sortirent alors de ma rêverie.
« - Un jour ! Je t'arracherai le cœur comme je te l'ai déjà arracher ! Je le ferai de mains nu et je dévorerais ton cœur sous tes yeux ! »
Un homme fit claquer la porte, il était grand aux cheveux courts et ses yeux couleur miel jetaient des éclairs, ils avaient les traits durs et dévala les marches à grandes enjambés. Esther apparut dans l'encadrement de la porte : elle était grande avec des cheveux courts et châtain clair, presque blond, elle affichait un sourire pincé et portait une cardigan blanc ainsi qu'un jean noir.
« Tu dois être Alicia, je t'en pris rentre ma grande. »
Je la suivit et elle pris place dans un fauteuil en velours rouge derrière son bureau en bois massif, je m'installa sur un sofa en cuir devant son bureau, des encens brûlaient sur le bureau et un parfum épicé flottait dans l'air, il y avait quelque chose de chaleureux chez cette femme, bien qu'Elena m'avait dit qu'elle était la pire d'entre tous... Mais sérieusement, en qui devais je avoir confiance ? Une personne qui semblait saine d'esprit mais interner dans un asile ? Ou une femme qui collectionnait les diplômes en psychologie et qui dirigeait un sanatorium ?
« -Mon nom est Esther et je suis la dirigeante de cet établissement. Je ne vais pas te demander comment c'est passer ton entrée, c'est difficile je sais mais tu dois savoir que c'est pour ton bien que tu es ici maintenant. Si tous se passe bien tu pourra retrouver tes proches. Mais pour ça tu devra faire un effort. »
J’attendis quelques secondes, quelques longues secondes.
« -Je ne suis pas folle madame, je sais que vous devez être habitué à l'entendre, ma minuscule parole face à plusieurs centaines de mêmes paroles ne fera pas le poids, mais je n'ai jamais tuer mon père. »
« -Alors qui en est responsable ma douce ? »
Ma douce, maman m'appelait comme ça aussi... A ce moment là je savais que toutes protestation allaient aggraver mon cas. Je la regarda et elle comprit.
« -Bien. Je suis sur que tu vas arriver à te sortir de cette période sombre de ta vie Alicia, nous sommes là pour toit. Je te laisse rejoindre la salle commune ma grande. »
En descendants les marches, un dilemme pointa le bout de son nez : soit j'écoutais ce que disait Esther et son personnel dans l'espoir d'être à leurs yeux « guérie » et pouvoir partir. Soit j'écoutais Elena, je gardais mes convictions en me répétant que toutes les méthodes qui seront utiliser contre moi ne me seront pas destinées... Ce qui voulait aussi dire que j'allais rester longtemps ici en endurant leurs « traitements »...

Contenu sponsorisé