I am not a bad guy ♣ Lisbeth

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I am not a bad guy

Ca fait plusieurs semaines que je suis à la Nouvelle Orléans, et pour le moment, Klaus nous a pas donné la permission de quitter la ville pour pouvoir aller ailleurs. Mais bon si je ne peux pas quitter la Nouvelle Orléans, je peux bien aller me promener comme bon me semble dans la ville. Je sais que les autres hybrides ne sont pas autorisés à le faire, mais sur moi Klaus n’a plus aucune emprise et heureusement. Je reste à ses côtés, parce que je lui suis reconnaissant. C’est pour cette raison, que durant cet après midi, je décide de quitter le manoir des Mickaelson pour pouvoir aller au centre ville et prendre l’air, me balader. Je sais que je ne devrais pas à cause du nombre de vampires qui s’y trouve. Mais tant que je ne montre pas que je suis un hybride ça devrait aller. Ils ne peuvent pas savoir qui est un hybride ou pas, alors que moi je peux le sentir, dû à mes compétence de loup garou. Je marchais alors dans les rues, les mains dans les poches, regardant quelques boutiques sur les côtés. Je sentais évidemment quelques regards sur moi, le regard des vampires qui pourraient penser que je suis un simple humain et sur qui il pourrait se nourrir. Sauf que je suis bien plus fort qu’eux, donc qu’ils n’essayent même pas de s’attaquer à moi. J’allais pour rentrer dans un magasin de fringues, lorsque grâce à mon ouïe, j’entends des plaintes et une personne essayer de se débattre. Je fronce les sourcils, pensant directement à un vampire qui s’attaque à un humain. Je me dirige vers le lieu en question et je découvre en effet un vampire avec une humaine. Je m’approche d’elle, d’un air sûr, ne montrant pas pour le moment que je suis un hybride.

« Hé toi là, laisse la demoiselle tranquille ! »

Criais-je au vampire, alors que je m’approchais d’eux toujours, mais il n’avait pas l’air décidé à laisser la jeune femme s’en aller, ou bien de partir. J’allais devoir utiliser les grands moyens, sans avoir à le tuer pour autant, parce que si je le tue, il y a des chances qu’on apprenne que c’est moi et je ne pense pas que Klaus serait ravi de l’apprendre. J’essaye de lui prouver qu’il peut avoir confiance en moi, alors il ne faut pas que je rompe une de ses règles qui étaient de ne pas attirer l’attention sur nous les hybrides.

« Je serais à ta place, je partirais déjà loin en courant ! »

Je me retrouva face à lui, pour ensuite éloigner le vampire de la jeune femme, pour le projeter contre le mur, venant entourer sa gorge de ma main, la serrant autour. Mes yeux viennent à virer aux jaunes, laissant apparaître des crocs de loups garous.

« Souviens toi, une morsure et tu meurs dans la souffrance. Et si t’en parles à quelqu’un, je te promets que je te retrouve et que je te tue. »

Je le vois hocher la tête. Il doit tenir à sa vie je pense. Je n’ai rien fais de mal à part protéger cette humaine, qui ne meritait certainement pas de mourir à cause d’un vampire. Je relâche celui-ci pour le regarder partir avec sa vitesse vampirique, et je me retourne vers la jeune femme, m’approchant doucement d’elle. J’ignore si elle sait pour le surnaturel ou pas, mais si elle n’est pas au courant, je compte bien lui faire oublier ce petit passage.

« Vous allez bien mademoiselle ? »

Demandais-je en la regardant, alors qu’en fonction de sa réponse, je saurais si je dois lui faire oublier ce moment ou pas.

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Did you just save my life,stranger ?

