And I'm off to the races

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J'étais crevé, encore une fois oui. Hier soir j'avais terminé assez tard, il y avais des soirs où la boîte était plus remplit que d'autres soirs et hier soir on était presque trop peut pour assurer le service. Heureusement aucun panneau disait « interdiction aux vampires d'utiliser l'hypnose », quand les choses commençaient à tourner au vinaigre autant arranger les choses rapidement et proprement plutôt que finir la soirée en bain de sang... Même si c'était compliqué de me contrôler, je m'étais juré de ne pas faire de mal aux humains mais avec la chaleur, l'alcool sans compter la musique et la pénombre qui cachaient aux humains les vampires pouvant s’abreuver de sang directement sur la piste de danse, les choses étaient bien plus compliqué. J'avais de temps en temps des problèmes de contrôle bien qu'en principe j'arrive à me modérer. Sinon je ne pense pas que j'aurais chercher un job dans ce milieu là, autant finir derrière le bureau d'une bibliothèque !

Aujourd'hui je me remettais donc au ralenti d'une énième soirée bien arrosée après mon service, j'avais pris ma douche et j'ai voulu ouvrir la porte avant de me rappeler que j'avais perdu ma chevalière... Génial hein ? J'avais plusieurs fois essayer de recréer des bagues protectrice mais je n'avais définitivement plus aucun liens avec le monde de la sorcellerie. Je me souviens combien cela avait était dur lors de mes début en tant que vampires, de ne plus sentir cette connexion à la nature, ce lien avec le monde autour de moi, j'avais l’impression que mon âme avait était fracturé. J'aurais du créer plusieurs bagues avant d'entrer en transition, et pour couronner le tous Alexandre était introuvable et ne répondait ni à mes messages ni à mes appels, j'étais donc piéger au seuil de sa maison sans pouvoir lui demander de me créer une bague. Je passais donc mes nuits depuis plusieurs semaines dans un motel pas trop cher en bullant devant la télé, attendant que le soleil se couche pour que j'aille travailler. Heureusement que j'avais choisi des horaires de nuits, de toute manière je me sentais plus à l'aise dans ces moments là. J'avais beau détesté un bon nombre de ma famille pour m'avoir renier je gardais tout de même de nombreux points communs avec eux. Je pouvais les renier au plus profond de moi je ne pouvais pas renier les liens du sang. J'étais donc bien plus détendu dans un moment festif et festive.
Le problème c'est que ce soir, j'allais bien me faire chier car je travaillais pas. La plupart des chaînes télévisés ne parlaient que de cette grotte je sais plus trop où, je comprends pas ce qu'on pouvait trouver d'aussi fabuleux dans ce terrier. Enfin bref... Je savais que j'allais pas passer ma soirée à écouter des scientifiques exposer leurs théories scientifiquement-impossible à comprendre pour moi. Je guettais prudemment le soleil près de ma fenêtre, testant toutes les 30 secondes si il me brûlait toujours la peau et dès que je n'ai plus senti ma chair brûler j'ai immédiatement ouvert la porte dans un soupir de soulagement en m'engouffrant dans Mystic Falls, sans trop savoir où j'allais.
Je suis finalement tombé là où se concentraient la plupart des habitants quand ils avaient du temps libre, point de rendez vous pour la plupart des lycéens et tous le reste... Le Mystic Grill, bar plus ou moins sympa, pas vraiment le style de la boîte où je travaillais mais bien sympa quand même.
Ce soir le bar était pas bien remplit, peut de monde était là : un groupe de jeune s'amusait au billard et aux fléchettes, quelques couples discutaient autour d'un verre et le bar était pas vraiment occupé, juste par trois ou quatre personnes.
Mais mon regard c'est de suite posé en direction d'une chevelure blonde. J'avais vus des filles blondes mais ce qui me retenait c'était... Je sais pas vraiment l'expliqué. Je me suis approché vers elle, prudemment si je venais à me tromper et à quelques mètres d'elle j'ai su que je ne m'étais pas trompé.