Cela faisait quelques temps déjà que Lisbeth créchait dans un motel ,dès plus minable qui plus est, depuis qu'Ezeckiel avait quitté Mystic Falls. Elle aurait pu retourner vivre chez son père en attendant de trouver un nouvel endroit où pieuter mais elle ne se voyait pas repartir vivre là-bas. Pour pas mal de raison à vrai dire, une question d'indépendance, une question de fierté et surtout un besoin de solitude. La jeune policière avait eut à faire à pas mal de chose dernièrement, elle s'en était d'abord prit plein la gueule puis avant même qu'elle n'est le temps de se ressaisir , le monde avait changé de la pire manière qui soit. L'apocalypse, le chaos, tout partait en vrille et c'était devenu assez difficile à gérer au poste de police et c'était pour cette raison qu'elle avait décider de prendre son week-end. La fille Pritchard avait besoin de repos, de prendre du temps pour elle. Le temps de véritablement réalisé que son grand frère avait quitté le continent pour l'Angleterre, le temps de regarder le monde s'écrouler autour d'elle et surtout le temps de reprendre son souffle. Elle n'avait plus été chasser depuis un moment, être chasseur été devenu légalement problématique et pour un agent de police : C'était assez délicat à gérer. Elle s'était donc contenter de récolter des informations ces derniers temps, des informations qui pourraient être utiles aux chasseurs ou aux policiers. Il avait même sembler qu'elle était meilleure dans la récolte d'information que sur le terrain. Là, au moins elle ne risquait pas de se faire tuer à cause de son imprudence ou encore à cause de ses deux mains gauches. Ayant entendu qu'il se passait pas mal de chose à la Nouvelle Orléan, prise de curiosité, Lisbeth avait décidé d'y consacré son week-end. Elle avait trouvé que c'était un chouette moyen de se reposer et de faire son job, alors elle n'avait pas hésité longtemps. Elle avait demander son week-end au shériff, qui était essentiellement son père et l'avait informé de ses plans pour le week-end. Enfin, elle ne lui avait pas réellement dit qu'elle partait pour la Nouvelle Orléan mais elle était à peu près certaine de l'avoir sous-entendu. Oui, Lisbeth Pritchard ne changerait jamais. Vous me direz qu'elle s'arrange même pour se mettre dans de beau draps. Maladroite et impudente jusqu'au bout des ongles.