Une vieille connaissance, Rebekah. Un des premiers vampires que j'avais rencontré quand je venais juste d'en devenir un, elle m'avais aidé à me contrôler bien que j'ai préféré me servir dans des poches contrairement à elle, blesser des humains était vraiment un cas spécial, si ce n'était pas nécessaire je ne tentais rien. Heureusement qu'elle avait était là, sans elle mes débuts de vampire auraient était beaucoup plus calmes et moins colorés, j'avais du mal à me reconnaître et m'accepter, elle m'avait appris à me faire voir le bon côté des choses.
Je me suis assis près d'elle, elle n'avais pas l'air de savoir qui se trouvait à côté d'elle et après avoir commander une bière, j'ai cru percevoir un mouvement. Un large sourire c'est dessiné sur mon visage.
« Bouh Barbitch ! » lui souriais-je « Décidément tu peux pas te passer de moi on dirait. »
Bon d'accord c'est moi qui venait juste de débarquer en ville, c'était plutôt à elle de dire ça.
« Tu vas pas me faire la gueule parce que je me suis casser un matin sans dire au revoir quand même ? C'est pas comme si les quelques billets que je t'ai volé avaient était un manque pour toi hein. » Je me suis approché de son visage pour lui souffler à l'oreille « On c'est bien amusé tous les deux. »
Soit elle allait m'éclater la tête contre le bar, soit elle me briserai la nuque dans la ruelle. Dans tous les cas j'allais morfler.

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A mon réveil, le temps n'avait été que pluie, pluie et encore pluie. Cette journée s'annonçait plutôt mal, ce temps là me démoralisait toujours un peu -beaucoup- , l'eau a beau avoir un effet assez bénéfique sur moi, la pluie ne me fait rien de particulier hormis lorsqu'il faut que je dorme et que j'écoute ce bruit réconfortant. Le ciel était gris, voilà de quoi me donner une envie supplémentaire de dormir. Je n'avais rien de prévu pour le cours de la matinée et mon emploi du temps d'après-midi restait encore à voir, que voulez-vous je suis quelqu'un de très occupé et demandé. C'est pourquoi, voulant profiter de ma matinée malgré ce temps pourris, j'allais faire une petite promenade à Mystic Falls pour, pourquoi pas, faire un tour dans des boutiques de vêtements, histoire de me remonter un peu le moral. Je n'avais pas spécialement besoin de vêtements jusque là mais, regarder les vêtements sans acheter est toujours possible et, ne sait-on jamais si on peut trouver la perle rare. Enfin, peut-être que c'était impossible de regarder les vêtements sans en acheter, mais bon je suis une fille, que voulez-vous ? Je ne peux rien y faire. Je ne pris pas de douche puisque je l'avais prise la veille au soir, j'enfilais juste un pantalon slim noir, un tee-shirt avec une veste pour me protéger de la pluie, je ne prendrai pas de parapluie pour sortir, autant ne pas m'encombrer inutilement. Un parapluie ne met d'aucune utilité, pour les femmes peut-être qu'un parapluie leur est utile pour protéger leurs cheveux, les hommes hommes par exemple peuvent sans problème mettre de capuche, mais moi, j'avais ma rapidité surnaturelle qui était vraiment pratique, non seulement j'économisais du temps, mais en plus j'évitais de me prendre une tempête en pleine face. Toutes les femmes normales, donc pas moi, jugeraient sûrement nécessaire de prendre un sac en bandoulière ou un sac à main pour pouvoir y mettre ce qu'elles achèteraient mais également pour mettre le portefeuille, le permis de conduire, enfin tout les papiers dont elles ont besoin, mais moi, je ne me promenais qu'avec mon téléphone portable dans ma poche de devant. Vous voyez comme être un vampire peut être pratique ? Si tu n'as pas la chance d'en être un, ben c'est évident, tu n'es pas chanceux. Il n'était pas encore neuf heures du soir lorsque je sortis pour prendre