Beth se baladait dans le quartier Français, elle était arrivé le matin même à la Nouvelle Orléan. Elle avait simplement garé sa voiture, n'avait même pas prit le temps de s'enregistrer une chambre et était parti à la pêche au informations. Pêche qui s'était vite terminé en simple visite touristique dans le centre historique. D'une nature curieuse, la jeune femme était aussi passionnée par l'art et les jolie chose et il semblerait que la ville en était profondément encré. Elle avait été fascinée et émerveillée toute la sainte journée et maintenant que la nuit était tombé, la vie n'en était que plus belle. La jeune femme s'arrêta pour jeter un coup d'oeil à sa carte, cela faisait dix bonne minutes qu'elle s'était engouffrer dans cette rue pratiquement déserte. Une rue qui aurait dû la conduire à un bar mais elle ne voyait aucun bar ! « T'es perdu, ma jolie ? », relevant la tête en fronçant les sourcils. Lisbeth se demanda sérieusement si le pauvre type qui venait de lui adresser la parole dans cette rue déserte, l'avait réellement appeler 'ma jolie'. En plus de trouver ça misogyne, elle trouvait ça assez flippant. Du moins cela aurait eut le don de l'inquiéter si elle ne faisait pas du jiujitsu depuis sa tendre enfance, si elle n'avait pas été flic ou chasseuse. Ouais, si tout cela n'avait pas été le cas, ça l'aurait réellement inquiète. « Nop,passe ton chemin, mec. »,avait-elle répliquer simplement avant de reposer ses yeux sur la carte mais celle-ci lui fut violemment arracher des mains et entreprit de s'approcher d'elle pour la coller au mur, tenant ses mains bien fermement, la coinçant ainsi. Bien trop rapidement pour qu'elle puisse s'y opposer, bien trop rapidement pour que cela fasse de lui un agresseur tout à fait humain. Lisbeth se débattant, tentant de se dégager tout de même mais rien n'y faisait, le type semblait bien la tenir. « Tu fais moins la maligne, n'est-ce pas, ma jolie ?», la jeune femme se colla entièrement au mur derrière elle quand son agresseur vint à épouser totalement son corps contre le sien. Elle avait conscience que la question qu'il lui posait était entièrement rhétorique et n'avait pour seul but que de la rendre encore plus agressive à son encontre. « Vas te faire foutre ! », avait-elle eut le temps de répliquer sèchement avant qu'il ne plonge dans son cou pour la mordre violemment, un petit cri s'échappa de la bouche de la jeune femme. Surprise et meurtri sous la douleur que son agresseur lui infligeait. Un vampire, elle aurait dû s'en douter ! Le monstre s'écarta d'elle légèrement, grimaçant, il semblerait qu'il avait la bouche en feu. Lisbeth porta sa main à son cou, tout de même amusé. « Oui, j'ai entendu dire que la verveine ne vous réussissait pas très bien à vous autres, vampires ! », pour seul réponse, le vampire releva la tête pour lui lancer un regard des plus noir. Vivement, elle allait pour sortir une arme de son sac mais il ne lui laissa pas le temps car déjà il s'élançait à sa poursuite. A vitesse humaine, il voulait qu'elle court et elle ne se fit pas prier pour le faire. Elle était dans la merde ! A tout les coup, elle allait encore se faire buter ce soir et manque de bol, elle avait laisser sa chevalière dans sa boîte à gant. Elle se souvenait l'avoir enlevé au bout de la première heure de route, mine de rien, c'était assez gênant pour conduire. Lisbeth se sentait idiote ! Elle allait mourir aussi bêtement qu'elle avait vécu ces derniers mois. C'est à cette instant qu'un deuxième type fit son apparition, un grand blond qui ne semblait pas avoir froid aux yeux d'ailleurs car il lui fit simplement face et se mit à discuter avec lui. La jeune femme n'entendait pas vraiment ce qu'il lui disait, les battements à présent si bruyants de son cœur l'en empêchait. La jeune Pritchard recula d'un pas quand son 'sauveur' envoya son agresseur valser contre le mur. Son sauveur ne semblait pas être très humain, non plus. La jeune femme était un peu sonner à cause de la morsure du vampire. C'était loin d'être la première fois qu'elle se faisait mordre par un vampire mais celui-ci n'y était pas été de main morte, il avait dû avoir le temps de lui pomper une bonne quantité de sang. Affaibli, si son sauveur s'avérait ne pas être un réelle sauveur, elle n'allait pas être dans la capacité de se défendre. Puis, si son agresseur fuyait devant lui, elle n'allait pas avoir plus de chance. Elle chancelait, son corps semblait devenir de plus en plus lourd. Elle percevait le blond au loin, il semblait rebrousser chemin pour venir à sa rencontre. Sa vue était assez trouble mais elle n'omis pas de noter qu'il était plutôt joli garçon.

« Vous allez bien mademoiselle ? », la jeune femme ne répondit pas tout de suite. Elle prit le temps de prendre le recule par rapport à la situation, par rapport à tout ce qu'il venait de se passer. Une seule et unique question : Ce geste était-il anodin ou alors était-ce nourrit d'une arrière pensée quelconques ? « Je.. », la jeune femme porta sa main à son cou, la blessure que le vampire lui avait infligé était vachement douloureuse. Elle avait l'impression qu'elle était à deux doigts de tourner de l'oeil. « J'ai connu pire. »,avait-elle eut le temps de répondre avant de s'écrouler, inconsciente.

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I am not a bad guy

J’avais entendu quelques plaintes et quelques débattements venant d’une rue un peu plus loin de celle dans laquelle je me trouvais. Je m’y dirige rapidement, pour y découvrir un vampire et une humaine. C’est bien quelque chose que je ne supporte pas ici. Les vampires se nourrissent sur le premier humain qu’ils trouvent. De mon côté, je me contente de quelques poches de sang, je l’avais fais auparavant lorsque j’étais encore lié à Klaus. J’avais même tué mon père de cette façon, mais celui-ci le méritait. Il ne méritait que ça, après ce qu’il m’avait fait. Il me battait, m’envoyant de temps en temps à l’hôpital. J’ai dû attendre d’avoir dix huit pour m’enfuir de chez moi, et aller vivre à Mystic Falls chez mes grands parents. Bref, tout ça pour dire que ce vampire a plutôt intérêt à vite s’éloigner de la jeune femme. Je l’avais projeté contre le mur, le menaçant de le mordre s’il ne partait pas maintenant. Heureusement, il ne tarde pas à s’en aller rapidement, et une fois partit je me tourne vers la jeune femme. Evidemment l’odeur du sang me montait au nez, mais je devais me retenir, j’ai appris à me contrôler. Je m’avance doucement vers elle, pour savoir si elle allait bien ou pas. Elle a connu pire, voilà sa réponse, avant qu’elle ne perde connaissance. J’ai juste eu le temps de réagir et de me précipiter vers elle, pour la rattraper et ne pas qu’elle tombe au sol. Je l’ai désormais dans mes bras. Je regarde son cou et je grimace. D’une parce que le sang me montait au nez et de deux parce que le vampire avait été assez violent. Je décide alors de l’emmener dans un petit motel non loin d’ici. Je ne pouvais pas la ramener au manoir des Mickaelson, je ne pense pas que ça ferait plaisir à Klaus et ni même aux hybrides. J’hypnotise la réceptionniste pour nous donner une chambre. Elle me tend une clef, et j’emmène la jeune femme dans la chambre. Je la porte toujours dans mes bras et je fais chercher une serviette dans la salle de bien, que je plis pour pouvoir la déposer sur le lit. Je pose la jeune femme à côté de la serviette, posant sa tête sur la serviette, pour éviter de salir les draps du lit. Je vais chercher une autre serviette que je mouille d’un côté, pour pouvoir aller essuyer la plaie et le sang qui coulait. Une fois essuyé, je m’éclipse quelques minutes pour aller récupérer un grand pansement, que je vais mettre sur la plaie. Je pourrais très bien lui donner de mon sang pour qu’elle guérisse, mais elle avait l’air de connaître l’existence des vampires, donc elle pourrait mal prendre le fait que je lui ai donné du sang humain. Je récupére la serviette où y avait un peu de sang, heureusement ça n’avait pas trop couler, et je l’envoie dans la salle de bain, pour éviter de me tenter d’avantage. J’avais déjà dû la guérir et ça avait été dur de résister. Je m’assis à ses côtés sur le lit, l’observant, elle est vraiment charmante comme jeune femme, faut bien avouer que c’est mon style. Mais bon ce n’est pas le moment de penser à ça. Si elle se réveille, faut éviter de lui faire croire que je suis un gros pervers et que je l’ai sauvé juste pour ça. Non je l’ai sauvé, parce que je ne supporte pas la façon dont les humains sont traités dans cette ville. Si je pouvais tous les sauver, ça serait bien, mais c’est malheureusement impossible. Lorsque je suis avec Klaus ou les autres hybrides, je ne peux pas m’eclipser juste parce que je veux sauver un humain des crocs d’un vampire. J’avais quitté le petit motel quelques minutes, histoire d’aller chercher de quoi manger et de l’eau pour ensuite revenir et l’observer à nouveau. Finalement alors que je l’observais, je la vis légèrement bougé, sa plaie doit certainement encore lui faire un peu mal.

« Evitez de trop bouger, je vous ai mis un pansement, mais il n’y ait pas aller de mains mortes. »

En effet, le vampire n’y était pas allé doucement, bien au contraire, un petit peu plus, elle aurait pu mourir sur le coup, s’il avait mordu au bon endroit. Je n’aurais rien pu faire, elle se serait vidé de son sang toute seule.

« J’ai été vous chercher quelque chose à manger et à boire si vous le souhaitez. »

Je ne vais pas qu’elle puisse croire que je suis un mauvais être surnaturel, parce qu’après tout, elle a vu ma force pour pouvoir repousser ce vampire. Je lui tends le sachet, où j’avais été acheté quelque chose de consistant, pour pouvoir la nourrir un peu pour qu’elle reprenne des forces.