la route pour aller dans le centre ville. J'avais traîné au moins dix bonnes heures dans des boutiques de vêtements, je vous rappelle que je suis une femme, je n'avais acheté que des pantalons slim, des shorts au cas où le soleil se déciderait à se montrer, des robes pour des évènements futurs, des accessoires, des chaussures, enfin toutes ces choses de filles. J'aurais tant aimé que ma copine de shopping, Rozen, soit là. Malheureusement elle n'avait pas pu venir, n'étant pas beaucoup en ville en ce moment. Ne pensant pas que j'avais besoin d'autres vêtements, ou du moins j'avais déjà beaucoup hypnotisé aujourd'hui je voulais rentrer à la maison sauf qu'étant à peine dix heures et ayant fais une heure de shopping, je m'arrête devant le Mystic Grill, j'avais faim maintenant. Une fois rentrée, je m'aperçus qu'il n'y avait pas grand monde installé, alors je me hâtais d'aller m'asseoir au comptoir. Il y a avait quelques personnes installées à des tables mais il n'y avait pas grand monde au comptoir, mais en ce temps de pluie c'était donc normal. Je fini par commander une limonade, ne voulant pas prendre de l'alcool à une heure si tardive. Un jeune homme s'assieds à côté de moi, mais je n'y prête pas vraiment attention à qui cela pourrait être étant occupée à suivre du regard le barman qui préparait ma limonade. « Bouh Barbitch ! » Je reconnus tout de suite Gabriel grâce à son ton de voix bien spécial et au surnom qu'il m'avait posé qui d'ailleurs résumait ma personne plutôt bien. « Gaby ! » Je me dépêche de tourner mon visage vers lui et ensuite me contenter de dessiner un sourire sur mes lèvres. Je le pris ensuite dans mes bras et vint déposer un baiser sur sa joue. Nous étions proches et c'était toujours un plaisir de parler et d'être avec lui. « Décidément tu peux pas te passer de moi on dirait. » C'était bon de le revoir, nous avions passé des bons moments et cela faisait maintenant un moment que je ne l'avais pas vu. « Je pourrais te dire la même chose. » Il avait toujours quelque chose de marrant à me dire, on était comme ça. Il finit donc par dire quelque chose après ma remarque. « Tu vas pas me faire la gueule parce que je me suis casser un matin sans dire au revoir quand même ? C'est pas comme si les quelques billets que je t'ai volé avaient était un manque pour toi hein. » Il s'approcha ensuite et me souffla une phrase à l'oreille. « On c'est bien amusé tous les deux. » Dit-il doucement d'un ton mesquin. Il savait très bien, qu'après cette phrase il soit avoir sa tête éclatée sur le bar, soit la nuque brisé ou soit, un bisous, mais seulement à l'époque. Maintenant nous étions plus ou moins "over it". Même si, nous avions encore de l'attirance, ceci était clair et net. Je décide de prendre la première option, elle était toujours plus marrante. Je pris son visage et l'éclate sur le comptoir. Suite à ce geste le barman se mit à rire et moi, je lui lance mon sourire sarcastique à la barbie klaus originelle, en attendant sa réaction qui semblait être promettant.

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Quand elle a enfin remarquer ma présence elle s'est dépêché de sauter de son tabouret pour m’enlacer et me déposer un baiser sur ma joue. C'est tous ?
Mais les retrouvailles parfaite n'ont pas vraiment duré très longtemps.
Je n'avais pas vraiment eu le temps de réagir autrement que ça mains c'est directement agripper à l'arrière de mon crâne. Et sans que je puisse avoir le temps de comprendre autre chose elle a claqué ma tête contre le bar. J'ai entendu le barman se marrer et je voulais le remballer en l'ordonnant de m'apporter ma bière, tandis que je portais ma main près de mon œil. Je saignais un peut et je lâcha échapper un rire choqué. Cette fille était complètement folle, timbré et géniale.