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Did you just save my life,stranger ?

Suite à la morsure dès plus violente du vampire, la jeune femme n'avait pas mit bien longtemps avant de perdre connaissance. La douleur qu'il avait animé en elle était lancinante, douloureuse et aurait pu être mortel s'il ne l'avait pas lâché à temps. Et s'il n'y avait pas eut cet étrange blondinet, il aurait pu renouveler l'expérience. Lisbeth avait eut de la chance, beaucoup de chance et elle le réalisait bien même si elle ignorait si la suite des évènements s'annoncerait pire ou pas. Elle savait simplement qu'elle n'était pas morte, pas encore du moins. La fille Pritchard était allongé sur un lit de mon motel, ses muscles se détendait lentement, chose qui était étonnement reposant suite à une agression qui aurait pu mal finir, qui aurait dû d'ailleurs mal finir si le blondinet n'avait pas décidé d'intervenir. Et pour cela, elle lui était infiniment reconnaissante même si elle ne pouvait s'empêcher de se méfier même si elle avait envie de lui faire confiance après ce qu'il avait fait pour elle. La jeune femme revenait lentement à elle, ouvrant un œil puis l'autre et n'ayant pas la moindre idée de l'endroit où elle pouvait bien se trouver mais à première vu, elle n'était plus dans la rue. Ses yeux était rivé au plafond, un blanc jaunâtre dont la peinture était légèrement craquelé par endroit. Elle entendait le bruit d'une seconde respiration non loin d'elle et elle voulu tourner la tête pour voir de qui il s'agissait mais à peine eut-elle fait un mouvement qu'elle se crispa sous la douleur toujours affreusement présente. Elle avait simplement l'impression qu'on avait voulu lui arracher la gorge avec les dents et c'était monstrueusement douloureux ! « Evitez de trop bouger, je vous ai mis un pansement, mais il n’y ait pas aller de mains mortes. », un fin sourire se dessina au coin des lèvre de la jeune femme. Elle avait comprit de qui il s'agissait, elle reconnaissait cette voix et qu'il soit aussi attentionné à son encontre, c'était juste étrange ! Etrange mais vachement agréable. A croire qu'elle se trompait, que la bonté et l'altruisme n'avait pas totalement disparu de la surface de cette terre. Mais elle ne l'écouta pas, elle réuni tout son courage et le peu de force qu'elle avait pour tourner lentement la tête vers lui. « J’ai été vous chercher quelque chose à manger et à boire si vous le souhaitez. » ,ajouta-t-il au même moment. Lisbeth fronça les sourcils, ne comprenant pas pourquoi est-ce que le jeune homme était aussi sympathique avec elle. Après tout, il ne la connaissait pas, il ne savait rien d'elle et pourtant il était là, assit sur le sofa dans cette chambre, une chambre de motel lui semblait-il. C'était tellement dur de croire à un simple acte de bonté quand on avait durement été habituer à s'en prendre plein la tronche. Elle était encore sonné car elle avait l'étrange impression que les cheveux du blondinet scintillait, comme un halo autour de son magnifique visage. Presque angélique. Tout cela lui paraissait bien trop beau pour être vrai, bien trop de gentillesse, de bonté et de beauté. Alors quand Lisbeth vint à poser cette question, ce fut à moitié justifier. « Suis-je morte ? », au même moment, elle voulu se redresser mais comme pour répondre à sa question dès plus stupide, la douleur la tirailla de nouveau. « Bon, ok... J'ai presque cru que j'avais atteint le paradis, il n'y est vraiment pas aller de main morte. C'est le cas de le dire. Je veux bien un peu d'eau,s'il vous plaît », difficilement, elle s'aida de ses main pour s'assoir dans le lit, collant ensuite sa tête contre la tête de lit comme pour l'aider à la maintenir. Sans pour autant le quitter des yeux, cette homme l'intriguait fortement. « Pourquoi est-ce que vous faîte ça ? »,aussitôt la question posé, elle se senti affreusement mal. Elle se rendait compte qu'elle n'avait même pas prit la peine de le remercier et la voilà qui se mettait à l'agresser avec ses questions. « Enfin, je veux dire, vous auriez pu me laisser mourir là bas, ça n'aurait rien changer à votre vie. », c'était toujours pas un merci. Elle se sentait tellement mal polie à cet instant précis, tellement ingrate ! Elle s'enfonçait. « Mais peu importe au fond... Vous m'avez sauver la vie et je vous en serez éternellement reconnaissante ! » Manque de bol,il était le seul ici à être éternel mais grâce à lui, elle avait l'opportunité de vivre un peu plus longtemps. Lisbeth alla pour porter sa main à son cou quand elle rencontra quelques chose qui semblait faire obstacle : un pansement. Ses lèvres s'étirèrent en un petit sourire reconnaissant. C'était peut être un ange après tout.

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I am not a bad guy

J’avais sauvé la vie de cette humaine et en aucun cas je regrette mon geste. Sans moi, elle serait certainement morte à cet instant précis, le vampire aurait fini par la tuer en la vidant de son sang ou en y allant plus franchement, j’en sais rien. Mais aucun humain ne mérite d’être traité comme ça. J’ai tué quelques humains au début de ma transformation en vampire, parce que je ne savais pas me contrôler et ce n’est pas Klaus qui me l’aurait appris, même si j’étais un de ses premiers hybrides. Mais je regrette d’avoir tué ses humains, alors que de l’autre côté, je ne regrette pas une seule seconde d’avoir tué mon père. Il m’avait battu durant six longues années, à chaque fois que j’osais dire quelque chose de contraire à lui ou lorsque je ramenais de mauvaises notes. Lorsque je suis devenu un loup, il a continué à me battre, mais mes blessures se guérissaient et heureusement parce que j’en avais marre de terminer de temps en temps à l’hôpital. J’avais été cherché de quoi manger et boire pour la jeune femme pour à nouveau l’attendre. Attendre qu’elle se réveille. Finalement je la vois bougé légèrement, et je la préviens de suite qu’il fallait éviter qu’elle bouge de trop à cause de sa blessure. Elle m’avait demandé si elle était morte et je secoue tout simplement la tête, alors qu’elle me demande de l’eau. Je lui tends la bouteille, alors qu’elle arrive finalement à s’asseoir sur le lit, posant sa tête contre la tête de lit. Elle me demande finalement pourquoi j’avais fait ça, alors que j’aurais pu la laisser dans cette ruelle. C’est vrai j’aurais pu, mais moi pendant six ans, mon père m’a battu et personne a fait quelque chose pour moi, alors je me devais d’intervenir. Je n’allais pas lui que mon père m’avait battu, ça ne concerne que moi et puis je préfère oublier cette période de ma vie. Elle finit tout de même par me remercier et je lui souris doucement.

« De rien, je n’allais pas laisser ce vampire continuer ce qu’il faisait. »

Je la regarde, alors que je pourrais comprendre qu’elle se méfie de moi étant donné qu’elle a pu voir mes forces, donc elle doit se dire que je suis moi aussi un vampire, alors que ce n’est pas le cas. Enfin si mais à moitié. Mais je ne lui veut aucun mal, bien au contraire. Si seulement on pouvait se lier d’amitié, parce qu’après tout à la Nouvelle Orléans, je n’ai pas vraiment d’ami, hormis les hybrides de Klaus, avec qui je m’entends bien. Mais on s’entend bien seulement parce que nous sommes hybrides.

« Vous n’avez rien à craindre avec moi, si je voulais vous faire du mal, je n’aurais pas fais tout ça. »

Je souris légèrement pour ensuite déposer le sachet avec la nourriture à l’intérieur si des fois elle souhaite manger un peu tout de même. Je reste assis là où j’étais tout en la regardant.