« Toujours très douce on dirait, t'aurais pu prendre des résolutions aux cours des années, c'est pas comme si t'avais 18 ans hein. »
Elle affichait un sourire de petit peste fière d'elle, j'allais pas lui rendre la pareil en publique, sinon j'allais voir débarquer les autorités, même si je savais que ça lui aurait plus...
Quand le barman a apporté ma bière et sa limonade, j'ai soupiré en levant les yeux au ciel.
« Pourquoi tu joue la petite fille sage avec sa limonade alors que t'est une vraie garce hein ? »
C'était une exagération bien sûre, j'avais passé de bon moments avec Rebekah pour savoir que c'était l'impression qu'elle voulait donner, et elle aimait quand les gens tombaient dans son jeu. Mais moi, j'étais pas dupe, j'avais eu l'occasion de toucher la véritable Originelle, j'en étais fière d'ailleurs, c'était pas une des innombrables filles que j'avais réussi à faire succomber, elle je la respectais et je l'aimais pour ce qu'elle était, c'était pas un vulgaire chiffre sur un compteur et elle le savait bien.
« Alors dit moi, qu'est ce que Barbie fait dans cette ville, je te voyais plus à New York, Milan ou Paris mais sûrement pas ce merdier. Une sorcière t'empêche de sortir de la ville ? » me moquai-je.
J'ouvris ma bière avant d'en boire une gorgée en faisant une grimace. J'avais pas à faire croire que j'aimais cette boisson devant elle, elle savait qui j'étais réellement elle aussi. J'ai rappeler le barman pour finalement lui demander un schweppes au citron. Maintenant j'étais moins bien placer pour critiquer Rebekah et sa limonade.
« Dit moi aussi ce que je peux faire pour avoir droit à autre chose qu'un claquage du crâne. La régénération des cellules a beau être active ça fait quand même mal... » me plaignais-je avec ironie.

La dernière fois que j'avais croisé Rebekah, c'était il y a à peut prés un an ou deux, en Floride. Je l'avais rencontré dans une boîte de nuit alors que la demoiselle se nourrissait d'un humain, en la voyant faire je n'aurais jamais imaginé qu'elle serait une aussi bonne amie. Elle se fichait de savoir que je blessais pas les humains, elle avait ses méthodes j'avais les miennes. En principe j'évitais de me nourrir d'humains si ce ne m'était pas indispensable. Quoi qu'il en soit, on avait bien rigoler ensemble, sans jamais développer trop de sentiments, tant mieux c'était bien meilleur comme ça, j'étais pas du genre à m'attacher et puis je préférais les hommes ! Rebekah c'était plus une super amie sur qui je pouvais compter et que je soutiendrais toujours.
« Comment va ton frère au fait ? J'ai entendue dire qu'il devenait fou. » souriais-je.
Il avait beau être son frère, un autre originel et en plus de cela l'hybride originel, je ne l'aimait pas dut tous et je ne le cachais pas à Rebekah. Au départ elle avait eu du mal avec ça, me regardait d'un regard mauvais mais avec le temps elle avait finit par l’entendre. J’espérais qu'avec le temps ça serait toujours le cas, sinon j'allais finir la soirée avec un pied de chaise dans le ventre.