« Sinon je m’appelle Ethan, j’habite ici depuis quelques semaines, j’habitais Mystic Falls avant. »

Dis-je pour me présenter. Fallait bien faire ça désormais. Je ne voulais pas réellement partir, alors autant faire connaissance avec la jeune femme.

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Il n'avait pas tord sur un point, s'il avait voulu qu'elle soit morte, elle ne voyait pas l'intérêt pour lui de lui sauver la vie. A moins que sauveur était en réalité un psychopathe totalement sadique et pervers qui n'aspirait qu'à la manipuler pour mieux la tuer après. De manière à délecter la mort qu'il lui infligerait. Ouais, c'était vachement tordu mais que faire quand le monde en lui même l'était ? Bien consciente de se faire des films mais elle ne pouvait s'en empêcher, elle venait tout de même de se faire agresser et avait encore une fois échapper miraculeusement à la mort. Et ce miracle n'était autre que le beau jeune homme qui lui faisait face. Il l'avait sauvé, était resté près d'elle et lui avait apporté à manger ! Que lui fallait-il de plus pour lui faire confiance ? Du temps, peut être. Elle saisit la bouteille quand il lui tendit, rapidement elle l'ouvrit et le porta à ses lèvres pour boire quelques longues gorgées. Chacune de ses déglutition étaient douloureuse mais l'eau apaisait sa gorge, si sèche. Quand elle eut finit, elle reposa la bouteille sur la table de chevet à côté du lit. Elle n'allait pas sans noté que cette bouteille provenait d'un supermarché, elle baissa alors les yeux sur le sac dans lequel il avait sorti la bouteille pour prouvé sa théorie. Alors comme ça il était aller lui acheter de l'eau ? Si ça c'était pas de la gentillesse pure, elle ne savait pas de quoi cela pouvait bien s'agir d'autre. Mais une question demeurait, pourquoi s'était-il senti obligé de faire tout ça ? Elle avait apprit que dans la vie rien n'était gratuit mais cette fois-ci : Elle décidait de le croire. Croire que tout ceci n'était que bonté. Et de ce fait, elle comprit qu'il ne méritait pas la mort. Cette créature avait sut conservé son humanité. La jeune femme sourit amusé par sa remarque, comme s'il avait deviné ses pensés. « J'veux pas dire, mais c'est exactement ce qu'un psychopathe dirait ! », avait-elle répliqué sous le ton de l'amusement. Car oui, elle se rendait bien compte qu'agir de la sorte était absurde, que ça relevait de la paranoïa. Quand il posa le sac de nourriture près d'elle, elle ne pu s'empêcher de jeter un petit coup d'oeil : Chocolat ! Pile ce qu'il lui fallait. « Mais je veux bien vous croire. », reprit-elle en lui souriant, lui offrant un de ses plus beau sourire. Elle ne voyait pas vraiment comment le remercier pour ce qu'il avait fait pour elle mais elle savait qu'elle désirait le connaître d'avantage. Il avait l'air franchement sympathique et un allié n'était pas de refus durant son séjour dans cette ville de fou. Lisbeth sorti la plaquette de chocolat et entreprit de l'ouvrir délicatement puis se stoppa net quand il se présenta. Ethan de Mystic Falls. Décidément, cette ville la suivait, où qu'elle décide d'aller. « Enchantée, Ethan de Mystic Falls. Moi c'est Lisbeth, je suis arrivée ce matin et je suis aussi de Mystic Falls. » La coïncidence ! Ou peut être pas d'ailleurs, elle avait cru entendre qu'il y avait eut une migration de masse vers la Nouvelle Orléans dernièrement. De vampires originel, d'hybrides essentiellement. Peut être en faisait-il parti ou peut être pas. Pour l'heure, elle s'en fichait un peu. La jeune femme tapota la place dans le lit à côté d'elle puis se sorti un carré de chocolat qu'elle s'empressa de mettre dans sa bouche. Un délice, c'était délectant ! « Alors Ethan de Mystic Falls, comment ce fait-il qu'on est pas eut la chance de se croiser plus tôt ? » Lisbeth souriait à son sauveur, elle récupérait peu à peu ses esprits. Elle tendit la plaquette de chocolat vers lui, lui en proposant ainsi.