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Je regarde sa nuque et fille une expression désolée, sarcastique évidemment. Comme prévu, j'attendais sa réaction et comme je l'avais imaginé, elle risquait d'être amusante. Lancerait-il encore une de ses répliques marrantes, ou bien, la mauvaise idée, de contre-attaquer. Je pense que la deuxième option était impossible pour lui, tous les deux, nous avions cette relation vraiment spéciale, qui faisait que en gros, j'étais la seule qui pouvait m'amuser en attaquant. En tant que vampire originelle et première vampire féminine, j'avais tous les droits, du moins ce que je croyais. « Toujours très douce on dirait, t'aurais pu prendre des résolutions aux cours des années, c'est pas comme si t'avais 18 ans hein. » Des résolutions au cours des années ? Impossible. En plus nous n'étions pas encore au nouvel an et « les résolutions » ce sont pour les humains, pour les faibles, en gros. En attendant le barman arrive avec la limonade que j'avais commandé. Il ne se gêne pas de tout de suite me dire quelque chose. « Pourquoi tu joue la petite fille sage avec sa limonade alors que t'est une vraie garce hein ? » Je ne suis pas une garce, enfin peut-être un peu mais bon il fallait pas faire tout un plat, tout de même. Ce n'est pas parce que des fois, je suis un peu garce sur les bords que ne je peux tout de même pas commander une limonade, surtout à une heure pareille. Enfin peut-être que je ne devais, pour la première fois exagérer un peu plus. « Je peux être une garce qui boit de la limonade non ? » Je lui fis un sourire mesquin. J'étais une vraie garce, si je le voulais, encore plus que la Petrova qui sert à rien de plus, qu'à causer des problèmes. Seuls ceux qui voudront creuser au fond de mon âme, savent qui je suis vraiment. Je parle notamment de mes frères qui la majorité du temps, s'en foutent carrément. Il me sourit et enchaîne avec une phrase aussitôt. « Alors dit moi, qu'est ce que Barbie fait dans cette ville, je te voyais plus à New York, Milan ou Paris mais sûrement pas ce merdier. Une sorcière t'empêche de sortir de la ville ? » Il se moque aussitôt sans plus attendre. Il ouvre sa bière et tout en le regardant de mon regard perçant, je l'oblige à faire une grimace et d'ainsi commander quelque chose d'autre, je savais très bien qui il était, il n'avait point besoin de faire semblant devant moi. En vérité, je n'aimais pas spécialement la bière non plus, surtout que des fois, j'ai appris que au bout des années, son goût devient de pire en pire. J'en ai même gouté une qui savait la pisse, horrible. Il commande aussitôt un Schweppes au citron, pas bien placé pour critiquer ma limonade désormais. « Mystic Falls, c'est une ville magique. » Je ris. C'est vrai qu'en fait beaucoup de choses se passaient ici, Mystic Falls a beau être une petite ville, à l'apparence mignonne et fragile, mais en vérité c'est une ville avec beaucoup d'histoire. Ici, l'amour et le bonheur ne peuvent pas régner bien longtemps. C'était une fille historique, plutôt intéressante en fait, surtout en ce qui concerne les vampires, elle cache bien des secrets, la vilaine ! Après mon petit rire sarcastique il ajoute une phrase d'un ton bien mesquin. « Dit moi aussi ce que je peux faire pour avoir droit à autre chose qu'un claquage du crâne. La régénération des cellules a beau être active ça fait quand même mal... » C'est vrai, cela rend la régénération des cellules actives, ça change les idées, nous fait réfléchir plus vite. D'un ton plutôt mesquin, un sourire aux lèvres, je répondis philosophiquement. « Chaqu'un a ce qu'il mérite. » La phrase philosophique que j'entendais au moins 5 fois par semaine, sans exagérer, vraiment. Pourquoi on me disait seulement cette phrase à moi ? Pour une fois, je décide de la répéter à d'autres aussi. « Comment va ton frère au fait ? J'ai entendue dire qu'il devenait fou. » Je commence à rire. Drôle de façon de s'adresser à moi sur mes frères, si ça aurait été quelqu'un d'autre, il aurait sûrement déjà un joli pieux dans son cœur ou histoire d'être un peu dégueulasse, un œil crevé. « Mon petit Gaby, il va falloir que tu sois plus précis, car tu le sais bien tous mes trois frères sont plutôt fous. » Les uns plus que les autres. Ce n'était qu'une vérité, Elijah encore ça allait, mais puisque maintenant il se faisait une désintoxication de sang humain, il avait un peu monté dans la catégorie. Klaus voilà quoi, c'est Klaus il ne changera jamais et Kol n'en parlons même pas, ce n'est plus la peine. Je tenais énormément à eux, mais depuis que Kol m'avait laissé tombé, j'étais frustrée et il me manquait énormément.

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