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C’est ce qu’un psychopathe dirait ?Oui peut être. Je ne m’y connais pas bien dans le genre psychopathe, donc bon. Mais je peux lui assurer que je n’en suis pas un. Toutes les créatures surnaturelles ne sont pas mauvaises après tout. Je reste avant tout un loup garou avant d’être un vampire. J’aurais très bien pu éteindre mon humanité, mais j’y tenais à cette humanité. Je tiens à rester moi-même comme je l’ai toujours été. Malgré cela, j’avais effacé de la mémoire de mes grands parents tout leur souvenir avec moi. Je ne voulais pas qu’il sache que j’avais tué mon propre père, même si je l’assumais, mais j’ai aussi tué quelques innocents, et là j’ai dû partir à la Nouvelle Orléans. C’est un choix que j’ai fais et que j’assume entièrement, bien que j’hésite de temps en temps à retourner à Mystic Falls pour leur redonner leur souvenir, mais j’ai peur de leur réaction.

« Je peux vous assurer que je n’en suis pas un. »

Je souris légèrement, alors qu’elle m’avait dit allait me croire. J’hoche la tête, content d’entendre ça de sa part. Bon c’est une bonne chose pour commencer. Moi qui voulait faire connaissance avec elle, il faut bien qu’elle me fasse confiance. Je la regarde grimacer lorsqu’elle boit l’eau, mais bon avec la plaie qu’elle a c’est normal. Enfin je lui avais donné l’autre sachet où se trouvait du chocolat, pour lui redonner un peu d’énergie. Je souris en la voyant regarder dans le sachet, elle m’a l’air bien contente de voir le contenu de ce que je lui avais acheté. Je viens finalement à me présenter, lui disant que je venais de Mystic Falls et elle m’apprend qu’elle vient aussi de Mystic Falls, et je suis assez surpris tout de même. Je suis assez surpris tout de même. Je ne m’attendais pas ça, surtout que je ne l’ai jamais vu dans le passé. Elle tapote le lit à ses côtés, m’indiquant de venir m’asseoir à ses côtés, ce que je fis. Je m’assis doucement à côté d’elle. J’hausse les épaules à sa question, alors que je prends un morceau de chocolat qu’elle me tend.

« J’en ai aucune idée. Pourtant j’ai passé des jours, étant petit chez mes grands parents, et il y a dix ans, à dix huit ans, je suis venu m’installer pour faire mes études. »

Annonçais-je en la regardant. Je n’étais pas tombé sur la plus moche femme de la Nouvelle Orléans, et je ne vais pas m’en plaindre tout de même. Lisbeth est réellement ravisante, et si je pouvais lier une amitié derrière ça, ce serait parfait. Elle avait l’air d’aller mieux et je suis rassuré quand même. C’est grâce à moi et ça me fait sourire. Dès que j’ai l’occasion de sauver quelqu’un, je le fais, parce que je ne veux que personne subissent ce que j’ai subi avec mon père pendant six ans. Personne ne mérite ça, à part les vampires comme celui que j’ai réussis à faire partir. Heureusement qu’elle ne pas donné son nom de famille, sinon j’aurais très vite fait le lien avec le fait qu’elle soit chasseuse, vu qu’à Mystic Falls, les familles de chasseurs sont connus.

« Et qu’est ce qui t’as emmené à la Nouvelle Orléans, dans cette ville remplis de danger, encore plus le soir ? »

J’avais vite compris comment la Nouvelle Orléans fonctionnait et les vampires s’attaquent principalement aux humains le soir ou en fin d’après midi. Mais bon moi je ne crains rien, étant un gentil hybride.

« Quoi que à Mystic Falls, peu à peu les créatures surnaturelles sont découvertes. »

Oui je suivais quand même ce qui se passait là bas, et je sais que les vampires ont été dévoilé et que les loups garous sont sur le point de se faire dévoiler. Pour le moment, cela ne concerne pas les hybrides.

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